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La grosse surprise de Mme Stroke – Chapitre 10

La grosse surprise de Mme Stroke - Chapitre 10



Je donne un grand verre d’eau fraîche à la bûcheronne qui en avale la moitié d’un trait. Elle jette l’autre moitié sur la brassière qui devient instantanément transparente et donne l’apparence à mes seins d’une poitrine féminine bien que menue. La géante bave presque devant la vision de mes petites tétons que l’eau fraiche a dressé.

— Suce moi petite pute !

Je m’accroupis devant elle comme si je voulais satisfaire mes besoins. Je ne veux pas prendre le risque de me mettre à genoux et filer mes jolis bas !

Je pose mes petites mains et m’appuie sur les cuisses musclées de la géante, puis commence à lécher sa bite si raide qu’elle pourrait presque s’en servir comme démonte-pneus. Sasha jette le verre qui se brise au sol, et saisit chacun de mes poignets dans ses battoires.

— Je veux juste que tu me suces. Je sais que c’est dans tes capacités de petite catin de me faire jouir juste avec ta bouche.

J’avale le sexe imposant de la géante jusqu’à la garde. Elle n’a pas pris la peine de le nettoyer depuis nos derniers ébats, et dans la moiteur de son entrejambe, le sperme a pris une odeur et un goût aigre qui me donne des hauts-le-coeur. Je me contrôle pour ne pas vomir. Je sais qu’elle l’a calculé, et c’est une épreuve de plus pour vérifier mes aptitudes à la carrière à laquelle elle me destine. J’empale littéralement mon visage sur ce sombre phallus d’acier, jusqu’à sentir le gland tout au fond de ma gorge, et à nouveau les abdominaux de Sasha m’écrasent le nez. Je commence à donner de la tête mais l’énorme et raide piston a beaucoup de mal à coulisser dans ma petite bouche, dont les lèvres sont tendues autour du cylindre. Ma stimulation n’est pas assez vigoureuse à son goût, et elle lâche mes mains pour attraper ma petite tête, puis commence à la secouer d’avant en arrière, si vite et si brutalement que je pourrais perdre l’équilibre et tomber le cul par terre si sa poigne n’était pas si ferme ! Je ne sais quoi faire de mes mains qui battent l’air à la recherche d’un point d’accroche, comme un petit oiseau tombé trop tôt du nid, devenu le jouet d’un énorme et vicieux chat noir.

  Autant la voix de Sasha peut être chaude, féminine et sensuelle quand elle me parle, autant elle ressemble à des feulements rauques quand elle me manipule pour se satisfaire. Je tente de respirer quand j’arrive à me synchroniser avec les moments où son gland quitte ma gorge, mais seulement quand ses mains n’écrasent pas mon petit nez, l’air n’ayant aucune place pour passer entre ma bouche et son phallus. Je suis au bord de l’asphyxie et commence à perdre connaissance quand la géante fige son mouvement. Son gland qui déforme mon oesophage décharge alors presque directement dans mon estomac, le jus abondant et épais qui caractérise la virile géante.

 Consciente de mon manque d’air, elle retire brutalement son phallus, en prenant bien garde de ne pas souiller la perruque qui me va si bien. Elle tient quasiment tout mon poids via mon crâne, pendant que j’aspire goulûment l’air qui me manque.

— Tu ne cesses de m’étonner ! Tu n’as ni vomi, ni perdu connaissance. Tu es la prochaine reine des gorges profondes !

Augmentant la pression sur ma tête, elle me force à me mettre sur mes pieds sans que j’ai besoin de toucher le sol, et surtout sans risquer de déchirer ma belle tenue blanche. Mes pieds finissent même par quitter le sol quand elle pose sa bouche sur la mienne pour m’embrasser. Mes fines jambes battent l’air de surprise jusqu’à ce qu’elle me repose délicatement. Elle sait si bien doser brutalité et douceur…

— Tu es pardonné maintenant, mais que ça ne se reproduise plus ! Ramasse le plateau et reviens avec ce qu’il faut pour nettoyer les débris de verre. Change toi avec une tenue plus fonctionnelle, et enlève cette perruque qui coûte une petit fortune. Les vêtements qui sont en bas du placard ont déjà servi, mais seront parfaits pour effectuer tes tâches ménagères. Rapporte moi une bière aussi !

J’emporte le plateau, encore sous le choc du traitement que je viens de subir quand la belle me sodomise une nouvelle fois l’esprit de sa clairvoyance.

— Change aussi la culotte que tu as mouillée ! J’ai bien vu que tu as joui sous mes paroles, petit salope !

Je reste immobile quelques seconde, sentant le regard triomphant de Mme Stroke dans mon dos, puis reprend mon chemin.

  Je pose le plateau sur le plan de travail où la géante m’a pris pour la première fois et monte à l’étage pour me changer. Je pose ma tenue sur un cintre, la perruque sur son support et me retrouve juste vêtu de la petite culotte rose humide que je retire et jette sur le tas des choses que j’ai à laver avant de partir ce soir. Je prends une douche rapide et me retrouve devant le fameux placard. Mon choix se porte tout d’abord sur un slip en coton tout simple, et un short rose délavé. Un tee-shirt blanc fera l’affaire pour mes activités. J’ai l’impression que les galipettes sont finis pour aujourd’hui et peu importe que je sois désirable du moment que je bosse ! Le short m’est un peu trop grand, mais ça ne met que plus en avant la minceur de mes jambes. L’effet est intéressant pour ceux qui aime les femmes très minces. Le tee-shirt a un motif hello kitty mais j’ai la flemme de le replier pour en prendre un autre. J’enfile mes ballerines roses usuelles, passe par la cuisine pour prendre une pelle, une balayette, et surtout la bière que la bûcheronne a exigée !

  La géante n’a même pas pris la peine de se rhabiller. Elle a même fini par enlever sa combinaison et sa brassière tellement il fait chaud. Elle ne porte plus que ses grosses chaussures ferrées et le string qui est incapable de soutenir son énorme sexe même flaccide. Elle est assise sur une bûche et attend. Elle me dévore toujours du regard et quand je lui tends sa bière, elle m’attrape le poignet pour me tirer contre elle et poser brutalement son autre main sur mon cul, qu’elle considère si mignon apparemment. Plaqué contre elle, elle me renifle comme si j’étais une chienne en chaleur, tout en pétrissant mes fesses. Plus je connais Mme Stroke, plus je détecte chez elle un côté animal, voire bestial. Je n’ai jamais vu chez personne de comportement aussi antagoniste, parfois délicate et distinguée, parfois brutale et vulgaire, mais plus ça va, plus elle m’excite !

— C’est impressionnant ! Même habillé avec des guenilles, tu transpires le sexe !

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