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Initié par un bûcheron – Chapitre 1

Initié par un bûcheron - Chapitre 1



Je mappel Emmanuel, Javais 23ans quand cest arrivé. A lépoque, je sortais de ma période « grunch » , javais toujours les cheveux châtains clairs assez long (long carré en faite) mais jétais beaucoup plus soigné, je faisais 180cm pour 70 kg. Je venais de terminer mes études de sylviculture, les vacances sannonçaient à lhorizon et je voulais me faire un peu dargent pour partir quelques jours en vacance. Cela faisais presque 6 mois que je venais de quitter mes parents. Mes parents étant divorcés, je louais un appartement qui se situait entre les deux, à plus ou moins 50km de chacun. Je ne connaissais pour ainsi dire personne dans le village vu que javais passé les 6 mois à bosser pour mes examens et mon mémoire.

Au vue de mes orientations professionnels futures, je me suis dit que travailler avec un bûcheron pourrais certainement mapporter une foule de trucs que lon nenseigne pas dans les écoles.

Je me mis donc tout naturellement à la recherche de petite annonce de bûcheron qui cherche des apprentis. Après 2, 3 jours de recherche infructueuses, en allant manger dans une friterie, jeu la bonne idée de laisser mon regard traîner sur un tableau daffichage « maison » où apparemment un bûcheron cherchait jeune apprenti avec la mention « sadresser ici ». Je demandai donc à lhomme qui me servait ce quil en était. Il me regarda dun drôle dair en me demandant « ben ta que lâge pour vouloir travailler comme apprenti » (A ce moment là, jétais loin dimaginer ce quil sous entendait). Je lui répondis « tout ça quand même, tu fais plus jeune, jaurais dit 18 ». Ne prêtant pas plus attention à ses intérêts, je lui redemande quoi pour lannonce. Il me répond que le bûcheron na pas le téléphone, que cest pour cela quil sen occupe. Il rajoute la dessus que le bûcheron habite dans un bois et quil va mexpliquer où ça se trouve mais je dois y aller après 18h car on ne sait jamais où il travaille. Après avoir remercié le friturier, jemporte mes frittes et men retourne chez moi, histoire dattendre 18h.

Après avoir roulé 10 bonnes minutes dans les bois, je me retrouve devant un cabanon en bois qui a lair un peu à labandon. Je vois une vielle jeep à côté qui me confirme quil ne doit pas être loin. Arrivé devant la maison, en coupant le contacte, je vois sortir un homme dune bonne cinquantaine dannée qui doit faire facile 190 pour 110kg. Il vient vers moi et me dit, cest toi le garçon qui cherche du travail? Je lui souris en lui disant que oui. Il semble assez bourru et pas vraiment propre sur lui (en même temps, un peu normale quand on sort du bois) Il se présente en disant juste quil sappelle Bertrand et me demande si jai de lexpérience tout en répondant lui-même, si tu en as, cest juste pour dire Je lui réponds que je sais que ce que jai appris à lécole. Il me répond, ok rdv demain matin 6h ici, nous verrons sur le terrain. Je le salue et men vais. Sur le chemin du retour, je me rends compte que quelque chose de bizarre sest passé chez moi, mais je ne sais pas quoi. Je repense à la rencontre et me demande sil a une femme ou une présence féminine dans sa vie. Puis, je me repasse la scène de la friterie avec le drôle de gars et celle avec le bûcheron et me sens comme envahi, comme si on avait épié. Cette sensation qui ne dure que quelques secondes suffit à me rendre compte que quelque chose dans le bas de mon ventre à comme frissonné, puis jarrête mon film en me disant que je me fais de bien drôle didées.

Le lendemain, je suis là à 6h, il sort et nous partons avec sa jeep à travers la forêt. Sur le chemin, cette sensation bizarre me revient soudainement, au moment où je men rends compte, je réalise quil me regarde tout de même beaucoup. Je me dis, autant couper court en lui demandant sil a une femme. Il me regarde en me dévisageant et me dit, non, je vis seul au fond des bois et cest bien comme ça. Ça réponse ne répond pas vraiment à la véritable question mais la manière dont il ma dévisagé me confirme totalement ce que je pensais être au départ de drôles didées. Je sens le bas de mon ventre qui chauffe en même temps que mon pénis semble comme se liquéfier. Cette sensation est aussi nouvelle, quelle est véritablement agréable. Je me rends compte que je veux en savoir plus et lui demande, mais avec une voix devenue soudainement plus féminine, « Mais, vous navez même pas une amie chez qui vous allez? A lintonation de ma voix, il se rend compte de quelque chose et me répète sur le même ton, non, je nai personne.

Arrivé au point de travail, je me rends compte que mon état desprit est loin, très loin de ce que javais en tête avant de questionner le friturier. En même temps, je prends soudainement peur en réalisant que je suis seul avec cet homme au fond dun bois que je ne connais même pas. Mes émotions finissent par me déstabiliser, je ne sais plus qui. Bon, je finis par me ressaisir et nous commençons la journée de travail.

Vers 10h, début juillet, il commence à faire chaud, même en forêt quand on travaille Je me rends comptes que je ne suis pas le seul à transpirer, Bertrand est complètement trempé dans le dos. Au moment ou il se retourne, je le regarde toujours, là, il me regarde avec le même regard que dans la camionnette. Je ressens exactement la même chose en bas mais cette fois en beaucoup plus fort, son regard est persistant. Je me sens comme pénétré par son regard. Je me rends compte que je deviens littéralement en son pouvoir. Que malgré que je nai jamais eu dattirance physique pour un homme, je sens des fantasmes monter.

Sous ce regard insistant qui ne dure que quelques instant, je finis par baisser le regard et décide de retirer mon t-shirt comme pour lui signifier que je suis à lui.

Il détourne alors le regard et continue et reprend le travail. De mon côté, je reprends mes esprits et reprend aussi le travail torse nu.

Un peu plus tard, il mappelle et me demande de venir laider. Je dépose ma tronçonneuse et mapprochant de lui, il me demande de bloquer un bois sous un tronc qui était mal tombé pendant quil le soulève. Voyant le tronc, javais du mal à croire quon puisse soulever seul une masse pareil. Mais en lui disant juste ok dune voix toujours aussi féminine que dans la jeep, il se positionna de façon à bien prendre la prise pendant que je plaçais la bûche. Je ne pus mempêcher den profiter pour regarder son anatomie de plus près. Il semblait avec un sexe énorme dans son jeans!! En se retirant, il me regarda toujours dans les yeux, mais de tout près sans rien dire avec une insistance et un air sévère. Ce dernier regard me faisait comme un électrochoc. Le mélange de son odeur, la masse impressionnante de son corps et son regard me liquéfiaient littéralement sur place.

Après cet épisode, je repris le travail en me demandant ce qui allait se passer. Je sentais en moi lenvie quil me fasse des avances comme si jétais une femme quil convoiterait. Je restais avec cette pensée qui finissait vite par devenir une obsession.

Soudain, jeu une envie de pisser, je décidais de ne faire que quelques pas dans la forêt car javais envie quil me voit facilement. Je commençais par défaire ma ceinture puis les boutons de mon pantalon, voulant être certain quil me voyait bien, je fis quelque pas en me décalant vers lui, qui était à 20m, pour pisser dans une flaque deau, histoire de bien faire du bruit. Mon besoin duriner était grand. Faut dire que ça turbinais pas mal dans le bas de mon ventre.

Soudain, je sentis une présence derrière moi, cétait lui, il se colla contre moi jusque quand jai eu fini et mis sa main dans ma nuque en la serrant et me dit,

B :Tu aimes ce que tu fais, ça te plais?

Jai toujours mon pénis dans le main, ne sachant pas trop qui répondre sur le coup, je lui réponds que oui en voulant la rentrer.

B : Garde ta queue dehors !!! me dit-il avec une fermeté déconcertante.

B : Tu aimes mater les vieux toi hein!!

Je deviens blanc et me rend compte quil a tout capté depuis le début.

B : Tu y trouves ton compte on dirait petit vicieux!!

Je ne sais pas quoi dire, je me sens tout mal

B : Ben quoi tu as perdu ta langue mon bonhomme, tétais bien plus bavard dans la jeep Réponds quand je pose des questions!!!

M : Je suis désolé, je ne voulais pas vous déranger.

B : Donc tu aimes ça petit Pd, et où est-ce que jy trouve mon compte moi, tu peux me le dire?

M : Jejeje je peux faire quelque chose pour vous?

Je sens son autre main qui passe devant moi et qui se rapproche de ma queue.

B : Je suis certain que tu es pleine de bonnes intentions.

Me dit-il dun air intéressé.

Je me rends compte que je commence à me laisser aller comme je le fantasmais quelques instants plus tôt.

Il me retourne, me regarde avec son regard sévère et mystérieux et membrasse goulûment sans retenue et avec une maladresse, sa langue me rentre profondément dans la bouche. Tout en me tenant par la queue, il continue à membrasse avec sa tête de plus que moi, je me sens comme une femme. Jaime et en même temps, il est très brutal. Jai un peu peur, ce sentiment se mélange au reste et finit par ressembler à une soumission totale. Il me regarde dans les yeux. Il lâche ma queue et pendant que sa main droite saisis mes deux mains fermement dans mon dos, lautre me tiens la tête et me colle contre son visage. Il continue à membrasser en léchant, bavant sur mes lèvres, mes joues, jen ai bientôt partout sur la partie inférieur du visage. Sa main droite me colle littéralement contre lui, je suis presque écrasé.

Soudain, il sarrête et tout en maintenant ses étreintes, il de dit:

B : Tu aimes faire la femme toi, ça se voit

Là, je comprends quil a bien lintention de prendre son rôle dhomme. Je me sens tout chose. Avec une voix presque castrée, je lui réponds que oui.

Je sens à ce moment là que son regard devient encore plus soutenu et sévère à la voix, je suis presque tétanisé. Il me regarde

B : Tu es une petite chienne en faite (Finissant sa phrase en me crachant au visage)

Je ne réagis pas mal ni bien, je ne sais comment réagir en faite

B : Taime ça aussi salope, te faire cracher au visage. Ouvre ta bouche, que je ne perde plus de salive pour rien

Je mexécute et il crache un gros jet de salive dans le fond de ma bouche

B : Avale ta première prise de nectar ma belle.

Je mexécute toujours.

Il me regarde avec un sourire en coin puis recommence à membrasser goulûment, je suis plein de sa bave et jaime ça.

Après quelque instant, il relâche mes mains et prend ma tête entre ses mains en membrassent de plus en plus frénétiquement. Je sens que je vais devoir passer au choses sérieuses et que je nai pas intérêt à le décevoir

Après un dernier coup de langue dans ma bouche, il me force à magenouiller.

B : Tas intérêt à bien sucer ma gars, maintenant que tu mas bien chauffé, tu vas assurer le suivi Détache mon pantalon.

Jai le froc baissé et je suis à genoux à ses pieds. Je détache sa ceinture, je me rends compte quil doit bien faire 120kg et pas 110kg car la ceinture retenait pas mal. Je dégrafe son pantalon, là je commence à sentir une vieille odeur de pas frais, mélange de transpiration, pisse et sperme. Je me dis que lodeur et vraiment forte alors que je nai pas retiré le slip Voyant que je marque un temps darrêt, il me rappelle à lordre en me disant que je devais assumer lexcitation que je lui avais fait. A ces mots, je me sens comme une femme désirée et jai trop envie de le satisfaire. Je me mets donc à sentir à plein nez son slip un peu jaunâtre.

Je me rapproche alors du slip qui, malgré que le pantalon ne soit toujours pas baissé laisse entrevoir quelque chose dénorme. Lodeur est forte mais lexcitation lest encore plus. Je commence à caresser le slip avec mon visage, je sens de plus en plus en moi le besoin de gémir mais ce nest pas encore assez fort. Je continue à me frotter contre son slip, il défait son pantalon pour que je puisse mieux men imprégner.

B : Mmm on sens que tu prends bien ton rôle de chienne au sérieux, cest bien continue ma belle

Ses mots « ma belle » me donne vraiment satisfaction, être sa belle, cest un peu comme être sa femme, même si chienne est aussi pas mal. Je sens quelque chose de plus servile et durable dans « ma belle ». Tout en fantasmant déjà sur lidée dêtre sa femelle, je continue à lécher son slip.

Soudain, il me colle contre sa queue, au travers de son slip et my frotte super fort, il finit par me retirer de là et me dit.

B : Retire toi!

Je mexécute, il retire son pantalon et revenant vers moi retire son slip en me le donnant. Sa bitte est presque toute tendue, le gland, énorme par rapport au reste, est encore partiellement recouvert par le prépuce. Je remarque aussi quil y a de petit gruau blanc Sa queue doit faite au moins 22cm par 5 et 5,5 pour le gland. Je me rends compte quil doit être très difficile de le mettre en bouche.

B : Vas y montre moi comment mes essences texcite, exhibes toi petite pute.

Je le regarde dans les yeux pensant tenir le regard tout en mappliquant mais me rend vite compte que je dois systématiquement baisser le regard. A chaque fois que je baise le regard, je sens cette pulsion de soumission de plus en plus forte. Lenvie de le satisfaire est si forte.

Je me déshabille en montrant une soumission totale tout en signifiant que je nattends quune chose, quil me mette sa queue dans la bouche. Je suis super excité et il le voit.

B : Viens ici et à genoux.

Je mavance vers lui et me mets à genoux.

B : Montre moi que tu mérites dêtre ma femelle.

Je mavance les mains dans le dos. Je viens sniffer le gland, puis le frotte avec mon visage. Les odeurs sont infernales dans cette chaleur dété. Je me rends compte que ça ne mempêche pas de ressentir un plaisir immense à faire cela comme une femelle. Après quelques secondes à les renifler, je commence à véritablement apprécier ces odeurs. Je sens que de petits gémissements veulent sortir. Je me retiens mais le fantasme et le dégoût des odeurs faisant place à un super fantasme sans désagrément me font pousser des petits gémissements.

B : cest ça apprend à aimer ça ma belle, laisse toi aller comme une bonne femelle.

Jadore ces mots, il me libère encore plus. Il ny a plus que nous deux sur terre.

Je me recule très légèrement et me cambrant pour être en dessous de sa verge, jouvre la bouche et sort ma langue pour accueillir son gland sur ma langue. Le goût est tout aussi violant que les odeurs. Très vite, ça se transforme en met le plus délicieux qui soit. Je nose pas prendre son gland en bouche, je tiens à prendre le temps pour quil comprenne bien que je suis à lui. Je lève légèrement avec ma langue et je lèche la petite peau sous le gland. Petit à petit, je sens mon anus qui se dilate sans trop m’expliquer pourquoi, cette sensation est divine, comme si mon corps se préparait doucement à recevoir. Avec le bout du gland qui butte légèrement sur mes lèvres, je me rends compte que je nen peu plus de désir pour lui. Je commence à tourner ma langue autour de son gros gland et lève le regard, il me regarde, je lui adresse un regard de gratitude.

B : Tu te découvres ma jolie???

M : oui, merci. Lui fais-je en le regardant toujours dans les yeux.

B : Jai rarement rencontré des partenaires aussi spontanément dociles, ça mexcite encore plus. Tiens touche !!!

Me dit-il en me prenant avec une main par la tête et lautre tenant ma bouche. Il enfonça son énorme bite dans ma bouche.

B : Lave-la, ça fais je ne sais plus combien de temps que je ne lai plus lavée.

Dans un long gémissement, je prends sa verge le plus profondément possible, forcé par ses mains qui me serrent. Il métouffe mais ne tarde pas à relâcher et lâchant la prise me laisse faire. Je le suce: en suçant fort son membre pour bien le laver partout. Il sort sa que de ma bouche et me la met sur ma joue.

B : Lave bien tout, je veux quelle brille.

Je le lèche, cest divin, bientôt la verge na plus de lourde odeur mais je continue à la sucer.

B : Tu es gorge profonde?

Je ne suis pas certain de comprendre, je marque un temps darrêt.

Il me soulève soudainement comme un vulgaire fétu de paille et me retourne, je suis la tête en bas, à hauteur de sa queue, jai mes mains sur ses cuisses.

B : Bouffe!!

Je me rends compte que sa queue est dans le bon sens pour me la mettre bien profond. Il se sert de mon poids pour me pousser sa queue dans le bouche, elle rentre et arrivée au fond, je sens que je vais vomir, au moment au les premiers haut le cur commence, je sens quil insiste et je sens que sa queue dépasse ma glotte, en même temps, je vomis et men mets plein le visage. Il me baise la gorge comme ça quelques instants puis me retourne. Tout sonné, je me rends compte que ma salive est beaucoup plus visqueuse et collante. Jadore comme elle reste sur moi, mon visage et mes cheveux. Une fois de nouveau à genoux devant lui, il sassied sur un tronc et me fait signe de reprendre la fellation, ce que je fais avec la plus grande application en essayant de refaire passer sa queue dans ma gorge. Heureusement, leffort quil a du produire pour me tenir comme ça, la un peu fait débander et je peu le sucer en gorge profonde.

B : Tu découvres autre chose de toi hein chérie !!!

Je lui réponds par de longs gémissements qui en disent long sur mon plaisir. Je me rends compte que la bave visqueuse reste aussi sur sa queue, ses couilles et même plus bas. Je décide de lui relécher ma bave en commençant par frotter mon visage dessus. Il en profite pour me prendre par les cheveux et sessuyer les mains dedans tout en me collant bien contre ses parties génitales. Je suis à 4 pattes devant lui, sa queue au fond de ma bouche.

B : Cambres toi comme une femelle en chaleur que tu es!!!

Jexécute sa volonté et en me sentant encore plus soumise dans cette posture, je nen gémis que plus fort. Il se penche en avant et commence à me fesser les fesses légèrement. Je lentends cracher, il est en train de me cracher dessus.

B : Mouille ton cul.

Avec une main, je frotte ses testicules et mon visage et commence à me lubrifier la raie des fesses. Il vient mettre sa main près de mon visage.

B : Suce mon doigt!

Je le suce en marrangeant pour quil y a le plus de bave visqueuse. Soudain, il me fou plusieurs doigts dans la bouche et me force à me relever.

B : Pousse toi des doigts dans le cul et montre à ton mâle dominant que tu es prêt pour la saille.

Sont regard est si puissant et autoritaire, je me sens submergé par lenvie de le satisfaire pleinement. Je commence donc à me doigter avec 1 puis très vite 2 en enfin 3 doigts après quelques minutes, je me rends compte que je ne prends pas réellement de plaisir, je sens que ça mirrite fort. Je crains un peu son comportement si je ne suis pas à la hauteur. Mes gémissements sont moins intense. Il vient vers moi et commence à membrasser comme au début en me tenant les cheveux fermement en arrière.

B : Tu mexcite petite salope. Tu penses ten sortir mais tu vas te faire enculer par le bûcheron.

Son regard et hyper autoritaire. Je sens cette chaleur en moi brûlante. Je recommence instantanément à gémir de plaisir sous sa domination complète et totale. Il me retourne, plante sa grosse queue entre mes cuisses et commence à se branler entre mes jambes. Sa queue frotte contre mon anus, mes couilles et ma queue. Il me met plusieurs doigts en bouche et me tiens la tête en arrière. Mes gémissements avec la bouche ouverte sont plus sonore, ça mexcite et apparemment lui aussi mais redouble deffort.

Soudain, il se retire, me prend par les cheveux, me pousse à me mettre à 4 pattes et me fais avancer comme ça sur le sol. Il prend sa chemise canadienne, la jette sur un gros tronc. Il me plaque avec la tête en avant, prend mes deux mains dans une seule de ses mains, me les passe dans le dos et relevant les bras, mobligeant à rester bloqué face contre terre. Il écarte mes jambes avec les siennes et avec un voix méchante et perverse me dit

B : Tas voulu joué, on va jouer.

Dun coup, je sens sa queue, énorme presser contre mon anus, jessaie de me relâcher mais son coup est terrible. Je referme mon anus. Il monte alors un peu mes bras me faisant me tordre de douleur et en même temps menfonce son gros pénis dans le cul et commence aussitôt à me limer malade, je hurle, je hurle de douleur, il me fais vraiment très mal mais plus je crie et plus il remonte les bras, je suis littéralement violé par un monstre pervers et sans le moindre scrupule.

Tout en continuant à me défoncer, il me dit,

B : Alors, on est satisfaite petite femelle. Jespère que tu en veux encore parce que tu nes pas près den avoir fini avec moi.

Il me défonce de plus en plus fort le cul, ma douleur anale commence bizarrement à se faire moins aigues. Et je me rencontre aussi que je nai pas non plus lirritation que javais avec mes doigts. Après quelques minutes très intense ou mes cris ont été presque continu mais de moins en moins aigu. Il se retire, relâche lemprise et me dit:

B : Alors, Toujours heureuse dêtre ma femelle!?

Me dit-il en riant. Je suis comme une loque, je narrive plus à me récupérer, je suis tout tremblant. Mon anus est brulant.

B : Regarde ce que tu a fais!! (Avec un état presque de colère)

Je me retourne et regardent je vois que sa belle queue a une peu de mes excréments au bout du gland

B : Lave moi ça, je ne tai pas fais nettoyer du vieux sperme pour le remplacer par ta merde !!!

Il me prend par les cheveux me pousse son pénis au fond de la bouche. Je le suce et craignant des représailles, je décide davaler tout.

En même temps que je suce, je le sens commencer à débander, je me dis que cest bientôt fini. Je le suce encore et fini par me retrouver avec une queue presque mole en bouche. Après un instant ou je le sens se relâcher.

B : Tu penses que cest fini hein!!

Là, il commence à uriner abondamment dans ma bouche. Il moblige à maintenir sa queue en bouche. Je suis obligé den avaler. Après un temps je commence à apprécier ça. Et recommence à gémir. Il force alors plus et me pisse presque directement dans la gorge, je finis par vomir et en mettre partout.

B : Bonne petite femelle, apprend ton métier comme il faut, bois ce que je te donne, je sais que tu aimes ça !!

Je mapplique encore plus. Malgré cela, ca continue à me couler sur le visage, le torse pour finir sur mes parties génitale, ça mexcite et commence à me caresser la queue est les couilles avec. Cest une fois de plus divin, je gémis une fois de plus, lui montrant que je suis toute à lui et que jen veux encore.

Il commence à rebander de plus belle.

B : Allez prend la position!!!

Je me replace sur le tronc mais cette fois, jécarte bien les jambes.

B : Ecarte bien tes fesses pour accueillir ton mâle.

Je tiens mes fesses bien écartées et attend quil vienne me prendre comme tout à lheure.

B : Supplie-moi femelle!!

M : Mmmm mon Maître, reprenez là où vous en étiez, je vous en supplie. Prenez moi, restez bien profondément en moi, jaime tellement ça.

Ça lexcite, il bande vraiment fort. Il se positionne et me repénètre dun coup jusquau fond. Là je me rends compte que ce nest que du plaisir.

M : Mmmmmouïï prenez moi comme ça, cest si bon. Baisez-moi.

Après être resté un long moment sans bouger au fond de mon cul

B : Tu es à moi maintenant, tu viendras satisfaire mes besoins, quelquils sont.

M : oui oui oui, je suis votre femelle, je suis entièrement à vous.

Là, il reprend sont va et vient comme la première fois et me donnant des coups de boutoirs. Je suis envahi de sensations, mélange de désirs, de soumissions totales et de besoin de me faire tringler.

Au bout dun moment dintense sodomie, il se retire et me prend par les cheveux. Il me remet face à lui et me fourre une fois de plus sa queue dans la bouche. Il me tient fermement la tête et commence à se branler frénétiquement dans ma bouche. Il me crache dessus et me dit:

B : Tu vas bien mériter.

Il retire sa queue et masperge copieusement le visage et la bouche en plusieurs longues fois de son sperme épais. Je le suce dès quil me laisse approcher suffisamment près jusquà se quil me retire à nouveau.

Il fini par se rhabiller et reprend le travail. Je reste là trempé de sa pisse, de ma salive et de son sperme. Je me sens violé, abusé et comme manipulé par un homme très pervers. Après un cours instant, je décide de ne pas me masturber et de reprendre moi aussi le travail.

Sur le chemin du retour, il mes demande de venir un quart dheure plus tôt le lendemain.

Une fois devant chez lui, il me dit à demain en madressant à peine un regard. Je monte dans ma voiture et men vais. Sur le chemin du retour vers chez moi, je me rends compte que jai vraiment été comme hypnotisé. Après quelques instants de hontes profondes, un désir de me masturber en repensant à la journée menvahi.

Une fois chez moi, je file dans la salle de bain et commence à me toucher comme une femme sensuelle, je respire ses odeurs et ça mexcite terriblement.

Je finis par éjaculer en plusieurs jets de plus dun mètre qui me font presque perdre léquilibre. Je suis comblé

La suite bientôt

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