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Julien et le piquenique – Chapitre 1

Julien et le piquenique - Chapitre 1



La sortie sannonce bien : le soleil brille déjà, tout le monde est là. Davance je suis satisfaite : mon chéri est venu parmi les premiers. Un long baiser promet dardentes caresses. Nous savons quavec tous les autres autour de nous, nous serons à la peine pour faire des câlins. Julien est chou ; il a pensé à apporter une couverture à nous seuls destinée. Nous trouverons bien un endroit isolé pour faire des choses, surtout quaujourdhui je dois lui donner mes fesses : il me tarde. Je connais la taille de son engin, je nai même pas peur quil me la mette là-bas en bas.

Enfin le bus retenu arrive ; nous montons tous en désordre. Nous arrivons à nous planquer au fond pour être seuls. Nous nattendons que quelques minutes pour nous embrasser à bouche que veux-tu. Nos langues se connaissent fort bien. Jattendais cet instant depuis hier au soir : sa main passe sous ma jupe pour chercher ma choupinette. En mhabillant ce matin, jai « oublié » de mettre ma culotte. Julien en est ravi ; il peut me masturber comme il faut rapidement après avoir caressé lintérieur de mes jambes ouvertes.

Jaime quand il fouille ma chatte. Il le sait, il en profite largement. Je ne sais même pas si les autres nous voient, je men fiche totalement. Je suis avec mon copain qui me fait du bien : que demander de mieux ? Il me fait jouir une fois. Il garde sa main sur ma foufoune comme pour mieux sentir ma cyprine couler. Il commence à me doigter. Là, je sais que lui faire : je sors sa bite du pantalon ; il bande comme un âne.

Je la prends à pleine main, et je descends lentement le prépuce jusquaux couilles. Je sens son mandrin frémir entre mes doigts. Je tire encore plus vers le bas, jusquà lui faire mal. Je sais quil aime bien ce genre de douleur

Je regarde devant : personne ne nous regarde ; alors, jen profite pour me baisser sur lui. Je prends sa queue dans la bouche. Elle a un vague goût durine (jadore) ajouté à son odeur de pine naturelle. Ses mains ont changé de place : Julien les a posées entre mes fesses pour caresser mon anus. Ce nest pas la première fois quil me branle à cet endroit.

Je suis excitée encore plus que de lavoir dans ma bouche et de sentir ses doigts sur mon cul. Si ma langue lèche son gland avant de prendre tout son bâton, sa main me caresse tellement bien le rectum que je me raidis en jouissant. Vivement quil mencule !

Sentant mon orgasme, il en profite pour entrer un doigt loin dans mon ventre. Il le fait aller et venir. Cest bien la première fois quil me branle ainsi : cest bon, cest jouissif. Je le laisse faire, ça me sert dentraînement pour tout à lheure.

Malgré moi, je mordille sa queue. Je sais que je ne devrais pas. Je ne peux me retenir. Ma tête fait des va-et-vient sur la bite. Il soupire de bonheur ou de plaisir. Je sens que sa queue gonfle un peu : il va jouir. Je me prépare à recevoir son jet de sperme. Je suis friande de sa semence. Je ne sais pourquoi il largue une quantité supérieure. Jarrive difficilement à tout conserver dans ma bouche. Je garde tout en me relevant : jouvre la bouche pour quil voie que jai toujours son jus.

Javale très lentement en faisant de nombreuse pose entre chaque minuscule gorgée. À chaque fois, je montre ma langue pleine de ses germes. À la fin, quand jai tout avalé, je lembrasse en ayant quelques résidus de lui sur ma langue. Pas dégoûté du tout, Julien déguste le reste avec moi, comme quand il me donne à lécher ses doigts après mavoir branlée.

Le bus ralentit : nous arrivons sur les lieux du piquenique. Nous nous remettons correctement : personne ne peut se douter de ce que nous avons fait. Jai pourtant un creux dans mon ventre, lenvie de sa bite devant et derrière, surtout derrière.

Avec les filles, nous mettons « la table » pour poser les victuailles sur des couvertures ainsi que des assiettes en carton.

Le repas se passe normalement, mis à part les baisers échangés par la plupart des participants : tous ou presque ont des liaisons parfois poussées comme jai avec Julien. Je ne pense quaucun nen est à notre niveau de familiarité. Je crois bien être la seule à désirer me faire enculer. La fin du repas est digne dune orgie romaine : chaque couple se caresse devant les autres. Un plus intrépide que les autres est même nu : ils vont baiser certainement.

Julien, pourquoi ne pas menculer maintenant ?

Devant les autres ?

Oui ; je crois que nous serions les seuls à faire une sodomie.

Si tu y tiens

Il me fait enlever la jupe, le corsage pour me retrouver nue devant tous les autres. Ça mexcite terriblement. Lui aussi est vite tout nu. Comme souvent quand je le vois ainsi, je ne peux mempêcher de caresser ses fesses avant de le prendre dans ma bouche. Je débute un pompier que je vais vite arrêter quand il sera excité un max. Finalement, personne ne fait attention à nous.

Il me fait coucher sur le dos, me fait écarter les jambes. Son cunnilingus est parfait. Sa langue est le révélateur dune foultitude dendroits que je connais à peine dans ma chatte. Ma tête roule dans lherbe pendant quil me fait du bien. Mes fesses sont resserrées comme si javais peur. Je me relâche complètement au moment attendu de lorgasme.

Julien vient sur moi, il me baise lentement. Jaime cette sensation de me faire écarter le sexe. Il va tout au fond, contre ma matrice. Je ne sais ce quil touche ; je gémis et tremble comme une feuille : cest délicieux.

Il faut que javoue que je baise depuis longtemps, depuis quà 15 ans un ami de mon père ma coincée dans un coin pour lever la robe, caresser mon bijou avant dy mettre sa queue, une queue dont jai eu peur vu sa grosseur. Pourtant, après les premières douleurs inévitables, jai joui. Depuis, cest devenu mon vice principal avec la masturbation : jaime me faire mettre. Mais avec Julien cest différent : je jouis encore plus. Quand je me masturbe, mes fantasmes sont toujours tournés vers lui.

Il me baise donc, en me faisant jouir mieux que les autres fois.

Quand il me met en levrette, je suis contente : il va me sodomiser.

Mets-toi de la cyprine sur lanus.

Pourquoi ?

Pour que tu naies pas mal quand jentrerai la première fois.

Je passe ma main sur mon con pour récupérer le maximum de mouille. Je létale entre les fesses, juste à lentrée de mon anus. Je sens même la bite que se rapproche. Je me détends complètement : après tout, cest bien moi qui ai voulu quil mencule. Je sens maintenant la queue se promener entre mes fesses, aller sur mon sexe, repartir avant de revenir se poser à lendroit voulu. Je touche la queue avant quil la rentre. Son prépuce nest pas descendu.

Je te veux tout nu : descends ta peau.

Il est gentil, il mobéit. Je sens sa main qui fait ce que je demande, cest presque aussi bien que quand il se branle devant moi. Je suis prête quand il commence à entrer. Jai un peu mal. Son gland passe : là, jai mal. Et puis le reste de la queue entre puisque je sens ses poils contre mes fesses. Je nai plus mal. Jaime être enculée. Cest comme quand on a une envie daller aux cabinets et quon défèque : ça fait du bien. Là, cest presque la même chose, sauf que ça entre et ça sort. Je ne pensais jamais que ce serait si bon ; je jouis vite et bien, presque aussi bien que par devant, sauf que je peux me branler en même temps.

Et puis je jouis mieux que par devant. Je sens son sperme qui vient envahir mes entrailles. Que cest bon de se faire sodomiser !

Ce que je nai pas vu, cest que certains des camarades font cercle autour de nous : certains regardent sans plus ; dautres, garçons ou filles, se masturbent. Nous sommes à nous seuls le véritable spectacle de la sortie.

Jen suis fière : au moins, personne ne doutera de moi quand je dirai que je suis une bonne baiseuse.

Cest en voyant les filles se donner du plaisir que jai envie que lune delles me suce. Je ne sais pourquoi, jai réellement besoin dune langue de fille sur ma chatte. Je le demande bien fort : une copine se dévoue ; elle est connue pour sa bisexualité. Elle passe sous moi, arrive tant bien que mal à prendre mon bouton dans sa bouche. Ses jambes écartées sont juste sous ma bouche. À mon tour, je me baisse légèrement pour prendre sa chatte dans la bouche. Je ne suis même pas étonnée par son goût, ni par son odeur.

Je ressens ce nouveau plaisir sajouter à celui de mon cul. Je sais que je vais avoir une mauvaise réputation. Je men fiche : jai le plaisir complet. Je sens quelle jouit ; je me demande si jarrête ou si je continue. Je continue à ma façon ; je suis enculée, alors je vais lui faire connaître ce plaisir. Jécarte ses fesses à deux mains, je mouille un doigt dans sa chatte. Je le rentre bien au fond dans son anus. Cest agréable de voir mon doigt entrer facilement dans le cul dune autre fille. Je sens que je vais moi aussi devenir bisexuelle. Julien en sera content : il pourra baiser deux filles à la fois.

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