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Jean, sa nièce et l'amie de sa nièce – Chapitre 2

Jean, sa nièce et l'amie de sa nièce - Chapitre 2



Les jours suivants, les deux filles ne se cachent plus pour sembrasser et se caresser quand il leur rend visite. Il essaye disoler Joy sans y parvenir. Ces échecs successifs accroissent son désir de baiser la jeune fille : « Il me la faut celle-là ! ». Par chance, un après-midi, Chloé doit faire une course. Jean fait semblant décourter sa visite mais Chloé partie, il revient voir Joy.

— Vous avez oublié quelque chose ? demande-t-elle étonnée.

— Non, je voulais te voir seule.

— Pourquoi ?

— Depuis lautre jour dans la cuisine, je ne cesse de penser à toi et je brûle de reprendre là où Chloé nous a interrompus.

— Ben vous êtes direct vous !

— Ce nest pas pour te déplaire nest-ce pas ?

Sans attendre une réponse, Jean embrasse goulûment la jeune fille qui accepte le baiser. Il la transporte dans la chambre dami et la couche sur la couverture.

— Dépêche-toi, dit Joy. Chloé doit bientôt revenir.

« Elle est aussi impatiente que moi de baiser ! Y-a pas de raison de se gêner ! » Il a tôt fait de retrousser la jupe, de la débarrasser de sa culotte et denfoncer un sexe vainqueur dans la chatte.

— Han ! Elle te manquait ma queue ! Han !

— Ouii !

— Han ! Tu lattendais Han ! Cet instant Han !

— Ouii ! Mmmh ! Aah ! Je viens Ouiiii !

— Aarrgghh !

Ils ont juste le temps de se réajuster avant que Chloé revienne.

— Quest-ce que tu fais là Tonton, je te croyais parti.

— Euh Javais oublié Euh Mon portable, je lai retrouvé ! À demain.

— À demain Je le trouve bizarre, quest-ce quil a ? demande-t-elle quand les deux filles se retrouvent seules.

— Tu crois ? Je trouve pas.

— Ça ne fait rien Embrasse-moi

Le lendemain, Jean prend Joy en aparté :

— Jai bien aimé hier, jaimerai recommencer, et toi ?

— Veux-tu bien te taire, elle pourrait nous entendre !

Lors des visites suivantes, Jean et Joy ont de la peine à cacher leur attirance mutuelle. Ils profitent de chaque absence de Chloé pour faire lamour en vitesse. Cette précipitation indispose Jean :

— Ça ne peut pas continuer ainsi. On a quà tout avouer, propose-t-il après une brève étreinte.

— Oh non ! Je ne veux pas lui faire de peine. Patiente un peu, quand les parents de Chloé reviendront, je quitterai cette maison, et nous aurons tout notre temps pour nous aimer, Jean chéri.

Ce qui devait arriver, arriva : Est-ce quun jour Chloé revint plus tôt que dhabitude où les deux amants ne virent pas le temps passer ? Toujours est-il quelle les surprit en pleine action.

— Ooh !

Jean et Joy se réajuste précipitamment. Il essaye de temporiser :

— Ce nest pas ce que tu crois, dit-il en niant lévidence.

— Comment avez-vous pu me faire ça à moi ? Moi qui vous faisais confiance. Faire ça derrière mon dos, sous mon toit ! Fiche le camp Joy, je veux plus te voir. Prends tes affaires et quitte cette maison.

— Mais

— Tu nas rien à dire Jean. Cest uniquement parce que tu es le frère de ma mère que je ne te chasse pas aussi. Heureusement que mes parents rentrent bientôt, comme ça je naurai plus à supporter ta présence Tu es encore là toi ? interpelle-t-elle Joy, quest-ce que tu attends pour ten aller ?

La jeune fille fait sa valise et les quitte sans un mot. La maison semble vide après son départ.

— Tu nes pas parti la rejoindre ? dit-elle en rompant le silence qui sétait installé. Pour toi ce nétait quune conquête parmi dautre, hein ? Vous êtes tous les mêmes les hommes !

Les reproches de sa nièce font mal à Jean. Oui il sest conduit comme un goujat, oui il aurait du sortir réconforter Joy. Il pousse un gros soupir, les regrets sont inutiles.

– Maintenant va ten, laisse-moi seule, lui demande Chloé.

— À demain.

— Cest bien parce que jai promis à maman que tu viendrais tous les jours que je te dis à demain. Par chance cela ne durera pas, mes parents rentrent dans deux jours.

Jean accompli jusquau bout son devoir doncle. Dans la maison de sa nièce labsence de Joy se fait cruellement sentir. Il tente dobtenir son adresse :

— Tu ne revois pas ta copine ?

— Quelle copine ?

— Mais Joy évidement.

— Je ne veux plus entendre parler de cette nymphomane !

La jeune fille bat froid son oncle qui accueille avec soulagement le retour de sa sur.

— Je te remercie davoir rendu visite tous les jours à Chloé. Ces deux semaines nont pas du être roses pour elle toute seule dans cette grande maison.

— Tout le plaisir a été pour moi.

Oui ce fut un réel plaisir de partager quelques heures par jour avec sa nièce Du moins tant que Joy était là

Deux mois plus tard, il navait pas fait le deuil du départ de la jeune fille. Il sabîme dans le travail, ses collègues ne le reconnaissent plus :

— Quest-ce quil te prend Jean ? Y-a une éternité que tu nous as pas présenté une nouvelle conquête.

Il constate étonné que sortir « en chasse » ne le tente plus et que le souvenir de Joy est encore vivace. Jamais la défection dune de ses multiples amies provisoires ne lui avait fait autant de peine, aucune ne lui a laissé de tels regrets. Il ricane au souvenir de la réponse donnée à sa sur quand elle lui reprochait sa vie dissolue : « Je me calmerai lorsque je trouverai la femme idéale » ! Et alors quil pensait lavoir déniché, elle lui échappe

Il désespérait de la revoir quand il rencontre la jeune fille en sortant de chez lui.

— Joy ! Quelle bonne surprise !

— Oh Jean !

Ils sont heureux de se rencontrer mais ne savent que dire. Une gêne sinstalle entre eux. Joy se lance la première :

— Euh Comment allez-vous depuis que nous ne sommes pas vus ?

— Bien, je vous remercie.

— Vous avez des nouvelles de votre nièce ?

— Je ne lai pas rencontrée depuis le retour de ses parents. Elle me snobe depuis que vous nous avez quittés. Et vous ? Comment ça va ?

— On fait aller, merci.

Nouveau silence Jean prend une brusque décision.

— Voudriez-vous venir dans mon appartement prendre une tasse de thé ? Jhabite juste en face Euh On pourra discuter de Chloé et des moments que nous avons passés ensemble.

— Euh Quelle heure est-il ?

— Deux heures de laprès-midi.

— Jai quelques minutes devant moi, jaccepte avec plaisir.

La porte refermée ils se jettent dans les bras lun de lautre.

— Oh ! Que tu mas manqué ! lui dit-il entre deux baisers.

— Toi aussi !

Ils se déshabillent mutuellement sur le chemin de la chambre

— Cest aussi merveilleux que dans mon souvenir, déclare Jean un bon moment après.

Ils sont allongés cotes à côtes, nus, dans le lit. Joy lui sourit puis brusquement, se redresse.

— Quelle heure est-il ?

— Euh Quatre heures et demie, répond Jean après un coup dil au radio réveil. Pourquoi ?

— Mon dieu ! Jai loupé mon rendez-vous. Cest ta faute !

— Tu regrettes ce que nous avons fait ?

— Non, pas du tout, mais cest embêtant.

— Cest grave ?

— Assez. Loccasion dobtenir un logement décent me passe sous le nez.

— Tu déménages ?

— Bien obligé. Mon propriétaire me fiche à la porte : il a besoin du studio quil me louait pour son fils. Je pensais être tombé sur une bonne occase, tout est à recommencer.

— Bah, tu trouveras bien.

Il dépose des petits baisers sur les seins dont les tétons se dressent.

— Veux-tu cesser !

— Tu naimes pas ?

— Euh Si, mais

— Laisses-toi faire. Puisque tu as loupé ton rendez-vous, nous avons tout notre temps.

De la poitrine Jean promène la bouche sur le nombril.

— Hiii Tu me chatouilles !

Ce sont les lèvres intimes de la jeune fille quexplorent maintenant la langue de Jean.

— Aaah ! Tu me fais mourir !

— Mais non, mais non.

— Aaah ! Tu es un démon Aah ! Ouii ! Noon ! Ouiiiii !

— Je taime Joy

— Moi aussi Viens !

Jean pénètre avec délice le vagin de la jeune fille

Ils reposent en paix. « Quelle chance de lavoir rencontrée, le hasard fait bien les choses » pense Jean qui cherche le moyen de pérenniser leur relation. La différence dâge ne lui fait pas peur Pour linstant

— Quand je pense commence Joy.

— Que veux-tu dire ?

— Ben Euh Quand tu nas Euh Pourquoi nas-tu rien dit quand Chloé ma foutu dehors ?

— Jai été au dessous de tout ce jour là. Tu me pardonnes ?

La jeune fille se lève.

— Où sont mes habits ?

— Entre ici et le salon. Pourquoi ? Tu ten vas déjà ?

— Il le faut bien.

— Si josais

— Parle, que veux-tu me dire ?

— Ben Euh Tu es à la recherche dun appartement ?

— Oui, je tai dit que je dois libérer mon studio.

— Ben Euh Je me disais

— Accouche sil te plait !

— Tu pourrais tinstaller ici Le temps de trouver un logement décent sentend, ajoute-t-il devant létonnement de la jeune fille.

— Le temps de Euh Je ne peux pas, non je ne peux pas, je ne veux pas te déranger.

— Tu ne me dérangerais nullement. Il y a assez de place pour deux personnes ici.

— Bon Ben Jaccepte.

— Merci !

— Provisoirement, nest-ce pas ?

— Provisoirement !

Le soir même Joy sinstalle chez Jean.

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