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Je suis devenue sa pute – Chapitre 7

Je suis devenue sa pute - Chapitre 7



Après être sortie de l’hôpital, mon maître et son fils m’ont laissé quelques jours pour me reposer, sans abuser de moi de quelque façon que ce soit, et cela me fit le plus grand bien, car j’ai pu refaire mon énergie et complètement guérir de mon opération.

Un soir, après que j’ai vidé la table après le souper, mon maître m’annonça : « étant donné que tu as repris la forme, nous pouvons donc faire quelques changements puisque ta vie me sera désormais complètement consacrée. Dans un premier temps, tu vas démissionner de ton emploi, je veux que tu sois une pute à temps plein, tu auras plus de plaisir et tu auras un plus gros salaire. Tu vas également quitter ton appartement pour venir t’installer ici en permanence, ce sera plus facile pour tout le monde, et je veux pouvoir te baiser quand bon me semble, sans avoir à attendre ton arrivée. D’ailleurs, maintenant que tu as l’air d’une pute avec tes gros seins, tu t’habilleras toujours en conséquence. Tu ne vas plus te changer en arrivant ici. Tu vas jeter les vêtements de ton ancienne vie et tu porteras maintenant uniquement des jupes ou robes courtes avec de bons décolletés, sans soutien-gorge, pour que tous les pervers puissent te mater ».

J’étais folle de joie ! J’avais maintenant une grosse poitrine et j’allais en plus devenir une professionnelle du sexe à l’emploi de mon maître.

J’ai donc appelé mon employeur pour lui remettre ma démission, et par la suite, je quittai à pied pour m’en retourner à mon appartement pour faire le tri de mes affaires.

Sous l’enthousiasme du moment, j’avais oublié que je portais une camisole blanche, très serrée, qui laissait clairement voir mes seins rebondir à chaque pas, et mes mamelons qui pointaient fièrement. De plus, comme j’avais pris l’habitude chez mon maître de toujours me dandiner le cul en marchant, c’était devenu un réflexe, et je pris conscience que je le faisais maintenant en permanence.

Après quelques minutes, j’entendis des bruits de pas derrière moi. Pensant que quelqu’un voulait me dépasser, je ralentis la cadence, mais le bruit que me suivait ralentit également, et je compris alors que j’étais suivi, mais par qui ? Je tournai alors la tête et je vis un homme, qui devait avoir facilement ses 70 ans, qui marchait derrière moi en admirant mon cul.

Ceci me troubla… Je n’avais pas encore officiellement commencé mon nouveau travail de pute, mais après quelques jours d’abstinence, son regard m’alluma au plus haut point ! Au croisement d’une ruelle, je décidai de tourner pour voir ce qu’il allait faire, mais il me suivit et, au milieu de la ruelle, je m’arrêtai et m’adossai à un mur où l’homme me rejoignit : « alors, c’est combien ? ». Je fus estomaqué par sa question directe, mais me dis que je devais m’habituer, car cela allait devenir mon quotidien.

Je lui répondis : « en fait, je n’ai pas encore commencé, mon mac me prépare, mais je ne tapine pas encore officiellement ».

Très bien alors, tu me feras ça gratuitement espèce de chienne. J’ai ma mini-van pas loin d’ici avec les vitres teintées, je pourrai t’enculer sans qu’on soit vu.

Ses paroles me mirent carrément le feu au cul et j’acceptai de lui faire une passe gratuite, j’en avais trop envie de toute façon.

Les sièges de sa mini-van, qui étaient déjà baissés, faisaient comme un grand matelas, signe qu’il savait ce qu’il cherchait. J’entrai la première, à quatre pattes pour ne pas me cogner sur le plafond. Lorsque je me suis retournée vers lui, il avait déjà sorti sa queue et sans prévenir, il me l’enfonça dans la bouche. Pour un homme de son âge, il bandait fort et il me baisa la bouche quelques minutes avant de se vider complètement par plusieurs jets. Quel délice après tout ce temps d’abstinence !

Il se coucha alors sur le dos, releva ses jambes vers ses épaules et m’ordonna de lui lécher le trou de cul. J’enterai donc ma langue entre ses fesses et lui mangeai l’anus avidement. J’adorais le goût de son cul et à force de pousser toujours un peu plus, ma langue finit par entrer en lui, je l’enculais littéralement avec ma langue ! Il adorait ça et il rebanda tout de suite.

Il me prit alors par les cheveux et me retourna sauvagement pour me coucher sur le ventre. Là, je l’entendis cracher dans sa main qu’il dirigea vers mon cul pour le lubrifier un peu et il m’encula presque à sec. J’ai eu mal au début, mais le plaisir arriva rapidement. Il était brutal, me tenant par la gorge pour que je manque d’air tout en me giflant et en me crachant au visage.

Il m’a enculé comme ça, brutalement, pendant un bon 20 minutes, puis je sentis son sperme inonder mon cul. Il se retira, essoufflé, et vint frotter sa queue, couverte de son sperme et d’un peu de ce qu’il y avait dans mon cul, non préparé par un lavement, car j’étais supposée être en abstinence, sur mon visage pour bien la nettoyer. J’ai voulu m’essuyer, mais il me l’a interdit en me disant de marcher dans la rue avec son sperme sur mon visage pour que tous sachent que j’ai été possédée par un mâle dominant.

Je sortis donc de son véhicule et repris ma marche, le visage couvert de restants de sperme avec un peu de matières fécales, sous les regards de dégoût, ou d’excitation, des gens que je rencontrais. Mais heureuse de cette pratique qui me démontre bien que je vais adorer mon nouveau travail, celui de videuse de couilles et de pute !

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