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La ballade en foret – Chapitre 1

La ballade en foret - Chapitre 1



La balade en forêt

Je mappelle Jean, divorcé depuis 5 ans. A 50 ans, je vis ma vie et surtout libre de toutes contraintes. Mon divorce ma un peu éloigné des femmes, et rapproché des hommes, mais depuis quelque temps je recommence à les regarder avec un intérêt accru. Un après-midi de juillet, je me promène dans une forêt pas très loin de lhôtel où je passe le week-end. Cest une énorme forêt de sapin que je connais assez bien pour y avoir cherché des champignons quand jétais gosse. Ma grand-mère habitait tout à côté et jai passé toutes mes vacances chez elle jusquà 15 ans. Une fois adulte, je suis revenu régulièrement passer quelques jours en septembre pour les champignons.

Je connais toutes les clairières, les ruisseaux et les endroits assez difficiles daccès. Cet après-midi-là, il fait très chaud et je décide daller dans une clairière très peu connue traversée par un ruisseau pour mallonger dans lherbe et être au frais. Il y a assez longtemps que je nai pas arpenté ces chemins et jai un peu de mal à my retrouver. Au bout dune bonne demi-heure, jarrive enfin sur le ruisseau. Je mallonge sur lherbe à lombre, près du ruisseau à lendroit où il fait une courbe, créant un trou deau ou lon peut rentrer. Au bout dun moment, je mendors.

Je suis réveillé par un bruit daile. Une palombe senvole à quelques mètres de moi. Bien quallongé au bord de leau, la température est insupportable dautant que le soleil a bougé et que je suis maintenant en plein dessous. Je me lève, tâte la température de leau et décide de me tremper. Elle est fraîche mais acceptable. Jenlève mon short, mes chaussures et ma chemisette. Je rentre assez difficilement dans leau, mais une fois dedans, mon corps shabitue et je peux rester couché sur le fond, leau ruisselant sur moi. Je résiste 5 minutes, mais ny tenant plus, je sors de leau pour mallonge sur le ventre bien au soleil et me sécher. Mal à laise, je me redresse. Au moment où je me lève, jentends des pas foulant lherbe derrière moi.

-Je vois que tu as de beaux restes.

Je me retourne pour me trouver nez à nez avec une grande femme blonde dune cinquantaine dannées, en short et tee shirt laissant deviner une poitrine généreuse. Un assez grand chien dune race indéterminée est à côté delle. Cette tête me dit quelque chose, mais je suis incapable de savoir qui cela peut-il être.

-Allons ne me dis pas que tu ne me reconnais pas, je sens que je vais être vexée.

Cette voix ne mest pas inconnue, je fais un effort pour me rappeler qui pouvait avoir cette voix dans ma jeunesse. Tout à coup, un éclair, Josette, mon amour de jeunesse. Nous avons eu une aventure à 16 ans, cest la deuxième femme avec qui jai fait lamour, mais son père, un riche paysan du coin, me détestait et nous avions toutes les peines du monde à passer un moment ensemble. Elle avait un corps magnifique, belle poitrine, superbe cul et jambes infinies. Nous avons dû nous séparer, son père layant envoyé en pension dans une autre ville.

-Evidement que je te reconnais Josette, cest la surprise qui ma fait hésiter.

Elle vient vers moi pour membrasser.

-Quand même, jai eu peur. Que fais-tu dans cette clairière, je croyais être la seule à la connaitre ?

-Je connais cette clairière depuis plus de quarante ans, on cassait souvent la croute ici avec mon père quand on venait aux champignons.

-Cest marrant on faisait la même chose avec le mien et on ne sest jamais rencontrer à cette époque.

-Heureusement, vu lamour que me portait ton père.

-Cest vrais, mais après notre séparation, il regrettait de ne plus te voir. Au fait, ton père est toujours vivant, je ne le vois plus depuis un ou deux ans. Je me souviens quon sentendait assez bien.

-Tu veux dire quil tadorait, il a été très déçu de la réaction de ton père. Il est toujours en vie, mais il a vendu la maison de ma grand-mère et il ne vient plus dans le coin.

-Cest dommage.

Josette va sassoir sur lherbe, elle enlève ses chaussures pour se tremper les pieds dans leau. Son chien se couche à côté delle, il semble mignorer complètement, mais je sens confusément que je nai pas intérêt à montrer le moindre signe dagression vis-à-vis de Josette.

-Ça fait du bien, dis-moi, que fais-tu à poil tout mouillé au milieu de cette clairière ?

-Je me suis baigné et maintenant il faut que je sèche, je nai pas de serviette.

-Moi aussi je me baigne de temps en temps dans ce ruisseau, le méandre fait une petite piscine bien agréable. Dis-moi, je vois que tu as pris quand même un peu dembonpoint.

-Tien, je croyais que javais de beau reste.

-Oui, mais cest bien ce que jai dit, des restes, certes encore beaux, mais des restes.

-Je crois que depuis quon sest quitté, jai pris 5 ou 6 kilos, tu as une bonne mémoire pour ten rendre compte. Toi tu peux juger, mais moi, je nai pas les mêmes repères, tu es toujours habillée.

-Sil ny a que ça pour te faire plaisir.

Josette se lève et en quelques secondes elle est nue devant moi.

Elle fait un tour sur elle-même.

-Cela correspond à tes souvenirs.

-Parfaitement, toujours aussi fine, et pour parler un peu plus crument, tu as toujours un super cul et des jambes denfer.

-Merci, mais je les entretiens, marche et gym tous les jours. Je dois dire que toi aussi tu as gardé ses fabuleuses jambes et ce superbe cul.

-Moi, cest 90 marches quatre fois par jour minimum qui mentretiennent.

-Jai envie de me baigner, tu maccompagne ?

-Oui, mais je ne sais pas si je vais rester longtemps, elle est quand même fraîche.

Elle entre dans leau et je la suis difficilement. Le trou est petit et nous nous retrouvons peau à peau. Josette passe ses mains derrière la tête, ce qui fait remonter sa poitrine qui émerge de leau. Ses tétons pointent orgueilleusement. Ce contact avec sa peau plus ses seins qui me narguent font que, malgré la froideur de leau, je sens ma bite réagir.

-Toujours aussi beaux.

-De quoi parles-tu ?

-De tes seins évidement.

-Tu sais, bien quayant à peu près la même forme, ils sont moins fermes quavant. Lâge narrange rien.

-Ils ont pourtant lair de se tenir toujours correctement. Ils sont toujours aussi attirants.

-Je te vois venir, tu as quelquun en ce moment ?

-Non.

-Moi non plus, je nai pas dhomme nous sommes donc libres de faire ce que lon veut. Quest-ce que tu veux faire ?

-Les caresser.

-Et bien vas-y, ils nattendent que ça.

Je me retourne un peu vers elle et pose ma main droite sur son sein gauche. Ce contact lélectrise. Elle se retourne un peu vers moi et sa main gauche plonge sous leau pour se poser sur mon ventre. Ma main caresse son sein tandis que sa main parcoure mon ventre en faisant de petits cercles autours du nombril. Ma main explore lautre sein et descend sur son ventre. Sa main arrive sous mon sexe qui a pris de lampleur et se dresse raide comme un bout de bois au-dessus de mon ventre. Elle se retourne un peu plus vers moi, et pose ses lèvres sur les miennes. Nous échangeons un baiser et tout me revient, cette bouche, cette peau, cette langue. Je la prends dans mes bras pour mieux la sentir. Elle avance son ventre contre le mien, mais la position est impossible à tenir et leau commence à nous congeler.

-Viens sur la berge.

Nous sortons de leau enlacés, nous couchons sur lherbe quand je vois le chien venir vers nous avec un air que je naime pas du tout.

-Coucher Flic.

Le chien se couche à côté de nous. Josette me met sur le dos et me chevauche. Elle prend mon sexe dans sa main et le dirige vers sa vulve pour exciter son clitoris. Dun seul coup elle se plante sur mon vit, les yeux fermés, le souffle court, les narines pincées pour jouir presque instantanément. Elle me tombe dessus pour membrasser sur tout le corps. Elle se dégage et se couche à côté de moi.

-Cela fait tellement longtemps.

-Quoi donc ?

-Cela fait tellement longtemps que je navais pas fait lamour avec un homme, tellement longtemps que je navais pas senti un membre viril dans ma chatte, tellement longtemps que des mains ne sétaient pas posées sur mon corps. Merci pour cette joie. Merci de ne pas mavoir posé de question.

Je ne dis rien et nous restons un moment sur le dos au soleil pour nous réchauffer de ses rayons. Flic se lève et sapproche de nous, il se dirige vers lentre jambe de Josette en reniflant.

-Coucher Flic.

Le chien se couche en regardant sa maîtresse dun air triste. Je suis un peu étonné du comportement du chien, je me pose des questions mais jévacue le problème. Ma main se pose machinalement sur son ventre, et, machinalement, elle bouge pour parcourir son corps offert. Elle va de ses seins à son sexe. Elle écarte les jambes. Jinsiste un peu sur son pubis proéminent. Sa main se pose sur la mienne pour la pousser vers son sexe et faire entrer un de mes doigts. Je me redresse et commence à parcourir son corps de mes lèvres. Jembrasse ses seins, son ventre, ses jambes et je fini sur son sexe. Elle ruissèle et je retrouve le gout de son sexe enfoui dans ma mémoire. Ses mains se posent sur ma tête et tirent vers le haut. Je remonte le long de son corps pour finalement mencrer dans son sexe. Elle menlace.

-Fais-moi lamour doucement, comme avant.

Je commence mes va et vient lentement mais profondément, comme je me souviens quelle aimait. Mes mouvements sont lents et profonds, ses mains se crispent sur mon dos. Son ventre vient à la rencontre du mien, son pubis heurte le mien. Elle mentoure de ses jambes, elle se détend, se contracte, se détend. Je garde le plus possible le même rythme lent quand au bout dun long moment elle commence à gémir sourdement.

-Vas-y Jean, maintenant tu peux me baiser.

Jaccélère le rythme, elle se crispe et joui dans un grand grondement sourd, ce qui mentraine à sa suite. Je me vide dans son nid damour en de violents jets de sperme.

-Oui, je te sens, oui vient en moi.

Nous nous détendons petit à petit, je bascule sur le dos à lopposé du chien qui nous regarde tout le temps. Il se lève, vient vers Josette, passe entre ses jambes et lui renifle la vulve. Je ne réagis pas le laissant faire. Elle a les yeux fermés, les jambes écartées et ne dit rien. Le chien pose sa truffe sur son sexe. Elle a un petit sursaut mais ne dit toujours rien. Il sort sa langue et lui lèche le sexe de lanus au clitoris. Josette réagit doucement, dabord par de petit mouvement des hanches puis par des mouvements plus grands. Le chien lèche toujours ce sexe offert.

-Oui, oui, vas-y mon chien, vas-y, fait plaisir à maman.

Josette ne se contrôle plus et donne de grands coup de rein jusquà éclater dans une jouissance dantesque. Je vois le sexe de Flic complètement sorti, il donne des coups de rein dans le vide. Quand Josette se calme, il sarrête et va se coucher pour se nettoyer le sexe qui entre petit à petit dans sa gaine. Josette reste les yeux fermés, les bras le long du corps et les jambes écartées. Sa respiration redevient normale. Je regarde ce magnifique corps pour une femme de 50 ans. Pas dembonpoint, une poitrine toujours belle, des jambes denfer et un cul à damner un saint. A lévidence son chien est son amant. Je ne vois rien à redire, surtout que moi aussi jaimerais avoir un chien comme amant. Je me penche sur elle pour déposer un baiser sur ses lèvres.

A suivre

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