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Initiation d'un jeune esclave – Chapitre 1

Elodie, piégée. - Chapitre 3



1. La rencontre

En plein mois daoût, Paris était désert, surtout dans le quartier où javais ma chambre. Jétais seul, ma Mère partie depuis près de 6 mois pour sinstaller à létranger sans plus se préoccuper de moi, mes deux Surs vacant à Leur vie, sans non plus se soucier de moi et de cet été où jétais si seul. Je navais jamais eu dami, nayant jamais eu lautorisation ni den avoir ni de faire quelque relation sociale que ce soit. Cétait la règle à la maison pour moi qui était né mâle, alors que mes Surs avaient droit à tout, je navais droit à rien. Honnêtement, cela ne me manquait pas, jai été élevé dans le culte de la Femme, dans son service, et cela me semblait complètement naturel. La négation de mon sexe mavait été si bien inculquée, que je faisais tout mon possible pour martyriser ce bout de chair entre mes jambes, ne trouvant jamais de pratiques assez sévères pour me punir davoir parfois loutrecuidance de devenir dur. Il est vrai que petit javais été sévèrement battu par ma Mère pour avoir touché avec plaisir mon zizi et cela avait laissé des traces. Plus tard mes Surs ne manquèrent jamais de mhumilier avec. Rien de sexuel ou dincestuel dans ces humiliations, juste la volonté de nier toute virilité chez moi. Tout en valorisant le culte de la Féminité, et mapprenant ce quétait une Femme et comment je devais la traiter.

Il faisait donc chaud, jétais tout habité denvies que je ne savais pas qualifier, étant bien entendu puceau. Lorsque je me faisais jouir, je me sentais affreusement coupable, et je mautopunissait très vivement après, souvent avant aussi. Ce matin-là, cétait un dimanche, et tout sentait lennui. Je métais réveillé le ventre couvert de mon sperme, sans doute un rêve érotique. Machinalement, je pris plusieurs élastiques pour ligaturer mes couilles, et un lacet noué très serré à la base de mon prépuce que je tirais fortement entre mes jambes, attachant le lacet à une ceinture que je refermais sur ma taille. Je décidais que ma punition durerait 12 heures, avec les couilles qui deviendraient bleues, et la douleur insoutenable, aussi bien sur elles que sur mon sexe écrasé, ou ma taille très serrée. De toute façon je navais rien dautre à faire.

Plus tard dans laprès-midi je descendis prendre un peu le soleil. En bas de limmeuble une Femme déchargeait Sa voiture, de retour de vacances sans aucun doute. Eduqué pour cela, je Lui proposais de laider à décharger. Elle me regarda un instant, et sans me remercier, mordonna de prendre les valises dans le coffre et de les monter au troisième étage. Jétais un peu impressionné, comme par toutes les Femmes. Mais Elle me parlait comme le faisaient mes Surs ou ma Mère. Leffort me crispa un peu, les souffrances infligées commençaient à faire leur effet et je me sentais faible. Je fis plusieurs allers et retours, remarquant que la Femme ne portait finalement rien, me laissant tout faire. Et mobservant. Je nosais pas moi la regarder. Elle devait avoir entre 30 et 40 ans, elle était sophistiquée, mince, elle me semblait affolante avec des talons, des bas noirs, et une poitrine que je jugeais grosse. A cette pensée le début dérection marracha un cri de douleur, souffrance que je trouvais bien méritée. Je nétais vraiment quun gros dégueulasse. Jétais bien content de Lui montrer mon dévouement en débarrassant toute sa voiture. Lorsque je redescendis, la voiture était vidée, Elle était au volant et se penchant vers moi, Elle me demanda de lattendre ici si je voulais bien continuer à laider. Tétanisé et ne pouvant pas répondre autre chose que Oui, jattendis donc quElle revint.

Il se passé près dune heure avant quElle ne tourne au coin de la rue. Je guettais rendu très nerveux par les souffrances cachées quendurait mon sexe, jen tremblais. LorsquElle fut tout près de moi, Elle me dit dun ton moqueur :

— Tiens je tavais oublié toi. Tu es toujours aussi obéissant et serviable ?

— Oui Madame, lui répondis-je sans oser croiser Ses yeux et en balbutiant.

— Viens avec moi.

Ce nétait pas une question aussi je la suivis jusquà Son appartement. Cétait un traditionnel Haussmannien parisien, avec une très grande réception lumineuse et superbe avec ses moulures et son parquet. Peu de décoration, peu de meuble, mais cela sentait largent et le chic. Jétais encore plus intimidé si possible, moi je navais quune chambre de bonne, avec les toilettes dans le couloir. Elle me fit masseoir sur un fauteuil, ce qui marracha un soupir de douleur lorsque jécrasais un peu plus mes attributs en masseyant. Elle ne dit rien mais mobserva.

— Va me chercher un verre de vin dans la cuisine. La bouteille est dans le frigidaire.

Sans hésiter et sans même y réfléchir jallais à la cuisine mexécuter. Javais été éduqué ainsi et les réflexes étaient totalement conditionnés. Je trouvais rapidement un verre et le Lui ramena gauchement, restant debout, ne sachant quoi faire, alors quElle était assise sur le canapé.

— Où as-tu mal ?

— Pardon Madame ?

— Oui tu sembles avoir mal, tu trembles de tous tes membres ? Ou alors est-ce de me voir ?

— Rouge pivoine je répondis que cétait sans doute de La voir, oui en effet, quElle était très belle.

— Bien, cest gentil cela, tu es un garçon très bien élevé. Quel âge as-tu ?

— 18 ans Madame. Je ne sais pas pourquoi je lui mentis, je voulais faire majeur.

— Où habites tu ?

— Au 7ème étage Madame, jai une chambre de bonne pour mes études.

— Et tu nes pas en vacances ?

— Non Madame, je suis tout seul à Paris, ma Mère est partie vivre à létranger et mes Surs sont chacune de leur côté.

— Et tu nas pas damis, ni dautres familles ?

— Non Madame

— Pauvre petite chose abandonnée, tu es pitoyable tu sais ?

— Je rougis mais ne répondis rien.

— Assieds-toi dans le fauteuil.

A nouveau je massis et la souffrance fut telle que je ne pu retenir une crispation, même si je savais quElle me scrutait.

— Debout ! Son ton était très autoritaire. Je frémis et me mis debout bien raide.

— Déshabille-toi.

Je ne bougeais pas, pétrifié de stupeur. Non seulement je ne métais jamais mis nu devant une autre personne que mes Sur et ma Mère, mais en plus ce que cachait mon pantalon était sans doute très déplacé. Le silence devint pesant, insupportable. Je luttais pour ne pas obéir, mais mon penchant naturel pris le dessus, sans même quElle nait besoin de répéter. Jenlevais ma chemise, mes chaussures, mes chaussettes, puis toujours dans un silence glacial mon pantalon. Jétais avec mon slip blanc, paraissant tout vide puisque mon sexe était retourné, une ceinture étranglant ma taille, avec un lacet qui lui était attaché, sortant de mon slip. Je devais être ridicule. Le silence me sembla encore plus pesant. Elle neut pas besoin de rajouter un mot, je compris que je devais enlever mon slip. Dans un état second, je le fis descendre le long de mes jambes.

— Eh bien quavons-nous là ? Un petit puceau minable qui samuse avec son sexe ? Cest cela ? Comme personne ne sintéresse à toi, tu tamuses tout seul ?

— Non, non Madame, non, je ne mamuse pas. Ce nest pas bien de samuser.

— Tu vas me dire que tu ne te caresses jamais ? Elle partit dun grand rire

— Je, je ne dois pas Madame. Et si cela marrive alors je me punis.

— Oh je vois et tu tes puni ainsi pour avoir joui ?

— Oui Madame,

— Depuis quand es-tu comme cela ?

— Ce matin 9h30 Madame.

— Mmmhhh pas mal, viens approche que je regarde cela.

Je mapprochais dElle, avec une douleur sourde montant en moi : mon sexe devenait tout dur, et tirait sur le lacet, tout en écrasant les couilles. Jessayais de penser à autre chose, en vain. Elle me fit tourner sur moi, puis mettre à 4 pattes pour voir ce que javais fait. LorsquElle vit mes couilles toutes sombres Elle pousse un petit cri de surprise. Elle approcha la main, les caressa doucement, suivant la peau tendue du bout de longle. La sensation était délicieuse, et mon sexe se raidit. Elle sen aperçut.

— Tu aimes cela petit pervers nest ce pas ?

— Oui Madame.

— Je tinterdis de prendre du plaisir tu mentends ?

— Oui Madame, mais ce nest pas de ma faute.

— Je ne veux pas entendre tes explications à la noix. Tu réponds par Oui ou par Non quand je te questionne, est ce que tu comprends cela ?

— Oui Madame

— Bien. Est-ce que tu veux bien que je te touche et que je fasse ce que je veux de toi ?

— Oui Madame

— Réfléchis bien, si tu dis Oui alors je ferais de toi tout ce que je veux disons jusquà la fin des vacances. Sinon tu montes comme cela dans ta chambre et tu nentends plus jamais parler de moi .

— Oui Madame

— Quoi Oui Madame ? Que veux-tu ?

— Je veux ce que Vous voulez Madame, tout ce que Vous voulez.

— Parfait dit-Elle avec un grand sourire. Je ne veux entendre aucun bruit. Elle prit mes couilles suppliciées et les serra progressivement entre ses doigts, enfonçant profondément Ses ongles. La douleur était à la fois vive et profonde, totalement insupportable. Je retins que je ne devais faire aucun bruit, mais les gémissements méchappaient. Cela semblait Lui plaire puisquElle continua longuement à jouer avec moi, riant de mon érection contrainte, mhumiliant de mots orduriers.

Me laissant quelques instants, Elle enleva rapidement ses chaussures, ses collants fins et sa culotte, pour se rasseoir sur le canapé, les fesses sur le bord. Mes yeux étaient brouillés de larmes et je ne comprenais pas ce quElle faisait. Elle attrapa mes cheveux et colla ma tête contre son sexe dégoulinant de chaleur mais pas que. Je ne connaissais rien aux Femmes, mais je compris ce que je devais faire et cest bien maladroitement que je me mis à la lécher. Bien trop bas à son goût, je croyais que cétait lentrée du vagin quil fallait caresser, aussi entreprit-Elle de se caresser Elle-même contre mon visage, en se frottant comme une damnée, avant de hurler dun orgasme qui La laissa épuisée sur le canapé. Jétais moi-même à bout de souffle nayant pas pu respirer pendant quElle utilisait mon visage.

— Viens ici. Jarrivais tout proche dElle.

— Redresse-toi, à genoux, les mains dans le dos. Je me tenais bien droit, le visage baissé.

Elle attrapa mes couilles et serra très fort, marrachant des gémissements continus.

— Jadore. Tu mexcites comme jamais. Je crois quà ton insu tu mas fait découvrir une grande chose.

Sa main quitta mes couilles et sans que je my attende Elle me donna plusieurs gifles monumentales.

— Ne bouge pas quand je te tape, ne bouge pas dun centimètre, tu as compris ?

Je me remis en position et les gifles continuèrent de pleuvoir. Je pleurais mais sans bouger, sans même tenter de me protéger, Elle ne le voulait pas. Javais mal, jétais anéanti, mais Elle continua, changeant parfois de main, cétait sans fin. Tandis que la main droit continuait de me gifler, la gauche recommença à torturer mes couilles puis mon sexe. Je la sentis devenir de plus en plus excitée, perdre le contrôle. Elle cessa de me gifler, mais pas denfoncer Ses ongles dans mes parties génitales, la main droite glissant entre Ses jambes, Elle fut prise de grand tremblements tandis quElle criait encore en écrasant mes couilles, je ne pus retenir un cri et un jet de larmes de douleur. Elle saffala à nouveau et cette fois-ci sendormit. Je ne savais que faire, jétais mal ainsi à genoux sur le parquet, mais je nosais pas bouger. Aussi je ne fis rien, juste concentré sur mes souffrances.

La lumière chaude du coucher de soleil remplissait limmense salon dune ambiance magique. Mes yeux étaient lourds, et je nen pouvais plus de souffrance. Je craignais par-dessus tout linstant denlever les élastiques autour de mes précieuses bourses, la brûlure serait sans doute intenable. Jen avais profité pour regarder longuement cette Femme qui mavait utilisé, et je dois lavouer, mavait donné un plaisir inouï malgré les souffrances endurées. Je sentais au fond de mon estomac comme un pavé dune intensité incroyable, un désir que je navais connu et une envie irrépressible de me jeter à Ses pieds et de lentendre mordonner. Elle était vraiment belle, même si dun grand classicisme avec Ses cheveux blonds et raide, Ses yeux bleus que je nosais pas croiser, et sa silhouette mince mais avec une poitrine très rebondie qui promettait sans doute bien des plaisirs, mais je minterdisais daller dans cette voie là.

LorsquElle émergea, Elle fit à peine attention à moi, et se dirigea vers larrière de lappartement. Je lentendis aller aux toilettes, puis prendre une douche qui dura longuement. Je nosais toujours pas bouger. Elle revint doucement et souplement comme une chatte, enveloppée dans un peignoir coton léger. Ses cheveux mouillés rendaient son visage plus dur que ce que javais dabord aperçu, mais là encore je nosais la détailler du regard, désireux pourtant dy passer de longues heures. Elle alluma la lumière, mit un peu de musique, puis vint se remettre dans le canapé juste à mes côtés. Je sentais son regard sur moi, je nosais même plus respirer.

— Approche. Je me dandinais sur mes genoux endoloris pour me rapprocher dElle à la toucher. Je sentis sa main sur mon torse, remonter sur mon cou, allait-Elle me regifler ? Javais encore très mal au visage, et pourtant je sentis cette boule au fond de lestomac et cette envie. Cest à cet instant quElle me demanda ce que je désirais.

— Que Vous me gifliez Madame. Je navais pu retenir la réponse, stupide bien entendu. Ce nétait pas cela que je désirais le plus, mais embrasser Ses pieds, me prosterner devant Elle et ne plus penser quà Elle.

La gifle parti très vite, très fort, me faisant basculer. Je me remettais aussitôt en position, et spontanément je la remerciais. Ny tenant plus, je me courbais et me permis dembrasser ses pieds nus. Jattendais quElle me dise quelque chose, mais rien ne vint, aussi je menhardis, embrassant avec une dévotion toute neuve ces pieds qui soffraient à moi, les embrassant, les léchant, les massant, lun après lautre. Cela dura un temps infini, je nétais plus quune bouche et cela me convenait parfaitement. Jusquà ce quElle se lasse, et me le fasse savoir par un coup pied assez fort dans le visage : je repris rapidement ma position à genoux, les mains dans le dos.

— Pourquoi avoir embrassé mes pieds me demanda-t-Elle ? Elle semblait surprise de mon attitude, mais létait sans doute bien moins que moi.

— Je ne sais pas Madame. Javais envie de Vous exprimer comme je Vous trouve sublime, et envie de ramper devant Vous.

— Pourquoi ramper ?

— Parce que je suis indigne de Vous, Vous êtes sublime, une Femme superbe et supérieure

— Supérieure ?

— Je, je crois oui, enfin comme ce que ma Mère me dit, une Femme qui vit sa vie et décide de tout et utilise les hommes pour ce quils peuvent Lui apporter, pas grand-chose dit-elle toujours.

— Et toi tu as envie que je tutilise ?

— Ce serait merveilleux.

— Tu te souviens de ce que je tai dit tout à lheure ?

— Je, je ne sais pas Madame, à propos de quoi ?

— Il faut que tu fasses attention quand je dis quelque chose. Je tai dit que si tu restais tu étais pour moi jusquà la fin de tes vacances.

— Oui Madame, jusquà la fin de la vie si Vous le désirez. Je nai pas dautre vu plus cher.

— Voyons jusquà la fin de tes vacances. Tu es prêt à quoi ?

— Euh, prêt pour quoi Madame ?

— Eh bien ques tu prêt à faire pour moi ?

— Je, je ne sais pas Madame, tout ce que Vous voudrez ?

— Tout, vraiment tout ?

— Oh Oui Madame.

— Tu feras mon repassage si je te le demande ?

— Oui avec bonheur Madame ?

— Mes courses, ma cuisine, mon ménage ?

— Oui Madame, bien sur

— Tu es prêt à ce que je torture ton corps comme je lai fait de tes couilles, voir plus encore ?

— Oui Madame, je suis prêt à tout. Je serais Votre poubelle ou Votre wc si Vous le désirez.

— Mon wc ? Que veux-tu dire ?

— Je, je ne sais pas Madame, cela mest sorti ainsi.

— Obéis, je ne veux pas de suggestion de ta part, est ce que je suis claire ?

— Oui Madame.

— Comme tu as oublié ce que je tavais dit et que tu mas contrariée avec ton histoire de wc, je vais te punir, une punition pour lexemple. Je ne veux jamais avoir à te punir, est ce que cest clair ?

— Oui Madame, je suis vraiment désolé, je ferais toujours de mon mieux.

— Relève-toi, et va tallonger sur la table à déjeuner, jambes bien écartées. Avant donne-moi la ceinture de ton pantalon. Si tu bouges je recommande jusquà ce que tu reçoives 50 coups sans bouger.

Je fis comme Elle me lavait demandé, bien entendu. Cela faisait longtemps que je navais plus été battu, et 50 coups me semblaient énormes. Je pensais quElle ne se rendait pas compte et cétait en fait bien le cas. Les premiers coups furent hésitants voire franchement ratés, matteignant le bas du dos, les cuisses, voir me ratant totalement. Puis Elle prit la mesure, tapant avec toute la longueur de la ceinture ce qui était vraiment difficile. Et atrocement douloureux. Ayant ratés de nombreux coups, Elle eut à cur de me faire bouger pour recommencer le décompte. Le fit Elle exprès ? Un coup matteignit sur le prépuce et les couilles et je me retrouvais agonisant à terre. Sans pitié Elle me fit remettre sur la table et recommença à 0 le décompte. Au bout de 10, mes fesses étaient atrocement en feu, mais Elle nen avait cure. Au bout de 20 je cru que jallais mourir et que je ne tiendrai pas. Au lieu de se fatiguer, Elle prit plus dassurance et frappa encore plus fort descendant parfois sur les cuisses. Javais perdu le décompte et le contrôle, dans un état nouveau, jétais comme ivre. Mais surtout je sentais un amour fou me remplir les entrailles, une dévotion nouvelle dans cette Femme que je trouvais fabuleuse.

Lorsque les coups sarrêtèrent, je tombais à genoux à Ses pieds et me prosternait devant Elle dans un état de démence sans doute bien avancé. Elle était nue, en sueur, son sexe était si proche de mon visage. Japprochais timidement près de ce trésor tandis quElle magrippa le visage et vint se frotter rudement contre moi, à la recherche dun nouvel orgasme. La force avec laquelle Elle me plaquait était incroyable et heureusement Elle jouit vite. Mon visage était recouvert de son désir et jétais dans un état de bonheur incroyable et inconnu. Elle seffondra sur le canapé, je lentendis juste murmurer « Mon Dieu, Mon Dieu, je vais mourir ». Je dus me rapprocher dElle et tournant mes fesses vers Ses mains, je sentis Ses ongles senfoncer durement dans mes fesses martyrisées et dans mes couilles déjà brulées. Je sentais Son plaisir à me torturer ainsi, mon plaisir à moi nétait pas en reste malgré lindicible douleur quElle me provoquait. Jaurais tout donné pour pouvoir jouir à cet instant, mais je nen avais tout simplement pas la capacité.

— Que vais-je faire de toi ? Elle me regardait intensément.

— Ce que Vous désirez. Je ne pouvais avoir dautre réponse.

— Mets toi debout. Je lui obéis

— Défais ta ceinture. Avec soulagement je lenlevais, tandis quune large marque violacée faisait le tour de mon ventre. Détendu mon sexe revint prendre sa place, et à ma grande honte durcir.

— Elle attrapa le lacet qui était très serré à la base du prépuce et tira dessus dun coup très sec marrachant un cri. Tu as une très jolie laisse ici, il faudra que je trouve quelque chose de plus esthétique. Il test interdit de bander, et surtout déjaculer, tu mentends ?

— Oui Madame, je ne dois pas bander ni éjaculer Madame

— Ton sexe est à moi, cest mon jouet, tu ne dois même plus le toucher.

— Bien Madame.

— Maintenant défais tes élastiques pour les couilles.

— Bien Madame, puis je masseoir pour cela ?

— Oui tu peux.

Je me mis à terre, les fesses étaient très douloureuses, mais je navais pas le choix. Je savais que la douleur que jallais subir était dix fois pire. Jattrapais un élastique et le fit passer pour dénouer un tour. Un éclair de feu brula ma peau là où lélastique serrait. Cela fut la même chose avec chacun, et il me fallut bien 10 minutes pour arriver à les enlever. Je les massais doucement pour rétablir la circulation, et surtout pour faire passer un peu la brulure. Mon sexe sétait recroquevillé sous la souffrance. Je me remis à genoux, les mains dans le dos, mais soulagé dune terrible contrainte. Je me sentais euphorique.

— Quas-tu prévu pour les 3 semaines qui viennent ?

— Rien Madame

— Rien du tout ?

— Non Madame.

— Bien, tu grimpes dans ta chambre pourrie, tu as interdiction den sortir pour quelque prétexte que ce soit.

— Oui Madame, même pour les wc ?

— Pourquoi tu nas rien dans ta chambre ?

— Juste un lavabo Madame.

— Cela suffira. Interdiction de sortir, mais aussi de manger quoi que ce soit. Tu mentends ?

— Oui Madame.

— Toutes les 45 minutes je veux un sms de toi. Même la nuit, tu te débrouilles, je veux que tu mécrives que tu penses à moi, je veux que tu te remplisses de moi, est ce que tu comprends ? Est-ce que tu sauras ?

— Oui Madame, oh Oui Madame.

— Bien je viendrais te chercher ou tenverrai un message, demain, après-demain ou un autre jour. Tu attends jusquà ce que je te sonne daccord ?

— Oui Madame

— Interdiction de parler ou déchanger avec qui qui ce soit, douvrir ta porte ou autre.

— Bien Madame.

— Lorsque tu nes pas couché, tu restes à genoux, il faut que tu thabitues, et pas de jeux avec ton sexe.

— Oui Madame.

— Rhabille toi, ramasse tes affaires et ton matériel de petite pédale et disparaît de ma vue.

Chancelant, je me retrouvais dans ma chambre, enfermé dans ces 8 m2 en attendant quElle veuille mutiliser.

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