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La belle Lée – Chapitre 1

La belle Lée - Chapitre 1



Cette histoire s’est passée en juin 2007, nous avions alors tout juste 18 ou 19 ans. Si je me souviens bien, cette période était assez ensoleillée. J’avais fini mes examens de fin d’année de ma première année d’études informatiques. Soulagé de pouvoir commencer mes vacances, je passais mes journées à me lever tard, jouer à la console, faire un peu de sport. Ma copine à l’époque était en terminale et avait encore une série d’épreuves à passer.

Cet après-midi-là, je devais me rendre chez ma bonne amie Mélanie, qui fêtait ses 19 printemps. Mélanie était une belle blonde, des yeux bleus transperçant, taille moyenne. Elle m’avait toujours attiré, mais jamais il ne s’était passé quoique ce soit entre nous. Je ne savais même pas si cette attirance était réciproque. De plus, à ce moment-là, nous étions tous les deux en couple. Comme la plupart d’entre nous, elle habitait chez encore chez ses parents. Une jolie villa, dont le jardin contenait une piscine. Celle-ci était de taille plus que raisonnable, entourée d’une terrasse composée de chaises longues pour se prélasser au soleil.

Vu la météo du jour, je ne pouvais pas oublier mon maillot ! Celui-ci était dans mon sac, accompagné d’une serviette, un petit cadeau. J’embarquai dans ma voiture pour 20 minutes de trajet. Sur place, j’étais le premier arrivé. Mélanie m’accueillit avec un grand sourire. Elle était ravissante dans une robe légère, sous laquelle elle portait son bikini. Nous discutâmes un petit peu, et je l’aidai à préparer la petite fête qui se profilait.

Son copain de l’époque arriva peu après, ainsi que d’autres convives, dont Léa. Cette fille était telle une princesse à mes yeux : magnifique, et inaccessible. Elle était brune, grande, une taille fine, une poitrine importante. Ses cheveux étaient longs, châtains et légèrement bouclés. Nous avions fait nos études dans la même école, et nous nous croisions souvent lors d’événements organisés par Mélanie. J’avais appris il y a peu qu’elle avait rompu avec son mec.

Certaines personnes étaient déjà dans la piscine. J’étais personnellement quelqu’un de pudique et timide à l’époque. J’attendis un peu avant de me mettre en maillot et de plonger à l’eau. J’en profitais pour boire un verre en écoutant la musique, allongé sur une chaise longue. Mon regard observait ce qui se passait dans la piscine. Deux chaises plus loin, Léa était allongée en Bikini, discutant avec Mélanie. Léa était magnifique : elle portait un deux-pièces d’une couleur rouge/rose flashy. Mon regard s’attardait d’abord sur sa cheville gauche où se trouvait un discret tatouage tribal. Mon regard remontait ensuite ses longues jambes pour s’arrêter au niveau de son entrejambe. Je demandais alors quelle était sa coupe intime… Mon regard continua son chemin, son ventre était plat, laissant voir de façon très discrète des abdos. Sa poitrine était recouverte de son haut, elle était vraiment généreuse. Mon moment de rêverie fut interrompu par Mélanie :

— Adrien ! Tu rêves ?

— Viens te mettre avec nous, on va faire une photo !

Elle demanda à un gars passant dans le coin de prendre une photo en tendant son appareil. Je m’installai sur la chaise longue, entouré de Léa et Mélanie. Toutes deux étaient collées à moi. Je jetai rapidement un il en direction de la poitrine de Léa. Ses deux seins étaient en forme de poire, lourds, soutenus par le haut du bikini. Je n’avais qu’une envie : les soupeser, les prendre en main pour les malaxer. Après la séance photo, je me décidai à aller à l’eau pour me refroidir les idées, vite rejoint par Mélanie et Léa.

L’ambiance était excellente : nous étions nombreux, la musique était bonne et l’alcool faisait son effet. Les gens étaient tantôt dans l’eau, tantôt aux alentours de la piscine.

Je fus pris d’une envie d’aller soulager ma vessie. Le jardin donnait sur le niveau inférieur de la villa qui en contenait trois. Ce niveau inférieur contenait le salon, la cuisine, et des toilettes. Celles-ci étaient prises. Je décidai de monter deux étages au-dessus (j’étais un peu chez moi, je connaissais la maison par cur), où les toilettes étaient sûrement libres.

En quittant ces dernières, j’aperçus des photos que je n’avais encore jamais vues sur une table. Mélanie et son copain, lors de leur dernier voyage en amoureux, paraissaient heureux et comblés. J’étais sincèrement content qu’elle ait trouvé quelqu’un de bien. Je fus surpris par des bruits de pas : Léa venait de monter, entourée d’une serviette.

— Les toilettes en bas sont occupées, je viens utiliser celles-ci. Tu fais quoi ?

— J’ai fait pareil. Je suis en train de regarder ces photos sur la table, je les trouve beaux…

Elle s’approcha de moi pour regarder les images

— Oui, ils sont beaux ensemble. Je suis ravi pour Mélanie. Tu n’es pas trop jaloux ?

— Pourquoi jaloux ?

— Je sais que tu as toujours eu une petite attirance pour elle. Ça se voit dans ton regard…

— Non, je suis sincèrement heureux pour elle. Et puis je suis avec quelqu’un je te signale.

— Avec quelqu’un qui ne te rend pas heureux. Tu ne la vois jamais, elle n’est pas là cet après-midi non plus d’ailleurs !

Je ne répondis pas. Elle avait raison. J’avais une relation particulière avec ma copine. Nous nous voyions assez peu, ses parents étant stricts par rapport à ses sorties, malgré ses 18 ans. Cette situation me rongeait petit à petit. Léa se dirigea vers les toilettes en enlevant sa serviette, seulement recouverte de son bikini. Avec ses cheveux mouillés, elle était… bandante.

Ce troisième étage était accessible via un escalier. Celui-ci donnait sur un plateau où étaient installés un divan, une table, une télévision. Il donnait sur la chambre de Mélanie, celle de sa sur, une salle de bains et ces fameuses toilettes. Je m’étais installé sur le divan, pensif. Léa me rejoignit, et s’assit à côté de moi.

— Je ne voulais pas te faire de peine.

— Je sais Léa, ne t’en fais pas, ça va passer.

— Tu sais, je n’étais pas heureuse avec mon ex, Jonathan. Comme toi, j’avais la peur de me retrouver si je le quittais. Lors d’une soirée entre amies, j’ai rencontré un gars avec qui j’ai eu une brève histoire. Il m’a donné le courage de quitter Jonathan, et m’a aidé à faire le deuil de cette relation. Il suffit d’une impulsion.

— Ah bon ? Tu as trompé Jonathan ?

— Un mal pour un bien, en quelque sorte…

Elle avait une nouvelle fois raison. J’avais peur de me retrouver seul si je quittais ma copine. Je restais pensif, assis dans ce divan en maillot, à côté de Léa, en maillot. Après quelques dizaines de secondes de silence, Léa me dit, timidement :

— Tu sais, j’ai toujours eu un faible pour toi. Tu es mignon, et tu n’es pas comme les autres. Tous mes ex me voyaient comme un trophée, ne tenaient pas compte de mes envies, et ne me voyaient que pour passer du bon temps. Tu sembles différent. Tu es respectueux, à l’écoute, tu as l’air doux.

— C’est gentil ce que tu me dis là… Pour moi il est normal d’être respectueux avec une fille, c’est la base de tout !

— C’est tellement rare…

Elle s’était approchée de moi en me disant cela. Nos peaux s’effleuraient, le contact était électrique et doux à la fois. Elle approcha sa tête de la mienne, me jeta un regard, et posa ses lèvres sur les miennes. Un baiser doux, léger, suivi d’un baiser plus appuyé. Nos langues se cherchèrent. Elle s’installa sur mes genoux pour mieux m’embrasser, sa poitrine posée sur mon torse. Elle se leva ensuite, m’intima de la suivre en me tendant sa main. Nous entrâmes dans la chambre de Mélanie, où Léa s’allongea sur le lit. Je la rejoignis pour l’embrasser de plus belle, mes mains se posant timidement sur sa poitrine. Afin de me laisser le champ libre, elle se redressa pour retirer le haut de son maillot, libérant ses deux seins, magnifiques. Je commençai mes caresses, d’abord avec mes mains, puis avec ma langue s’attardant sur ses mamelons. Léa soupirait, semblant apprécier mon traitement. Une de mes mains glissa sous son slip de bain. Sa peau était parfaitement lisse, sans un poil. Ma main se posa sur sa vulve, mon majeur s’immisça entre ses grandes lèvres pour sentir un sexe humide, et un bouton déjà bien tendu. Je fis glisser mon doigt de bas en haut, de haut en bas. A chaque passage Léa gémissait, à chaque passage mon doigt était plus humide.

J’étais excité, j’avais envie d’elle. Je retirai le peu de tissu qui lui restait, elle était maintenant nue devant moi. Elle était magnifique. Elle me demanda de retirer mon maillot, ce que je fis rapidement, pouvant enfin libérer mon pénis gorgé de sang, prêt à exploser.

— Viens sur moi Adrien, j’ai envie de toi, viens en moi !

Je m’allongeai sur elle, nos sexes s’effleurant. Le contact était agréable, sa vulve était brûlante. Je fis glisser mon membre contre le sien, mon gland glissant entre ses grandes lèvres effacées, sur la cyprine présente en abondance. Elle gémissait sous cette caresse intime. Elle bougeait un peu son bassin, je sentis que mon gland était à l’entrée de son vagin, prêt à m’engloutir. Une petite poussée de ma part le fit entrer. Nous poussâmes tous les deux un soupir de plaisir. Je continuai mon entrée, profitant de chaque millimètre parcouru, procurant des sensations fortes de douceur. Son sexe était brûlant, trempé. Je glissai en elle avec facilité. Ses parois étaient serrées et faisaient pression sur mon membre. Je m’enfonçais en elle doucement, jusqu’à la garde. Une fois au fond, je m’assurai que tout allait bien pour elle, puis l’embrassai, avant de commencer un mouvement de va-et-vient. Nous gémissions, les sensations étaient fortes. Alors que j’étais au bord de l’orgasme, elle jouit en premier, poussant un cri qu’elle essayait de contenir. Son vagin se contracta plusieurs fois, me faisant jouir à mon tour, sur un dernier coup de reins, au plus profond d’elle. Je sentais nos sexes palpiter.

Nous nous embrassâmes, et séparâmes nos corps. Je la regardai, heureux de ce qu’il sétait passé. Elle rayonnait, toujours aussi belle.

— Ne dis rien à personne stp Adrien.

— Je ne dirai rien, ne t’inquiète pas.

— J’aimerais que nous nous revoyions, à deux… Ca te dit ?

— Oui ! Volontiers. Je te recontacterai dans les jours qui viennent pour te proposer quelque chose.

— Je veux quelque chose d’original !

— Je note !

Elle m’embrassa une dernière fois après avoir remis son bikini, puis descendit rejoindre les autres. Je fis de même deux minutes plus tard. Mélanie me fit un clin d’il en me voyant descendre.

Le lendemain, je quittai ma copine, sans lui avouer mon infidélité avec Léa. J’avais des plans en tête, et avais trouvé une idée originale à proposer à Léa.

Je n’avais qu’une hâte, la revoir, et toucher à nouveau son corps de déesse.

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