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Ingrid à Berlin – Chapitre 4

Ingrid à Berlin - Chapitre 4



CHAPITRE QUATRE

Jai protesté quand il sest retiré ; il sest levé pour ouvrir un placard masqué derrière des miroirs, puis est revenu en me montrant un petit objet en métal brillant.

Un rosebud, pas trop gros. Avec du lubrifiant ça va passer tout seul. Remonte tes cuisses comme tu étais tout à lheure. Décrispe-toi, pousse Voilà

Une petite douleur qui a diminué rapidement a traversé mes reins et ça y était, le rosebud était en place, le cône pointu dans mes reins, la base large lempêchant de disparaître en moi. Je le sentais à peine, sauf quand je me suis redressée où jai compris quil était lourd. Javais envie de sucer Adil, mais sans les mains je narrivais pas à me placer comme je voulais.

Tu peux me détacher maintenant ? Sil te plaît, mes bras sankylosent Ah ! Merci

Jai frotté mes poignets marqués, mes doigts étaient engourdis, froids. Adil servait du champagne, la verge toujours aussi raide. Nous avons trinqué, jai ri et lai embrassé ; sa langue a envahi ma bouche, impérieuse, je chavirais de bonheur dans ses bras ; moi debout sur le lit et lui à côté, nous avions à peu près la même taille. Il ma repoussée, a versé du champagne sur sa queue, je me suis agenouillée pour la lécher avant de lavaler presque à fond. Il a donné de petits coups de reins puis sest retiré pour sallonger, la verge gonflée posée sur son ventre. Je me suis placée à califourchon sur son ventre, jai empoigné son sexe pour le guider entre mes lèvres intimes, et je me suis empalée. Jétais trempée bien sûr, brûlante, il ma emplie dun coup mais quand jai passé la main entre mes cuisses jai senti la base de sa verge qui ne pouvait me pénétrer.

Tu vois, il va falloir que je tencule, ma petite chienne.

Tu crois ? Alors essaie de faire attention, jai un peu peur.

Tu vas aller te rincer le cul avec de la glycérine puis te vider dans les toilettes, tu seras lubrifiée de lintérieur. Viens avec moi.

Je me suis arrachée à sa verge avec regret, et il ma conduite dans une grande salle de bains par une porte miroir presque invisible. La pièce était grande, carrelée du sol au plafond dans des teintes beiges, avec là aussi lumières tamisées, musique de samba. Il y avait tout, douche, grande baignoire, double vasque avec miroirs, mais Adil ma montré une sorte de bidet. Je lai examiné attentivement, il comprenait une douchette fixée à la verticale. Cétait un tube dacier dun centimètre de diamètre terminé en forme duf percé de nombreux petits trous. Jai compris quil fallait se positionner assise en enfonçant la douchette dans lanus.

Enlève le sextoy, pose-le dans la cuvette. Tu va tenculer sur la canule, bien. Jenvoie leau, ne crains rien, cest très chaud mais supportable.

Oh ! Cest trop chaud, arrête, baisse un peu.

Non. Ne bouge pas, laisse leau tenvahir, tu vas voir, tu vas thabituer très vite. Suce.

Il a présenté son gland devant ma bouche et tout naturellement je lai happé et sucé. Leau emplissait mon ventre, ressortait avec fracas dans la cuvette, mon ventre se gonflait et se vidait en même temps. Et je suçais de tout mon cur, aspirant, léchant les couilles, les mains sur les hanches dAdil qui restait immobile. Jaurais aimé le faire jouir dans ma bouche mais il était maître de lui.

Au bout dun long moment, il a arrêté le jet et retiré la canule de mon anus ; je me suis vidée plusieurs minutes sans bouger, concentrée sur ma fellation. Puis il ma aidée à me lever, ma fait tourner et a injecté le contenu dun tube de gel glycériné dans mon anus. Et il a enfoncé le sextoy sans coup férir à la suite.

Retiens-toi, que le rosebud ne tombe pas, ton anus est déjà détendu. Essuie-toi. Et viens

Nous nous sommes embrassés, son sexe contre mon nombril, et il ma poussée sur le lit, sest allongé et jai recommencé à le sucer. Jai poussé un cri, la verge plongée dans ma gorge, quand jai senti des mains caresser mes fesses. Adil maintenait ma tête en place mais dans le miroir en face jai vu Jo, tout nu et verge dressée, à genoux derrière moi. Il ma fait un clin dil ; mon cur battait trop vite mais ce clin dil ma rassurée. Sans un mot il a enlevé le plug, jai senti quil posait son gland sur mon anus entrebâillé, il a poussé. Douleur soudaine, crispation ; je me suis raidie mais déjà sa verge était plantée à moitié dans mes reins.

Ne crains rien, ça va aller, petite salope. Je suis entré, tu vas thabituer.

Tu peux y aller, Jo, elle est chaude, cest une vraie nympho.

Jai essayé de me détendre, pompant vigoureusement la colossale verge dAdil, contente quand même que ce soit Jo qui me sodomise. Il senfonçait peu à peu, à coup de reins dosés ; je sentais mes muscles se distendre et la douleur me faisait gémir, mais je continuais à sucer bravement Adil. Jo a pris fermement mes hanches pour me prendre à fond puis il a commencé de puissants va-et-vient, de plus en plus rapides. Jai tendu les mains en arrière pour le repousser mais il a pris mes poignets, les collant contre mes reins dune seule main. Jétais projetée en avant sur Adil dont la verge faisait le chemin inverse dans ma gorge, embrochée comme un poulet, je gémissais de plus belle, à deux doigts de jouir à nouveau.

Puis Adil sest agenouillé, prenant ma gorge de plus en profondément, alors que Jo pilonnait mon anus de toute sa puissance. Je me cambrais pour mieux moffrir, à moitié étouffée, les poignets maintenus croisés dans mon dos ; jétais en équilibre instable, jai poussé un grognement quand ils se sont vidés quasiment instantanément, emplissant mes intestins et mon sophage de flots de sperme. Nous sommes tombés sur le lit, moi sur les cuisses dAdil, Jo sur mon dos, cherchant à reprendre notre souffle.

Adil a servi le restant du champagne dans trois coupes, il était un peu moins frais mais on a bu nos coupes en deux minutes, puis nous sommes allés dans la salle de bains remplir la baignoire. Mon anus était douloureux, je passai la main dessus, sentant les sphincters gonflés, gras et sensibles. Jai enfoncé deux doigts en grimaçant, les ressortant gluants de sperme ; pensive, je les ai examinés, humés puis léchés en souriant à Jo.

Nous sommes montés tous les trois dans la grande baignoire, leau était presque trop chaude, je me suis retrouvée serrée entre les deux hommes qui ont posé mes mains sur leurs verges toujours aussi raides. Je les ai caressées, celle dAdil était nettement plus épaisse que celle de Jo, pourtant gâté par la nature. Nous sommes restés un long moment sans parler, jétais délicieusement bien, au chaud, calée contre lépaule dAdil et les mains glissant sur leurs sexes bandés et leurs grosses couilles. Puis Adil ma fait grimper sur lui, je me suis placée à califourchon, de dos, et il a guidé sa verge sur mon anus.

Cest bien, laisse-toi aller, doucement, tu es encore dilatée, ça rentre

Je sentais son membre envahir mes reins, la sensation était étrange, je mouvrais, mes muscles souffraient un peu mais cédaient, distendus ; le pieu de chair senfonçait, jai ouvert la bouche pour geindre, et me suis laissée descendre dun coup. Là jai dégusté avec son épaisse colonne rigide plantée dans mes entrailles, cétait dur, chaud, palpitant, vivant ; jai commencé des mouvements prudents du bassin, mempalant un peu plus, je nen revenais pas de sentir une telle virilité en moi, cette fois dans mon anus distendu.

Adil ma saisie par la taille et sest levé, est sorti de la baignoire ; leau ruisselait sur le sol comme il revenait sur le lit, me posant à genoux, toujours fiché profondément dans mes reins. Là, il ma pilonnée sans pitié ; jai posé ma tête sur le drap, les mains crispées devant moi, cambrée et offerte, et il a entrepris de me défoncer aussi fort quil pouvait. Je serrais les dents pour ne pas crier, son ventre claquait sur mes fesses, il mécrasait, me dominait, sa verge dure comme lacier défonçait mes intestins, cognait toujours plus fort, plus loin, jai senti monter la jouissance, mes yeux se sont voilés, et Black-out.

Quand jai ouvert les yeux, jétais dans le brouillard complet. Il ma fallu une minute pour me rappeler de tout. Jétais allongée dans la chambre aux miroirs, la tête sur un oreiller moelleux, le drap sous la poitrine ; javais chaud, jétais trempée de sueur, les cheveux collés et en bataille. La lumière était tamisée, mais jy voyais suffisamment pour comprendre que jétais seule. Je me suis étirée langoureusement, bras, jambes, me suis cambrée, jétais bien, malgré une douleur persistante au niveau des reins. Normal avec ce que javais pris.

Javais la gorge sèche et je me suis levée pour aller au frigo qui ne contenait que des boissons : champagne, bière et eau, pétillante ou non. Au passage, jai constaté que les vêtements dAdil avaient disparu. Jai choisi une bouteille deau plate, en ai bu la moitié en quelques gorgées ; du coup jai eu envie de faire pipi, et je suis allée dans la salle de bains, doù une porte donnait sur les toilettes. Mes besoins satisfaits, je me suis dirigée vers la douche, remarquant au passage un gros plug noir posé sur un lavabo, luisant dans la lumière tamisée. Avec le tube de lubrifiant posé à côté. Je suis restée longtemps sous leau que javais réglée bien chaude, ensuite je me suis savonnée en caressant mon corps ; ma vulve était sensible au moindre attouchement, gonflée, mon anus était douloureux, proéminent. Je lai massé, mes doigts senfonçaient, deux, trois

Jai poussé un soupir. Jétais folle mais jen avais envie ; en me séchant, je suis allée précautionneusement, pour ne pas métaler sur le carrelage, chercher le plug. Il était bien moins lourd que lautre, en plastique épais et dur qui ne se déformait pas sous mes doigts, mais aussi bien plus long et plus épais que le premier. Je lai lubrifié, jai lubrifié mon anus, enfonçant trois doigts profondément sans douleur. Accroupie, jai appuyé la pointe du sextoy au centre des sphincters et poussé, essayant de décrisper mes muscles. Ceux-ci, bien chauds et huilés, assouplis, ont aspiré littéralement le plug, mais il ma fallu appuyer fermement pour passer le plus épais, avec un soupir de plaisir.

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