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La meute – Chapitre 9

La meute - Chapitre 9



EPILOGUE

Il ôta ses bottes en premier, puis sa veste, commença à déboutonner sa chemise tandis que Jenny sagenouillait devant lui et ouvrait son jean, quelle baissa sur ses cuisses entraînant son caleçon gris avec ; sa verge jaillit, raide et noueuses, sa peau brune sillonnée de veines sombres ; Jenny écarquilla les yeux de surprise, les yeux soudain brillants de convoitise.

Quel engin, tu es sacrément bien pourvu par la nature, mon grand !

La nature na rien à voir, ma belle ; mais si tu me juges trop gros ou trop long, je peux

Surtout pas, ne change rien ! Je veux que tu prennes ton plaisir, tous mes orifices sont à ta disposition et jai hâte dêtre prise par un si bel engin.

Tu nauras pas mal ?

Sûrement un peu, mais jaime que mes amants soient dominants, bien montés, et même un peu brutaux. Donc

Sur ce Jenny ouvrit grand la bouche pour prendre le gland sombre après lavoir décalotté dun long prépuce ; la verge avait une forte odeur de musc mâle et de cannelle, elle était chaude et vivante sous les doigts caressants de la sorcière rousse. Elle téta longuement avant dessayer davancer la tête, salivant abondamment ; mais elle ny arrivait pas, tout simplement ; seul Albin avait un truc pour lui faire réaliser des gorges profondes. Dépitée, elle lécha le fut et les testicules de son étalon avant de lancer :

Allez, viens ! Regarde, je suis à toi, tu peux me faire ce que tu veux.

Je voudrais dabord te lécher, goûter le jus dune femme ; jen ai rêvé si longtemps

Acquiesçant, elle sallongea sur le lit, magnifique avec son visage auréolé de sa coiffure de feu ; jambes largement écartées, elle lui offrit impudiquement le trésor de sa féminité, chair rose pâle et pubis flamboyant devant lequel il sagenouilla avec le regard habité du religieux devant lhostie sacrée. Il leva enfin la tête pour adresser un regard brillant de larmes contenues à Jenny.

Jamais je nai eu droit à ce trésor, moi, une divinité du sexe. Plus de six-cents ans que jattends ce moment, me tourmentant de le connaître un jour. Jennifer OGara, à compter de ce jour tu seras ma vestale, le réceptacle de ma semence et le fourreau de mon glaive. Je vais te posséder avec ma langue et avec mon épieu de chair. Regarde, cest pour toi !

Eberluée, elle le vit tirer la langue, une langue rouge sang, longue et épaisse, dune dimension résolument non humaine. Elle repensa à celle de Tony sous son avatar bestial et frissonna en se remémorant tout le plaisir quelle avait connu.

Elle ne fut pas déçue ; il la fit décoller rapidement en introduisant sa langue dans son vagin, titillant son point G, son utérus, son clito quil a aspiré comme dans une pompe, le faisant gonfler et prendre la taille dune phalange ; elle a commencé à jouir en criant, chevauchant la vague dun plaisir qui ne retombait pas.

Pantelante, liquéfiée, elle réalisa que sa verge épaisse avait remplacé sa langue et la remplissait, la barattait ; elle hurla sa jouissance, griffant son dos, nouant ses jambes sur ses reins ; quand il jouit enfin, elle tomba presque en pâmoison sous la violence du jet de sperme qui giclait directement dans son utérus.

Leurs peaux collés par la sueur, il reprirent leur souffle lentement, apaisés. Jenny donna quelques coups de langue sur le torse poisseux de Cujo, goûtant le sel, la cannelle et la vanille qui caractérisaient sa peau. Il sétira et embrassa la jeune fille sur la bouche, un baiser tendre que devint torride quand elle souvrit, acceptant la langue qui explora sa bouche. Il pétrissait rudement sa poitrine tout en lembrassant profondément, baisant sa bouche avec fougue. Les yeux troubles de plaisir, elle se décolla de lui difficilement, se leva pour aller chercher un tube de lubrifiant ; puis elle sallongea sur le ventre, bien cambrée, et murmura :

Viens, prends mon cul, défonce-moi

Il ne se fit pas prier ; après avoir graissé son anus en plongeant trois doigts joints jusquà leur jointure, il la sodomisa doucement, ralentissant quand elle se crispait un peu, mais senfonçant irrésistiblement ; elle commença à gémir, mais il savait quelle adorait ; il lui bloqua les poignets sur la nuque dune main et commença à la prendre de plus en plus fort, de plus en plus profondément ; attentif à ses réactions, il caressait ses flancs, les flattait comme on ferait dune jument. Puis il donna toute la puissance, défonçant ses reins avec une vitesse et une force surhumaines.

Oh ! Cest trop bon Continue, je viens Oh, mon Dieu Encore

Ma petite sorcière, je suis à bout, je nen peux plus

Il éjacula à nouveau de lourdes rasades de sperme dans le ventre secoué de spasmes de jouissance avant de sécrouler sur le dos de Jenny, lécrasant de sa masse. Il dut laider à gagner la douche, les cuisses ruisselantes de sperme qui sortait de ses orifices comblés ; engourdie, dans un état second, elle se laissa savonner et rincer. Epuisée, elle navait plus la force de parler, de marcher, et il la porta dans ses bras solide avant de la border.

A son réveil, elle sétira, tâta prudemment son entrejambe ; mais aucune douleur, aucune gêne rémanentes, même pas de son anus pourtant rudement sollicité. Cujo dormait à côté delle, allongé sur le dos. Après un petit pipi puis un verre deau, elle revenait se coucher quand elle vit un petit sac de jute posé sur son chevet. Jenny fit la moue en le soupesant et en le pressant doucement. Du gravier, des petits cailloux, une bonne poignée jugea-t-elle.

Elle défit le lien de cuir et versa le contenu dans sa main ; des cristaux blancs, translucides, irréguliers, de la taille de noisettes. Suspicieuse, elle chercha à comprendre ce que cétait, sans trouver dexplication.

Tu sais ce que cest ? demanda Cujo.

Non, pas encore ; cest toi qui a posé cette poche là ?

Oui.

Et ? Cest quoi ?

Je pensais que tu aurais reconnu le meilleur ami de la femme.

Euh Non, si ? Des diamants ?

Oui.

Daccord, et tu les as trouvés où ?

Je les fabrique. Une pierre tous les mois à peu près. Qualité supérieure, naturelle, VVF, taille cinq à sept carats.

Mais Il y en a pour une fortune.

Oui ; la meute vivait de la vente de ces pierres.

Le sorcier vendait des pierres à des joailliers depuis des décennies, et Cujo voulait maintenant que Jenny puisse en profiter. Il allait bien falloir acheter une voiture à Sam, la Buick étant morte. Et puis il fallait nourrir ses amants, Albin, Tony et Cujo. A ce propos, quelquun tapait contre la porte de la chambre, des coups légers mais décidés.

Oui ?

Tu vas bien, ma petite ? Je suis avec Tony.

Bon, entrez

Toujours nue, Jenny alla embrasser les deux arrivants, se blottissant contre chacun deux suffisamment pour sentir leur virilité se presser contre elle, puis échappant en riant à leurs mains fureteuses. Elle sécarta et virevolta dans la pièce, exposant son côté pile et son côté face alternativement, les bras à lhorizontale, sa longue chevelure rousse indisciplinée capturant la lumière.

Alors, vous êtes toujours habillés ? Jaimerais un gros câlin de mes chéris avant le petit-déjeuner. Et puis, jaimerais savoir si je peux vous accueillir tous les trois en moi sans en mourir.

Sans répondre, Albin et Tony se déshabillèrent en un tournemain, et Jenny constata que leurs verges se déployaient rapidement pour prendre des dimensions plus quhonorables. Elle se tourna alors vers Cujo, toujours allongé sur le lit, immobile, dont la virilité brune se tendait à nouveau. Il lui fit signe dapprocher et elle monta sur le lit, à quatre pattes ; il posa alors sa main droite sur son crâne ; elle retint avec peine un gémissement sous la chaleur intense, suffoquée par la jouissance soudaine qui fit ruisseler son ventre lourd dattente et rendit ses mamelons turgescents.

Déjà Albin était sur elle, en elle, planté jusquà la garde dans son vagin trempé ; il était si épais et long quelle a poussé un cri.

Toujours aussi étroite, ma petite ; tu enserres ma queue dans ton fourreau brûlant, cest un régal. Voyons ton anus maintenant

Ils lont prise soit séparément, soit à deux, et plus souvent à trois, emplissant ses orifices distendus pendant ce qui sembla être des heures. Leurs peaux étaient poisseuses de sueur et surtout de toute la semence dont ils lavaient emplie, elle en avait bu jusquà en être rassasiée et le sperme mélangé de ses humeurs dégorgeait à flot de son anus et de son vagin. Jenny était incapable de remuer et est restée étalée sur les draps trempés alors que ses amants se douchaient et que se remplissait la baignoire. Dans laquelle Albin la doucement fait glisser de ses bras après lui avoir roulé une pelle qui na même pas réveillé sa libido repue.

La vie de Jenny sest organisée jusquau diplôme de fin détudes générales entre ses cours, son apprentissage de sorcière et ses amants ; le FBI sétait intéressé à elle, mais elle se trouvait trop jeune pour intégrer Quantico. En attendant, elle était inscrite à la Massachussetts University de Boston, en langue, littérature et culture, avec des UV en kinésiologie et anthropologie. Tony, titulaire dune bourse grâce au basket, intégrait la Boston University à quelques encablures de là, pour étudier linformatique. Les diamants de Cujo ont permis dacheter une remplaçante à la Buick de Sam, et une voiture pour la jeune sorcière, une Ford Explorer rouge vif ; assez spacieuse pour accueillir des passagers de grande taille.

Cest en cours dannée universitaire que la jeune sorcière fut confrontée à l’affaire sanguinaire qui a fait éclater la barrière entre monde normal et monde surnaturel aux USA, laffaire du maître vampire de Boston.

(Prochainement dans les meilleures librairies)

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