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Je découvre que ma collègue PEGGY est une salope – Chapitre 2

Je découvre que ma collègue PEGGY est une salope - Chapitre 2



On est le samedi matin, de bonne heure, je me réveille et j’ai du mal à réaliser ce qu’il m’arrive. Ma jeune collègue est à mes côtés, et elle dort, toute nue. Je me remémore notre soirée très chaude, avec plusieurs partenaires pour elle, et je me demande comment j’ai pu l’embarquer dans ce traquenard. Elle était visiblement satisfaite avant de s’endormir, mais j’ai peur qu’elle ne se ressaisisse ce matin, peur de sa réaction.

Elle se réveille enfin, se retourne et vient se blottir contre moi. Elle me fait une bise et me voilà rassuré:

— Tu veux toujours que je reste pour le weekend?

— Bien sûr ma chérie. Tu me soulages, je me suis conduis comme un salaud et j’ai eu peur que tu ne sois fâchée.

— Ne dis pas de bêtises, c’était très bien, et tu es un bon amant.

— Merci, tu es très bien toi aussi; tu veux faire l’amour?

— Non, pas maintenant, plus tard.

Elle m’explique qu’elle n’est pas du matin, qu’il lui faut du temps pour émerger, qu’elle ne peut rien faire tant qu’elle n’a pas pris son petit déjeuner. On reste couché, sans rien faire, et on discute. On se lève, on déjeune, et elle me demande de l’emmener chez elle pour prendre des affaires de toilette et de quoi se changer.

On est en route et à propos de change je repense à un pantalon rouge qu’elle ne met plus depuis longtemps et qui lui faisait un cul magnifique. Elle l’a toujours mais ne rentre plus dedans, et je lui demande de le prendre quand même. Je l’attends prêt de chez elle et elle me rejoint avec un sac de sport, tout ça pour ne pas alerter des voisins éventuellement trop curieux.

De retour chez moi je lui demande d’essayer son pantalon qui m’a tant fait rêver. Elle enlève l’autre, se tient face à moi, et essaie de l’enfiler. Ca coince aux hanches, elle se tortille, se trémousse, rentre son ventre qu’elle n’a pourtant pas gros, et finit par le mettre avec un dernier effort pour le boutonner. Elle se retourne et me laisse la regarder. Je la mâte, sublime dans ce froc qui lui colle comme une deuxième peau. Je la fais marcher quelques pas en avant, en se déhanchant comme les mannequins, puis faire un marche arrière jusqu’à ce que mes mains se posent sur ses miches:

— Ce cul! Ce cul que ça te fait ma chérie, je n’ai jamais rien vu d’aussi beau. Tu ne peux pas savoir tout ce que tu m’as fait bander avec ce pantalon, le nombre de queues que je me suis tapées.

— Tu te branlais au boulot?

— Oui et plusieurs fois par jour, je me faisais jouir trois ou quatre fois dans la journée.

— Et tout ça juste pour mon cul!

— Oui, mais pas que, je pensais aussi à ta chatte, ta bouche, et à des choses bien cochonnes.

— Hum, tu m’intéresses, raconte.

— Non, je n’ose pas, je ne suis pas sûr que ça te plaise.

— Ah non, tu en as trop dit. Vas-y je t’écoute avec attention.

Je lui raconte alors mes masturbations aux toilettes, comment je l’imaginais se branler avec moi, et toutes les choses que l’on se faisait. Elle aime se masturber elle aussi, c’est son passe temps favori quand son mec n’est pas là, et elle me propose que l’on reconstitue mes séances à part une chose hors norme que l’on ne fera pas.

Elle enlève le bas, pantalon et string, et on va aux WC. Je la fais mettre dans l’angle du fonds, et elle relève une jambe pour poser son pied sur le réservoir et avoir les cuisses bien ouvertes. Je baisse mon froc et mon slip aux chevilles, je relève la lunette, et je m’assois sur la cuvette, à contre sens, face au mur, face à elle. Je me branle et je l’admire se caresser:

— Oui, c’est bon, branle toi salope, fais toi jouir. Hum, c’est bon le bruit de tes doigts dans ton jus, suce les, goûte ta mouille.

Elle m’obéit, savoure sa liqueur, et je profite de sa chate libre pour fourrer ma gueule entre ses cuisses. Je la dévore comme un morfal, m’empiffre, me gave de son huître nourricière. Je me détache, m’astique de plus belle, tandis qu’elle reprend son exercice solitaire:

— Tu es trop belle, c’est bon ta mouille, mais je veux plus encore. Pisse, pisse salope, donne moi ton urine, j’ai soif de toi.

C’est la partie interdite de mon fantasme, et on ne fera que simuler. Elle fait semblant de pisser, et moi de la recevoir avec des bruits de bouche bruyants. J’engloutis tout ce qu’elle me donne, pour de faux, puis elle se retourne pour me présenter son sublime cul. Je prends ses fesses à pleines mains, les écarte, et enfouis ma gueule dans son sillon. Je lèche sa raie, taquine son illet, tente de le perforer avec succès, tandis qu’elle se masturbe comme une chienne en chaleur et en manque.

Elle me fait face à nouveau et je suis fier de lui montrer ma virilité:

— Regarde cette trique que je me tiens, tu me fais trop bander salope, tu vas me faire jouir. Viens prêt de moi, donne moi ta bouche.

Elle s’agenouille contre moi et pose son menton sur ma cuisse. J’incline mon manche vers elle et glisse mon gland entre ses lèvres entrouvertes. Je me branle:

— Hum, c’est bon ça madame, c’est de la bonne petite gourmande qui aime le biberon des vieux messieurs cochons. Suce bien, tire sur ma tétine, et tu auras ta récompense: du bon lait chaud, bien crémeux et nourrissant.

J’appuie derrière sa tête pour être sûr que ma queue ne lui échappe pas et j’éjacule en grognant comme un porc assouvi. Elle s’applique à tout prendre, tout boire. Je me suis soulagé, n’ai plus rien à lui offrir, et je retire ma grosse nouille qui commence à ramollir. On se regarde, on se sourit, je me penche pour l’embrasser et elle me donne ses lèvres pour un petit baiser sage. On se lève, je la prends par la taille, nos bouches se soudent à nouveau pour un autre baiser beaucoup moins sage, une énorme pelle fiévreuse à perdre le souffle.

On approche de midi et je lui propose un restaurant. Elle préfère que l’on reste enfermé tout le weekend, éviter d’être vue avec moi, et je la laisse seule quelques instants pour aller faire des courses.

Elle m’aide à préparer un petit repas simple, on déjeune en discutant, sexe bien sûr, et elle s’interroge sur mes goûts bizarres:

— Tu as déjà fait des plans pisse?

— Non, mais j’aimerais bien, avec une jeune et jolie femme, si tu vois ce que je veux dire.

— C’est à moi que tu penses?

— Oui ma chérie, tu serais la partenaire idéale.

— Et tu t’éclaterais à me faire dessus, cochon!

— Non, je veux juste ton urine, rien de plus.

— Mais c’est dégueulasse!

Je lui avoue alors qu’il m’arrive de faire des séances en solo, de m’asperger et de boire. Je lui dis que c’est une pratique plus courante que l’on ne le pense, et lui parle de vidéos que je regarde sur le net. On fait encore quelques échanges, et elle accepte de réaliser mon fantasme.

On a terminé de déjeuner, on va dans mon bureau pour allumer mon micro et voir des vidéos sur le sujet. Je suis assis sur mon siège, et elle vient sur mes genoux. Je lui ai expliqué que le b.a.-ba de cet exercice est de boire beaucoup d’eau, et j’ai pris deux bouteilles qu’elle va s’efforcer de vider.

Je me suis constitué un fichier d’adresse internet pour accéder directement aux vidéos de mon choix, sans avoir à refaire des recherches parfois fastidieuses. Je ne lui montre que des films où seules les femmes pissent, souvent des femmes entre elles, ce que je préfère, des stars du porno qui se retrouvent jusqu’à une dizaine, toutes des donneuses sauf une receveuse que j’envie au plus haut point. Je lui montre aussi, mais ils sont plus rares, des films où des hommes se font doucher par des femmes, et avalent leurs offrandes.

Elle a tout bu, elle est toute excitée par ce qu’elle a vu, et accepte de me suivre.

Ce que l’on a vu sur mon écran se passe en extérieur, et quand c’est en intérieur les actrices n’hésitent pas à faire partout; sur le mobilier, le sol, les canapés, lits… Pour ma part je ne tiens pas à tout saloper, et on va faire ça dans la baignoire.

On est à poil, elle se tient debout et pose un pied sur le rebord, côté mur pour ne pas déraper, tandis que je me tiens à genoux devant elle. Je présente un verre devant sa fente et elle fait un premier petit lâcher, juste de quoi le remplir. Je prends une gorgée, c’est infect, et je recrache. Je vide le verre sur mon torse, et lui demande de pisser. Elle m’asperge au niveau des épaules, de la poitrine, et je me caresse pour me couvrir le corps de son urine bien chaude et fortement parfumée.

Elle ferme son robinet et je présente à nouveau le verre. Ca c’est amélioré mais ce n’est encore ça et je recrache tout. Elle me refait dessus jusqu’à ce que je tende le verre pour la troisième fois, la bonne ce coup ci. Son pipi est clair, sans odeur, et j’avale sans hésiter. Ce n’est pas mauvais et je vide le verre. Elle le remplit, je rebois un peu et lui demande si elle veut goûter.

Elle accepte, trempe les lèvres avec hésitation, me fait signe que c’est bon et prend une bonne gorgée. Je lui laisse le verre à finir puisqu’elle apprécie cette boisson, et je vais boire directement à sa source. J’ai la bouche grande ouverte et je reçois un jet dru et puissant qui semble ne pas s’arrêter. Elle pisse à flots, je ne peux tout engloutir et ça retombe dans un saladier que je tiens sous mon menton. Elle interrompt sa vidange pour me laisser reprendre souffle, le saladier est bien rempli et je me le renverse sur la gueule en buvant encore au passage.

Je pose le récipient, et lui offre encore ma bouche. C’est reparti, un jet moins fourni que je remonte jusqu’à souder mes lèvres aux siennes, la boire et la lécher. Elle s’est bien vidée, et elle ne va plus m’offrir que quelques gorgées espacées qui me surprennent pendant que je broute son minou.

La séance est finie et on se douche.

On s’essuie et elle reste perplexe sur ce qui vient de se passer:

— Tu te rends compte ce que tu m’as fait faire?

— Oui, mais je n’ai pas trop eu à te forcer. Apparemment tu t’es éclatée, tu y es allée de bon cur.

— Oui, c’est vrai, mais j’ai un peu honte. Si ça se savait!

— Aucun risque, ça reste entre nous. En tout cas pour moi c’était parfait, je me suis régalé, et on peut recommencer quand tu veux.

— Et toi, ton urine, elle est comme la mienne? Je veux dire buvable, comme de l’eau chaude.

— Oui, il suffit de ne pas boire trop tôt, il faut attendre.

— Ca te plairait de me pisser dessus et dans la bouche.

— Si tu veux, mais ne te sens pas obligée, tu ne me dois rien, c’est moi qui te suis redevable pour avoir satisfait mon fantasme.

— Mais c’est pour moi que je te demande ça, j’en ai envie, je veux ta pisse.

— Ok ma chérie, je ne peux rien te refuser.

On repart à mon bureau, et bien qu’ayant déjà pas mal bu à sa source intarissable je vais compléter avec de l’eau. Je m’assieds à poil sur mon siège et elle vient sur moi, toute nue elle aussi. On revoit des vidéos, mais avec cette fois des mâles qui pissent, à plusieurs, sur des filles qui prennent un plaisir non simulé à tout prendre, tout boire, tout engloutir.

Ca l’excite, moi aussi, j’ai envie de pisser et on repart à la salle de bain.

On se fait un deuxième plan, identique au premier, mais en inversant les rôles. Elle se délecte à se faire asperger, doucher, et à s’abreuver à la source de mon vit. De la même façon que j’ai terminé en la léchant tout à l’heure, elle finit en me suçant, me fait bander, me fait jouir, et se nourrit de mon mélange sperme pisse.

Elle est ravie de cette séance, moi aussi, on se félicite, on s’embrasse.

On se lave, on se rhabille légèrement; et on se sert un apéro bien que n’ayant pas vraiment soif. On dine puis on regarde la télé sagement, bien serré l’un contre l’autre.

Vingt trois heures on se couche, et on fornique comme des bêtes. Je la baise et lorsque je fatigue c’est elle qui me baise, qui me possède, puis je reprends les commandes. On s’aime intensément, jusqu’à épuisement, jusqu’à ce qu’elle parvienne à vider mes couilles dans sa bouche vorace.

On s’endort, et on s’offre une grasse matinée le dimanche matin, une matinée qui commence sagement, puis devient coquine, érotique, pornographique. On s’aime d’un amour débridé, jusqu’à ce que je rende les armes, trop épuisé, complètement vidé.

Il fait beau, et bien qu’elle ne voulait pas je la persuade de sortir, de profiter de cette belle météo. On se fait un restaurant dans un coin tranquille, on se ballade comme en amoureux, on est bien.

On revient chez moi pour de dernières heures torrides avant que je ne la laisse à son petit ami.

Le lundi on discute de notre super weekend et on prévoit de remettre ça à la première occasion. On s’aimera tous les deux, mais je pourrais aussi inviter un ou deux copains, pas plus, pour qu’ils m’aident à la satisfaire. Nos rencontres seront donc liées aux absences de son mec, et ça ne nous satisfait qu’à moitié..On veut plus, et on décide de faire l’amour au bureau.

Myriam, notre collègue, bosse à temps partiel, et ne travaille pas le mercredi. On est que les deux à l’agence, et on ferme entre midi et quatorze heures. On mangeait à l’extérieur jusqu’à maintenant, et on décide de changer nos habitudes. On va rester sur place, prévoir un casse croute, et s’offrir du bon temps. Nos pauses du mercredi sont réglées comme du papier à musique:

Midi, on ferme. Midi et deux minutes j’ai ma queue dans sa bouche. Elle me pompe frénétiquement tandis que je bouffe mon sandwich. Midi et quinze minutes je décharge dans sa bouche en même temps que j’avale ma dernière bouchée. C’est en suite à mon tour de m’occuper de ses entre cuisses tandis qu’elle se restaure. Je lui bouffe la chatte, mais aussi le cul, le lui fouille, lui ouvre, lui prépare pour la suite. Son copain ne s’intéresse à son petit trou et elle tient à ce que je m’en occupe, que je lui donne sa ration hebdomadaire. Midi et trente minutes elle est penchée sur le bureau et je la prends par derrière. Je vais la sodomiser pendant plus d’une heure, en différentes positions, celle précédente, à quatre pattes, ou encore allongée sur le bureau, ses chevilles sur mes épaules. Je la lime, je la bourre, je la défonce, pour notre plus grand plaisir à tous les deux, et je termine dans sa bouche pour la désaltérer de mes giclées imposantes.

Notre histoire dure depuis déjà plusieurs mois, et on ne se lasse pas l’un de l’autre, on s’aime avec autant de désir qu’au premier jour, et nos parties à quatre sont de véritables orgies.

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