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La « Lancenoir » – Chapitre 10

La « Lancenoir » - Chapitre 10



Après le dîner, Amadou ne demanda pas à ce que les parents soient présents pour assister à la séance de copulage avec Léa. Il ne se montra même pas entreprenant. Quand tous deux furent au lit, Léa se rendit compte qu’elle allait peut-être bien passer une nuit tranquille, et sa première réaction fut un grand soulagement, ses trous avaient été sévèrement limés par la bite monstrueuse du noir.

Mais peau contre peau avec Amadou, elle se sentait mal, comme irritée. Elle n’arrivait pas à rester calme, elle ressentait le besoin de toucher le noir, caresser sa peau musclée, sentir son odeur virile. Descendant peu à peu la main vers le sexe gigantesque, elle sentit sa fente s’humidifier… Quand elle posa la main sur la lance dure, elle s’enfonça en même temps un doigt dans la chatte. Elle se rendit compte qu’elle avait besoin qu’Amadou la baise… Elle se glissa sous les couvertures pour aller sucer le phallus turgescent. À mesure qu’elle le dégustait et qu’elle le sentait grandir sous ses coups de langue, Léa devenait de plus en plus sauvage. N’y tenant plus, elle se glissa dessus, embrochant sa caverne dégoulinante de mouille sur le pieu d’ébène.

Elle chevaucha son amant, celui-ci murmura juste : « Dépêche-toi salope, j’ai sommeil. »

Elle se sentait complètement remplie et à chaque mouvement de hanche elle avait l’impression d’être tringlée de la tête au pied. Elle jouit, sentant sa chatte se contracter autour de la queue. Elle eut peur qu’Amadou gicle en elle et l’engrosse. Mais le noir restait calme, sans jouir. Léa en eut honte, elle avait vraiment l’impression de s’être comportée comme une chaudasse en manque de bite. Elle se désincarcéra du sexe noir, sentant sa cyprine couler le long du manche.

Le lendemain, quand le réveil sonna, Léa se dépêcha de l’éteindre et de courir à la cuisine préparer le petit-déjeuner d’Amadou. Elle le lui apporta sur un plateau, puis se glissa de nouveau sous les couvertures pour cette fois sucer le gigantesque sexe. Elle entendit Amadou mâcher son croissant, boire son café pendant que sa bouche à elle se régalait du dard. Quand le grand noir eut fini de manger, il se décida à donner à Léa sa portion de « lait ». Elle sentit un torrent de sperme envahir sa bouche et couler dans sa gorge. Elle avala presque tout, et elle adora ça. Jamais elle n’aurait pensé qu’un jour, elle se réjouira à avaler du sperme gluant, et pourtant c’était le cas. Elle trouvait ça délicieux. Elle se passa le doigt autour des lèvres pour être sûre de bien récupérer tout le nectar blanc et de l’engloutir.

Puis ils se préparèrent à partir au lycée. Amadou enfila son jean et son t-shirt. Léa proposa de mettre une jupe un peu sexy, mais le grand noir dit : « non ». Et la simple pensée de contredire ou d’émettre une objection contre Amadou mettait Léa dans tous ses états. Elle revêtit les habits que lui avait choisis Amadou sans protester, mais on ne pouvait pas dire qu’elle en était heureuse. Ses camarades de classe allaient bientôt la voir accoutrée dans une tenue ne laissant presque rien à l’imagination.

Lorsqu’ils partirent, Jean et Hélène semblaient consternés, ils savaient que dorénavant leur fille aurait la réputation d’être la salope du lycée.

En entrant dans la cour du lycée, tous les regards se dirigèrent sur Léa. Les garçons admiraient toute la chair à disposition, regardant les seins serrés dans le top moulant et essayant de deviner si elle portait oui ou non une culotte.

Les filles la regardaient avec mépris, se demandant comme elle osait parader aussi vulgairement.

Amadou s’était éloigné d’elle. Il aimait fumer avec ses potes avant le début des cours et n’avait aucune envie qu’une petite blanche se joigne à son groupe. Quant à Léa, ses amies habituelles se détournèrent d’elle. Alors que le féminisme battait son plein, aucune fille ne voulait s’associer avec une fille qui par ses vêtements semblait au mieux donner l’image d’une femme soumise et au pire être une pure et simple incitation au viol.

Les mecs firent moins d’analyse. En moins de cinq minutes, un des garçons les plus entreprenants vint tenter sa chance.

« Salut Léa !

Hum… salut, répondit timidement Léa.

C’est marrant, j’ai l’impression qu’il y a comme quelque chose de changer avec toi…

Heu…

Mais j’arrive pas vraiment à mettre le doigt dessus… Attends ! Je sais ! »

Et aussitôt, il plaqua sa main sur la poitrine de la jeune fille.

« C’est que t’as oublié ton soutif ! Ha ha ha… »

Au même moment un mec qui passait derrière elle lui donna une belle fessée sur les fesses et dit :

« Quand on n’est pas sage, on se prend des fessées, traînée. »

Léa était tellement gênée qu’elle ne réagit pas, se contentant de rougir et de se sentir encore plus honteuse. Bien sûr, le comportement de ces garçons était déplacé, et même pénalement répréhensible. Mais habillée comme une salope elle ne pensait pas avoir le droit de réagir comme une personne respectable. Pendant des années Léa avait pensé que les filles qui se fringuaient vulgairement étaient des putes qui cherchaient à se faire tripoter par des mecs. Maintenant qu’elle était une de ces filles, elle ne trouvait pas la force en elle pour protester contre les actes et les paroles avilissantes que lui faisaient subir les mecs.

Le mec en train de la peloter se pencha sur elle et murmura : « Tu sais ce que tu devrais faire ?

Euh… non… je…

Tu devrais venir avec moi aux W. C. Et commencer à me pomper la queue. Qu’est-ce qu’t’en dit ?

Tu sais quoi, avant ça je vais voir si tu as une petite culotte ma cochonne… »

Heureusement pour elle, Amadou intervint avant que le garçon, un nommée Kevin, ne se finisse son mouvement de doigt vers l’intérieur de sa micro-jupe pour vérifier l’absence ou non de culotte. Il suffisait qu’Amadou soit présent dans une pièce pour projeter une aura de menace et d’effroi sur tout ce qui l’entourait. Il déclara sur un ton passif-agressif :

« T’es en train de toucher ma copine là… »

Kevin sentit qu’il était à deux doigts de se faire défoncer la gueule. Sa bite jusque-là gonflée à bloc venait de se ramollir et il était prêt à se pisser dessus. Il tenta de se justifier :

« C’est ta copine ? Je savais pas ! Jurez ! J’aurais jamais… t’imagines bien, je suis vraiment désolée…

Casse-toi, bolosse. »

Kevin ne se le fit pas dire deux fois, il partit la queue entre les jambes, trop heureux d’avoir encore toutes ses dents.

Léa fut encore une fois admirative devant l’autorité naturelle que projetait Amadou. Il l’avait sorti d’une situation périlleuse en deux petites phrases et, Léa se sentit complètement rassurer et bien plus à l’aise pour le reste de la matinée. À la honte qu’elle éprouvait jusqu’à maintenant, fit place un sentiment de fierté. Amadou avait déclaré qu’elle était sa copine, et qu’elle était sous sa protection. Nulle autre fille du lycée ne pouvait prétendre avoir un petit copain avec un charisme et une puissance aussi colossal. Elle se sentait maintenant la reine du lycée, les habits qui un quart d’heure avant la désignait comme une salope, démontrait maintenant son statut d’élu.

Ainsi, lorsque Marie-Louise, une camarade de classe assez circonspecte s’approcha d’elle et lui demanda :

« Qu’est-ce qui te prend de t’habiller comme ça ? »

Elle répondit sans gêne :

« Ce sont les habits traditionnels de la tribu de la Lance Noire. Ils ont été choisis spécialement pour moi par Amadou.

Mais qu’est-ce qui te prend de sortir avec un type comme ça ? »

Léa resta coite de stupéfaction. Comment cette fille pouvait dire une chose pareille ? Amadou était la crème de la crème ! Elle ne pouvait pas sortir avec mieux… Mais elle fut néanmoins embêtée pour trouver une réponse adéquate. Surtout que tout ce qu’elle arrivait à penser suite à une telle question concernait les particularités physiques d’Amadou… Elle souhaitait expliquer à quel point Amadou était un être exceptionnel pour ses qualités morales, pourtant lorsqu’elle ouvrit la bouche ce sont les mots qui lui brûlait la langue qui sortirent :

« Eh bien… il a une bite énorme !

Putain, m’ais t’es qu’une pute ! Espèce de pétasse ! »

Marie-Louise s’éloigna immédiatement, le rouge aux joues. Léa était assez contrariée. Elle savait que sa copine était une vraie pipelette, et il ne faisait aucun doute qu’elle allait répéter ce qu’elle venait de dire à toutes les filles du lycée. Comme si ses vêtements n’étaient pas déjà un signe assez probant qu’elle avait la chatte en feu.

Après le premier cours, Léa s’attendait à ce que les filles s’éloignent d’elles et l’ostracise. Mais ce fut tout le contraire qui se produisit. Peu à peu, par groupe de deux, puis de trois, les lycéennes revinrent vers elle. La curiosité était plus forte que leur crainte d’être vu en compagnie d’une salope, d’une pute à black.

À la première pause, dans la cour de récréation, un cercle d’une vingtaine de filles s’était formé autour de Léa, et d’autres arrivaient encore. Ces filles crevaient d’envie de lui poser toute sorte de questions…

« Par énorme, c’est genre quelle taille… plus gros qu’un concombre ou… »

« Non !? C’est possible ça. Mais quand il te baise, ça peut pas entrer ? »

« Ça doit faire super mal… »

« Vraiment, tu prends ton pied à ce point là ? »

« Mais, avec cette taille, il doit décharger un véritable geyser ? »

« Et cette marque, ça veut dire que tu lui appartiens ? »

« Et les autres noirs… ils ont aussi le droit de… »

Léa déclenchait des exclamations d’envie et d’émerveillement à chacune de ses réponses.

Les regards passaient de Léa à Amadou. Celui-ci était plus loin avec ses potes à fumer et à rigoler de blagues salaces. Les filles essayaient de deviner sa fameuse troisième jambe à travers son jean. Quand l’une pensait l’avoir repérée elle indiquait ce qu’elle pensait être la bite à sa copine. Presque aucune ne mettait en doute les affirmations de Léa. Les légendes urbaines et les vidéos pornos de noir bien membré avaient popularisé certains traits physiques qui leur étaient maintenant associés. Les conversations des filles ne tournaient plus qu’autour de la taille de ces membres, et sur l’importance que cela pouvait avoir dans un rapport sexuel.

Rapidement après sa première discussion avec Léa. Marie-Louise ne put se faire à l’idée que son amie avait changée d’une manière si radicale… Et tout ça à cause de la taille d’une bite ! C’était impensable, extravagant ! Elle voulut en avoir le cur net. Elle alla voir Amadou pour se faire confirmer l’exactitude des dires de Léa, puis, si cela s’avérait vrai, si elle pouvait en avoir la preuve de visu.

Amadou n’avait que faire de confirmer ou d’infirmer les fantasmes d’une lycéenne en chaleur, et il n’appréciait pas vraiment de servir de monstre de foire. Aussi il décida de donner une petite leçon à cette oie blanche.

Lorsque Marie-Louise demanda quelle était la taille de son pénis, il répondit par un grand geste des deux bras, laissant la fille coite de stupéfaction. Puis lorsqu’elle demanda si elle pouvait jeter un il sur la bête, il lui donna rendez-vous dans le même petit local à vélo où il avait pour la première fois rendue Léa femme.

Vingt minutes plus tard, Marie-Louise se rendit discrètement dans le local. Elle ouvrit la porte, et appuya sur l’interrupteur… mais l’ampoule était toujours grillée et la pièce restait désespérément sombre. Elle demanda d’une voix chevrotante :

« Amadou, tu es là ?

Oui. »

La voix venait d’un coin de salle. Marie-Louise essaya de distinguer le corps du grand noir, mais elle en était incapable. Le passage de la lumière du jour à la pénombre du local l’empêchait de voir autre chose qu’une vague silhouette.

« Qu’est-ce que tu veux, lui demanda la voix.

Eh bien, tu sais bien… » Elle se mordit les lèvres un peu gênée. « Je veux pouvoir toucher ta queue, voir si comme Léa le dit.

Tu veux voir ma queue de black. Ça t’excite, t’aime ça…

Oui.

Je veux bien. Mais en échange je voudrais que tu m’aides à réaliser un de mes fantasmes…

Je pense pas que…

C’est très simple, t’inquiètes pas, j’adore les blanches, je les trouve super-belles. D’une classe supérieure, comme si j’étais un esclave pour elles. Alors, fais-moi plaisir, traite-moi de nègre.

Je sais pas si…

Tu veux voir ma queue non ?

Hum… Sale esclave, tu vas me montrer ce que je veux… ta grosse queue de nègre. T’es une brute, des kilos de muscles sur une cervelle de moineau.

Tu m’excites… continue.

T’es à ma botte, les noirs comme toi c’est vraiment de la merde, de la racaille qui pue. Des animaux qui doivent nous obéir, à peine bons à remuer la queue quand ils voient une blanche.

Oui, c’est bon ça…

C’est tout ce que t’es pour moi, un singe avec une queue de babouin.

J’adore, ça suffira.

Ça t’a plu ?

Oh oui, écoute : "Sale esclave, tu vas me montrer ce que je veux… ta grosse queue de nègre."

C’était la voix de Marie-Louise, comme si on l’avait enregistrée. Elle se rapprocha de la provenance de l’enregistrement. Ses yeux commençaient à s’habituer à la pénombre. Elle pouvait maintenant discerner plus facilement le corps du noir, et elle remarqua bien vite que le noir dans cette pièce était beaucoup plus petit qu’Amadou

« Qu’est-ce que ça veut dire ? Qui tu es ?!

Moi, c’est Bankélé, j’suis un pote d’Amadou. Et ce que tu as entendu, c’est un enregistrement où tu traites les noirs de nègres, de singes, d’animaux… C’est le truc le plus raciste que j’ai entendu depuis des années.

Tu peux pas garder ça. Si quelqu’un entend ça, je vais me faire pourrir sur Twitter.

Mes potes vont adorer,

Non, il faut pas…

Allons, c’est pour rigoler. Si tu veux t’excuser d’être une sale raciste, t’as qu’à dire comme tu vénères les blacks et nos queues.

Tu fais chier.

C’est pour déconner… prends pas ça mal. Et puis tu nous insultes, c’est normal de demander réparation…

Bon… Je suis une blanche misérable, toute juste bonne à me faire baiser par une belle queue de black.

Plus brutal encore.

J’adore me faire défoncer par des nègres, je suis une chienne en chaleur… Je me sens bien quand j’ai dû foutre de noir sur la gueule.

Bravo ! Ah ah ! Encore !

Tout ce que je veux, c’est me faire défoncer ma chatte blanche par des queues noires, tout ce que je mérite c’est d’être prise en tournante par un gang de noir.

Génial ! Écoute ça : « J’adore me faire défoncer par des nègres, je suis une chienne en chaleur… »

Quoi ! Tu m’as enregistré à nouveau.

Ben évidemment, c’était des insultes publiques alors c’est des excuses publiques aussi. En plus en écoutant ça, le plus marrant c’est que si n’importe quel noir te baisait, on penserait que c’est toi qui en as envie.

Tu oserais pas…

Quoi ? Te faire du chantage ? Non ! Tu me prends pour qui ! Et puis de toute façon, ça ne sert à rien, tu es bien venu ici pour toucher de la queue de black… Alors je vais te rendre ce service avec plaisir.

Mais… Amadou… il devait être ici, parce que… J’ai entendu sa voix.

Tu veux dire quand je prends un ton un peu africain "comme ça." Suffit de prendre un accent africain et vous pensez que toutes nos voix sont pareilles. Mais je vais te confier un secret sur Amadou… il ne laisse pas la première blanche venue lui toucher la bite. Pour se faire baiser par lui, ça demande du travail. Et ça commence par être une bonne amie avec ses potes… Alors, sois ma bonne amie, et sors ma bite de mon pantalon, tu verras qu’elle est grosse comme tu les aimes.

Marie-Louise pensa le contredire. Puis elle se rappela qu’elle était effectivement venue ici pour voir une bite énorme. Alors au point où elle en était, autant aller jusqu’au bout et voir une grosse queue de black. Elle s’approcha du noir, et se mit timidement à lui effleurer la queue. Sa taille était bien ridicule par rapport au gourdin d’Amadou et elle fut un peu déçue de ne pas se trouver avec un monstre entre ses mains… Mais elle se rendit vite compte qu’elle était aussi largement plus grosse que celle de son ex-petit-ami blanc. En continuant à caresser la queue, elle devint impressionnée… Elle se demandait l’effet que cette bite maousse lui ferait si elle s’enfonçait dans sa petite chatte bien propre et bien blanche. Puis il lui vint à l’esprit que, d’après Léa, la queue d’Amadou faisait deux à trois fois cette taille, la simple idée d’être prise par ce genre d’engin suffit à lui faire mouiller la chatte.

Sentant le trouble dans les yeux de Marie-Louise, Bankélé se mit à lui rouler une belle galoche, et sans lui laisser le temps de réagir il passa une main sous sa chemisette pour lui triturer les tétons. Marie-Louise était complètement perdue. Elle pensait venir ici et s’amuser de l’anomalie d’Amadou, peut-être même s’en moquer. Et voilà qu’elle se trouvait entre les mains d’un noir qu’elle ne connaissait même pas, qui la touchait de partout pendant qu’elle avait la main sur sa bite en train de la caresser doucement.

Et si elle ne le repoussait, est-ce qu’il ne la ferait pas chanter avec les propos racistes et dégradants qu’elle avait proférés ? Elle raisonna que c’était une bonne raison pour laisser le noir faire d’elle ce qu’il voulait. Mais en son for intérieur, elle savait qu’elle avait surtout la chatte en feu, et une envie presque incontrôlée de se faire enfiler.

Dans la demi-heure qui suivit, toutes les personnes qui passèrent à proximité du local à vélo entendirent des cris de plaisirs, des appels à se faire prendre comme une chienne, et des demandes à être traité comme la dernière des putes. Marie-Louise semblait avoir oublié toutes ses bonnes manières, elle était prête à tout pour que le noir la défonce avec sauvagerie, la tringle jusqu’à ce qu’elle atteigne l’orgasme. Et Bankélé n’était que trop heureux de fourrer cette blanche qui une heure plus tôt ne connaissait même pas son prénom.

Lorsque Marie-Louise ressortit du local, elle était assez honteuse. Tellement qu’elle n’avoua pas à ses amies ce qui lui était arrivé. Quand Delphine et Albertine lui demandèrent ce qui s’était passé avec Amadou elle répondit :

« Il m’a montré sa bite.

Et alors ?

Alors elle était encore plus grosse que je l’imaginais.

OOOhhh !

C’est quelque chose que si on ne l’a pas vu par soi-même, on ne peut tout simplement pas se rendre compte.

Et tu l’as juste regardé ?

Eh bien, j’y ai touché un peu. C’était étrange, quelque chose qu’on ne peut pas trop décrire, mais c’était sensationnel. »

Cette conversation mit des idées dans la tête des deux filles. Elles aussi voulaient voir de leurs propres yeux la bête colossale. Albertine fut la seconde à aller voir Amadou et obtenir son rendez-vous dans le local. Et la séance se déroula de la même façon, si ce n’est que ce n’était Bankélé qui se cachait dans l’ombre, mais Moussa. Le résultat fut le même, Albertine fut copieusement tronchée et fourrée par une bite de noir.

Quand elle ressortit, elle était d’abord ravie de s’être si bien fait baiser. Puis, elle en voulut à Marie-Louise de lui avoir menti. Elle avait deux mots à lui dire… Sauf qu’en arrivant devant elle, et la voyant continuer à mentir effrontément à leurs autres amies, Adeline, Irène, Solange, elle aussi se mit à mentir et même à en rajouter :

« J’y suis allée. Et non seulement elle est énorme, mais elle est dure comme du roc ! S’il le voulait, il pourrait planter un clou avec. »

Marie-Louise et Albertine ne furent donc pas les seules à aller dans le local. Presque toutes les heures, une nouvelle blanche bien propre sur elle entrait dans le local à vélo. Elle y pénétrait en prenant l’air hautain, se sentant comme une aristocrate venant observer un animal du zoo, puis une demi-heure plus tard, elle ressortait bien plus humble et la chatte rempli de foutre par un noir qu’elle ne connaissait pas. Elle avait le pas mal assuré, encore étonnée de s’être fait besogner aussi sauvagement et aussi merveilleusement.

Quand les filles qui s’étaient faites sauter par un des noirs étaient entre elles, elles se mettaient à parler de leur expérience. Essayant de déterminer quel noir leur avait enfilé sa queue dans leur foufoune parfois vierge. Puis celles qui avaient déjà eu une expérience avec un autre homme, un blanc, expliquaient en quoi la baise avec le noir était supérieure. Elles partageaient leur avis, l’une évoquait sa sodomie, une autre le goût qu’avait eu le sperme quand elle l’avait avalé. Toutes étaient ravies, et encore plus en voyant les autres filles qui ignoraient de quoi elles parlaient leur lancer des regards jaloux. À la fin de la journée, toutes les filles qui n’étaient pas encore entrées dans le local à vélo pour observer la queue d’Amadou ne rêvaient que d’être les prochaines sur la liste.

Pendant ce temps, les potes d’Amadou se poilaient. Ils écoutaient les enregistrements des filles, s’amusant de les entendre s’avilir et de demander de se faire fourrer la chatte. C’était d’autant plus drôle que c’était ce qui arrivait aux filles une minute plus tard. Ils montraient du doigt les filles qu’ils venaient de baiser, se racontant l’étroitesse de leurs cons, leurs gémissements de pucelle ou de mal-baisée… Ils comparaient les positions par lesquels ils les avaient prises. Se marrant en sachant que les filles qui levaient si souvent le doigt en classe venaient de se faire enfiler en suppliant qu’on leur enfonce une bite bien profond dans leur chatte. Au final, on peut résumer les choses ainsi :

— Marie-Louise avait été tringlée par Bankélé

— Albertine avait eu la chatte inondée par le foutre d’Ousmane

— Adeline avait joui deux fois et avait bu le sperme de Moussa

— Agnès s’était faite enfiler des trois trous par Boubacar

— Irène avait servi de vide-couille pour Demba

— Delphine s’était faite dépuceler par Isaa

— Solange avait été la chienne servile d’Adama

Léa, entrée le matin avec un statut de paria, quitta le lycée en tant qu’attraction star. C’était celle qui avait initié le mouvement de fascination pour les blacks. Et c’était elle auquel Amadou semblait attaché. Toutes les filles de la classe, particulièrement celle qui avait déjà eu droit à un coup de queue de la part d’un noir lambda, voulaient savoir qu’elle était son secret. Par quelles paroles avait-elle convaincu Amadou de la baiser ? Avait-elle une position secrète ? Une pratique sexuelle inavouable ?

Léa était confrontée à un dilemme, certes elle aimait cette sensation d’être la diva du lycée, mais elle commençait à être un peu jalouse. Elle se demandait si en donnant des conseils sur les façons d’approcher Amadou, on ne risquait pas de lui faire piquer son mec… Aussi se montra-t-elle prudente. Elle expliqua que si ces camarades voulaient avoir une chance de tirer un coup avec Amadou, elles feraient mieux de se faire un tatouage : un as de pique avec un Q blanc à l’intérieur. Que cela prouverait leur détermination.

C’était un mensonge, elle savait que son marquage était l’original, les as de pique que pourraient faire des tatoueurs ne seraient que des copies abâtardies… En voyant ces tatouages, Amadou ne pourrait qu’en rire. Léa montrait d’ailleurs sa marque au fer rouge avec fierté, toutes les filles se pâmaient, se rendant compte jusqu’où il fallait aller pour mériter la queue du grand noir. Elles lui demandèrent si Amadou était unique, si par rapport aux autres noirs il était vraiment si formidable. Léa ne fut que trop heureuse de pouvoir disperser la concurrence :

« Oui, j’ai vu plein de ces copains, et ils ont tous des queues considérables… Ce n’est peut-être pas aussi extra qu’Amadou, mais franchement… si vous pouvez vous faire baiser par un de ces noirs, c’est quelque chose de gratiné. Il faudrait vraiment être la dernière des connes pour ne pas tenter l’expérience… »

En quittant l’enceinte du lycée, Léa et Amadou ne se rendaient pas encore compte à quel point ils avaient changé toute la psychologie de l’établissement. Le matin encore, les valeurs bourgeoises avaient cours, les filles donnaient l’avantage aux garçons avec de l’argent, de l’intelligence, un rang social, et une couleur de peau blanche. Le soir, les filles donnaient maintenant l’avantage aux garçons avec la peau la plus mate, à l’attitude rebelle et surtout disposant d’un organe capable de leur donner une jouissance incomparable.

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