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Ingrid à Berlin – Chapitre 5

Ingrid à Berlin - Chapitre 5



CHAPITRE CINQ

Satisfaite, je me suis relevée, inspectant dun il critique mon reflet dans la glace en face de moi. Je devais mattendre à voir le cylindre gonfler mon ventre, ou je ne sais quoi ; mais il ny avait rien à voir, jétais nue, impudique, mes petits seins dressés aux mamelons proéminents. Avec une sensation nette de gêne dans les reins, due au volume important de loccupant. Je me suis lavé les dents sans dentifrice, avec une brosse neuve prise dans un meuble au-dessus des vasques, avant de revenir dans la chambre une serviette nouée sur la tête.

Jai fini la bouteille deau avant de me laisser tomber sur le lit. Fixant mon reflet dans un miroir du plafond, jai commencé à caresser mes seins, une main ségarant sur mon pubis ; jai glissé deux doigts entre mes lèvres intimes, jouant avec mon bouton, frissonnant de plaisir sous lattouchement. Mes doigts ont plongé dans le marécage de mon vagin brûlant, ont remué dans un clapotis significatif de mon état. Jai poursuivi mes caresses, attentive à ne pas jouir mais à rester dans un état proche de lorgasme, les yeux plongeant dans les yeux de mon image.

Quand la porte dentrée sest ouverte brusquement, jai poussé un cri, affolée, resserrant compulsivement les cuisses sur ma main ; me redressant, jai aperçu Adil. Vêtu dun polo blanc sur un pantalon de survêtement noir, il tenait ce que je reconnus être mes vêtements et mon sac. Il a posé le tout sur le fauteuil alors que je me levai et mapprochai de lui.

Ah, tu es réveillée ! Tu sais lheure ?

Non, je nai pas de montre.

Cest 07 heures du matin. Ça te rappelle rien ?

Non Ah oui, bon sang.

Il te faut partir, tu le sais.

A un mètre de lui, je me suis étirée, impudique, cuisses entrebâillées, le ventre creusé faisant ressortir le bombé du pubis. Jai vu son pantalon se déformer. Un réflexe pavlovien en voyant une femme nue et offerte. Je me suis blottie dans ses bras et il a posé ses paluches sur mes fesses, me collant contre sa virilité dressée sous le fin tissu. Il a touché la base du plug quil a remué, je me suis tortillée de honte et de plaisir mêlés.

Tu es une petite salope assoiffée de bites, tu as encore envie ?

Oui.

Ingrid, tu as vu lheure, tu te souviens du deal ?

Je partirai Après. Allez

Tu veux baiser encore, tu as tort. Mais tu vas être exhaussée. Je vais te défoncer la chatte et le cul, tout à lheure cétait rien ; tu vas prendre cher, après tu auras du mal à marcher normalement.

Des promesses, toujours des promesses Montre-moi enfin ce que tu sais faire avec ton gros engin !

Tu sais que tu vas morfler ?

Je nai pas répondu, me contentant sourire et de lever les yeux vers lui. il sest penché pour membrasser et quand jai ouvert la bouche sa langue la envahie, impérieuse ; jai répondu fougueusement, les mains pétrissant son dos sous son polo. Adil ma retournée sans me laisser le temps de protester, ma poussée sur le lit avant de se déshabiller en un instant, puis il ma disposée à sa guise, à genoux et cambrée, avec des claques sèches sur mes fesses et mes cuisses, et il a plongé son mandrin gigantesque dans mon vagin, juste sous le plug. Jai hoqueté, surprise par la violence de la pénétration, mais il a donné de violents coups de reins, en force. Jétais étroite, le plug comprimait sa verge en moi. Jai couiné, gémi, mais avec mes quarante-cinq kg, je ne pouvais rien contre son quintal et demi voire plus de muscles. La verge tapait tout au fond, il se fichait de mes protestations et pilonnait mon vagin, marrachant de nouveaux gémissements. Comme je lui donnais des coups de poings, il sest reculé et sest levé pour revenir un instant plus tard alors que je protestais :

Adil, je veux bien quon fasse lamour, mais là tu y vas trop fort ! Non ! Pas les menottes, je ten supplie. Je dirai plus rien, mais fais doucement, cest tout.

Ta gueule, tu voulais baiser, je te baise ; mais vu tu te comportes comme une chienne tu vas avoir droit au traitement réservé au chiennes.

Bon, daccord, mais ne me fais pas mal ou je te mords !

Il sourit et me fit un clin dil ; je le laissai refermer les menottes ; comme elles étaient rembourrées elles ne blessaient pas mes poignets.

Jai pourtant crié quand il sest enfoncé à nouveau dans mon vagin distendu ; ballottée, je me suis laissé prendre, cambrée, et soudain je réalisai que mon sexe trempé sétait adapté au calibre de lenvahisseur, que mon corps réagissait favorablement à lagression pourtant sans fioriture. Je me suis surprise à me cambrer plus pour aller au devant de lépieu qui me pilonnait sans faiblesse, à nouveau jétais au bord de lorgasme ; quand jai joui je nai pu retenir un long cri libérateur.

Jai gémi, me tordant pour échapper à la pénétration trop éprouvante, mais jai reçu deux claques sur les fesses, et comme jétais maintenue en place, je ne pouvais rien faire. Jai dû accepter ma défaite et le laisser continuer son uvre de pilonnage. Adil se retirait presque complètement pour revenir de toute sa puissance et je moffrais à lui ; il le sentit, bien sûr et se retira, me laissant béante.

Alors, petite chienne, si tu veux que je revienne, remue ton cul, cambre-toi Tu en veux, ma salope

Oui, reviens, prends-moi

Il a de nouveau frappé mes fesses de sa main droite, quatre fois ; jai gémi sans chercher à échapper aux claques pourtant puissantes. Mais ça ne ma pas empêché de le piquer au vif.

Allez, plus fort, prends-moi, défonce-moi encore, allez-y

Pas de problème, tu vas me sentir passer, dans ta chatte et dans ton cul, tu pourras pas tasseoir pendant deux jours au moins.

Sur ces mots il a plongé en moi de toutes ses forces, se plantant dun seul coup dans mon vagin, je nai pas pu crier tellement jétais tétanisée par le choc. Dès lors, il a été encore plus violent, si cétait possible. Il me prenait à un rythme fou, genre marteau-pilon. Jai recommencé à jouir, à moitié dans les vapes, il a continué sans faiblir pendant un long moment, une vraie machine. Quand il sest retiré, je suis tombée à plat ventre, le souffle court. Il est allé au frigo chercher une bouteille deau minérale. Je me suis retournée péniblement, jétais en nage ; je me suis vue dans un miroir, échevelée, le corps luisant de sueur, le ventre creusé et la cage thoracique aux côtes saillantes se soulevant pour chercher de lair.

Il ma relevée, jai bu goulûment à la bouteille quil tenait, de leau glacée a ruisselé entre mes seins dressés, me faisant frissonner. Cest en apercevant son sexe toujours aussi raide que jai réalisé quil navait pas joui et quil était prêt à recommencer. Mon vagin était douloureux, mais je comprenais que ce nétait pas lui qui allait charger cette fois. Heureusement que je portais le gros plug, mais jallais quand même déguster si Adil était aussi brutal que tout à lheure.

Tu vas continuer, encore Menculer ?

A ton avis ?

Oui Vas-y.

Dabord, enlève le plug, tu peux le faire malgré les menottes Mets-toi en position, le cul en lair, cambrée Ecarte tes fesses que je voie ton trou du cul Il est complètement ouvert, gonflé et rouge, je vais te lexploser. Demande poliment, salope

Vins, sil te plait, encule-moi, jen ai trop envie, je Aaah ! Aah ! Non, mon Dieu ! Aah !

Adil avait pris mon anus sans aucune retenue, imposant son engin monstrueux à mes pauvres sphincters dilacérés. La tête sur le lit jai mordu le drap, écartant mes fesses de mes mains entravées. Et pourtant javais eu le plug en moi précédemment. Il a recommencé à se mouvoir en puissance, comme sil voulait entrer toujours plus loin dans mes reins distendus à éclater. Son ventre butait contre mes fesses, avec un claquement mouillé tellement nous étions couverts de sueur, il continuait encore et encore, sortant parfois complètement pour replonger dans mon fourreau vaincu qui ne se refermait plus, obscène bouche béante attendant son bourreau.

Je navais plus mal, jétais dans un état second, mon corps se disloquait au rythme des coups de boutoir, je geignais en bavant sur le drap, les yeux clos, écrasée par la masse dAdil. Jétais tombée à plat ventre, cambrée pour mieux moffrir, pilonnée sans relâche.

Doucement, sil te plaît … Ooh ! Cest trop, je vais être déchirée, attention

Evidemment il nen avait cure, il ma prise lentement jusquà ce que je recommence à geindre et à soupirer avant daccélérer la cadence, enserrant entièrement ma taille dans ses deux mains, imposant son engin de concours dans mon conduit prêt à exploser. Et jai recommencé à jouir, par vagues successives. Il la senti à ma respiration saccadée, à mes petits cris inarticulés, et sest planté au plus loin quil a pu ; son épieu était dur comme du bois, il me remplissait de manière à la fois monstrueuse et merveilleuse.

Quand il sest retiré, jai cru que cétait fini, quil allait jouir sur moi. En fait, il ma libérée et ma aidée à me relever ; les jambes flageolantes, je me suis laissée guider sous la douche. Sous leau brûlante, nous nous sommes savonnés sans un mot, il me possédait debout, glissant sa verge raide dans mes orifices complètement distendus pour me soulever, les pieds décollés du sol. Je maccrochais à son cou épais, lembrassais, ses mains pétrissaient rudement mes seins, mes fesses. Nous sommes restés longtemps sous leau, puis nous nous sommes séchés mutuellement, sensuellement, jai caressé amoureusement ses grosses couilles et sa virilité dressée.

Bon. Viens, maintenant. Assieds-toi sur le lit. Il est presque 09 heures. Que comptes-tu faire ?

A ton avis ? Je vais revenir à Paris ; ta rencontre aura été super agréable, tu pourras venir me voir quand tu veux. Mais les conneries, cest fini.

Tu vas dire ça au boss ?

Exactement ; je suis allée très loin dans ce jeu, mais là, ça suffit.

Mmm… Tu pourrais avoir un contrat de travail pour un mois, tu te ferais du fric. Pas mal de fric même.

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