Histoires de non consentement Histoires de sexe arabes Histoires de sexe en groupe

jeanne ma belle mère – Chapitre 3

jeanne ma belle mère - Chapitre 3



1 semaine, 2 semaines, 1 mois, 3 mois, six mois Oui il nous a fallu attendre six mois pour enfin avoir loccasion de terminer ce que nous avions entrepris ma belle-mère et moi Quest-ce que cela a pu être long, surtout après la piscine et notre entrevue nocturne Mais le fait est que nous navons pas eu la possibilité de le faire, pas la moindre occasion ne sest présentée, nous nétions jamais seuls

Pour commencer Michel est artisan et a son atelier chez lui, il travaille à domicile et par conséquent sabsente rarement, de plus même si jétais proche de mes beaux-parents je me voyais mal débarquer à limproviste en labsence de Cécile Quand je les voyais, Cécile était toujours présente et ne se serait jamais douté quà chaque fois que je me retrouvais chez elle, je suivais le même train de pensée, guidé par Jeanne et le souvenir de nos échanges, nos caresses, nos étreintes, mes mains passant sur son corps, sa bouche sur ma peau, toujours me la représentant dans mes fantasmes les plus coquins De son coté, Jeanne nétait pas en reste, tout en restant discrète, elle jouait de son regard, ses clins dil, qui, elle le savait, mexcitait au plus haut point car ils suggéraient des choses que seuls elle et moi pouvions comprendre Elle nhésitait pas à me faire du pied à table, ou alors à se coller contre moi furtivement, par exemple lorsque nous nous croisions, dans le couloir ou la cuisine, puis à me regarder avec son air de chienne en chaleur me signifiant : « tu me prendrais bien comme ça par derrière gros cochon ! ».

Cétait clair, malgré ses réticences passées (et feintes il me semble) ma belle-mère navait pas lair éhontée de ce qui sétait passé à la piscine, et encore moins de notre « oral » dans le salon, au contraire, elle paraissait impatiente de passer aux choses sérieuses…

Malheureusement, pas de prise de risque insensée, pas de fuite deau ou je ne sais quel problème technique qui aurait pu mamener à la retrouver chez elle, et toujours, la quasi-omniprésence soit de Michel soit de Cécile Je désespérai daller un jour au bout du fantasme Les journées se suivaient de la même manière, Jeanne me chauffait, je faisais de même, mais je crois quen fin de compte elle comme moi finissions de la même manière, à nous caresser en pensant lun à lautre

Six mois donc après notre aventure au bord de la piscine, jemménageais dans un appartement en centre-ville avec Cécile. Cela peut paraître difficile à comprendre en raison de mes aventures avec sa mère, mais à part notre appétit sexuel qui nétait pas le même tout allait pour le mieux entre Cécile et moi. Elle était et est toujours mon amie, ma confidente, ma maîtresse aussi Je nessaie pas de justifier ma conduite, ce qui sest passé ne regarde que Jeanne et moi, et je nai de comptes à rendre à personne, mais jadmets que certain(e)s ne comprennent pas mon attitude Cest très simple, pour moi le corps a ses raisons que la raison ignore, et si mon cur penchait pour Cécile, mon corps se trouvait magnétisé par Jeanne.

Jai toujours été supporter dun grand club de foot catalan, et quand jhabitais chez eux, mes parents mavaient pris un abonnement sur le câble pour que je puisse regarder tous les matchs de mon équipe favorite. Quand Cécile et moi avons emménagé ensemble, je nai pas pu mabonner tout de suite à cette chaîne, et je devais donc regarder les matchs, soit dans des bars sportifs , soit chez des amis

Un Dimanche midi, repas chez Cécile (Michel est un bon vivant et un vrai cordon bleu, nous mangeons presque tous les weekends chez les parents de Cécile) :

-« Alors Djamel, ou est-ce que cen est le championnat espagnol » ? me demande Michel.

-« Bah le Real est en tête, nous on joue ce soir contre une équipe de bas de tableau donc ça devrait passer mais bon je suis un peu moins au courant de ce qui se passe vu que je nai pas le bouquet sport, je ne regarde pas tous les matchs et ça me gêne tous les weekends daller squatter chez mes potes juste pour les matchs Donc je vais attendre le mois prochain, on a eu beaucoup de frais pour lemménagement mais là je pense que je pourrai enfin mettre le câble »

-« Mais Michel, on ne la pas nous, le bouquet sport » ? Cest Jeanne qui interroge son mari.

-« Si si » répond Michel.

— « Et bien vous navez quà venir regardez le match ici, quest-ce que ten penses Michel ? »

Le père de Cécile acquiesce tout de suite « bah oui, bien sûr, jy ai pas pensé mais revenez ce soir ya pas de souci ! Je suis toujours partant pour un bon match ! »

Cécile le nargue : « tu parles tu dis ça alors que tous les soirs il ne te faut pas plus dun quart dheure pour dormir devant la télé !», et Jeanne de surenchérir : « et ronfler aussi ! », elles explosent de rire et Michel grogne comme dhabitude, scène ordinaire, elles aiment le faire tourner en bourrique

-« OK cest super sympa », dis-je à Michel, » je savais que vous aviez la chaîne, mais je nosai pas vous demander, je ne veux pas déranger »

-« Arrête Djamel, tu fais maintenant partie de la famille, tu sais bien que tu peux tout nous demander ». réplique Jeanne.

Sacré Jeanne, je suis le seul à comprendre son allusion, sous-entend elle que je pourrais lui faire tout ce que je veux la prochaine fois que nous nous trouverons seuls ? Michel regarde les chaines du pack sport, ça je le sais, mais je sais aussi que vous êtes abonné à une chaîne de films pornos Est-ce que tu regardes les films avec Michel ou est-ce que tu te doigtes toute seule le soir devant ta télé en bonne grosse coquine que tu es ? Ça y est mes pensées sont reparties, et je me laisse entraîner dans un scénario scabreux avec ma belle-mère La voix de Cécile me ramène à la réalité

-« En tout cas toi Djamel tu fais ce que tu veux, mais déjà quon a rien dormi du weekend je ne compte pas me coucher tard pour ton match »

-« Ça ne vous dérange pas si je viens tout seul ? Le coup denvoi est à 21h30 »

-« Bon bah cest encore plus sûr que je ne viendrai pas », se plaint Cécile.

-« Non y a pas de soucis, Djamel, vient et de toute façon si on est fatigués on ira se coucher tu regarderas le match tout seul »… me lance Michel.

Nous sommes à lapéro, Jeanne comme dhabitude est à son avantage, bien maquillée, bien habillée et sexy en diable.. Nous nous mettons à table, discutons de tout et de rien, comme à chaque fois nous avons bien mangé et bien bu, surtout Michel, qui moblige à mettre la main sur mon verre pour lempêcher de me re- servir Nous rentrons vers 16h, nous faisons une petite sieste, passons le reste du temps ensemble Cécile et moi, et à 20h je vais prendre une douche et me préparer Je vais voir Jeanne donc jessaie de bien mhabiller pour lui plaire, sans trop en faire non plus pour ne pas éveiller de soupçons

21h, je dis au revoir au Cécile, qui me dit quelle mattendra pour se coucher et je me rends chez mes beaux-parents. Jarrive 5 minutes avant le début du match et quand jentre au salon, je constate quil y avait du vrai dans ce que Cécile et sa mère disaient, Michel est déjà en train de ronfler sur le canapé du salon, normal, il doit cuver ce quil a bu à midi Par contre moi qui me suis préparé pour Jeanne, je suis limite déçu, elle maccueille dans une vieille robe de chambre à fleur, une sorte de peignoir, je sais bien quavec son mari elle nallait pas mouvrir la porte en minijupe porte-jarretelles mais je me dis quelle aurait quand même pu faire un effort

Le match a commencé depuis un quart dheure et rien ne se passe, hormis nos échanges de regards habituels, quand soudain, Jeanne se lève. Elle se dirige vers Michel et le secoue : « Michel, réveille-toi ! »

-« Quest-ce quil y a ? »

-« Il y a que tu narrêtes pas de ronfler Djamel peut même pas entendre les commentaires, lève-toi et va te coucher ». Jeanne toujours à donner des ordres Je lance un regard à Michel du genre « Désolé »

-Michel me dit : « Y a combien, 1-0 déjà, vous allez gagner facile, bon bah allez cest pas tout, demain jai du boulot, bon match Djamel, à bientôt… »

Je me sens trop mal, Michel est si gentil avec moi, sil nous avait vu la dernière fois au salon

-« Je taccompagne te coucher » dit Jeanne en le suivant

Je me retrouve seul devant le match et cest là que moi gros naïf, obsédé par mon match, je réalise Michel dort déjà, il a bu, je suis seul chez mes beaux-parents dans le salon, cest Jeanne qui a insisté pour que je vienne Ne pensant quà mon match je nai même pas réalisé que cest elle qui a organisé tout cela, elle qui insistait à servir Michel à table Ma coquine de belle-mère avait tout prévu Jespère juste que cest le cas et quelle ne va pas sendormir avec lui

5 minutes dattente et je trépigne déjà dimpatience et là, la porte du couloir, qui souvrait il y a six mois pour mon plus grand bonheur souvre à nouveau

A peine arrive-t-elle vers moi que déjà je suis debout et lenlace, lembrasse avec passion, jagrippe ses fesses et la serre contre moi… Six longs mois dattente je nen pouvais plus ! Mais Jeanne sécarte, me fait signe en mettant un doigt sur sa bouche et détache le cordon de sa robe de chambre-peignoir Elle est totalement nue dessous ! Elle la laisse retomber par terre, me prends par la main et mentraîne dans le couloir, en direction des chambres. Quest-ce quil lui prend, on ne va pas faire ça dans une chambre ? le salon est bien plus éloigné de lendroit ou dort Michel Jarrête devant la chambre de ce dernier et me glisse a loreille : « Six mois, cest trop long, je suis trop excitée ; et la dernière fois ce qui ma vraiment fait prendre mon pied, cest la possibilité dêtre surprise ! »

Sur ces mots, Jeanne saccroupit et commence à ouvrir mon pantalon, sort mon sexe déjà bandé au maximum, mintime le silence, puis engouffre directement ma bite dans sa bouche

Je ny crois pas, linterdit et le risque doivent sacrément exciter Jeanne pour quelle se mette en tête de repousser les limites si loin ! Que faire, dun côté je suis tétanisé à la simple idée que Michel puisse se lever et nous surprendre, mais en même temps cela mexcite à fond ! Ma belle-mère se doigte et me suce dans le couloir tandis que le père de Cécile est de lautre côté de la porte, à quelques mètres !

Comme la dernière fois, Jeanne sy prend divinement bien, je ne sais pas où elle a appris à sucer de la sorte mais jamais on ne ma pompé aussi bien quelle Elle fait du bruit et fait cela salement, elle me suce, me lèche me branle, elle me tient les fesses et appuie pour la prendre bien au fond de sa gorge, jai tellement attendu pour cela, je suis tellement excité que je sens que je ne vais pas pouvoir tenir longtemps Je la fais se lever et la plaque contre le mur, je passe la main entre les jambes elle est toute mouillée « Ça vous excite de sucer une bonne bite avec votre mari à coté ? Vous êtes encore plus salope que je le pensais » lui dis-je à loreille.

-« Vas-y Djamel, doigte moi bien ! »

-« Tournez-vous que je vous prenne contre le mur ».

-« Non, on retourne au salon ! Je ne pense pas que Michel se lève mais on ne va pas abuser ! Jaime jouer avec le feu mais je nai pas lintention de my brûler ! »

Jeanne me guide à nouveau au salon et ferme la porte du couloir.

-« La dernière fois je tai dit que je te voulais toute une nuit Cela ne sera pas encore possible ce soir mais autant profiter au maximum de lopportunité qui soffre à nous, me dis Jeanne. »

-« Grave, moi non plus je nen peux plus dattendre Peu importe comment et combien de temps, je veux vous baiser ! »

Jeanne se met à 4 pattes sur le canapé Je lui mets de bonnes fessées puis lui enfonce directement deux doigts qui entrent tous seuls en elle. « Je vois que vous êtes impatiente de vous faire mettre par votre gendre, je me trompe ? »

-« Non Djamel, vas-y prends moi comme la salope que je suis ».

Je doigte Jeanne très fort pendant une dizaine de secondes, elle enfonce sa tête dans un coussin et gémit Je retire mes doigts de sa chatte toute trempée et lui fais lécher Pendant quelle goûte a son nectar, japproche ma bite de sa bouche et lui fait sucer en même temps que mes doigts. Elle me suce jusquà la garde puis me dit sur un ton décidé : « maintenant baise moi ». Cest presque un ordre quelle me donne, ordre auquel je mempresse dobéir Je viens derrière elle, lui caresse mon gland entre ses lèvres gonflées et bien apparentes puis menfonce dun coup mais doucement Alors quavec sa fille je dois toujours y aller par à-coups, ma queue plonge et glisse toute seule au fond de lantre de ma belle-mère

Ca y est, cest fait Cest comme je limaginais, mieux encore Divin et exquis

Il est très rare que je ne prenne pas de plaisir, jen ai beaucoup à chacun de mes rapports, avec Cécile notamment, mais cette fois ci, cela a vraiment été différent au-dessus, une nouvelle première fois Jéprouvais tant de sensations en même temps : culpabilité mêlée à un plaisir intense, javais tellement pensé ce moment, javais même fini par désespérer quil arrive, tous nos petits jeux qui nont fait quaugmenter le désir le fait que Michel pouvait débarquer à tout moment, que pour certaines personnes notre acte serait considéré comme immoral, le fait que cétait la maman de ma « femme » qui allait et venait sur ma queue Tout cela ne faisait que décupler ce que je ressentais et jen profitais un maximum : jallais doucement, jentrais et sortais en mefforçant de sentir le moindre recoin, jinsistais sur chaque centimètre qui senfonçait Cétait tellement chaud et humide, suave, cela glissait tout seul, cela collait, une sensation difficile à décrire qui mexcite rien quà y repenser Jeanne allait et venait dans des mouvements synchronisés aux miens : elle poussait en arrière quand je la pénétrais en insistant bien une fois que jétais au fond puis se retirait Je jouais à lui enfoncer seulement le bout de mon sexe, tout doucement, puis plus vite pour la titiller, je la faisais entrer et sortir comme cela jusquà ce que finalement je menfonce dun seul coup entièrement en elle plusieurs fois daffilée, ce qui semblait lui faire beaucoup deffet Jeanne était très réceptive et bougeait aussi bien quelle savait sucer, cest là quon pouvait juger de son expérience. Elle écartait ses fesses avec ses mains pour mieux me sentir, elle se caressait aussi le clitoris pendant que je la limais consciencieusement. Je me retirais parfois pour venir lui lécher lanus ou lui enfoncer ma langue Jai dû la pénétrer en tout et pour tout un quart dheure, mais cela ma semblé durer une éternité Ne pouvant plus me retenir je prévenais Jeanne qui descendait du canapé et saccroupissait pour que je lui éjacule dans la bouche. Comme la première fois, Jeanne me pompa jusquà me faire exploser dans sa bouche, mais cette fois ne laissa pas une goutte séchapper, et quand elle eut fini elle me regarda avec le regard malicieux dont elle a le secret. A ce moment précis, je navais quune envie, crier ma jouissance mais il fallait rester discrets, ma belle-mère sest alors levé et nous nous sommes embrassés fougueusement

Je ne pouvais pas rester tard, Cécile allait mattendre et aurait trouvé bizarre que je ne rentre pas tout de suite après le match et nous ne pouvions pas non plus faire lamour toute la nuit au salon avec Michel dans la maison Donc résigné jai dû me « contenter » de ce moment magique, qui me satisfaisait déjà pleinement à vrai dire Nous avons regardé les dix dernières minutes du lun contre lautre, mon équipe simposant par 4 buts à zéro Soirée parfaite même si je navais rien vu du match ou presque

Jen voulais beaucoup plus, Jeanne aussi dailleurs je crois, mais nous avons dû en rester là Quand je lui dis au revoir Jeanne me confia : « Il faudra vraiment quon remette ça, mais seuls cette fois, et tu feras vraiment tout ce que tu veux »

-« Je demande que ça, mais quand, comment, je ne veux pas attendre six mois de plus »

-« Tinquiète mon chéri, je vais tout faire pour nous organiser ça »! Et elle membrassa. On se serait cru deux ans auparavant environ, quand je disais au revoir sur le pas de la porte à Cécile et que ses parents nétaient pas au courant pour nous deux !

Je laissai Jeanne pour rejoindre sa fille qui finalement ne mavait pas attendu et dormait déjà Dans le lit, je ne pouvais mempêcher de la caresser tout en me disant quune heure plus tôt, jétais en train de coucher avec sa mère !

Jétais comme sur un nuage, à la limite entre sommeil et conscience, tellement bien Ce moment tant attendu, interdit, était arrivé. Et je navais aucun regret. Jaimais Cécile mais jétais plus que jamais attiré par Jeanne, ce que je ressentais était dur à décrire mais une chose était sure, je ne voulais pas en rester là !

Le lendemain, au petit-déjeuner, je dis bonjour à Cécile, lembrasse et me met à table dans la cuisine :

-« Alors ce match ? »

-« Magnifique, je sais que ce nest pas ton truc, mais en vrai amateur je tassure que cest une des plus belles parties auxquelles jai assisté ! »

— « Bon bah tant mieux, au moins mes parents nont pas dû sennuyer ! »

A propos de l'auteur

HistoiresDeSexe

Laissez un commentaire