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La ligne ténue de l'équilibre des corps – Chapitre 3

La ligne ténue de l'équilibre des corps - Chapitre 3



La ligne ténue de l’équilibre des corps

Chapitre 3

Une semaine passe sans nouvelle de maman.

Puis, sans my attendre, tout juste après diner, elle revient sur MSN.

< Tu vas bien ? >

< Oui, super bien ! >

Je lui réponds en prenant un ton cool pour être certain de ne pas parler de mes manques de sexe.

< Je suis bien contente que tu ailles si bien ! >

Maman me parle de la pluie et du beau temps, me donne des nouvelles de mon père, de mes tantes, tout le monde y passe. Finalement, au bout dun moment, elle aborde subtilement la dernière soirée.

< Il faisait tellement chaud ! > Me dit-elle.

< Oui, je comprends, je ne vis pas ça, ici ! >

< Chanceux, va ! >

Puis, je sens bien quelle veut aller quelque part :

< Ton père dormait si dur ! Il na pas à savoir que jai pris une douche ! > Lance-t-elle, comme affirmation.

Je saisis la perche quelle me tend et répond innocemment :

< En tout cas, ce nest pas moi qui vais le lui dire ! >

Elle ne rajoute rien à mon commentaire, mais je sais bien quelle a eu sa réponse.

< On en a pas fini, ils annoncent une autre vague de canicule, encore pire, pour la fin de semaine ! > Me dit-elle.

< Je sais, jai regardé la météo des prochains jours et je crois que je vais rester bien au frais dans mon studio ! >

< Tu ne trouveras pas de grande fée comme ça ! >

< Je lirai mes histoires pour me divertir ! > Lui dis-je, à double sens.

< Je comprends ! > Me dit-elle, sans que je sache vraiment si elle a bien compris le véritable sens de mon allusion.

< Allez, je dois y aller ! >

< À plus ! >

< Bye ! >

Le reste de la semaine, nous discutons quotidiennement de tout et de rien.

Une petite blague de fée ici et là, sans plus.

Le samedi, la température grimpe de façon exceptionnelle et même lair climatisé de mon studio peine à refroidir les lieux.

Jimagine mes parents dans leur maison, sans aucun air climatisé, et jai une pensée pour eux.

Tard dans la nuit, maman apparaît de nouveau.

< Allô toi ! Toujours à travailler ? >

< Oui, cest ça les artistes, de plus, yavait rien à faire avec cette température daujourdhui ! >

< Ici, cest insupportable ! > Me confie-t-elle.

< Je men doute ! >

< Jai dû prendre cinq douches aujourdhui ! >

< Et je devine que papa a vidé une caisse de bières froides ? >

< Oui, tu as bien deviné ! >

< Lol, cétait pas trop dur ? >

< Lol ! >

< Moi, jai pris de la Sangria ! >

< Peut-être pas une bonne idée ? >

< Je sais, mais au moins, ça fait oublier la chaleur ! >

< Lol, tas raison ! >

< Cest rare que je fasse ça, mais je viens de men reverser un verre ! >

< Oh ! En pleine nuit ? >

< Ouais ! Cest tellement insupportable, tu devrais voir la température dans la pièce, ici ! Cest suffocant et presquétourdissant ! >

< Oui, je devine ! >

< Je ne sais pas comment il fait pour dormir comme ça ? >

< Lol, il est anesthésié par lalcool ! >

< Je devrais faire pareil ! >

< Tu devrais plutôt prendre une douche ! >

< Ou les deux, cest mieux ! >

< Pas si certain que ce soit une bonne idée, maman ! >

< Attends, je reviens ! Daccord ? >

< Ouais ! je vais tattendre ! >

< Promis ? >

< Oui, promis ! >

< À tantôt ! >

À cet instant, je me questionne à savoir, si elle va revenir en nuisette et je me demande si ça ne commence pas à me plaire.

Cest plutôt tordu davoir un envie semblable et je me raisonne.

Au bout dune vingtaine de minutes, maman revint au clavier :

< Toujours là ? >

< Yup ! Ça fait un bien immense, même si ça ne dure pas à cause de la température de la pièce ! >

< Je me suis même reversé un grand verre de Sangria ! >

< Oh ! Un deuxième ? >

< Lol, le premier était tout petit ! >

< Ok, jai eu peur ! >

< Peur de quoi ? Que je sois saoule ? >

< Ouais ! Genre ! >

< Naa ! Pas de danger jeune homme ! >

Puis nous sommes restés sans parler quelques instants :

< Tu bosses toujours sur ton truc ? >

< Oui ! >

< Je devrais te laisser travailler ! De toute façon, il fait si chaud dans la pièce ici que jai les joues qui chauffent, cest étourdissant ! >

< Non, je vais arrêter de toute façon, on va pouvoir passer du temps ensemble si tu veux, à moins quil ne fasse trop chaud là où tu es ? >

< Je nai pas envie dêtre seule ! >

< Dans ce cas, je vais me chercher un verre de rhum et je reviens ! >

< Daccord ! >

< De retour ! >

< Je suis là aussi ! >

< La douche a fait du bien, mais je naurais pas dû mhabiller de nouveau ! >

Elle répond à la question que je me posais et je me sens rassuré.

< Tchin ! > Lui dis-je, en prenant une bonne gorgée de rhum.

< Tchin ! >

< Ça fait du bien à lintérieur, mais il fait toujours très chaud ! >

Je savais que la pièce dans lequel était le bureau, était la plus chaude de la maison à cause de la toiture.

< Jaurais mieux fait de mettre ma nuisette ! > Me lance-t-elle.

Oh merde ! Pas encore !

Je devrais lui dire de ne plus parler de ça, mais une partie de moi mempêche littéralement de le faire.

Restant silencieux devant lécran, jattends je ne sais quoi

< Ça fait du bien de savoir que tu es là, même si on parle pas beaucoup ! >

< Pareil pour moi, maman, je me sens moins seul aussi ! >

Au bout dun moment, elle mécrit :

< Il fait trop chaud ici ! Je vais déboutonner ma blouse un peu ! >

Je garde le silence à son commentaire.

< Excuse-moi, jespère que ça ne te dérange pas ? >

< Nan ! Ne ten fais pas ! > Lui dis-je pour la rassurer, sachant, pour ma part, que son commentaire a suscité mon intérêt.

< Tu devrais voir leau perler sur mon visage ! >

< Jimagine très bien ! >

< Cest comme un sauna ! Lol ! >

< Oui, je men doute ! >

< En fait, ça me coule partout sur le corps ! Jai déboutonné complètement ma blouse, cest trop insupportable ! Ça ne te dérangera pas si je lenlève complètement ? >

Pfiou ! Je reste scotché à mon écran, je sais bien quelle a chaud, mais je trouve que la situation devient vraiment excitante avec mon esprit tordu.

< Non, pas le moindre du monde ! >

< Il fait si chaud, je crois que je vais être mieux ! >

< Sûrement ! > Lui dis-je, en sentant, peu à peu, mon sang séchauffer.

< Cest déjà mieux, mais il fait vraiment trop chaud ici, je sens les gouttes couler dans mon dos ! >

Un silence sinstalle de nouveau, je tente de ne rien écrire, de peur de froisser maman et de provoquer un incident irréparable.

< Gabriel ? >

< Quoi ? >

< Ça te dérangerait si jenlevais mon jeans, aussi ? >

< Naa ! Vas-y ! >

Ouf ! Elle est en train de se déshabiller devant lordi.

Maman est en train de moffrir un striptease virtuel et je fais tout pour ne pas lencourager.

Elle nest quand-même pas obligée de tout me décrire, je ne fais malheureusement rien pour len empêcher.

Je ressens un mélange de honte de mes agissements, mais je trouve ça trop excitant pour larrêter.

Jai rarement eu loccasion de voir maman en petite tenue dans ma vie, elle est dun genre plutôt réservé, elle a toujours préservé son intimité, que je respecte.

Cest la première fois de ma vie quelle me parle de ses dessous et des images delle me viennent en tête.

Maman, à 45 ans, est encore une jolie femme, avec une taille fine et un bassin ample qui lui font un derrière que peu dhommes ne peuvent remarquer.

Et sa poitrine, que mes copains dadolescence nont cessé de commenter.

Mais là, pour la première fois, jai des pensées envers elle qui ne sont pas très chastes.

Cest vraiment tordu, mais au fond de moi, jaimerais quelle retire tous ses vêtements.

< Tes là ? >

< Ouais, plus que jamais ! >

< Plus que jamais ? >

Merde ! Pourquoi jai écrit ça ?

< Tu veux dire quoi ? >

< Je voulais juste dire que tu as toute mon attention ! > Lui dis-je, tentant de minimiser mon commentaire.

< Cest ce que je pensais, je devrais aller me coucher ! Quest-ce que ten penses ? > Me demande-t-elle.

Merde de merde ! Elle va me faire devenir fou.

Une intensité palpable sinstalle dans ce silence mutuel.

Au bout dun moment, je me ressaisis et écris :

< Ouais ! On devrait aller dormir ! >

Maman ne répond rien à mon dernier commentaire.

Après un long silence, je ramasse mon crayon et je me mets à griffonner ma tablette à dessin, sans but vraiment.

Il y a plus de vingt minutes que maman et moi nous sommes quittés.

Dessiné ma vraiment aidé à me calmer les sens.

Soudain, à ma grande surprise, maman tape quelque chose :

< Toujours là ? >

En voyant quelle est toujours là, mon sang repart à cent à lheure.

Je croyais quelle était partie, mais elle est toujours là.

Je tape nerveusement sur le clavier :

< Oui, toujours ! >

< Tu ne devrais pas dormir ? >

< Oui, mais je nen ai pas envie ! >

Je regarde lécran qui transmet le rythme lent de nos échanges à cette heure tardive.

< Moi non plus ! >

< Il fait toujours chaud, mais on dirait que ça me plait ! > Continue-t-elle.

< Tu te sens euphorique ? >

Je sais bien que ma question semble innocente, mais dans latmosphère feutrée de la nuit, elle peut prendre plein de sens et je sais bien quelle peut aisément faire basculer le fragile équilibre de mon corps et peut-être du sien.

Maman ne répond pas, je me doute quelle soupèse, tout comme moi, chacun de ses mots, chacune de ses phrases.

Puis jattends longuement sa réponse :

< Oui, beaucoup ! >

Sa réponse, bouscule mon être et je me mords les lèvres en écrivant un commentaire pour pondérer mon état intense dexcitation :

< Cest sûrement leffet de la Sangria et de la chaleur ! >

Je me serais attendu à une réponse de sa part.

Au lieu de ça, un long silence, puis :

< Gabriel ? >

< Oui ? >

< Tu penses que je devrais aller me coucher ? >

< Si tu penses que cest mieux, tu devrais ! > Lui écrivis-je, avec une sagesse de dernier recours

< Tu ne réponds pas à ma question ! > Finit-elle par écrire.

Je ferme les yeux et penche la tête en avant, en laissant aller un soupir qui vient de loin.

Mes mains sont froides et je les sens trembler.

Je sais bien quelle nécrira plus tant que je naurai pas répondu.

Pourquoi tient-elle vraiment à ce que le lui dise ?

Au fond de moi, je me doute bien, même si je persiste à croire à linnocence de la situation.

Jentends la petite voix, de plus en plus forte me souffler à loreille : Allez ! Tu ne risques rien quelle reste ! Injectant au même moment, dans mes veines, ce venin insidieux.

Machinalement, je place les doigts sur le clavier et me regardant taper :

< Jai envie quon continue ! > Lui tapai-je pour réponse.

« Continuer quoi ? », pensai-je ? Je ne savais pas trop, car en fait, nous navions rien commencé, mais jaimais bien le double sens qui, pour moi, témoignait innocemment du plaisir que je ressentais.

Je me demandais bien ce quelle mécrirait maintenant, le visage bien collé à lécran.

< Tu devrais voir les gouttes couler entre mes seins ! > Mécrit-elle.

« AArghh ! » Fut ma réaction, comme frappé par une tonne de brique.

< La dentelle et le rebord de mon soutien-gorge blanc est trempé ! >

Je ne répondis pas, imaginant dans ma tête, ses seins enveloppés dun soutien-gorge humecté de gouttes de sa sueur.

< Tes là ? >

< Oui, entièrement ! >

< Tu penses que je devrais lenlever ? >

Pfff ! Là, je suis moins certain de linnocence de maman

Je veux bien, mais je crois que je me trompe pas en pensant quelle métrive volontairement.

Jentends à peine au fond de moi la raison et le bon sens.

Maman serait elle en train de faire du cybersex avec moi ?

Je reste raisonnable, mais je ne cache pas mon jeu et je finis par lui taper :

< Oui ! Tu devrais lenlever ! >

Elle ne répond rien.

Je sais bien quelle doit tenter de sauver la chèvre et le choux, mais quelle a peut-être envie de faire un pas de plus, en se demandant comment, sans tout gâcher.

< Lagrafe est plus difficile à défaire, trempée comme je le suis ! >

Elle rajoute des détails qui, normalement, seraient superflus, mais dont je me délecte.

< Ça fait du bien davoir les seins à lair ! >

Je ne peux résister à lencourager.

< Jimagine ! Sentir tes seins libres et exposés ! >

Je fais comme elle et insiste en parlant de ses seins et du fait quelle les exhibe presque.

< Gabriel ? >

< Oui ? >

< Je fais ça parce quil fait chaud ! >

< Oui, je sais maman ! >

< Faudrait pas que ton père>

< Tinquiète pas ! Il dort et na pas à savoir ! >

Puis le silence sinstalla de nouveau entre nous.

Je laisse maman mener le tempo, même si aucun de nous, ne connaît le prochain mouvement.

Soudain, elle mécrit de nouveau :

< Il fait chaud chez toi ? >

< Oui, très, très, chaud en ce moment ! >

Elle sait bien que jai lair climatisé, même si, pour tout dire, il ne fournit pas vraiment en cette journée de canicule.

Torse nu dans mon studio, Devant mon ordinateur portable, une idée jaillit, mauvaise sans aucun doute, mais guidée par la voix qui me souffle à loreille.

Je saisis la souris et clique sur licône de la webcam sur MSN.

Je sais bien que la fenêtre souvrira sur lécran de maman, mais quelle ne saura pas quoi faire.

En fait, je ne lui dirai pas avant quelle ne lait ouverte :

< Tu vois la fenêtre ? >

< Oui ! >

< Clique Accepter ! >

< Oh ! > Pour seule réponse, témoignant que tout avait bien fonctionné.

Maman devait me voir torse nu devant mon écran.

< Faut pas ! > Écrit-elle.

Je lui écris rapidement, sentant un moment de panique de sa part :

< Calme-toi, je ne te vois pas ! >

< De toute façon, jai mis ma blouse devant moi ! >

< Ya que toi qui me vois ! Moi, jai toujours juste le texte ! >

< Pourquoi tu me las pas dit ? >

< Je veux te montrer quil fait chaud ici aussi ! > Tentant de calmer le jeu.

< Ça me donne quand même limpression que tu me regardes ! Je pense que je vais aller me coucher ! >

Je ne réponds rien à maman et griffonne ma tablette en lui laissant le temps de reprendre ses esprits et en la laissant apprivoiser limage quelle voit de moi.

Au bout dune quinzaine de minutes, je me dis quelle est finalement partie sans me souhaiter bonne nuit, probablement trop troublée de mon geste et cest probablement mieux ainsi, même si je commençais à vraiment y prendre goût.

< Tu travailles souvent torse nu ? > Finit-elle par dire, en réapparaissant.

Sa question métonne, et plutôt que dy répondre, je glisse discrètement mes mains sous mon bureau en retirant mon boxer sans quelle ne me voie.

< Je suis pas juste torse nu, je suis complètement nu, en fait ! >

< Oh ! Est tout ce quelle pu dire. Ta été comme ça toute la soirée ? >

< Ouaip ! Lui mentis-je. Nu comme un ver ! > Rajoutai-je.

< Ça fait drôle de te voir ! >

Ah ! Enfin, je la sentais se relaxer un peu.

< Ça donne limpression que tu me vois ? >

< Oui, je sais, mais je ne te vois pas, sauf dans ma tête ! >

Elle najouta rien.

Je continuais à griffonner mon dessin.

Puis elle métonna quand-même, en me posant cette question ouverte :

< Et tu vois quoi dans ta tête ? >

Voulant valider son intention, jesquivai un peu la question :

< Je ne suis pas certain que tu voudrais savoir ! >

Là, je savais que ma question lobligeait à se commettre.

Jétais quand même content davoir pu lamener à prendre cette responsabilité.

< Je devrais y aller ! > Dit-elle, en tentant desquiver la situation.

Cependant, elle ouvrit une brèche.

< Tu pourrais ! > Lui dis-je, en sachant quelle devrait désormais ouvrir son jeu ou partir.

Maman savait bien quen répondant, elle dévoilait laspect sexuel de son jeu, quil nétait plus question de chaleur et dexcuses bidons.

Le jeu nen serait plus un, en fait !

Elle voyait bien à lécran que jattendais sa réponse.

< Gabriel ? >

< Oui, maman ? >

< Je taime beaucoup, tu sais ! >

< Moi aussi, maman et je taimerai toujours ! >

Seule une mère peut désamorcer une situation comme celle-là.

Maman voulait se rassurer, pour peu quon le puisse dans une situation comme ça.

Je ne métais pas attendu à ça !

< Jai retiré de nouveau ma blouse, je suis seins nus devant lécran ! >

Elle vit bien mon attention revenir vers lécran et je fixai la webcam.

< Ça me donne limpression que je te montre mes seins par cette caméra ! >

< Euphorisant comme sensation ? >

< Je peux te poser une question ? >

< Oui, vas-y ! >

< Tas déjà fait ça ? >

< Oui, plusieurs fois ! >

< Je peux te demander quelque chose ? >

< Oui>

< Ça, me gêne de te le demander>

< Allez, vas-y ! >

< Tu veux bien te lever ? Juste si ça te tente ? >

< Oui, attends ! >

Je recule ma chaise en la repoussant du derrière de mes genoux, mettant à la vue de maman, la trique immense que la situation provoque.

Pour rajouter à sa demande, jappuie le devant de mes cuisses sur le rebord du bureau et je tire mon ordinateur vers moi en penchant lécran vers mon sexe quelle ne peut manquer de voir en gros plan.

Je me rassois ensuite doucement en gardant lordi près de moi

Maman na rien écrit et je fixe la webcam relativement de proche comme si je la voyais.

< Ça me donne vraiment, vraiment, limpression que tu regardes mes seins ! > Dit-elle, en appuyant sur le vraiment.

Je me demande jusquà quel point le fait de se sentir exhibée devant moi lexcite.

Je tente ma chance pour voir à quel point elle réagira :

< Je peux te demander quelque chose ? >

< Ça dépend ! >

< Cest quand même osé de ma part ! > Lavertis-je pour être certain de ne pas la bousculer

Elle répondit cependant assez rapidement, ce qui me laissait croire que le niveau de son excitation était maintenant assez élevé.

< Vas-y, demande moi ! >

< Jaimerais ça, si tu te levais et que tu retirais ta culotte, en faisant face à lordinateur ? Si ça te tente ? >

< Je suis debout ! Je retire ma petite culotte, je suis collé au bureau ! > Écrit-elle, en rafale, à chaque étape.

Japprochai mon visage de nouveau vers la webcam en la fixant :

< Jai vraiment limpression que tu regardes mon sexe comme ça ! >

< Oui, je sais ! >

Jétais, moi-même, très excité à lidée de ce que nous faisions, elle et moi.

Jessayais de rester calme et de ne pas memballer, mais javais mes limites aussi.

Je me demandais, si je lui parlais un peu de façon pas appropriée tout à fait pour un fils et sa mère,

Comment elle réagirait.

< Jaime tes seins maman ! >

Je savais quil y aurait un silence pendant quelle réagirait à mon commentaire.

Elle répliqua plus rapidement que je ne laurais cru, cependant.

< Ça me fait drôle que tu me dises ça ! >

Plutôt que dattendre, je rajoutai, en allant un peu plus loin :

< Jai toujours aimé regarder tes seins et tes mamelons ! >

< Gabriel ! >

Je savais que je la bousculais peut-être un peu.

< Ça me fait vraiment quelque chose que tu me dises ça ! >

Je nétais pas certain de ce quelle voulait dire par son commentaire.

Voulait-elle me dire que je dépassais les bornes ou voulait-elle me dire que mon commentaire lexcitait ?

Je pouvais arrêter ou tenter un dernier commentaire déplacé et voir si je me suis planté.

Excité comme je suis, je tentai le tout pour le tout sachant bien que ça pouvait sarrêter ici.

< Jai toujours rêvé de me retrouver mon visage entre tes jolies cuisses, maman ! >

Là, je venais carrément de franchir la barrière.

Mon corps menait maintenant !

Tant dheures à me retenir, à laisser monter la pression.

< Gabriel ! > Mécrit-elle, à nouveau.

Elle ne maidait pas, mais elle ne me rejetait pas non plus avec ce commentaire.

Ne me contrôlant plus du tout, jallais lentement aussi loin en avançant vers mon plaisir.

< Maman, jaimerais tellement glisser ma langue entre tes cuisses jusquà linsérer entre les lèvres de ta vulve ! >

< Ahh Gabriel ! Tu vas me rendre folle ! >

À ces mots, je compris quelle ne rejetait pas mon attitude.

< Ça texcite, hein ? >

< Oui ! >

< Un peu ? Beaucoup ? >

< Beaucoup ! Et il fait tellement chaud ici dans la pièce que ça me fait perdre la tête. ! Ya pas un bout de mon corps qui ne soit pas mouillé, tu devrais voir leau couler sur ma peau ! >

< Tu sais que je te lécherais en entier, si jétais là ! >

< Ah, Gabriel, arrête ! >

< Tas envie, maman, que je sois entre tes cuisses ? >

< On devrait arrêter ! Cest trop intense ! >

Je décidai daller au bout, quitte à briser quelque chose. Jen avais trop envie maintenant.

< Je glisse doucement mon pénis en toi, pendant que tu mouvres tes cuisses, maman ! >

< Gabriel ! Arrête ! >

< Je te pénètre doucement, maman, dans un long va-et-vient langoureux,

pendant que nos lèvres sapprochent jusquà ce quelles se touchent en un baiser torride ! >

< AAAaaah, Gabriel ! Jaime ça ! Continue ! >

< Puis, tu pousses ta langue dans ma bouche en sachant que tu embrasses ton fils ! >

< Ouiii ! Encore ! >

Je ne connaissais pas ma mère de ce côté, mais je savais quelle devait être très excitée, voire à la limite de lorgasme.

< Tas envie quon aille plus loin ? >

< Oui, jen ai envie ! >

< Prends ta souris et clique sur ton icône de webcam ! >

< Attends>

Jamais, je naurais cru quelle accepte ça.

Une image extrêmement érotique mapparut.

Je voyais maman, seins nus, les cheveux trempés de sueur, collés à son visage, lui donnant un air sauvage et déplacé.

< Tu me vois ? >

< Oui ! >

< Ça te plait ? >

< Beaucoup, tu es très belle ! >

Elle recula sa chaise pour sexposer, puis se levant, elle tourna sur elle-même, en me montrant ses fesses, puis se rassit en sapprochant du clavier.

< Gabriel ? >

< Quoi ? > Je voyais quelle était revenue un peu à la raison

< Tu pensais ce que tu as écrit ou cest un jeu ? >

Ohlala ! Question de femme !

Je ne suis pas certain quelle soit prête à entendre quen ce moment, jai vraiment envie de faire lamour avec elle.

Par contre, je suis très excité et lidée de lui planquer une info comme ça en ramenant ça dans la réalité mexcite encore plus.

Je ne suis cependant pas convaincu de sa réaction.

Elle a bien repris un peu ses esprits, elle sexhibe quand-même encore devant moi, sans tenter de se cacher.

Cest ma mère et elle détend latmosphère en mécrivant :

< Cest difficile de répondre à une question comme ça ? >

< Oui ! >

< Vas-y, juste honnêtement ! >

< Ok ! Javoue que je ne détesterais pas être entre tes cuisses ! >

< Et ? >

Loin de me le reprocher, maman semblait vouloir que je continue.

< Et jaimerais bien caresser tes jolis seins, puis mettre tes mamelons dans ma bouche ! Jaimerais vraiment embrasser ton ventre en descendant vers ta toison, la sentir puis déposer ma langue sur ta vulve ! Je rêve de te faire ça, maman ! >

< Continue, Gabriel ! Quest-ce que tu aimerais faire à maman pour de vrai ? >

< Ahh ! Maman, je capote ! >

< Je sais, Gabriel ! >

< Ça me rend fou de te dire ça pour de vrai ! >

< Moi aussi, Gabriel ! Regarde ! >

Reculant sa chaise, je vis maman qui se masturbait de sa main, les cuisses entrouvertes.

< Tu vois, ça me rend folle aussi que tu me le dises ! >

Les cuisses grandement ouvertes, je voyais clairement son majeur glisser entre ses lèvres.

Je perdis alors le peu dinhibition quil me restait.

Elle se rapprocha du clavier et tapa :

< Tas vraiment envie de faire lamour avec moi, Gabriel ? >

< Oui, jen ai vraiment envie ! >

< Moi aussi, jen ai envie ! > Dit-elle, en reculant sa chaise et en me montrant ses deux doigts pénétrant son vagin en un long mouvement de va-et-vient, son autre main caressant son sein en le pétrissant.

< Maman, jai tellement envie de glisser mon pénis en toi, de me sentir entre tes cuisses ! >

Elle sapprocha du clavier de nouveau :

< Tu voudrais vraiment quon sembrasse ? >

< OUI ! >

< Jaime que tu me dises ça ! Ça mexcite de savoir que tas le goût quon sembrasse, moi jai le goût depuis longtemps, tu sais ! >

< Cest vrai ? >

< Oui, je trouvais tes copines tellement chanceuses ! >

< Ça mexcite aussi beaucoup que tu me dises ça, maman ! >

< Gabriel ? >

< Quoi ? >

< On devrait lessayer quand tu vas venir ! Juste pour voir ! >

< Tu veux que lon sembrasse pour de vrai ? >

< Oui ! Seulement si ça te dit ? >

< Cest sûr que jai envie de glisser ma langue dans ta bouche, maman ! >

< AAhhh oui, Gabriel ! On fera plus, si tu veux ? >

< Cest sûr que je veux faire plus avec toi ! >

< On le fera dans mon lit, Gabriel ! >

< Oui ! >

< Jai toujours rêvé de tavoir dans mon lit ! >

< Jaime que tu me dises cela ! >

< Gabriel ? >

< Oui ? >

< Pourquoi tu viens pas demain, ici ? Ton père travaille, on pourra sembrasser comme on veut pour essayer et, peut-être, faire lamour ensemble ! >

< Ça te tente vraiment ? >

< Oui ! >

< Daccord, je vais essayer de me libérer ! >

< Ahh, Gabriel, cest bon !!! >

Je vis le corps de maman se crisper et ses cuisses souvrir à la limite lorsquelle eut son orgasme à la webcam.

Jaccélérai le rythme et éjaculai peu après, jouissant comme jamais je ne lavais fait.

La session MSN termina promptement, témoignant que maman avait fermé son ordinateur.

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