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La descente aux enfers de Marion – Chapitre 5

La descente aux enfers de Marion - Chapitre 5



La descente aux enfers de Marion Chapitre 5

Premier jour dans la cave

Samedi 20 octobre 8h00

Marion fut réveillée par le bruit de la porte d’accès à la cave. Cette porte imposante et épaisse placée en bas de l’escalier maintenait Marion captive à l’aide de trois verrous, et il fallait une bonne minute à Laurent pour déverrouiller et verrouiller à nouveau la porte derrière lui.

Marion attendait donc assise dans son lit quand il ouvrit la porte de la chambre.

— Bonjour Marion, bien dormi ? demanda-t-il.

— Comme un bébé, répondit Marion en s’étirant.

— Je t’ai apporté quelques affaires, installe toi, je t’apporte le petit déjeuner dans quinze minutes. Thé ou café ?

— Jus d’orange ? demanda-t-elle.

— A tout de suite, répondit Laurent.

Laurent avait laissé une grande valise à côté de lui. Marion s’en approcha et le tira au milieu de la chambre. Elle l’ouvrit et en examina le contenu. Elle découvrit un rangement carré, presque militaire. Les vêtements avait été placés dans de petits sacs en tissus suivant leur type : un sac contenait des vêtements de sports ainsi qu’une paire de baskets, un autre était rempli de robes et de tailleurs plus chics que Marion n’en avait jamais portés, un troisième contenait des vêtements plus décontractés, tandis-ce qu’un dernier était plein de sous-vêtements en tous genre.

Elle sorti tous ces vêtements de la valise et les rangea avec précaution dans l’armoire. Elle sorti également de la valise une trousse de toilette qui comportait tout le nécessaire d’hygiène, ainsi qu’un sèche-cheveux et un fer à lisser, qu’elle alla installer à la salle de bain.

Laurent redescendit alors et entra dans la chambre avec un plateau supportant le petit déjeuner de Marion. Il le déposa alors sur la table.

— Laisse tout sur le plateau quand tu auras fini. Tu es libre jusqu’à 10h, je te laisse visiter la cave. Quand je reviendrai, je veux que tu sois douchée, et que tu m’attendes dans la chambre dans ton peignoir.

Laurent quitta alors la cave et Marion pris son petit déjeuner.

Aussitôt qu’elle eut fini, elle quitta sa chambre et découvrit que dans la pièce principale où il n’y avait la veille qu’une chaise sur laquelle elle avait été attachée, se trouvait maintenant également un fauteuil médical, du même type que ceux que l’on peut retrouver chez un gynécologue. La vision de ce fauteuil la ramena à sa réalité et à pourquoi elle était ici. A côté de ce fauteuil se trouvait une petite desserte avec plusieurs tiroirs, mais Marion essaya de ne pas imaginer ce qu’ils pouvaient contenir

Elle se dirigea ensuite vers les portes en face d’elle, et ouvrit celle de gauche. Elle découvrit alors une pièce aménagée en salon, avec un grand canapé, une télé ainsi qu’une bibliothèque plutôt bien fournie.

Dans la pièce de droite, une petite salle de sport l’attendait, avec un tapis de course, un vélo elliptique, des tapis et une étagère où étaient rangés des altères et d’autres outils de fitness. Elle fut plutôt heureuse de cette découverte : elle qui était très sportive, son corps commençait déjà à lui faire ressentir le manque d’activité physique. Au fond de la pièce se trouvait également un petit réfrigérateur, qui contenait des boissons fraiches ainsi que quelques en-cas. Elle se dit ironiquement que, si elle devait mourir ici, ça ne serait pas de faim au moins !

Elle se dirigea vers le couloir qui menait aux escaliers et remarqua une porte sur la droite du couloir. Elle essaya de l’ouvrir mais la porte semblait être fermée à clé.

Elle retourna donc à la salle de bain, et après une toilette complète, elle enfila son peignoir et attendit Laurent dans la chambre.

L’attente ne fut pas longue et Laurent vint la chercher dans la chambre. Il lui demanda alors de venir dans la pièce centrale et d’enlever son peignoir. C’était la première fois que Laurent la voyait nue, et c’était d’ailleurs la première fois que Marion se montrait ainsi devant un homme. Debout en tenue d’Eve au milieu de cette pièce affreusement vide, ses longs cheveux bruns attachés en chignon derrière sa tête et laissant son dos nu, elle était très intimidée par le regard insistant de Laurent qui l’examinait sous toutes les coutures, comme une examine un fruit au supermarché avant de l’acheter Ce moment plutôt gênant dura une bonne minute mais le temps semblait bien plus long pour Marion. Il faut dire que Laurent ne perdait pas une miette du spectacle : ses seins qu’elle trouvait plutôt petits mais qui était fermes et pointaient bien droit devants eux, son ventre plat qui n’avait rien à envier à ceux que l’on eut voir sur les publicités pour les maillots de bains, ses longues jambes fines et galbées, surplombées par un fessier rond et plus que tonique En examinant son sexe qui était recouvert d’un petit buisson, Laurent regarda Marion dans les yeux et eut un petit sourire narquois.

Il lui demanda alors de s’installer sur le fauteuil médical, et de placer les jambes dans les étriers. Marion obtempéra et se cala bien au fond du siège. Laurent attacha alors les cuisses et les chevilles de Marion dans les étriers du siège avec d’épaisses lanières de cuir, puis il s’installa face à elle. Perturbée par la vue qu’elle lui offrait ainsi positionnée, elle bascula la tête en arrière pour éviter de croiser son regard.

« Ce petit buisson qui orne ton pubis doit disparaître. Tant que tu seras aussi, tu devras être intégralement épilée. » lui dit-il.

Il saisit alors une petit torche à gaz, l’alluma et régla la buse de manière à ce qu’elle produise une longue flamme jaune tirant sur l’orange. Paniquée par la situation, Marion commença à s’agiter.

« C’est bien ce que je craignais » dit Laurent. Il déposa alors la torche sur la desserte et attacha également les mains de Marion à l’arrière du siège. Enfin, il mit en place une longue contention autour du ventre de Marion. Elle était alors totalement bloquée, et pour la première fois, à la merci de Laurent, plus moyen d’échapper aux sévices pour lesquels elle s’était engagée. Sa respiration s’accélérait alors fortement et Laurent approcha la flamme des cuisses de Marion. Elle sentait cette chaleur plutôt douce tant que Laurent restait à une distance convenable de son corps. Il caressait Marion avec la flamme parcourant toute la longueur de ses jambes, puis son ventre. Puis, il approcha la flamme du corps de Marion et la dirigea vers son pubis. La chaleur devint alors très intense et Marion ne put retenir un cri de surprise. Elle senti le feu se propager sur son pubis et elle eut l’impression que sa peau toute entière avait pris feu.

Quand l’incandescence des poils atteignit sa peau, la douleur devint alors violente. Marion tirait sur ses liens, serrait poings et dents. La douleur se calma rapidement après que le feu soit éteint. Une forte odeur vint alors au nez de Marion, l’odeur facilement reconnaissable de ses poils tout juste brûlés. Elle fut étonné d’apprécier cette odeur, celle d’une partie de son corps partie en fumée, et elle oubliait alors totalement son entre-jambe encore irritée par la chaleur.

Laurent pris alors un tube de crème hydratante, et commença à masser l’entre-jambe meurtrie de Marion. Ce massage, doux et terriblement délicat contrastait avec la violence de la brulure infligée peu avant. Marion ferma alors les yeux, et se laissa porter par le plaisir procuré par les caresses de Laurent.

Quelques minutes plus tard, il se releva et enleva les lanières de cuir qui maintenait Marion prisonnière.

« Je dois aller travailler, tu as quartier libre jusqu’à ce soir. Je reviens te voir dès que je serais rentré du travail. » lui dit-il.

Avant de partir, Laurent sorti de la poche de sa chemise un comprimé, et ordonna à Marion de l’avaler avec un grand verre d’eau.

Marion obéit et l’observa quitter la pièce, presque frustrée que cette première matinée s’achève ainsi

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