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La descente aux enfers d'une veuve 6 – Chapitre 4

La descente aux enfers d'une veuve 6 - Chapitre 4



Le léger repas se passe normalement sans discussion lubrique. Tout ce petit monde semble rassasié des parties précédentes. C’est Louis qui quitte la table le premier pour aller s’installer devant la télé.

Les heures ont passé vite. Clotilde prend congé d’Annie pour aujourd’hui.

Nini, tu peux rentrer, je te libère, il se fait tard. Tu continueras ton travail lundi et si tu es sage, je te ferai découvrir de nouvelles sensations pendant ta pause.

Bien Madame, j’ai hâte de revenir travailler à lundi.

Aujourd’hui, c’est dimanche, et traditionnellement, Annie se rend à la messe de 11 heures. Une grenouille de bénitier devenue salope, gouine, accroc à la baise, quasi nymphomane ! »

C’est le père Dubois qui officie, flanqué de deux adultes en guise d’enfants de chur. Au moment de la communion, de recevoir l’hostie, Annie fixe le Père pour essayer de percevoir un signe de son regard. Naturellement rien ! Chaque chose en son temps, et d’ailleurs, peut-être que la séance de « confession action »de l’autre jour était un accident.

Avide d’en savoir plus, à la fin de la messe, Annie se rend à la sacristie, le père Dubois a revêtu sa tenue de ville, il s’apprête à quitter les lieux.

Bonjour Annie, tu as eu la communion, tu n’as pas besoin de te confesser maintenant, mais peut-être as-tu des choses à me raconter hors de mon ministère ?

Pierre, je veux que tu me baises, tu m’as si bien faite jouir l’autre jour.

He bien dis donc, ça pour du direct, c’est du direct. Dommage, tu me donnes envie, mais je suis invité à un repas chez des parents, et je ne peux pas m’y soustraire, mais reviens me voir un autre jour. Je te « confesserai.»

Annie, fort déçue, s’approche du curé, lui administre un baiser sur la bouche et ne peut que lui dire « à bientôt »

En passant par le cur de l’église, Annie – très excitée – s’arrête devant les chandeliers qui illuminent une petite chapelle de leur flamme vacillante, et se souvient des paroles de la chanson de Georges Brassens « Mélanie »

« Mélanie la bonne au curé dedans ses trompes de Fallope s’introduit des sièges sacrés… »

En vérifiant d’un coup d’il que personne n’est alentour, la salope choisit trois candélabres qu’elle paye consciencieusement et qu’elle cache sous sa jupe en les retenant, car elle n’a pas de culotte. Ne pouvant attendre de rentrer chez elle, notre « Mélanie » se dirige vers le confessionnal et s’y enferme. Là, après avoir bien relevé sa jupe, se caresse avec un puis deux puis trois cierges, et se les introduit bien profondément dans la chatte.

Comme Mélanie dans la chanson, Annie se cabre, a des soubresauts et jouit bruyamment une première fois. Les mouvements saccadés de sa corpo font échapper un sein de son corsage, elle en profite pour se pincer le téton puis elle prélève une des bougies pour se caresser la rondelle, et n’y tenant plus, se l’introduit dans le cul. Elle a tellement mouillé que l’objet entre sans aucune difficulté. Pendant qu’elle se branle, devant, derrière, elle songe à la bite du Père Dubois et rêve du moment où elle aura satisfaction. « Mon Dieu que c’est bon ! Faites que le Père me baise prochainement » et la salope part dans un deuxième orgasme aussi bruyant que le premier, mais avec un puissant jet de cyprine qui inonde le siège du confessionnal. Son expérience terminée, Annie sort de l’édicule, les cierges à la main, et se dirige en face de l’autel, prend un siège pour un bref repos, à moins que ce ne soit pour une prière de repentir !

A cette heure-ci, l’église est quasiment déserte, seule une femme coiffée d’un foulard est en train de se recueillir les mains jointes. A l’arrivée d’Annie, elle la regarde fixement puis vient s’asseoir à côté d’elle.

Délicatement, la femme se penche à l’oreille de sa voisine et murmure :

J’ai entendu du bruit et des gémissements dans le confessionnal ; manifestement, vous deviez vous donner du plaisir, je veux dire, vous deviez vous masturber.

Annie, interloquée, se sent rougir, mais sans se démonter, regarde son interlocutrice dans les yeux.

Oui, je le confesse (!) c’était bien ça. Vous êtes offusquée ?

Non, pas du tout, moi aussi je recherche les lieux insolites pour m’envoyer au septième ciel (!), les églises, les cimetières la nuit, les bois le jour avec une pointe d’exhibe, les usines désaffectées, les compartiments de trains, même avec des clients et bien d’autres encore. Aujourd’hui, je suis complètement nue sous ma robe.

»

Vous êtes une petite salope.

Oui, comme vous, je pense.

Vous avez l’air d’avoir une poitrine agressive et bien fournie, je peux voir ?

Non, pas ici, Jésus nous regarde.

ça le ferait peut-être bander ?

Les deux nouvelles copines partent dans un fou rire vite étouffé, vu la résonance du lieu.

Je m’appelle Annie, et vous ?

Cindy.

Alors Cindy, vous vous masturbez souvent si je comprends bien.

Oui, mais pas que, j’aime bien le contact d’un corps, je n’ai aucun tabou sur ce qui peut me faire du bien et me pénétrer.

Dites-men plus.

Une main de Cindy se pose ostensiblement sur la cuisse d’Annie qui se laisse caresser.

Vous me faites mouiller Cindy, moi non plus je n’ai pas de culotte, parlez-moi de vos plaisirs solitaires.

« Ce ne sont pas que des plaisirs solitaires, mais c’est toute une histoire. Dommage, je dois partir, si vous souhaitez une nouvelle rencontre, voici ma carte de visite.

Mais dites-moi, ces cierges que vous avez à la main… est-ce que je devine ?

Oui, vous avez bien deviné. Connaissez-vous la chanson de Brassens « Mélanie? Je m’en suis inspirée. Écoutez-la sur YouTube et vous comprendrez. »

Est-ce que vous pouvez m’en donner un, je m’en servirai en pensant à vous et en souhaitant votre appel ? Je pense qu’il y a encore l’odeur de votre chatte.

Au revoir Annie, peut-être à bientôt ?

Au revoir Cindy.

Que de parcours et d’aventures depuis l’embauche d’Annie chez Madame Clotilde : l’apprentissage de la soumission, la « bénédiction » du père Dubois, l’expérience avec Louis, le mari de sa patronne, en sa présence, la découverte des jouets de masturbation et la connaissance de Cindy qui a l’air d’une fieffée coquine (euphémisme !) La vie bien rangée de notre veuve engagée dans un bénévolat voué aux personnes âgées est bien loin même si son action de bénévole existe toujours.

En rentrant chez elle, elle s’interroge : « Que peut bien lui réserver Clotilde lorsqu’elle lui a promis de lui faire découvrir de nouvelles sensations lors des pauses dans son travail ? »

Il lui tarde d’être à demain.

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