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J'ai couché avec ma meilleure amie ! – Chapitre 1

J'ai couché avec ma meilleure amie ! - Chapitre 1



J’ai couché avec ma meilleure amie ! Ça s’est passé fin juillet, dans une tente, sur le camping d’un festival, quelque part dans l’Ouest de la France … Ce n’est pas que c’était quelque chose que j’attendais ou que je cherchais à faire depuis longtemps. Mais quand c’est arrivé, c’est arrivé, et c’est un bel euphémisme que de dire … que c’était loin d’être désagréable ! Ce n’est qu’après que ça l’a moins été …

La rencontre

J’ai rencontré Laetitia dans une soirée, en 2002, grâce à une de mes cousines qui faisait ses études avec. A l’époque, nous avions tous les deux dix-neuf ans. A cet âge-là, j’étais trop gros, mal habillé et encore sans expérience. Elle était tout l’inverse : petite, fluette, incroyablement jolie et toujours très coquette.

Bien que très fan d’électro, Laetitia s’habillait plutôt rock : perfectos noirs, rouges ou roses, courtes jupes serrées ou pantalons en cuir, cuissardes ou bottines à talons, collants résille et bijoux tape-à-l’il … Elle teintait parfois ses beaux cheveux bouclés en noir corbeau, d’autres fois en bleu ou en violet. Dans son style, elle était très belle et il y avait toujours un grand méchant loup affamé pour roder autour de son adorable petit cul. Certains croyaient que nous étions en couple, mais la plupart savaient que non et devaient se douter des idées qui me traversaient parfois la tête. Avec le recul, je suis d’ailleurs certain qu’on s’est souvent moqué de moi …

Malgré son jeune âge, Laetitia avait déjà eu un grand nombre de partenaires. Combien ? Je ne l’ai jamais su …

Plusieurs dizaines sans doute. Son père étant aux abonnés absents et sa mère aussi douce qu’un char panzer, elle souffrait d’un manque d’affection abyssal qu’elle compensait en se donnant assez facilement à quiconque s’intéressait à elle. Et ils étaient nombreux à soudainement s’inquiéter de son bien-être quand elle faisait son apparition dans une soirée toute minijupée, avec des collants sexy et des grandes bottes en cuir ! Et il y avait aussi toutes ces fêtes extrêmes auxquelles elle avait l’habitude de participer. Elle buvait, prenait des cachets et montait dans des voitures pleines de mecs qui l’emmenaient on ne sait où. Elle aurait pu se faire violer mille fois et reconnaissait volontiers qu’elle avait eu une chance incroyable …

Pourtant, elle s’était réveillée plus d’une fois dans les bras d’un inconnu. Il lui était même arrivé, m’avait-elle un jour confié, de refaire surface dans un grand lit, nue, entre deux garçons plus vieux qu’elle ne connaissait pas …

Et si tu crois qu’ils s’étaient protégés … Non, rien à foutre ! Et ils m’avaient fait mal en plus. Avait-elle ajouté, l’air furieuse.

Bouleversé, je n’avais pas pu m’empêcher de lui dire ce que je pensais de son histoire, et ce, au risque de la blesser plus encore :

Mais si tu n’étais pas consciente, ce qu’ils t’ont fait, ça s’appelle du viol !

Je ne sais pas … Mes copines m’ont toujours dit que quand je suis dans ces états-là ça ne se voit pas trop, et que je suis aussi très très … chaude. J’ai très bien pu « sortir » avec eux, les câliner, les allumer, leur … leur faire des trucs à ce moment-là de son récit, elle était écarlate et ne pas m’en rappeler. C’est dur de savoir. Et ils avaient pris des trucs eux aussi, dont des extas … Par contre oui, ils auraient pu penser à mettre une … un préservatif, et être un peu plus délicats.

Tu ne m’enlèveras pas de l’idée que ce sont des salauds !

C’est la même chose pour tellement de mecs. Avait-elle soupiré.

Je me suis toujours demandé où ces ordures avaient bien pu lui faire mal. En d’autres termes, s’étaient-ils contenté d’un rapport ordinaire mais brutal ou l’avaient-ils en plus sodomisée ?

Je n’ai jamais compris pourquoi Laetitia s’est prise d’affection pour moi, surtout au point de se confier à moi et de me raconter de tels secrets. Trop peu sûr de moi, inoffensif et très doux, j’étais sans doute le meilleur ami idéal. Celui dont on sait qu’il ne risque pas de s’enhardir au point de finir par stupidement tenter sa chance …

Durant plusieurs années, j’ai éprouvé pour elle des sentiments contrastés, un mélange d’immense tendresse et de désir charnel. Sa fragilité m’attendrissait, mais elle m’attirait aussi beaucoup. Je l’avais couchée plus d’une fois dans des états seconds, profitant de son état pour déposer sur ses lèvres délicates des baisers furtifs d’amoureux transi. Je lui avais aussi parfois emprunté quelques-unes de ses petites culottes, pour me donner du plaisir. Les sales, je les utilisais mort de honte, pour sentir l’odeur de ses parties intimes, les propres, pour le plaisir de laisser mon imagination vagabonder : à quoi pouvait-elle bien ressembler, seulement vêtue de ce petit slip noir quasiment transparent ? … Comment aurait-elle réagi si elle m’avait surpris en train d’explorer ses tiroirs ? Colère ? Tristesse ? Déception ? Elle aurait sûrement été très peinée, ce que je peux comprendre …

Perdus de vue

Puis je suis parti étudier à l’autre bout de la France. Là-bas, miracle : j’ai rencontré une fille avec laquelle, quinze ans plus tard, je suis toujours en couple. Après quelques moments difficiles, Laetitia s’est assagie, elle a fréquenté un guitariste espagnol pendant cinq ans, puis un photo-reporter qui lui a fait un gosse et avec qui elle est aujourd’hui mariée. Malgré des contacts réguliers mais forcément peu satisfaisants – via les réseaux sociaux, nous nous sommes éloignés l’un de l’autre avant de nous retrouver voilà bientôt six ans, quand je suis revenu habiter dans les alentours de la grande ville où nous nous sommes connus et où elle s’est installée.

Le courant est bien passé avec son mec. Il est très peu possessif et souvent en déplacement. Quand il est chez lui et que je rends visite à son épouse, il m’accueille toujours cordialement, mais il nous laisse vivre notre vie et évite d’interférer dans notre relation. Laetitia a parfois des doutes quant à l’amour qu’il lui porte. Elle pense qu’il ne la désire plus.

Pourtant, je fais tout pour ça. M’a-t-elle un jour avoué, un brin désespérée.

Je n’ai jamais osé lui demander ce qu’elle entendait par « tout faire pour ça » …

A bientôt quarante ans, Laetitia doute d’elle, de ses pattes d’oie, de ses rides, de sa peau qui n’a plus la perfection d’autrefois. C’est idiot : personnellement, je la trouve toujours aussi belle. Bien plus, en tout cas, que ma propre compagne … Elle est restée mince, bien faite. Les années n’ont pas altéré la beauté de ses petites fesses étroites. Ses cheveux ont retrouvé leur éclat naturel et elle a toujours sa voix charmante, son sourire adorable et ses beaux yeux clairs qui ont fait fondre tant de curs.

C’est plutôt de mon côté que des changements spectaculaires ont eu lieu. Mon amie m’a mis au sport, m’a appris à m’habiller et à me mettre en valeur. J’ai perdu dix kilos, je porte des vêtements à la mode et on me donne systématiquement cinq ans de moins. J’ai bien plus de succès qu’autrefois. Je vous raconterai peut-être un jour comment j’ai rendu folle une de mes collègues …

Laetitia ne boit plus et en dehors de l’herbe, ne touche à la drogue que très épisodiquement. Je dois lui rappeler le passé car mes visites et nos sorties coïncident souvent avec ces moments exceptionnels au cours desquels elle renoue avec ses vieux démons.

Quand elle est ivre, elle finit facilement dans mes bras, ce qui ne se passait pratiquement jamais lorsque nous étions plus jeunes. Avec le temps, ces petits câlins sont devenus plus tendres, plus prolongés. Nous nous sommes laissés aller à nous caresser les cheveux, le dos, le cou. L’hiver dernier, à la sortie d’un bar, nous nous sommes couverts de bisous dans le froid et la nuit. Très atteint, j’ai osé l’embrasser sur la bouche. Elle n’a pas réagi, j’ai recommencé, plus tendrement encore. Puis elle a rigolé :

Allez, on y va, il fait super froid !

Le lendemain, c’était oublié. Je n’ai jamais eu l’intention de faire d’elle ma maîtresse, ni elle de détruire sa famille. Je me suis tout de même demandé si ces moments de grande tendresse n’allaient pas finir par se transformer en étreintes plus intimes. Nous avions commencé avec des tapes dans le dos, nous en étions à nous bisouter sur la bouche … La prochaine fois quoi d’autre ?

Cet été

La prochaine fois, elle vient d’avoir lieu … Je n’avais pas revu Laetitia depuis ces deux baisers, mais j’avais souvent pensé à elle et à notre relation et plus d’une fois, je m’étais délicieusement masturbé en essayant d’imaginer la façon dont nous ferions l’amour, si l’occasion se présentait.

L’été, les vacances, les festivals … Elle avait confié son fils à son oncle et à sa tante, son mari était aux Etats-Unis, pour un reportage, ma compagne, elle, avec notre petite fille, en vacances dans le sud, chez sa sur. J’étais donc allé faire la fête avec Laetitia et quelques amis.

Le deuxième et dernier soir, nous nous sommes retrouvés tous les deux dans une des tentes, bien bourrés, à rigoler comme des idiots. Elle cherchait partout son téléphone et m’avait demandé de l’aider. Ce soir-là, elle portait un blouson léger, ouvert sur un débardeur noir sexy, une jupe en jean très courte et des chaussures en cuir à talons. Les ongles de ses pieds étaient peints en rouge, ses cheveux courts teintés en noir. Dans cette tenue, elle ne me laissait pas indifférent et pendant les concerts, j’ai aussi surpris plus d’un garçon à la regarder du coin de l’il. Certains d’entre eux semblaient très jeunes, ce qui était flatteur pour elle, même si elle ne s’était visiblement pas rendue qu’on la reluquait des pieds à la tête, en s’attardant longtemps sur ses fesses et ses cuisses.

Dans la tente, elle m’excitait encore plus. Occupée à fouiller, elle se retrouvait tantôt assise en tailleur, les cuisses grandes écartées, tantôt à quatre pattes, ses petites fesses de rêve bien cambrées. Plutôt qu’à chercher, j’avais passé le plus clair de mon temps à regarder ses jolies jambes et sa belle petite culotte noire. De face, le spectacle n’était pas non plus désagréable : son débardeur léger ne cachait en effet pas grand-chose de ses petites mamelles …

Après avoir retrouvé son portable, nous avons commencé à nous dire des choses gentilles et à nous câliner. J’en ai profité pour caresser ses bras et son dos, très tendrement, parce que je sais qu’elle adore ça. A un moment elle m’a envoyé une rafale de petits bisous, sur la joue, tout près des lèvres. J’ai fini par l’embrasser sur la bouche. Un bisou très tendre, sans la langue, puis un autre, plus prolongé. Pas de réaction … Alors j’ai continué à l’embrasser, partout sur le visage, et plus doucement. Elle restait là, la bouche légèrement entrouverte, les yeux fermés. Je l’ai à nouveau embrassée sur les lèvres.

hé bien, a-t-elle sobrement commenté.

J’ai cru qu’elle allait se mettre à rire pour ne pas me laisser franchir cette limite qu’il y avait toujours eu entre nous, mais je l’ai sentie s’abandonner et je l’ai à nouveau embrassée, plus longuement, en lui caressant la nuque, les flancs, les cuisses. Je posais mes lèvres sur les siennes, puis sur ses joues et dans son cou, avant de revenir à sa bouche humide. Et enfin, elle m’a rendu mes baisers, en glissant ses mains sous mon tee-shirt, pour me caresser la poitrine, les côtes et le dos. Conquis, je l’ai allongée délicatement sur son duvet, je me suis penché sur elle et j’ai continué à l’embrasser et à la dorloter.

Autour de nous le vacarme …

Des gamins qui braillaient, un chien qui aboyait, des rires, de la musique. Au loin, le dernier groupe en était à la moitié de sa prestation. Pourtant, nous étions seuls au monde, dans la semi-obscurité de la petite canadienne. Je n’entendais plus que son souffle et le bruit de nos baisers. J’ai mis ma main sous son débardeur, puis entre ses cuisses. Sa peau s’est recouverte de petits boutons de chaleur. A aucun moment elle n’est sortie de la transe amoureuse dans laquelle nous étions plongés. Nous nous sommes dits plusieurs fois « je t’aime ». Je l’ai caressée non loin du triangle de son slip, là où la peau est la plus fine, la plus douce, afin de lui envoyer des frissons jusque dans son intimité. Quand j’ai posé le bout de mes doigts sur sa culotte, j’ai eu le plaisir de constater qu’elle était très humide. Au lieu de m’empêcher, elle a écarté les jambes et basculé la tête en arrière pour offrir son sexe à mes caresses et sa gorge à mes baisers désormais voraces.

Elle s’est mise à respirer bruyamment. Peu après, je lui ai retiré son slip, en tirant dessus d’une seule main et en l’arrachant presque. Elle a serré les cuisses pour m’aider à le faire glisser jusqu’à ses genoux, puis jusqu’à ses fines chevilles où il s’est accroché dans les lanières en cuir de ses chaussures, qu’elle n’avait pas ôté. Enfin, je l’ai complètement enlevée. Elle a ouvert le bouton de mon short et baissé ma braguette.

Laetitia s’est allongée sur le dos, offerte. Je me suis couché sur elle, elle a écarté ses jambes et remonté sa minijupe, j’ai pressé le bout de ma verge contre sa fente. Nous nous sommes embrassés à pleine bouche, en nous caressant partout. J’ai senti le bout de mon gland glisser en elle, et c’est alors qu’elle a ouvert les yeux, l’air terriblement lucide.

Attends, je dois avoir ce qu’il faut dans mon sac.

Elle s’est redressée sur ses coudes et a fouillé dans ses affaires. J’en ai profité pour admirer son pubis soigneusement épilé. Elle n’avait conservé qu’une fine bande de poils taillés très courts.

Laetitia, je … Tu en as vraiment envie ?

Je savais qu’en disant cela je risquais de tout interrompre, mais je ne voulais pas qu’au réveil elle se demande horrifiée ce que je foutais là, tout nu à côté d’elle. En guise de réponse, elle a déchiré avec les dents l’emballage d’un préservatif.

Tiens, mets-le …

Elle a attrapé mon sexe déjà très dur et l’a branlé doucement, puis elle m’a décalotté et aidé à enfiler la protection. On voyait bien qu’elle avait l’habitude.

Tu ne couches qu’avec Marie ?

Oui, et elle aussi, j’en suis certain. Ai-je murmuré dans le creux de son oreille, très ému de sentir ses doigts courir sur ma verge et mes couilles.

Moi, je ne suis pas sûre de Pierre à 100 %, alors …

Enfin prêt, je me suis allongé sur elle et j’ai commencé à m’introduire en elle.

Laetitia, ça faisait si longtemps que …

Chut, a-t-elle soufflé, tu vas dire des bêtises.

J’ai poussé. Mon pénis s’est enfoncé jusqu’à la moitié. Elle s’est agrippée au col de mon polo et à mes cheveux. Elle a fermé les yeux et j’ai commencé à la baiser, très excité et encore plus troublé.

J’y suis allé assez fort dès le début, frénétiquement et un peu maladroitement. Parfois, nos baisers étaient si fougueux que nos dents s’entrechoquaient.

Oh oui Laetitia ! Oh je t’aime !

Oui, encore, continue !

Oh ma chérie !

Elle était très étroite, moins mouillée que je ne l’eus cru.

A un moment, des gosses qui passaient près de la tente ont rigolé :

Hé bah, ils s’amusent bien là-dedans ! A gloussé l’un d’entre eux.

Laetitia gémissait, soufflait, elle s’accrochait à moi comme un petit singe effrayé à sa mère. Mes résistances commençaient à faiblir, mais il était hors de question de jouir sans d’abord graver dans mon esprit quelques images explicites de ce moment extraordinaire. Alors j’ai poussé sur mes bras, pour me redresser, de façon à pouvoir admirer le spectacle de mon sexe aller et venir dans sa fente rasée.

Tu veux t’asseoir ? Ai-je proposé, hors d’haleine et sur le point d’éjaculer.

Non, continue, c’est bon comme ça !

Ses paupières étaient gonflées, ses beaux yeux presque révulsés. J’ai recommencé à lui faire l’amour de toutes mes forces, en espérant réussir à la faire jouir.

Han Han ! Oh oui ! S’est moquée une petite conne qui passait devant la tente.

Etions-nous si bruyants ? Quoiqu’il en soit, Laetitia était terriblement désirable. Elle respirait bruyamment, poussait de temps à autre d’adorables petits gémissements. Elle avait écarté la jambes à 180° pour me faciliter la tâche de mieux la pénétrer profondément. En penchant la tête sur le côté, je pouvais voir la raie de ses fesses et son petit plissé. L’idée d’y enfoncer ma queue m’a subrepticement traversé l’esprit.

Je suis bonne ? m’a-t-elle soudainement demandé, en plein délire érotique.

J’ai calé ses épaules en appuyant mes mains derrière celles-ci et j’ai encore accéléré, en dépit de la sueur qui ruisselait dans mon dos.

Tu es super bonne !

Elle a souri et m’a tendrement caressé le visage.

Toi aussi, oh, tu es très bien !

Tu sens comme tu m’excites ?

Oui, elle est très grosse, très dure ! Je te fais bien bander on dirait !

A fond !

Sentant mes bras s’ankyloser, je me suis couché sur elle, sans m’arrêter pour autant. Elle a lancé ses jambes autour de mes hanches, j’ai senti les boucles de ses chaussures griffer la peau de mon dos, et c’est alors qu’elle s’est contractée et qu’elle a eu un orgasme interminable, terrible, si long que j’ai eu tout le temps de me laisser aller et de jouir moi aussi.

Après l’amour, je lui ai dit « je t’aime » pour la énième fois, mais elle a regardé ailleurs. Elle s’est assise, elle a réajusté sa jupe, essuyé sa fente avec sa petite culotte et pris un autre slip dans ses affaires, un adorable petit string blanc en dentelles que j’avais déjà repéré sur le fil à linge, lors d’une de mes précédentes visites. Bien que soulagé, je l’ai regardée l’enfiler avec beaucoup d’intérêt … Comme l’autre, il s’est d’abord pris dans ses chaussures, puis elle l’a fait glisser jusqu’en haut de ses cuisses fuselées. Ensuite, elle a posé sa main sur ma poitrine :

Rhabille-toi, les autres vont arriver.

Et elle est sortie, sans autre geste de tendresse.

De tout le reste de la soirée, elle a fait comme si de rien n’était. Pire, elle m’a quasiment snobé, ne se préoccupant plus que des autres. Enfin, vers trois heures, elle a proposé à la copine qui partageait sa tente d’aller se coucher. Et elle s’est engouffrée dans la tente où nous nous étions aimés, précédée de son amie, en me laissant là, malade d’amour et à nouveau fou de désir pour elle …

Le lendemain matin, elle se leva d’humeur maussade et dans la même tenue que la veille. Malgré ses cheveux en bataille et son air chiffonné, je la trouvai terriblement bandante. Sa jupe était si courte que dès qu’elle s’asseyait, on voyait le blanc de son tout petit slip. Si elle m’avait laissé faire, j’aurais aimé lui mordiller les orteils, promener ma bouche sur ses mollets, puis à l’intérieur de ses cuisses, pour finir par lui lécher le sexe, d’abord à travers sa culotte, puis directement à la source, pour pouvoir boire tout son jus. J’avais vraiment très envie d’elle, de la pousser sur la banquette arrière d’une de nos voitures et de la piner durement, sans autre forme de procès, la porte à peine fermée ! On aurait vu si elle allait continuer à faire la gueule, ma petite pote ! Et si oui : levrette, pour ne plus voir sa moue boudeuse ! Quel dommage, en tout cas, de gâcher ainsi une érection matinale telle que celle qui déformait mon short …

Puis, très vite, Laetitia a réalisé qu’il faisait frais. Elle est retournée dans sa tente pour passer un pull et un pantalon. Au moment où elle est entrée, à quatre pattes, je n’en ai pas perdu une miette.

Ce n’est qu’au moment de nous séparer qu’elle m’a adressé la parole, aussi gentiment que d’habitude.

Fais attention à toi en rentrant, sois prudent, et appelle-moi quand tu es chez toi.

La douceur de ses paroles, de sa voix et de ses lèvres chaudes sur mes joues me firent l’effet d’un baume au cur après les heures très dures qu’elle venait de me faire vivre. Pour autant, je n’osai pas faire la moindre allusion à ce qui s’était passé dans la nuit.

A suivre ? L’avenir le dira …

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