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Julie 1 – Ma meilleure amie est une salope – à quatre, sinon rien – Chapitre 4

Julie 1 - Ma meilleure amie est une salope - à quatre, sinon rien - Chapitre 4



Chapitre 4 : La dernière journée

    Je me levai tôt, impatient. C’était notre dernière journée de vacance, et j’avais envie qu’elle soit la plus longue possible ; surtout vu ce qui était au programme. C’était stupide dans un sens : pour commencer, il fallait d’abord que tout le monde soit là. Je priai que personne ne fasse la grasse mat’. Si seulement nous avions pensé à convenir d’une heure fixe. On était vraiment con.

    Je pris rapidement une douche, un petit dej’, et me pointa à l’appart de Julie. Par chance, elle était déjà debout, excitée comme une puce. J’étais arrivé le premier, ils nous restaient plus qu’à attendre. Par chance, ce ne fut pas très long. Tout le monde avait vraiment hâte de démarrer.

  Deux jours qu’on se retenait. Après avoir passé plus d’une semaine à ne faire que baiser tout le temps, le moins qu’on puisse dire, c’est que nous étions sacrément en manque. Ce n’était cependant pas une raison pour être trop pressé. On avait la journée entière. Une journée entière de sexe et de plaisir.

  Julie nous emmena dans la chambre. Nous commençâmes les préliminaires sans tarder. Nous la caressâmes, l’embrassâmes, lui touchâmes les parties sensibles. On avait faim de son corps, et elle avait faim de nous. Nos mains baladeuses la firent gémir. Nous la déshabillâmes lentement, comme des adolescents découvrant pour la première fois la nudité d’une femme. Je suçai un des mamelons de sa généreuse poitrine après lui avoir ôté son soutien-gorge ; Steve s’occupa de l’autre et la tétai comme un bébé. Julie se mordit les lèvres quand des doigts glissèrent sous sa culotte et s’enfoncèrent dans son vagin déjà trempée.

  Nous l’allongeâmes sur le lit, et Jean entreprit de lui lécher la chatte. Elle ferma les yeux et se laissa imprégnée par le plaisir. Elle avait un sourire d’ange. Heureuse d’être le centre de l’attention de trois hommes désireux de lui faire l’amour.

Hmm, les garçons, fit-elle. Vous êtes si mignon, mais j’ai envie de queues moi. Donnez-moi vos bites.

  Nous nous déshabillâmes à notre tour et sortîmes nos chibres de nos pantalons. Julie les fixa d’un air envieux. Elle nous branla, Steve et moi, avant de me sucer avec passion. Jean souleva sa croupe et s’enfonça en elle pour la baiser. Il était doux et affectueux. Nos échangeâmes sa place chacun à notre tour. Lorsque ce fut le mien, j’en profitai pour lui peloter les seins et lui bouffer les tétons. Ses nibards me faisaient tellement rêver. Elle émit un gémissement malgré qu’elle avait la bouche remplie.

  Elle pompait mes amis comme une reine, passant de l’un à l’autre pour ne pas faire de jaloux. Elle les branlait et leur léchait le gland en prenant bien soin de leur montrer le travail de sa langue. Elle était délicieusement érotique.

  Il était temps de passer à des choses plus sérieuses. Steve lui humidifia son petit trou, et l’invita à le chevaucher. Elle s’installa au dessus de lui, une jambe de chaque côté, et empoigna sa queue lubrifiée de salive et de mouille pour le diriger vers son cul. Il l’aida à s’enfoncer doucement en la maintenant par les hanches, puis elle commença à s’empaler toute seule sur lui. Il la laissa se donner du plaisir, montant et descendant sur sa bite. Jean et moi profitâmes du spectacle. Elle était si belle quand elle était coquine.

Oh putain ! Oui ! fit-elle. J’aime tellement avoir une bite dans le cul ! C’est tellement bon !

Elle s’éclatait comme une folle ; comme si elle avait désespérément besoin de se faire enculée. Ses seins ballotant me narguaient, et je cédai à l’envie de les soupeser et de les presser. Je pris une nouvelle fois ses tétons en bouche, puis l’embrassa.

Jean se mit debout sur le lit et lui présenta son dard pour se faire suçer. Je l’imitai avide d’une nouvelle fellation. Elle s’occupa merveilleusement de nous. Nous étions au comble du bonheur.

Les garçons, j’ai la chatte en feu, nous dit-elle en s’arrêtant un instant. S’il vous plait, que l’un d’entre vous vienne me la remplir !

  Je me dévouai. Je vins entre ses cuisses et les soulevai pour mieux pénétrer son vagin. Nous la prîmes ainsi en double pour son plus grand bonheur, la fouillant avec nos bites Elle commençait à s’habituer à la chose, mais cela lui procurait manifestement toujours autant de plaisir.

  Mon excitation devint telle que je ne pus plus me retenir de la baiser plus fermement. Steve s’excita aussi avec ferveur dans son cul. Je vis Julie en perdre la tête :

Aaah ! Se faire ramoner par deux mâles, il n’y a que ça de vrai !

Tu aimes, petite salope ? lui dis-je.

J’adore ! Bourrez-moi comme votre pute !

  Jean l’empêcha de continuer de parler en s’enfonçant dans sa bouche. Lui aussi était devenu plus brutal en lui maintenant la tête pour la forcer à lui faire une gorge-profonde. Il la relâcha pour lui permettre de reprendre un peu d’air. Elle respira un grand coup la bouche ouverte, puis elle rechercha instinctivement sa bite du bout de la langue.

Ah ! Putain ! Salope ! T’en as jamais assez, hein ? déclara Jean tandis qu’elle était déjà en train de lui sucer le gland.

  Nous nous laissâmes à notre plaisir et à notre luxure, baisant cette chienne comme notre sac à foutre. Notre traitement ne tarda pas à la faire jouir une première fois :

Aaaaah ! Putaiiiiin ! Salauuuuuds ! Ouiiiiii !

  Sa lubricité n’avait pas fini de m’étonner.

  Jean et moi échangèrent nos places. Il la lima comme un véritable animal. J’aurais fais pareil si j’avais dû me contenter que de pipes comme lui pendant aussi longtemps.

  Nous n’avions pas baisé ni joui depuis deux jours. Nous étions en manque comme jamais, et savions que nous allions passer toute la journée ici sans sortir de cette chambre. Autrement dit, aucun d’entre nous n’avait envie de se retenir. Nous avions simplement envie de baiser et d’éjaculer dans cette pute qui nous servait de vide-couilles. C’est ainsi que Steve explosa en premier et grogna en lui remplissant les intestins de grosses giclées de sperme.

Aaaah ! Putain ! Saloope ! Prends mon fouuuuutre !

  Cela déclencha chez elle un nouvel orgasme.

  Un flot de jus s’échappa lorsque son sexe ramollissant sorti de son cul. Il nous laissa la place et s’installa sur un fauteuil pour récupérer. Jean et moi la mirent alors à quatre pattes. Il l’encula comme une chienne tandis que je me fis sucer. Je n’en pouvais plus de la regarder comme ça et j’avais trop besoin de me soulager moi-aussi. Quand je me sentis venir, je sortis ma queue de sa gorge et me branla devant son nez pour lui éjaculer au visage. Une quantité incroyable de foutre lui éclata à la figure. Elle ouvrit grand la bouche pour essayer d’en avaler le plus possible, mais je l’évitai. J’avais envie de la salir. Je contemplai mon uvre une fois que je fus apaisé. J’étais satisfait. Du sperme dégoulinait de son menton et de son front. Certaines gouttent firent quelques tâches sur le lit.

Je me retirai moi aussi et laissai le champ libre à Jean. Sans plus aucune compétition, il l’encula de plus belle. J’enviais ce sale petit enfoiré de l’avoir pour lui tout seul. Steve et moi le regardions tandis qu’il la défonçait comme la pire des trainées. Elle criait et hurlait de plaisir. Elle s’effondra, le torse contre le lit, pour mieux s’offrir à lui.

Oh oui ! Jean ! Fais de moi ta pute ! Èclate-toi dans mon cul et remplis-le de sperme dès que tu en auras envie !

Salope ! grogna-t-il en lui donnant une fessée.

Oui ! Ta petite salope soumise qui ne demande qu’à se faire baiser !

  J’étais jaloux, mais je ne pouvais m’empêcher de la trouver magnifique. Le visage couvert de foutre. Les yeux pétillants de luxure, et le corps tremblant de plaisir. Jean la bourrait sans retenue. Il essayait manifestement de se finir dans son cul. Son endurance m’épatait. Je me branlais devant la scène qui dura encore plusieurs minutes. Julie lui balançait des phrases toujours plus salaces, et il y répondait en l’étant tout autant :

Refais-moi le trou de cul ! Je ne veux plus savoir marcher !

Oh ça oui ! Tu vas voir ! Je vais tellement te le ravager que tout le monde te verra boiter demain à l’aéroport ! Tout le monde comprendra à quel point tu t’es faite sautée la veille comme la dernière des salopes !

Moi aussi je veux qu’ils le sachent ! Je porterais une jupe courte sans culotte pour que tout le monde voit votre sperme couler le long de mes cuisses !

Sale pute ! s’emporta-t-il à nouveau en accompagnant ses mots d’une autre claque.

  Il la baisa encore un peu, puis finit par ne plus pouvoir se retenir. Dans un hurlement, ses couilles éclatèrent et se déchargèrent dans son cul accueillant. Il lui remplit les entrailles de copieux jets de foutre chaud tandis qu’elle criait elle aussi son plaisir. Le bonheur se lisait sur leurs visages.

  Son anus fit des bruits de pets obscènes lorsqu’il se retira et que de l’air sortit. Du jus coula et tâcha les draps. Les femmes de ménage allaient s’éclater en nettoyant la chambre après notre départ.

  Jean était épuisé, mais Julie n’était pas encore repue. Elle se tourna vers nous en s’exclamant :

Les garçons, ne dites pas que vous avez déjà fini. J’ai encore besoin de me faire sauter moi.

Steve et moi, qui rebandions déjà, nous levâmes pour s’occuper de cette salope insatiable. Nous la soulevâmes et la prirent debout en la portant tous les deux. J’eus enfin la chance de pouvoir gouter à son cul et l’enculai avec délectation. Nous en fîmes notre prisonnière, coincée entre nos deux corps, incapable de nous résister. Nous nous servîmes du sien pour nous faire du bien comme avec une poupée de chair. Nous avions faim d’elle, et elle se nourrissait de notre besoin féral. Plus on était brutal, plus elle nous encourageait à la prendre plus fort :

Aaah ! Putain ! Ravagez-moi les garçons ! Je suis affamée de vos bites ! Il m’en faut dans tous mes trous !

On va te ramoner tes orifices jusqu’à ce que tu nous demande grâce, sale putain !

Ramonez-moi et j’en demanderais encore et encore ! J’en veux toujours plus ! Prenez-moi plus fort !

Cette grosse pute savait comment nous exciter.

Ca me faisait un peu bizarre de baiser son anus en sachant que deux hommes avaient déjà joui dedans. Je sentais le foutre de mes amis lubrifier mon dard, mais j’étais trop excité pour trouver ça dégueulasse.

  Nous changeâmes de positions et de trous plusieurs fois. À un moment, elle réclama quelque chose à sucer, et je lui enfournai ma bite imprégnée de nos jus respectif dans sa gorge. Elle le gouta comme si c’était la plus délicieuse des sucettes.

  Steve éjacula dans sa chatte. J’espérai enfin l’avoir pour moi tout seul quand Jean vint le remplacer, le sexe bandé à nouveau. J’étais écuré.

  Je lui fourrai la chatte pleine de foutre en missionnaire tandis qu’elle le suçait. J’espérais que Jean jouisse vite avant que Steve ne récupère, mais me retenir devenait difficile. Je décidai de me finir. Je la pris de toutes mes forces comme un animal en rut jusqu’à me laisser éjaculer dans son vagin. Cette délivrance, c’était trop bon. Mon esprit devint blanc. J’étais dans un autre univers. Je me foutais que Steve avait déjà joui dedans. J’avais envie de la remplir de litre de sperme et de la faire déborder. Une fois mes esprits repris, j’allais me reposer un peu, totalement épuisé. J’eus mal au cur en réalisant que je laissai ainsi Jean encore seul avec elle. Par chance, cela ne dura pas longtemps. Steve vint la rejoindre, et ils la prirent en double à nouveau.

  Ce petit manège dura ainsi pendant plus d’une heure : nous la baisions, nous éjaculions quand on en avait envie, et nous nous relayions pour ne lui laisser aucun répit. Julie, elle, nous suppliait de continuer. Je crois qu’elle n’avait jamais autant joui. On lui donnait ce qu’elle voulait : se faire sans cesse ravager par trois hommes qui l’utilisaient comme un jouet. Elle vivait son fantasme le plus pervers. Celui qu’elle n’avait jamais osé prononcer tout haut, et elle en appréciait chaque secondes. Elle était comblée.

Aaah oui ! Prenez-moi à tour de rôle ! Je suis une pute qui passe de main en main ! Baisez-moi et jouissez en moi !

Je ne sais plus combien de fois nous avons éjaculé en elle. Dans son cul, dans sa chatte, et même dans sa bouche. Tout ce que je sais, c’est quelle n’en avait jamais assez. À la fin, elle n’avait presque plus de force pour bouger, mais elle nous exhortait à continuer. Nous la prîmes, comme une poupée offerte. Nous nous fîmes plaisir avec et on se vida à l’intérieur. Sans gêne, sans honte, rien que du bonheur

  Il arriva bien une occasion où je l’eus pour moi tout seul. J’en profitai un maximum. Je la baisai, je l’enculai, lui fit changer de position encore et encore, et jouai avec ses seins qui me faisait fantasmer.

Encore ! Encore ! Prends-moi encore ! criait-elle.

Elle avait toujours mon jus sur le visage qui commençait à sécher. Quand je n’en puis plus, je lui ordonnai de me prendre dans sa bouche, et éclatai dedans. Elle avala mon sperme sans broncher.

  Puis ce qui devait arriver arriva : il eut un moment où nous avions tous les trois besoin de récupérer, et où il n’y avait plus personne pour s’occuper d’elle. Nous étions complètement mous, vidés. Elle n’en émit aucune plainte. Elle avait aussi besoin de se reposer un peu. Nous fîmes alors une pause salvatrice. Je la regardai ébahis. Ses orifices étaient béants à force de se faire remplir. Je me demandais s’ils ne se refermeraient jamais. Ils dégoulinaient de sperme. Il avait des traces partout sur le lit. Elle se releva et marcha vers la cuisine. Nue, souillée, sans se soucier du foutre qui coulait le long de ses jambes. Nous la suivîmes, et prirent un petit casse-croute. Aucun de nous se rhabilla, ni n’alla prendre de douche pour se débarbouiller un peu. À quoi bon ? Nous allions nous resalir d’ici peu. Silencieux, nous échangeâmes des sourires et des regards.

  La pause dura tout de même plus d’une heure et demie. Plus qu’assez pour nous remettre d’aplomb. Le coup d’envoi de la seconde mi-temps fut sifflé lorsque Julie fit son allumeuse en se caressant puis en goutant le jus dont elle était remplie. Cela nous fit rebander aussitôt, et nous la baisâmes sur le champ.

Nous ne prîmes même pas la peine de retourner dans la chambre. Nous la sautâmes là, dans la cuisine. Nous nous l’échangeâmes comme une pute au rabais. L’un la prit violemment par derrière sur la table. Un autre la plaqua face au mur et l’encula. Le dernier s’assit sur une chaise et la força à s’empaler sur sa bite. Nous baisâmes et jouîmes sans retenue. Surtout elle.

  J’envie de la souiller un peu plus, et lui jutai sur les seins. Cela l’excita et elle demanda aux autres de faire pareil :

Ma chatte et mon cul sont pleins, mes chéris. Jouissez-sur moi. Recouvrez-moi de sperme ! Je veux être toute poisseuse et collante de votre foutre adoré.

Ils l’écoutèrent, et au lieu de se lâcher dans ses trous, ils lui éjaculèrent dessus. Elle avait vraiment l’air d’une pute qui s’était tapé un troupeau entier de mâles en rut. Elle dégoulinait de partout. Le visage, le ventre et les seins. Elle avait même dans les cheveux. J’avais l’impression de mater un porno japonais. Sauf que c’était ma Julie qui était la star. Elle s’étala notre jus sur son corps comme de la crème, mais cela ne nous rebuta pas, et nous continuâmes à la baiser.

  Elle hurla de bonheur lorsque nous la reprîmes en double :

Aaah ! Ce que j’aime être prise par vos deux gros chibres !

  Elle était allongée sur Jean pendant que je lui ramonais le cul par derrière. Autant je rêvais de l’avoir pour moi tout seul, autant ça m’excitait de la voir se faire remplir par plusieurs bites en même temps. J’eus alors une idée audacieuse : puisqu’elle commençait à être un peu trop à l’aise à mon gout d’être prise par deux mâles, je voulus lui faire expérimenter quelque chose de nouveau, et d’encore plus pervers. Je sortis de son anus et dirigeai mon dard vers sa chatte déjà occupée. Elle hoqueta de surprise lorsqu’elle sentit mon sexe à l’entrée de son vagin, et cria lorsqu’elle sentit cette seconde bite le lui défoncer.

Putaiiiiiiiiiiin ! Benoit ! Qu’est ce que tu fous ! Salaud ! Salaud !

Jean, lui, resta imperturbable et continuait à la baiser avec moi.

Tu n’aimes pas ça, salope ? vociférais-je. Tu veux que je me retire ?!

Aaaah ! Non ! Continuez ! Ma chatte est pleine de vos bites ! C’est terriiiiiiiiiiiiible !

  On la lima férocement ensemble, et elle jouit une fois de plus sous les sensations de cette nouvelle pénétration. J’étais fier de mon idée. J’étais certain que cela lui plairait, cette fille était complètement folle. La preuve, lorsque Steve voulut prendre ma place, c’est elle-même qui proposa :

Attends ! J’ai envie d’essayer autre chose. J’ai envie de vous avoir tous les deux dans le cul.

Tu es sûre ? demanda Steve, abasourdi.

Oh, ouais ! Allez ! Essaie !

Je n’en revenais pas moi-même.

Elle se retourna dos à Jean pour s’empaler sur lui, et Steve vient le rejoindre en lui fourrant le cul d’un second chibre. Ils démarrèrent lentement, le temps qu’elle s’habitue et que son petit trou s’élargisse, puis ils la baisèrent franchement.

Ah ! Putain ! Oui ! C’est encore meilleur dans le cul !

  Ils s’éclatèrent ainsi dans son anus plein de foutre pendant plusieurs minutes. Je me branlais comme un fou. J’avais hâte d’essayer. Quand Steve se retira, je m’empressai de le replacer. Julie poussa un nouveau cri. J’étais bien plus gros et plus large que lui. J’avais un peu peur pour elle, mais elle nous suppliait de continuer et d’y aller plus fort. Fallait pas me le demander deux fois.

  Je ne devais manifestement pas être le seul à trouver la scène très excitante rien qu’à regarder, car Steve finit par ne plus pouvoir se retenir. Il s’approcha de nous, agrippa Julie par la tête et se branla devant son nez.

Je n’en peux plus ! Faut que je jouisse ! Prends ça, salope !

  Elle fixa impatiemment sa queue, puis il lui éjacula à la figure, la couvrant un peu plus de foutre. Cette perverse semblait aimer ça.

  J’étais rassuré de savoir que je n’avais plus à m’inquiéter de devoir céder ma place pendant un moment, mais je commençai à avoir très envie moi aussi de jouir. J’accélérai alors la cadence :

Aaah  ! Julie ! J’ai trop besoin de me finir ! Je ne tiens plus !

Vas-y, remplit-moi le cul avec un peu plus de sperme !

Je ne vais pas pouvoir tenir plus longtemps ! me rejoignit Jean !

Alors allez-y tous les deux ! Je veux sentir vos queues éclater en même temps ! Jouissez pour moi !

  Avec son approbation, nous éjaculâmes ensemble au fond de ses entrailles. Cela déclencha chez elle un nouvel orgasme. Elle grogna de bonheur avec nous.

  La vague de plaisir passé, nous nous écroulâmes. Nous étions tous les quatre épuisés. Nous avions besoin d’une nouvelle pause. Je n’étais pas tout à fait sûr qu’on soit capable de rebander après ça, mais je l’espérais de tout cur car n’avais pas envie qu’on en reste là.

  Nous nous désaltérâmes, mangeâmes un bout, nous reposâmes en échangeant nos impressions. Julie était dans un sale état. Des filets de sperme lui coulaient partout sur le corps, mais elle s’en foutait tant elle n’avait plus aucune pudeur. Ce comportement finit par me faire rebander. Et ainsi, après plus d’une heure de break, je la fis se pencher sur la table de la cuisine et la rebaisa comme ma chose. Les autres prirent un peu plus de temps avant de me rejoindre, mais ils étaient encore trop rapides à mon gout. J’aurais voulu l’avoir un peu plus longtemps pour moi tout seul.

  Nous sentions tous que ce troisième round allait être court. Nous étions épuisés, et vidés. Nous voulions juste éjaculer une dernière fois histoire de marquer le coup.

  Nous retournâmes dans la chambre et la sautâmes comme une trainée. Le lit grinçait sous nos coups de butoir. Nos grognements animaux et nos échanges salaces devaient sans aucun doute traverser les murs. Tout le bâtiment devait savoir que la fille de la chambre 312 se faisait tirer depuis ce matin par plusieurs mecs en même temps, et qu’elle prenait un pied d’enfer. Je suis même étonné que personne n’était déjà venu toquer à notre porte pour nous demander que l’on fasse moins de bruit. Si ça avait été un mec, je crois que Julie, excitée comme elle l’était, lui aurait demandé de nous rejoindre. Moi, j’étais excité à l’idée que les locataires aux alentours soient en train de se branler en imaginant ce qu’on était en train de lui faire. Je me les voyais jaloux de savoir ce qui se passait juste à côté de chez eux, mais de ne pas pouvoir participer.

  Nous la baisâmes, nous l’enculâmes, et elle nous suça, jusqu’à ce que nous la fîmes jouir une dernière fois et qu’elle demanda enfin grâce :

Putain, les garçons, je n’en peux plus. Vous m’avez détruite…

On a encore besoin de jouir, nous, Julie, lui fis-je remarquer.

Je sais. Venez, je vais vous sucer. Je veux que vous vous finissiez en me jouissant dessus.

  Elle nous branla et nous suça à tour de rôle, comme une chienne affamée de sperme. Elle nous supplia d’éjaculer pour elle, clamant qu’elle avait besoin d’une bonne douche de foutre.

  Steve et Jean ne se retinrent pas et la laissèrent les faire jouir. Steve fut celui qui éclata en premier :

Julie, je viens. Aaah ! Salope ! Ne t’arrête pas de me branler !

  Elle présenta sa bouche grande ouverte, langue sortie, devant sa queue qui lui éclaboussa à la figure. Il lui donna les dernières grosses giclées qui lui restaient au fond des couilles. Il grognait en lui ordonnant de continuer de le branler pour le vider une bonne fois pour toute. Quand le flot commença à se tarir, elle avala son dard pour récolter le reste du précieux nectar. Elle l’aspira jusqu’à la dernière goutte, les joues creusées.

  Jean fut le second à se lâcher, peu après. Il attrapa son visage et se branla pour s’achever.

Vas-y, mon salaud, l’encouragea-t-elle. Vide-toi bien ce qui te reste. Je veux te voir éjaculer pour moi !

Il poussa un gémissement et éclata sur elle. Il se masturbait comme un malade, comme s’il cherchait à se racler le fond des bourses. Il lui en restait également de bonne réserve, et il lui couvrit la bouche et le menton. Elle avala avec délectation ce qu’elle put.

À ton tour, Benoit, fit-elle en se tournant vers moi. C’est à toi de te finir maintenant.

Elle voulut commencer à me sucer, quand je la repoussai.

Non ! dis-je.

  Elle fut surprise par ma réaction. Elle était peut-être épuisée et souillée de sperme, mais moi, je savais que je n’aurais pas de meilleure occasion pour profiter d’elle seul. J’en avais rien à faire quelle soit toute collante de jus, je voulais juste la rebaiser. Je m’étais retenu rien que pour ça, et pourtant, dieu sait que j’avais envie de l’arroser de foutre moi aussi. Je la fis se remettre à quatre patte sur le lit, et l’encula. Je la pris avec les toutes dernières forces qu’il me restait. Je voulais la faire mienne, la posséder, la faire hurler de jouissance. C’était ma Julie, ma salope. Je voulais qu’elle sente combien elle me rendait fou. Alors je la tirai par les cheveux et la baisai encore plus fort.

Salaud ! Salaud ! m’insulta-t-elle. J’avais dit que je n’en pouvais plus !

Quoi ?! Tu n’aimes pas ça, peut-être ?! Ca ne te plait pas de te faire enculer comme une pute ?!

Si ! Si ! J’adore !

Tu veux que je m’arrête ou que je continue, alors ?!

Que tu continues ! Utilise-moi comme ton objet pour te faire jouir ! Pitié ! Pitié !

Oh ! Ça, oui ! Je vais me servir de toi, sac à foutre !

Je la pris dans plusieurs positions, profitai de son corps, jouais avec ses seins poisseux et lui pinçai les tétons. Elle se laissa faire, perdue dans un plaisir extatique. Lorsque je la sentis secouée par un nouvel orgasme sous mes assauts, je fus soulagé d’enfin avoir accompli mon objectif. Je pus alors me détendre pour me laisser jouir à mon tour. Je la baisai violemment par devant pour me donner du plaisir, puis sortis d’elle lorsque je sentis que je n’allais pas tarder à venir. Je la fis s’agenouiller devant moi et me branla pour me finir.

Oui ! C’est ça ! Allez ! Branle-toi ! Laisse-toi jouir ! m’encouragea-t-elle.

  Elle était couverte de sperme, mais je la trouvais belle. Du jus épais pendait de son menton. Des filets glissaient sur et entre ses seins jusqu’à bas du ventre. Ses cheveux étaient collants. Je n’en pouvais plus, j’avais besoin de me soulager comme si c’était la première fois de la journée. J’avais envie de la souiller comme la petite chienne qu’elle était. Je grognai en sentant mon foutre sortir de mes couilles. Elle poussa un "ouiii" en comprenant que j’étais en train de venir, puis j’éjaculai à grands cris sur son visage. Je lui envoyai de bonnes grosses giclées gluantes qui la salirent davantage, et elle les acceptait comme si ça lui faisait du bien. Je me masturbais pour profiter pleinement de mon orgasme et m’assurer qu’il ne me restait plus rien. Quand je commençai à m’apaiser, elle me prit dans sa bouche et me nettoya le sexe avec sa langue.

Aaah ! Salope ! ne pus-je m’empêcher de gémir.

  Ca y était. On avait fini. Il était encore tôt, mais nous serions incapable de continuer même si nous en avions envie. Nous avions baisé comme des animaux jusqu’à épuisement. Nous étions à l’agonie. Aucun d’entre nous n’avait jamais vécu une telle expérience auparavant, mais je crois qu’on allait tous en retenir un très bon souvenir.

  Julie s’amusa à nous exciter encore en jouant avec le sperme qui lui recouvrait le corps. Elle se l’étalait, le goutait, et l’avalait en nous le faisant voir. C’était vraiment une salope jusqu’au bout.

  Après cela, nous primes une douche chacun à notre tour et nous séparâmes pour nous reposer dans nos chambres. Nous avions filmé toute la scène sans rien en rater. Plusieurs heures de porno intense que nous allions nous partager. C’était de drôles de vidéos de vacances que nous avions fait là depuis que nous baisions ensemble. Si nous ne pouvions les montrer à personne, nul doute que nous les visionnerions chacun de notre côté dans nos jours de manque.

  Le soir, nous fîmes nos bagages. Notre avion décollait tôt le lendemain matin. Il fallait que tout soit prêt. Nous souffrîmes de mélancolie. Nous n’avions pas envie de rentrer chez nous et que cela se termine si vite. Avant de prendre le bus avec le reste de notre groupe pour l’aéroport, nous rebaisâmes une dernière fois, une toute dernière fois, sachant qu’après cela, tout allait redevenir comme avant. Julie redeviendrait Julie la farouche, Julie l’inaccessible, et nous redeviendrons juste des amis. Nous n’en reparlerions plus, comme si ce n’était jamais arrivé. Comme si cela avait n’été qu’un fantasme vécu par d’autres personnes dont nous aurions été que les spectateurs.

  Je n’avais pas envie de revenir à la réalité. Je craignais regretter ces moments dans plusieurs années en pensant à quel point ils étaient magnifique et que plus jamais je ne pourrais en revivre de pareils. J’espérais de tout cur me tromper. J’avais également peur de ne plus pouvoir voir Julie de la même manière. J’avais pu profiter de son merveilleux corps. C’était devenu comme une drogue, et je n’étais pas sûr de pouvoir supporter un sevrage alors que ma came allait s’agiter devant mon nez tous les jours. J’étais décidé à suivre son conseil : à chaque fois que j’aurais envie d’elle, j’irais me branler et me ferait jouir en pensant à elle.

  Dans le hall d’embarquement, je n’en crus pas mes yeux en voyant à quel point Julie avait décidé de rester perverse jusqu’à la dernière minute : elle portait une jupe très courte, et manifestement sans culotte, car du sperme coulait le long de ses cuisses à la vue de tout le monde. Elle ne s’était pas nettoyée après nos ébats, et n’importe qui pouvait voir qu’elle venait de se faire tirer il y a peu comme une salope. Personne ne fit la moindre réflexion, mais je ne devais certainement pas être le seul à l’avoir remarqué. Je rebandai. Cela m’excitait de la voir assumer sa sexualité délurée en publique. Si elle avait été ma copine, je crois que je l’aurais emmené dans les toilettes pour la remplir un peu plus de foutre. Mais elle ne l’était pas, et cette pensée me déprima.

  Plusieurs heures plus tard, nous étions enfin de retour chez nous, et nous réprimes le cours de notre existence. Enfin presque. Car cette expérience nous avait tous profondément changé. Et moi, j’avais pris la résolution de tenter malgré tout ma chance avec Julie. Mais ça, c’est une autre histoire.

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