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Julie – Une nouvelle vie – Chapitre 17

Julie - Une nouvelle vie - Chapitre 17



Cette première soirée dans son appartement aura été un étalage de sexe et de perversion ultime pour Julie. Les trois bites de ses hommes ont laissé notre petite asiatique dans un état! Double anale, double vaginale, triple anale; rien ne lui a été épargné, pour son plus grand bonheur d’ailleurs. Le réveil, lui, s’annonce beaucoup moins glamour. L’adolescente a passé sa nuit pliée en deux sur le canapé, scène improvisée de ses ébats, vêtue de sa guêpière, enserrée dans ses résilles, et chaussée de ses stilettos à plateforme. C’est ainsi qu’elle s’est endormie, couverte de sueur et de foutre puant.

Les rayons du soleil se promènent chaleureusement sur la peau douce de Julie. La jeune fille sort doucement de sa torpeur et se réveille petit à petit, mais elle ne peut pas profiter de la douceur de son oreiller, ou de la chaleur de sa couette. Seules sont présentes les douleurs, les courbatures. Elle a le cul en feu, résultats de sa soirée de débauche.

Les courbatures dans les cuisses et les épaules à chevaucher ses mâles dans des positions infernales, les douleurs dans la mâchoire à sucer les trois grosses queues et les vider à plusieurs reprises. Et son anus; "Putain qu’est-ce qu’ils m’ont mis dans le cul, les salauds!". Ils l’ont en effet bien débourrée, mais ils l’ont aussi bien fait jouir. Jusqu’où sa libido va-t-elle la mener? Qu’est-ce qu’ils vont bien pouvoir lui faire faire?

Julie se perd dans ses rêveries encore quelques instants, elle voudrait se faire un peu de bien pour attaquer la journée. Elle descend ses doigts vers son sexe … "BERK, putain qu’est-ce que je suis crade!" Elle se sent tout à coup poisseuse, sa chatte l’irrite, son cul la brûle, le foutre séché lui tire la peau du visage, ses cheveux sont collés par différents fluides corporels. "Bon allez ma fille, à la douche!"

Elle se déchausse, se rend à la salle de bain et fouille dans ses affaires, "BINGO!" Heureusement que sa mère a eu la bonne idée de lui faire le plein de gels extra doux et apaisant. Avec ça elle va pouvoir se faire une bonne toilette intime avant de retrouver la douceur de son savon de douche préféré. Elle prend bien son temps sous la douche et se soulage au mieux les zones irritées et déformées par ses activités de la veille.

Une fois qu’elle a retrouvé un peu de fraîcheur, les dernières douleurs s’estompent sous l’effet calmant d’une bonne dose de crème hydratante sur sa pastille encore sensible. Pour finir, un petit moment de plaisir personnel grâce à son lait corporel parfumé qu’elle étale voluptueusement sur sa peau. Elle s’emmaillotte enfin dans une serviette de bain qu’elle noue au-dessus de sa poitrine généreuse, et décide de laisser sécher à l’air libre ses long cheveux noirs.

En traversant le couloir, elle s’assure que son père dort toujours profondément, avant de se rendre dans le salon pour y faire un grand rangement. Entre les odeurs nauséabondes de luxure, de sexe, de sueur, et les relents de pizzas froides, elle a pas mal de boulot. Elle démarre un café, ouvre en grand les fenêtres donnant sur la rue, et s’affaire à tout ranger, remettant régulièrement en place la serviette glissante.

Alors qu’elle met les dernières touches de ménages, penchée sur la table basse, dos à la fenêtre, elle est surprise par un sifflement provenant de … "La rue? Qu’est-ce que … ?" Elle se retourne et tombe nez à nez avec un groupe de jeunes hommes agglutinés à la fenêtre de l’immeuble d’en face. En bonne allumeuse, elle leur fait un petit sourire, une bise et referme sa fenêtre.

Elle se dirige ensuite de l’autre côté de la pièce récupérer la thermos de café sur le plan de travail. Cet appartement est bien équipé, elle s’y sent déjà bien. Quand elle revient vers le canapé, elle aperçoit son père sortir de la chambre, la tronche dans le cul, décoiffé, uniquement vêtu de son caleçon, la trique matinale bien apparente.

-Bonjour papa, ça va?

-La tête en vrac mais ça va! Bonne idée le café.

Il s’affale dans le canapé, théâtre de leurs dépravation incestueuse il y a seulement quelques heures. Pimpante et le pied léger, Julie sort un mug et vient le servir sur la table basse. Eric la matte du coin de l’il dans sa serviette de bains. "Elle est quand même sacrément bonne cette petite pute!" Sa gaule reprend de la vigueur, ce qui n’échappe pas à sa fille. Julie s’assoit à côté de son père manifestement peu bavard ce matin. Elle lui boufferait bien la bite, mais elle se les gèle, enveloppée dans son petit bout de coton trempé.

Elle se serre tout de même un café et s’installe, calée dans le fond du sofa, les pieds appuyés sur le bord de la table. Blottie dans sa serviette, les mains sur le mug pour se réchauffer, Julie décide d’aller shabiller maintenant que son père n’occupe plus la chambre. Elle s’éclipse sans un mot laissant son père à son décuvage, et fouille dans ses derniers achats pour y prendre les vêtements et sandales qu’elle souhaite porter, puis elle file dans la salle de bains.

Coquette, elle se coiffe et laisse ses cheveux noirs lâchés sur les épaules. Elle se maquille légèrement avec un peu de fond de teint et de blush pour masquer la fatigue de la veille. Elle se crée un regard de biche avec un trait d’eyeliner pour entourer ses beaux yeux en amande, beaucoup de mascara noir pour allonger ses cils au maximum et du fard à paupière rose et blanc. Elle fouille dans sa trousse à maquillage et retrouve une barrette rose qu’elle met dans ses cheveux pour dégager légèrement son visage côté gauche. Elle met la touche finale avec un gloss rose clair, donnant un effet mouillé à ses lèvres pulpeuses.

Satisfaite, elle accroche sa serviette et passe ses vêtements. En guise de sous-vêtements, elle choisit un tout petit string blanc tout en satin, aussi bien pour le minuscule triangle qui cache à peine son pubis, que pour les bouts de ficelle qui font le tour de sa taille et se cachent entre ses fesses. Pour finir, elle passe une petite robe sexy toute blanche à fines bretelles avec un décolleté balconnet emprisonnant tant bien que mal sa lourde poitrine. Très évasée sur le bas, et la taille posée très haut juste sous la poitrine, et soulignée par une petite dentelle laissant deviner en transparence la peau douce de son ventre plat. Évasée et fluide la robe courte cache ses petites fesses à croquer et dévoile la quasi totalité de ses cuisses bronzées.

Quasiment prête, Julie se pare d’une paire de sandales ouvertes à talons aiguilles. Elle ajuste les quelques brides autour de ses petits pieds et referme la boucle autour de sa cheville. Prenant un peu de recul par rapport au miroir, Julie est toute contente d’être aussi mignonne. Pour se contempler, elle fait virevolter sa robe, tournant sur elle-même sur la pointe des pieds surélevés par les petites plateformes de 3 centimètres. Pimpante et guillerette, la jeune fille sort de la salle de bains pleine d’entrain.

Elle se rend dans sa chambre récupérer son smartphone, en charge depuis la veille. "Merde, un message d’Alex, pourvu qu’il me lâche pas, faut absolument que je sorte Lilie de la merde!" <Désolé ma belle, mais j’ai une merde à gérer ce matin, je pourrai donc pas passer comme prévu.> Julie se retrouve bien embêtée pour sa copine, elle doit trouver un moyen de gérer ça aujourdhui.

Le message date d’il y a seulement vingt minutes "Bon allez, je tente le tout pour le tout!" Elle lui répond dans la foulée <Bonjour Alex, je comprends et j’espère qu’il n’y a rien de grave. Eske j’peux passer vous voir à la place?> … <Ouais bien sûr, tu sais où je crèche?> "Nickel, en plus il est dispo!" Julie lui répond qu’elle aimerait bien son adresse pour trouver le bon bus, et Alex lui envoie adresse et code d’entrée. "Bon ben y a plus qu’à!" Elle cherche ensuite sur l’appli des bus de la ville, puis prépare son petit sac à main rose, raccord avec la barrette de ses cheveux.

Enjouée que tout se passe finalement bien, elle ne peut s’empêcher de jeter un il à sa nouvelle collection de jouets sexuels, que son père a rapidement balancé dans un carton lorsqu’il s’est emparé de son matelas la veille. Le cur de la jeune vicieuse accélère, un petit sourire amusé se dessine sur ses lèvres brillantes de gloss, une idée se forme dans son esprit "Et si…" Et si en bonne salope elle avait toujours sur elle un trousseau pour les petites urgences. Elle fouille dans la boîte et en sort le petit vibromasseur, la chaîne anale, le doigt chinois, le rosebud, et le tube de lubrifiant. Elle les aligne sur son lit à côté de son sac. "HUM… Tout ne rentrera pas, il va falloir faire un choix ma vieille!"

Julie prend sa décision, le tube de lubrifiant et trop volumineux, et son cul lui fait trop mal ce matin pour y enfiler son rosebud, elle emballe donc les trois autres articles, un paquet de mouchoirs en papiers, au cas où, son smartphone et un kit de maquillage d’urgence. Fière d’elle, elle ressort de la pièce pour annoncer à son père qu’elle file chez Alex. Lorsqu’elle arrive dans le salon, Éric est subjugué par la beauté de sa fille, elle n’a plus rien à voir avec la fille studieuse et mal fringué, et pourtant elle est plus bandante que vêtue du corset dans lequel lui et les turcs ont déversés leur perversité et leur foutre la veille. Dans son attirail blanc et rose, on dirait une lolita de manga, un bonbon que l’on voudrait croquer tout cru.

-Eh ben, ma salope, viens un peu ici que papa profite un peu de toi! Lui dit-il, sa virilité gonflant dans le caleçon crade de la veille.

-J’veux bien, mais il faut que je file! Un truc à régler pour Lilie. C’est vraiment important.

-Woh woh woh! Tu peux pas te présenter devant moi, bandante à souhait, et me laisser comme ça la queue toute dure et les bourses pleines.

C’est vrai que la petite cochonne n’a d’yeux que pour l’entrejambe de son vicelard de père.

-Bon juste une pipe alors! Je me suis fait toute belle et j’ai encore le cul en feu après la dérouillée d’hier soir!

-Allez! J’vais pas faire le difficile! Viens voir papa…

Il se vautre dans le sofa, et écarte les cuisses pour accueillir la jeune nymphomane. Julie s’approche langoureusement, un doigt dans la bouche, le regard gourmand rivé dans les yeux de son paternel. Elle soulève le bas de sa robe, mais fait attention de ne pas trop en montrer, puis s’agenouille entre les jambes poilues. Elle fait vraiment lolita, avec sa barrette dans les cheveux et le chouchou qui lui entoure le poignet. Éric n’a pas assez de place dans son froc pour contenir sa virilité, il sent ses boules gonfler comme jamais, son cur bat la chamade.

-T’es une vraie salope, tu sais? Allez bouffe-moi la queue!

-HUN! Oui, je suis ta salope… J’ai envie de ta bite, et de ton foutre bien chaud!

Elle lui touche délicatement les genoux, remonte d’une langoureuse caresse le long des adducteurs et passe ses doigts sous le tissu du caleçon. Sa main droite entre en contact avec la peau fine et douce du sexe dur comme un barre de fer, pendant que son autre main fouille les profondeurs du sous-vêtement à la recherche des énormes bourses. Ces dernières se contractent au contact de ses doigts fins.

-HUM, oui comme ça! Branle moi ma chérie!

Un frisson le parcours sur tout le corps. Il n’en peut plus d’être enfermé dans ce bout de tissu, il soulève son derrière et se débarrasse prestement de son falzar. Julie se retrouve nez à nez avec le gland gorgé de sang de son père. Les relents de fluides corporels séchés de la veille agressent son joli nez retroussé, elle ne peut retenir une grimace. Les grosses baloches en main, les doigts sur le haut du vît de chair, la petite vicieuse tente tout de même de le lécher sur toute la longueur, mais le goût est encore pire que l’odeur "Il aurait pu se laver ce porc!" Mais maintenant qu’elle est bien chauffée, il est hors de question qu’elle n’ait pas sa dose de protéines.

Reprenant la branlette, mais de la main gauche, elle se retourne, et d’un geste rapide plonge une petite cuiller dans le pot de confiture à la fraise que son père avait laissé sur la table basse. Elle s’en nappe la langue. Lorsqu’elle embouche la grosse bite de son père, le contact doux et froid de la gelée sucrée l’électrise, et Julie sent le gros membre gonflé dans sa bouche renforcé par un nouvel afflux de sang dans le membre dur.

*SLURP* *SLURP* *SLURP* *SLURP* *SLURP* Julie s’active et le pompe avec gourmandise. Elle caresse ses grosses bourses et lui titille le périnée du bout des doigts.

-Putain comme c’est bon! Suce moi bien profond salope! Oui….. HUN

Goulument et avec dextérité, Julie concentre ses efforts sur la tête du sexe raide, elle l’aspire, la lèche. Éric sent les lèvres et les joues de sa fille se serrer contre son gland. La chaleur et l’humidité de cette bouche lui procurent un plaisir à nul autre pareil. Sa salope de fille s’améliore à chaque nouvelle pipe, il est déjà sur le point d’exploser dans cette délicieuse bouche.

-AH! AH! Oui vas-y ma puce, suce moi bien! Je viens! HUN! HUN! OUF!

Il veut lui attraper la tête pour lui baiser le fond de la gorge, mais se retient, les lèvres de sa fille sont bien mieux que son sophage. Julie sent le gland de son père gonfler sur sa langue. Elle veut sentir le foutre gluant sur sa langue, hors de question qu’il explose dans sa gorge. Elle ouvre alors la bouche, et, la langue en gouttière, lui lèche le dessous du frein tout en lui branlant la verge avec un extrême douceur. Elle veut absolument le terminer en beauté, et décide de stopper la branlette pour concentrer tous les plaisirs d’Éric sur son gland en le léchant avec douceur et gourmandise, ensuite elle arrête ses léchouilles pour reprendre la masturbation du vît de chair tendu. Elle alterne ainsi entre masturbation et léchouilles pour désarçonner son amant.

Éric est parcouru de vagues de chaleur par les différents attouchements de sa fille, et il se régale en observant la servitude de sa gamine, qui lui administre une fellation magistrale. Elle le branle en douceur, les yeux fermés, la bouche, aux magnifiques lèvres couvertes de gloss brillant, grande ouverte, et la langue tirée prête à recevoir sa dose de semence. Il ne tient plus, il sent la sève monter dans son membre durcit, il se détend un maximum.

Le goût est unique, la substance visqueuse se repend en douceur sur la fine couche de confiture qui lui couvre encore la langue. Julie se délecte, elle adore ce goût âpre mélangé à la douceur de la fraise sucrée, puis c’est l’explosion, Éric ne peut plus se retenir, et il éjacule des jets puissants de foutre gluant dans la bouche ouverte.

-Oh putain! Salope! Qu’est-ce que c’est bon! Branle moi bien! Aaaaaaaaaaaaaaaaaaah!

Au premier éjaculat, Julie s’active de nouveau sur la queue de son père et le fait juter dans sa bouche. Elle referme ses lèvres sur la grosse bite pour être sûre de ne pas perdre une goutte de son nectar favori. Elle aspire sur son nouveau jouet pour bien le vider, puis dans un *MOUAC* visqueux, elle libère son père et lui montre le fruit de sa traite en lui exposant sa langue noyée dans le mélange blanc et rose. Elle lui sourit, et déglutit sa dose de sperme dans un *GLUP* bruyant. Elle lui embrasse enfin le bout de la queue pour y récolter la dernière goutte et se relève.

Espiègle, la jeune fille se redresse en toute innocence, elle remet sa petite robe en place, sort le tube de gloss de son sac et applique une nouvelle couche de brillant sur sa bouche pulpeuse. Coquine à souhait, elle remercie son père d’un simple regard gourmand.

-A plus tard papounet chéri! Et elle le quitte d’un clin d’il provocateur.

Éric admire alors sa princesse s’éloigner, tortillant du cul sur ses talons, il adore voir le tissu léger révéler ses globes fessiers alternativement d’un pas sur l’autre. Ses pensées lubriques l’obsèdent, il n’a qu’une envie, punir cette petite salope d’allumeuse. "Tu perds rien pour attendre ma fille!"

Quelques instants plus tard, Julie sort du confort feutré de son appartement pour déboucher dans la cacophonie ambiante de la rue passante devant le PMU. La chaleur lourde de l’été se fait déjà sentir, la jeune fille est contente de porter sa petite robe ouverte. L’évasé de sa petite robe laisse la brise lui caresser les endroits encore meurtris des ébats de la veille, et les triangles reliés derrière la nuque soutiennent tout juste sa poitrine généreuse.

Julie est agréablement surprise du confort de ses sandales, elle navigue aisément dans les rues du centre où se trouve le PMU de Marco. Elle se faufile entre les stands plus ou moins improvisés de la braderie dominicale, dans un déhanché sexy, ses gros seins, à peine soutenus par le fin tissu élastique de sa tenue, sautant au rythme de ses pas. La gamine a un peu de mal à se frayer un chemin dans la foule dense, et son regard est attiré par un tas de petits étalages de bric et de broc en tous genres.

Malgré l’heure déjà bien avancée, elle s’arrête devant un jeune brocanteur jouant sur la nostalgie des clients en leur présentant des tas de friandises classiques des années 90. Le grand distributeur de chuppa chups fait mouche auprès de la jeune fille qui se laisse tenter par ses sucettes préférées à la cerise. Ni une ni deux, la jeune espiègle déballe et embouche la friandise avant de se remettre en route pour prendre le bus qui la mènera chez celui qui, elle l’espère, pourra sortir sa Lilie de la merde.

Julie, dans sa tenue légère et sexy, barrette rose dans les cheveux, et sucette en bouche fait de nouveau l’objet de toutes les envies, jalousies et autres attouchements furtifs. Entre les regards gourmands des mecs pour ses seins soutenus de leurs triangles de tissu, les injures de leurs copines, les sifflements de tous les petits cons et autres pervers qui se régale de voir la jeune suceuse allumeuse et lui passent la main au cul à la moindre occasion. C’est toute flattée et quelque peu excitée de toutes ses intentions, qu’elle parvient à son arrêt de bus.

"Oh merde! Manquait plus que ça!" La foule agglutinée autour de l’abri lui rappelle son premier trajet chez le turc. "Bon allez tout va bien se passer!" La jeune écervelée monte dans le bus et se faufile à l’arrière, espérant trouver une place assise. Manque de chance, elle se retrouve coincée entre trois mecs, un barbu, un rouquin et une sorte de biker chauve, juste devant un étudiant à lunettes assis sur son strapontin. Le barbu au look hipster ne peut s’empêcher d’admirer la belle.

-Excusez-moi, je sais que ça va faire clicher, mais belle comme vous êtes, vous devez être modèle, non?

Julie n’est pas sûre de la réaction qu’elle doit avoir. On ne lui avait encore jamais fait ce genre de compliment. Elle passait complètement inaperçue jusqu’à il y a quelques jours, et depuis elle n’avait cessé de servir de jouet sexuel. Un sourire timide, le regard vers le sol, c’est toute timide qu’elle retire la petite sphère sucrée et brillante d’entre ses lèvre, repasse délicatement ses cheveux derrière son oreille gauche, avant de répondre:

-Non pas du tout! Je suis juste serveuse dans un bar…

Le barbu se présente, Alain. Lui et ses potes; Jacques dit "Jacky" et Momo, sont producteurs/photographes et ils recherchent de nouveaux modèles pour leurs productions. Ils en ont marre des modèles trop classiques avec lesquels ils bossent, et cherchent de nouveaux talents.

-Si ça t’intéresse de faire une séance de shooting, on serait ravi de te recevoir. Tiens voilà notre carte, appelle-nous quand tu veux.

Il tend sa carte de visite à la jeune fille, qui ouvre son sac à main pour l’y ranger. *BOUM* *BOUM* Un dos d’âne pris un peu trop rapidement, et Alain fait tomber le petit carton au sol, entre les jambes dénudées de la belle. "OUPS! Merde!" Julie, par réflexe, s’accroupit sac à main sur l’avant-bras droit, sucette luisante à la main et les jambes écartées, au pied de l’étudiant assis devant elle. Sans prêter attention au jeune homme, elle écarte les jambes et ouvre son sac devant lui, exposant son mini string coincé entre les grandes lèvres de sa chatte, et les sextoys mal rangés au milieu de ses friandises dans son petit sac rose.

Le gamin n’en revient pas, une si belle jeune fille, qui lui rappelle les personnages de manga sur lesquels il fantasme depuis des années, s’expose et affiche un attirail de jouets sexuels, juste pour lui. Il en profite pour la snapper: le string transparent à cause de la mouille, les lèvres imberbes, les sextoys, il ne rate rien. Les trois potes, eux, observent la scène, un large sourire sur les lèvres.

-Bon, c’est pas tout ça! Nous, on descend là. Mais tu nous appelles hein?

Julie se redresse, sans remarquer l’adolescent qui a bien enregistré les divers clichés de la jeune allumeuse. Elle regarde les trois acolytes s’éloigner, un large sourire sur les lèvres, et leur répond:

-J’y réfléchi, j’vous tiens au courant, promis!

"Un photoshoot?" l’idée ne lui déplait pas, elle n’y avait juste jamais pensé. "En plus y sont pas mal! Ils ont l’air plus classe que tous les péquenauds que j’me tape depuis jeudi!" Toute excitée, elle range la carte de visite, remet son bonbon en bouche, sort son portable et décide de prendre des nouvelles d’Aurélie. <Coucou ma belle! Comment tu vas depuis hier?> *BOUM* *BOUM* Encore un dos d’âne qui secoue ses grosses loches de haut en bas. Surprise, elle manque de faire tomber son téléphone. *BZZT* *BZZT* Ce dernier tremble dans sa main, c’est Lilie qui lui répond. <Ça va tkkt, c’est passé! J’avoue que le vieux porc m’a secouée avec ses godes de merde!>

La belle asiatique est sur le point de répondre à son amie lorsqu’elle sent une main sur son épaule.

-Hé mais t’es la p’tite tepu de l’ot’ jour! Décidément, t’es toujours en train de sucer ou d’allumer tout s’ki a une bite?

Surprise la jeune fille se retourne et se trouve en face du torse du grand Michel, le grand black d’1m95 dont elle a vidé les couilles avec Karim et ses potes, et qui a dégoté la micro jupe et le mini T-shirt qui lui ont permis de décrocher son contrat chez Marco. Le jeune homme qu’elle avait à peine calculé trois jours plus tôt, mais dont elle avait apprécié la bite et le foutre, n’avait vraiment rien pour plaire, à part sa grosse queue. Plutôt longiligne et aux muscles saillants, coiffé de sa casquette mal assortie à son short et son maillot de basket, dans un style bien beauf’ qu’un sac LV en bandoulière et des claquettes chaussettes viennent compléter. Il a un faciès peu rassurant avec son gros nez et un sourire affichant des dents mal alignées et cassées par endroits.

Mais notre Julie ne s’arrête pas à ce genre de détails, elle se souvient surtout que ce mec, a participé avec ses potes au débridage des inhibitions de la belle. Elle comprend l’allusion à la sucette entre ses lèvres luisantes, et se pare de son sourire le plus espiègle pour lui répondre:

-Ben faut dire que vous m’avez ouvert la voie avec toutes vos queues, maintenant j’aime bien quand un mec me mâte comme s’il voulait me baiser…

Elle laisse sa phrase en suspens pour voir si le jeune homme va mordre à l’hameçon.

-Ouais en tout cas c’est réussi ma vieille, t’es trop bonne comme ça! La classe, quoi … tu vas voir ton ceum ou quoi?

La belle, flattée, fait mine d’être gênée.

-Nan, t’es con! J’ai pas de mec, c’est juste pour être jolie. J’ai pas l’droit?

-Si si! Mais franchement, t’es trop bandante. Encore plus que quand tu nous bouffais la bite l’ot’ jour!

Julie jubile, elle l’a carrément ferré, loin d’être gênée par l’allusion à son dernier voyage en bus avec les six jeunes de la cité, elle lui sourit en portant son index gauche à la bouche et se dandinant de gauche à droite. Elle doit tout de même lutter pour conserver son équilibre.

-Oui, et donc? …

-Ben, avec les potes, on arrête pas de parler de toi, tu nous a à peine montrer ton cul, et on n’a même pas pu t’enfiler. Karim arrête pas de nous charier, y parait que tu t’fais baiser dans les sexshops et tout! Du coup, par ta faute, j’ai hyper mal au couille, et là j’me vois bien te démonter … tu vois quoi! … Pour me soulager et tout …

Le chauffeur de bus donne un gros coup de frein pour éviter de justesse un groupe de gamins qui traversent sans regarder. Julie, surprise, s’écrase contre Michel, et sent, en effet, la tige durcie dans le caleçon du jeune homme. Elle éclate d’un rire instantané et innocent.

-T’es sérieux? Tu veux que j’te baisse le froc là maintenant et que j’te suce devant tout le monde? Moi j’men branle! Mais le gamin va nous faire une éjac’ précoce et la vioque devant elle va claquer d’un crise cardiaque!

Le gaillard est décontenancé par l’aplomb de la petite asiatique. Bien qu’il ait entendu les rumeurs sur les exploits de la gamine, il n’avait pas anticipé qu’elle accepte si facilement. Il tente alors une approche encore plus directe:

-Ouais t’as raison, viens on descend au prochain arrêt, j’connais un p’tit coin tranquille!

-Tu fais chier quand même, j’ai pas trop l’temps là. J’ai rendez-vous!

"Merde c’était trop beau!" Michel ne peut réprimer un regard déçu, qui fait jubiler la belle brune. Loin de se démonter, il attrape la petite main manucurée, la plaque sur son entre jambe, et fait une nouvelle tentative:

-Allez vas-y! Un p’ti coup rapide, tu peux pas me laisser comme ça! C’est ta faute aussi, à faire la tepu là!

La belle sent le barreau de chair dur comme du bois au travers du nylon. Elle ne peut réprimer un sourire gourmand, ce qui n’échappe pas au grand black. A l’approche de l’arrêt de bus, il appuie sur le bouton et entraine la jeune nymphomane vers le centre du bus. Amusée et le regard brillant d’impatience, Julie se laisse entrainé, mais pour conserver un semblant de contrôle, elle rechigne légèrement:

-Ok, mais rapide, hein? Sérieux, j’ai pas le temps!

-T’inquiète ma belle, on va pas faire un porno non plus!

A l’ouverture des portes, le couple ne perd pas de temps, et sans se retourner, le jeune homme entraine sa salope derrière un poste électrique à proximité camouflé par des bosquets laissés à l’abandon. Julie, perchée sur ses talons, peine à suivre le rythme du grand gaillard, qui la guide derrière les fourrés entre une voiture apparemment à l’abandon et le mur tagué du poste.

-Ici on devrait être peinard, vas-y bouffe moi la bite, j’en peu plus.

La petite asiatique dénote dans le décor, son style manga/lolita contraste fort avec l’épave, les capotes et autres détritus s’amoncelant au pied du petit bâtiment anonyme. Elle enveloppe le reste de sucette dans son emballage, dépose son sac à main sur les restes du siège conducteur avant de faire face à son amant qui, en un même mouvement attrape le visage de la belle de sa main gauche, et déballe la marchandise de la droite. A moitié accroupie, la jeune fille incline son visage et d’un sourire interpelle Michel:

-Tu perds pas de temps mon cochon! J’t’ai dit que j’avais pas le temps!

-Vas-y fais pas ta chieuse non plus! J’vois bien qu’t’as envie d’ma queue, sinon t’aurait pas galopé pour me suivre!

Le sourire de la belle s’élargit soudain:

-Pas faux! Mais j’te préviens, on va faire le kamasoutra! Tu m’baises ou j’te suce …

Mais Michel ne compte pas se laisser commander, surtout pas par une petite salope comme Julie, elle l’a suivi, donc elle va faire ce qu’il veut lui! Il lui fourre sa bite dans la bouche sans lui laisser le temps de finir sa phrase. Julie, la bite en bouche et toute contente de servir ce beau spécimen, fait mine de se rebiffer:

-hummmm hummmmm…

Les deux mains en appui sur les cuisses musclées de Michel, elle tente, sans conviction, de repousser le jeune homme. Ce dernier entend bien profiter de la bouche gourmande, il attrape le visage de la belle et entreprend de lui baiser la bouche. Il commence à faire coulisser sa grosse tige entre les lèvres encore brillantes de gloss. Julie se relâche et se met à aspirer goulument le barreau de chair dans des *SLURP* humides et bruyants. Ses mains douces remontent le long des cuisses du basketteur, la droite coulisse le long du membre déjà humide et lubrifié de salive, alors qu’elle caresse les grosses couilles tendues de la gauche.

-Oh putain! T’es vraiment une bonne salope!

Il relâche sa prise et laisse la petite s’activer sur sa bite, mais le jeune est un grand fan de grosses loches qui se balancent dans le vide. Frustré du peu de mouvements que lui offre les seins de l’adolescente, emprisonnés dans leurs triangles de tissu, il tire sur le nud derrière la nuque fine de son vide-couille.

Les gros seins, libérés de leur soutien, pendent nonchalamment sous la poitrine de la belle. Michel se régale de les voir se balancer au rythme du pompage gourmand de la belle. Il ne résiste pas à la tentation et les attrape à pleine main, tout en reprenant ses vas et viens au fond de la gorge grande ouverte de la petite suceuse.

-Oooooh putain! J’avais presque oublié comment c’est bon de s’faire sucer par une salope dans ton genre! HAN! Tiens avale moi c’te bite!

*SLURP* *SLURP* L’adolescente s’accroupit devant le jeune homme et se concentre maintenant sur son gland. Elle le libère et joue encore quelques secondes du bout de la langue, fournissant un nouveau genre de plaisir à son homme. Dans un désir lubrique de jouer avec Michel, elle masturbe énergiquement la bite couverte de bave, et ouvre les yeux pour le défier du regard. Elle se rend alors compte que le salaud a dégainé son smartphone pour la filmer à son insu en train de le sucer. Elle interrompt sa fellation, tout en continuant de branler le gros morceau de chair:

-Putain!!!! Mais qu’est-ce que tu fais? T’es sérieux là?

-C’est bon! Fais pas ta timide, je saisi bien que t’aime te faire filmer!

Il n’a pas tort, la belle adore se faire filmer dans ses ébats, mais elle ne va pas lui faire le plaisir de lui donner raison. Ralentissant le mouvement de sa main, elle lui lance un regard de gamine renfrogné, ce qui amuse le grand black.

-Nan mais sérieuux! Arrête tu fais chier à me filmer en train de te sucer et de te branler.

-Vas-y! Fais pas ta prude, branle moi bien et fais coucou aux lascars au lieu de gueuler!

-T’es chiant, putain! J’vais encore m’afficher en train de te pomper l’dard. Tu d’vais me sauter vite fait …

Amusé que la gamine se laisse filmer malgré ses suppliques, smartphone en main, il la dirige comme une actrice porno:

-Arrête de râler, on sait très bien qu’t’es une bonne salope! Vas-y, suce moi le gland! Sort bien ta langue … c’est ça! … HUM … Et ralenti pas, branle-moi bien la bite …

La jeune fille le défie du regard tout en lui léchant le frein, et continue de lui astiquer le manche tout en lui soupesant les burnes. Enfin, sans rompre le contact visuel, elle lui aspire de nouveau le gland et le masturbe avec vigueur, pour son plus grand bonheur.

-Putain! Qu’est-ce que t’es bonne ma salope!

Par défi, elle fait mine de se rebiffer, s’extrait du gland gonflé de sang dans un *PLOP* bruyant, et le fusille du regard de sa moue de fripouille.

-Sérieux, mec, tu m’saoule grave à m’afficher comme ça!

Mais le jeune homme n’est pas dupe, elle continue de l’astiquer tout en rechignant, il l’attrape par les cheveux et lui plante de nouveau la queue dans la bouche.

-On t’as jamais dit de pas parler la bouche pleine?

Cette fois l’adolescente ne se laisse pas faire, il faut qu’elle aille chez Alex et elle ne sait pas quand passe le prochain bus. Sans compter que maintenant elle est chaude comme la braise, elle veut sentir se beau morceau de chair en elle. Elle parvient à s’extraire de l’emprise de Michel et se redresse affichant, pour le grand plaisir du jeune homme, le ballet de sa poitrine bondissante.

Il l’attrape par la taille, l’approche de lui et se filme en train de lui rouler une galoche baveuse, aux relents de tabac froid. Les mains plaquées contre les abdos tendus de son amant, Julie, le cerveau inondé d’hormones, lutte à peine pour se défaire de cette étreinte, et quelques instants plus tard, elle lui retourne son baiser. Après quelques secondes de galoche, il lâche la bouche de la belle:

-Tu peux dire ce que tu veux, ma belle, mais je sais qu’t’aime bien et maintenant tourne toi face au mur, et montre-moi ton cul, que j’te saute comme tu l’mérites!

L’adolescente ne se fait pas prier, elle contourne Michel, et accrochant le regard du grand black, s’approche du mur. Elle plaque sa main droite contre le crépi couvert de tags, se cambre en deux, et de sa main gauche, balaye ses long cheveux soyeux sur le côté pour que le jeune homme puisse admirer son joli minois.

Elle joue avec la caméra pour que les potes du gamin puissent s’exciter sur son comportement de salope assumée. Elle les imagine déjà en train de se charrier en partageant la vidéo, voir même se branler en fantasmant sur son petit cul. Elle sent sa chatte s’humidifier à l’idée d’être l’objet de leurs désirs. De sa main gauche, elle soulève maintenant le volant de sa petite robe, et lui dévoile son petit cul musclé.

-Vas-y fourre moi bien!

Le grand gaillard ne se fait pas prier, smartphone toujours en train de filmer, il attrape la ficelle du string qu’il écarte pour dévoiler la pastille encore rougie des sévices de la veille, et le petit abricot imberbe ouvert et mouillé de désir pour sa tige.

-Oh putain, qu’est-ce que t’as pris dans l’cul ma salope?

Elle lui répond avec l’assurance de la chienne qu’elle est devenue.

-Qu’est-ce que ça peut te foutre? Toi et tes potes, z’êtes pas les seuls mâles à m’enfiler.

-Viens ici que j’t’écarte ton cul de grosse pute!

Il l’attrape par la hanche gauche et l’attire un peu plus à lui, la forçant ainsi à se plier quasi à angle droit. Tout en continuant de la filmer, avec un zoom plongeant entre les fesses écartées de la belle, il baisse le string ficelle à mi-cuisse et filme les deux trous ouverts de désir. Il lui titille la pastille de l’index, et lui doigte la chatte détrempée de son majeur. La réaction de l’adolescente ne se tarde pas, malgré son anus à vif, elle est prise de désir, des bourdonnements sourds la gagnant dans son bas ventre.

-Baise moi, putain! J’ai envie de ta grosse bite dans ma chatte!

Michel ne perd pas plus de temps en préliminaires, il veut se farcir ce petit bout d’asiat’. Il se redresse et du haut de ses presque deux mètres, domine la gamine offerte devant lui. Contraint de fléchir les jambes pour embrocher la gamine malgré ses 15cm de talons, il attrape son sexe de la main gauche, et le dirige à l’entrée de la vulve ouverte, la main droite sur la taille de la gamine pour la forcer à se cambrer encore plus.

Raide comme une barre de fer, il embroche l’adolescente en un coup de reins. La belle est aux anges.

-HAAAANNNN! La vache, qu’est-ce c’est bon ta grosse queue de black!

-J’vais te démonter tepu! Tiens!

Il se retire presque entièrement et la repénètre d’une énorme poussée de ses abdos d’acier. Ce nouveau coup de queue fait à moitié décoller la frêle Julie, et la propulse vers l’avant. Elle manque de se prendre le mur. Julie est obligée de plaquer ses deux mains sur le mur de crépis rugueux. Ancré au fond de la belle, Michel la soulève par les hanches pour avoir un meilleur angle d’attaque, ce qui oblige la petite asiatique à se lever sur la pointe des pieds.

Cassée en deux contre le murs rugueux et poisseux, dans une position d’équilibre précaire sur la pointe de ses plateformes, les seins balans sous la poitrine, et le string tirebouchonné au dessus des genoux, la jeune fille encaisse les violents coups de bites du grand sportif.

-HUN! HUN! Oui vas-y! Bien à fond!

-HAN! HAN! Putain fais chier!

-Attends!

L’adolescente repousse son mâle qui s’écarte, toujours en la filmant, la queue tendue luisante de mouille et de bave. Élégamment, elle écarte l’élastique droit de son string et sort sa jambe. Elle lâche ensuite le bout de tissu qui s’entortille négligemment sur sa cheville gauche. La main gauche en appui sur le mur, Julie reprend sa position cambrée, sur la pointe du pied gauche, soulevant son genou droit le plus haut possible de sa main droite.

Michel n’en loupe pas une miette sur son smartphone, puis devant la fillette ouverte, s’empare de la cuisse soulevée dirigeant l’objectif de la caméra sur la poitrine opulente, et de sa main libre, accentue encore la cambrure de la petite en lui appui sur la fesse gauche. Il se plante de nouveau en elle, et commence à la baiser brutalement en gros coups de sa queue d’ébène.

Secouée par les grands coups de rein et dans un équilibre très précaire, Julie gémit:

-HUN! HUN! Oui vas-y! … Oooooooh! … Pu…tain

Énervé de devoir se courber en deux pour baiser cette petite salope, Michel se met à lui claquer violemment la fesse gauche. Julie raffole de cette double violence et viens à la rencontre du chibre qui lui défonce la chatte.

-Oui!… Putain!… Baise…moi…bien…à…fond!

-HAN! HAN! Tiens! Salope! prends ça! *CLAC* *CLAC* *CLAC*

En sueur, dégageant de fortes odeurs de sueur et de sexe, il s’interrompt brièvement pour attraper la gamine sous les cuisses, de ses grosses mains musclées. Les jambes pendantes dans le vide, soutenue par Michel et en appui sur ses mains, Julie subit de nouveaux les assauts encore plus violents de son amant, maintenant à la bonne hauteur.

-Han! Oh … oui! Han … C’est bon! … Han! … Elle est bonne ta queue … HAN! … Continue … Han! … J’la sens bien! … Han! … Démonte moi!

Julie sent la bite de Michel taper contre son col à chaque coup de boutoir. Les rapports répétés de la veille sont bien loin, la petite, humide et excitée est toute à son plaisir, les yeux mi-clos, elle encourage son mâle.

-Han! … J’vais jouir, putain! … Han! … Plus vite, bourre-moi bien!

Comme un pantin désarticulé, Julie est balancée de haut en bas par la puissance de Michel qui ne faiblit pas et s’amuse avec le poids plume.

-T’aime ça, ma grosse queue … hein salope?

-Ooh oui! … C’est trop bon bordel!

Toute à son plaisir, dans le bruit obscène des *FLOC* *FLOC* qui rythment leurs ébats, et sur le point de jouir, elle encourage son étalon.

-Oui … Oui … Oui … J’aime ça! … Bien fort, comme ça! … Oh oui!

Sur le point de jouir, Michel pilonne la gamine et sent sa queue tressauter dans le vagin qui se contracte dans un rythme désordonné à cause de la position extrême de la belle. Il est sur le point d’exploser:

-Putain! Ça vient! OUUUUUUUUUF!

En mâle moyen, le grand black ne se soucie pas de faire jouir la belle asiatique, tout à sa propre jouissance, il ressort de la vulve béante de mouille et libère les cuisses de la gamine. Julie, dans l’urgence se rattrape tant bien que mal pour ne pas s’écrouler au sol, et comme par réflexe s’accroupit devant la bite dure et luisante que le jeune homme astique avec vigueur.

Le portable toujours en train de filmer, il lâche sa queue et place sa main libre sur la nuque de la belle. Julie reprend d’elle même la branlette et de sa main droite s’excite sur la bite lubrifiée, dans un *FLOC* *FLOC* humide. Elle lui caresse les bourses de sa main libre et ouvre grand la bouche pour intercepter l’offrande.

-Argh! Putain! Oh oui! Plus vite ma salope!

Julie sent alors la bite se contracter sous ses doigts, elle se précipite pour emboucher le gland, mais trop tard, les premiers explosent avant qu’elle ne l’ait en bouche. Michel ne perd pas une miette de la scène et se régale de voir les giclées blanches et gluantes tapisser le palais et la langue de la petite asiatique. Il continue de filmer lorsque la gamine lui aspire le gland pour le vider jusqu’à la dernière goutte de son nectar, dans des bruits de succion obscènes.

Il continue de filmer lorsque sa bite ramollit dans la bouche de la belle asiatique. La source se tarissant après les huit éjaculas dont il lui a fait don, Julie ouvre la bouche pour exposer à l’objectif le fruit de sa récolte. Le grand sportif se régale à enregistrer la bouche pleine de son sperme dans laquelle la petite langue rose de l’adolescente semble nager. Dans un dernier sourire gourmand, Julie se régale à déglutir le cadeau de son amant.

"Putain, qu’est-ce qu’il est bon son sperme! Il faut à tout prix que je le revois. Et cette queue, qu’est-ce qu’elle être bonne au fond d’mon cul!" Julie fantasme déjà de ce que le grand gaillard peut encore lui offrir. Perdue dans sa rêverie, la belle continue de le masturber avec tendresse, le prenant en bouche en suçant amoureusement le sexe qui finit de débander entre ses lèvres.

-Putain! T’es vraiment un bon coup, et qu’est-ce que t’es gourmande!

Il ponctue sa phrase d’un clin d’il alors que Julie le retire de sa bouche pour reprendre son souffle. Elle se redresse péniblement, toute ankylosée des différentes positions qu’elle a subi. Elle lui sourit timidement, et lui tape sur l’épaule:

-Merci, mais t’es con, c’était vraiment juste! T’as bien failli m’en foutre partout!

Elle remarque alors qu’il est encore en train de la filmer.

-Mais c’est pas vrai? T’as quand même pas tout enregistré?

-Nan mais c’est bon, arrête de nous faire croire que t’aimes pas ça, on sait qu’t’aime la bite et le foutre! Fais plutôt coucou et dit merci à la caméra!

En effet Michel n’est pas dupe, il a bien noté que la belle n’a jamais essayé de se soustraire à la caméra. Julie lui concède en un sourire complice et mime un bisou vers la caméra, elle termine le spectacle et se penchant une dernière fois vers la bite toute molle et en lui faisant un bisou sur le gland, une goutte se dépose sur ses lèvres. Soudain, Michel fourre sa bite dans son froc, et range son smartphone puis se met à courir en direction de l’arrêt de bus.

-Merde le bus!

Alors qu’il se précipite en dehors des fourrés, il se tourne vers Julie et lui crie par-dessus l’épaule:

-Bouge-toi les miches! Reste pas plantée là comme un cruche…

Julie se jette pour attraper son sac, le string toujours entortillé autour de sa cheville. Elle rattache vite fait le haut de sa robe derrière la nuque, mais ne peut s’empêcher de lâcher quelques jurons:

-Merde! Fais chier, putain!

Alors qu’elle essaye d’avancer, elle tire sur le bout d’élastique de sa main droite et passe sa jambe dedans dans un cloche pied peu assuré, déséquilibrée par le balancement de sa poitrine à peine soutenue. Inquiète que le grand black la plante sur place, elle se redresse et lance un regard en direction du bus arrêté.

-Merde! Merde! Merde! Le connard va me planter là! Mais quelle conne j’te jure …

Alors qu’elle jure à voix haute, et qu’elle maudit ses talons de salope qui l’empêchent d’accélérer au risque de se flinguer une cheville, elle se rend compte que Michel discute avec le chauffeur et que le bus ne redémarre toujours pas. Quelque peu rassurée, elle se permet de ralentir son allure afin d’assurer au mieux ses pas. Elle parvient finalement, essoufflée, aux marches du bus, et se rend compte au sourire béant du quadragénaire au volant qu’elle a encore la goutte de sperme sur la lèvre. Elle la lèche vite fait, et un peu confuse, remercie chaleureusement le chauffeur de son plus joli sourire:

-Merci … *HUMPH* *HUMPH* Excusez *HUMPH* moi *HUMPH* C’est gentil *HUMPH* d’avoir *HUMPH* attendu!

Et le chauffeur d’un air patibulaire lui retourne un sourire enjoué:

-De rien jeune fille! Il faut bien que jeunesse se passe!

Peu désireuse d’engager plus avant la discussion, elle valide son pass sur la borne et rejoint Michel qui s’est déjà installé, l’air triomphant, sur la banquette du fond. Alors qu’elle lui passe devant pour se caler au fond du siège, fier comme un coq, il lui lance:

-C’était auch! Hein poulette?

-C’est clair, j’aurais été trop en retard avec le prochain!

-Mais t’es conne ou quoi? J’te parle de notre arrêt câlin!

-Tu parles d’un câlin au milieu des capotes usagées… t’es trop "love" toi…

-Ouais mais avoue, c’était cool, non?

La petite, qui se tortille du cul sur son siège, l’écoute à moitié, elle tente de remettre en place son string tout entortillé.

-Ouais ouais…

-Tu déconnes, nan? J’t’ai quand même bien dérouillé…

"Oh putain! On dirait que j’ai fait mouche! Môsieur est susceptible!" La jeune fille décide de jouer un peu avec le sportif piqué au vif.

-Ben j’sais pas! Qu’est-ce que tu veux que j’te dise? Moi j’adore les bonnes bites et le bon foutre chaud et gluant! Et toi t’as juste fait ton affaire et tu t’es vider les couilles, c&r

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