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La mère Noël et ses Lutines – Chapitre 1

La mère Noël et ses Lutines - Chapitre 1



Ce soir c’est le réveillon de noël. Hélas, Anaïs avec qui je vis, travaille dans une boite de nuit et je vais passer mon réveillon tout seul et comme nous vivons loin de nos parents je n’ai pas le choix.

Anaïs m’a demandé de l’accompagner à son travail qui est à ¾ d’heure de chez nous c’est une excuse pour rester un peu plus longtemps ensemble. Nous arrivons à la boite de nuit qui n’est pas ouverte et nous rencontrons Stéphane, le patron, qui nous dit bonjour. C’est un type vraiment sympa et toujours souriant.

–    Bonjour Anaïs. Bonjour Eric.

–    Bonjour Stéphane.

–    Entrez donc boire une coupe de champagne.

Ne buvant jamais d’alcool, nous refusons timidement l’invitation.

–    Allez une fois n’est pas coutume.

Anaïs et moi, sommes de nature timide et introvertie ainsi nous cédons à l’invitation.

–    Pour ne pas être malpolis d’accord mais juste une.

Nous entrons dans la boite qui est vide et nous installons au comptoir. Stéphane nous sert une coupe à chacun et nous trinquons à Noël. Nous discutons de tout et de rien et de fil en aiguille Stéphane ressert une deuxième, puis une troisième que je refuse car je dois conduire.

Je monte en voiture et je sens l’euphorie de l’alcool monter en moi. Je ne suis pas ivre mais je ne suis pas dans mon état naturel. Je démarre et rapidement l’alcool me pousse à fredonner puis à chanter  en suivant la musique à la radio. Je roule ainsi un bon moment avant de m’apercevoir que le voyant de réserve est allumé me signifiant que je n’ai plus beaucoup d’essence. Hélas, dans nos campagnes françaises les pompes à essence ouvertes à cette heure ne sont pas légion surtout le soir du réveillon. Je roule ainsi le pied léger pour essayer d’arriver à bon port. La nuit est tombée et je regarde l’aiguille du niveau d’essence comme si je pouvais la freiner vers sa chute inéluctable vers le réservoir vide.

Ce qui devait arriver arriva, la panne sèche fit caler le moteur après quelques soubresauts et avec l’élan je peux me garer vers le délaissé de la route afin de ne pas avoir d’accident. Je descends de la voiture et regarde autour de moi afin de voir si une providentielle station est sortie du sol comme par magie. Mais rien de tel n’est dans mon champ de vision, ni rien d’autre mis à part une maison à 200 mètres qui est éclairée. Peut-être que les gens ont un peu d’essence pour la tondeuse ou autre à me prêter. Malgré la peur de demander à des personnes que je ne connais pas, je ferme la voiture et me dirige vers la maison.

Arrivé sur le seuil, je prends mon courage à deux mains et sonne à la porte.

J’entends des bruits de talon qui s’approchent de la porte, la lumière du perron s’allume et enfin celle-ci s’ouvre. Une femme d’une cinquantaine d’année est face à moi et me regarde avec un visage dur.

–    C’est pour quoi ?

–    Euh, voilà je suis tombé en panne d’essence et j’aurais aimé savoir si vous n’auriez pas de quoi me dépanner. Bafouillais-je avec un air penaud.

Un long moment passe pendant qu’elle me regarde des pieds à la tête.

–    Entre. Dit-elle en tournant le dos et s’éloignant pour aller dans une autre pièce.

–    Je n’ai pas d’essence mais mes filles arrivent et peut-être pourront-elles faire quelque chose pour toi.

–    Merci Madame. Lui répondis-je en baissant la tête.

–    Je vais t’offrir un apéritif en attendant.

–    Non merci Madame. Je ne bois pas d’alcool.

–    Avec l’il pétillant que tu as, soit tu as bu ou alors tu fumes.

–    J’ai bus un peu de champagne avant de venir mais ce n’est pas dans mes habitudes.

–    Je n’aime pas que l’on me mente. Dit-elle avec un ton sévère.

–    Oh non Madame, je ne mens pas mais le patron de ma copine a insisté pour me donner du champagne quand je l’ai déposé à son travail.

Sans autre formalité, elle m’entraine dans le salon et me fait signe de m’asseoir pendant qu’elle prépare deux verres.

Elle m’en tend un et s’installe avec le deuxième.

–    Tu vas être en retard pour ta soirée de noël. Me dit-elle

–    Ce soir, je suis seul, je n’ai rien prévu car ma copine travaille. Je suis loin de ma famille.

–    Donc, tu n’es pas pressé.

–    Oh non, je dois juste aller la chercher demain matin à 5H00.

–    Nous verrons cela plus tard. Dit-elle avec un air penseur. Parle-moi de toi.

–    Je m’appelle Eric et j’ai 20 ans. Nous nous sommes installés avec Anaïs, ma copine, dans la région, il y a deux mois. Nous ne connaissons personne c’est pour cela que je fête noël seul car elle travaille dans la boite de nuit.

Je trempe mes lèvres dans le breuvage que je trouve très fort. Je ne sais pas si c’est la chaleur ou l’alcool mais je commence à être dans un état second. La tête me tourne et je commence à voir trouble. Je n’aurais pas du boire de l’alcool je vais être malade. Je me sens partir.

Je commence à revenir à moi et je ne vois pas encore bien mais ça me reviens. Je suis allongé sur un lit et je cherche à me remettre les idées au clair. Quelque chose me gêne car je suis effectivement couché sur un lit et je suis sous des couvertures mais incapable de bouger. Je m’aperçois que je suis attaché. J’appelle quelqu’un car je ne me souviens de rien. Arrive la dame avec toujours son air sévère.

–    A ça y est, tu es enfin réveillé

–    

–    Après avoir bu tu es tombé dans les bras de Morphée. Comme tu n’est attendu pas personne tu veux bien être mon jouet pour ce soir. Cela fera très plaisir à mes filles.

–    

–    Tu vas voir tu vas aimer. Et puis de toute façon tu n’as pas le choix puisque tu es un faible et tu n’oses pas dire non.

Elle commence à enlever les draps et je découvre que je suis nu et attaché en croix dans le lit.

–    Je vais te préparer pour la soirée de ta vie. Je vais te changer pour l’arrivée de mes filles. Tu veux petite larve ?

–    Euh oui. Je crois. Bafouillais-je et ne sachant pas quoi dire d’autre devant tant d’autorité.

–    On dit oui Maitresse. Et puis pour que tu sois sur, je vais te ficeler le sexe et tu ne pourras pas partir.

Elle prend une corde et me ficelle les base du sexe très fort. Quand elle tire dessus j’ai l’impression qu’elle me l’arrache. Elle prend un tube et sort de la crème de celui-ci don elle me badigeonne l’anus. Dans un tiroir de la commode, elle prend un objet oblong dont la dimension me semble énorme et elle se penche sur moi afin de me le pénétrer dans l’anus. Je souffre même si elle me le pénètre doucement en faisant des va et vient. J’ai l’impression d’être ouvert en deux.

–    Ça fait mal Madame.

–    Et d’une c’est Maîtresse, et de deux tu n’as rien à dire sans que je te le permette.

–    

Il y a une poire qui est reliée par un tube. Elle presse deux fois et je sens l’objet qui gonfle dans mes entrailles.

–    Ça me fait mal

–    Comment on dit petite larve

–    J’ai mal Maitresse

–    Tu vas voir, tu vas t’habituer et tu vas finir par aimer. Et maintenant à tes seins.

Elle prend des objets dont je ne vois pas la finalité. Elle me triture un téton et me pose une cloche en plastique avec une sorte de pistolet dans sa main. Elle l’actionne plusieurs fois et je vois mon téton aspiré à l’intérieur, il s’allonge. Elle décroche le pistolet puis passe à l’autre sein. Je souffre le martyre entre l’anus qui est distendu, les seins qui sont martyrisés.

–    Je vais te détacher mais gare à toi sur te rebelle. Appareiller comme tu l’es tu seras moins agile.

Elle me détache les jambes puis les bras mais je ne peux plus bouger avec les douleurs que j’ai. Elle tire sur la corde et me force à bouger.

–    Viens par ici, je  n’en ai pas fini avec toi.

Elle me force à me lever et je me retrouve nu face à elle équipé de tout cet attirail. Elle me met le sexe dans un tube muni d’une poire. Elle presse la poire et mon sexe est aspiré dans le tube. Il grossi à chaque pression et commence à remplir un bonne partie du tube.

–    Tu as un bel engin. Je pense qu’il va bien servir.

Elle passe un bâillon avec un pénis à l’intérieur. Il doit être percé car j’ai la possibilité de respirer par la bouche et un tuyau en sort par l’extérieur. Elle me l’attache derrière la tête.

Elle sort un vêtement de sa commode qui est en matière plastifiée noire. Je pense que c’est du latex. Elle commence à me l’enfiler. C’est une combinaison qu’elle me met sur le corps qui comporte une cagoule. La combinaison comporte des ouvertures aux seins, au sexe et à l’arrière. Elle sort les poires du sexe et de l’anus  puis place bien mes seins face aux trous prévus à cet effet. Elle ferme l’ensemble dans le dos et je me retrouve le corps enveloppé dans celle-ci et avec une cagoule qui me bouche les yeux mais des trous sont prévus pour les narines et la bouche.

Je sens qu’elle m’attache les mains derrière le dos avec des menottes et m’attache les chevilles de la même manière.

–    Voilà, tu es prêt pour la soirée de noël. J’ai tout de suite vu que tu étais un soumis né et nous allons te révéler à  ta vraie nature pour ton noël. Mes filles s’occupent de ta voiture et reviennent pour découvrir leur cadeau de noël. Avance jusqu’au sapin pour  qu’elles te découvrent.

Elle me pousse doucement et j’avance par petits pas car les menottes des chevilles ont certainement une chaine qui les relie.

J’ai mal partout. Mon cul me brule, mes seins me donnent l’impression d’être à vif,  mon sexe me fait un mal énorme.

Je sens qu’elle me passe quelque chose autour du ventre. Elle s’affaire quelques instants.

–    Voila. Un beau cadeau doit avoir un nud. Cela fini bien un paquet cadeau. Mes filles vont être heureuses de déballer ce que Papa Noël leur a apporté.

Sur ce, elle me fait me coucher au sol. Je suppose que je suis sous le sapin car je sens que j’ai touché quelque chose au-dessus de moi.

–    Sois sage petite larve, je vais me changer pour le réveillon avant que mes filles arrivent. Ne bouge surtout pas car sinon je te fouette.

J’entends le bruit des talons partir et je reste seul. Enfin, je pense que je suis seul car je n’entends plus rien dans la pièce. Le bruit de la douche se fait entendre dans une autre pièce et je suis là couché avec une cagoule sur les yeux, un sexe dans la bouche ainsi que dans le cul. Le mien est prisonnier et les seins sont maltraités. Je pourrais peut-être essayer de me lever et de me libérer mais ma timidité maladive rend la situation agréable. Etre dominé à cette femme qui va me montrer ainsi équipé à ces filles. La situation semble être sortie d’un livre d’histoires érotiques.

La douche s’arrête et après un temps qui me semble très long, j’entends de nouveau les talons revenir.

–    C’est bien petite larve, tu es resté sage. Je vais te récompenser.

Je sens qu’elle manipule quelque chose et mon anus sent grossir l’intrus.

–    Comme çà tu auras moins mal tout à l’heure. Je suis trop gentille.

Une voiture arrive vers la maison et un coup de klaxon se fait entendre. La porte d’entrée s’ouvre.

–    Maman, c’est nous.

–    Ah, vous voilà mes chéries. Vos avez réussit à ramener la voiture.

–    Oui, nous avons vidé le jerrican d’essence et  après elle a démarré. Elle est dans la grange.

–    Oh mais je vois que le père noël est passé. Il nous a apporté une poupée de latex. Dit une autre voix.

–    Super en plus elle a un beau nud tout rose.

–    Tu te trompe Marine, il y a deux nuds dont un que j’ai hâte de gouter.

–    Mes chéries, vous devez attendre pour ouvrir vos cadeaux. Nous allons boire du champagne pour l’instant.

–    Maman, tu crois que nous pouvons lui en donner aussi par le tuyau à notre poupée.

–    Non Clara, elle ne boit pas d’alcool.

–    Ce n’est pas grave, nous allons lui donner du champagne sans alcool.

–    Si vous voulez mais donnez lui aussi du viagra si vous voulez profiter de votre cadeau.

–    Laisse je m’en occupe, je lui fais fondre dans son champagne.

J’entends du remue-ménage puis quelqu’un m’attrape le tuyau qui sort de ma bouche et coule dedans un liquide.

Le liquide a un drôle de gout et il est tiède. Je pense que c’est le viagra avec le champagne qui a ce gout là. Le liquide coule toujours et je déglutis au fur à mesure.

–    Il a tout bu. C’est une poupée gourmande. Je n’en ai plus à lui donner pour l’instant.

–    Attends Marine, j’en ai pour lui et j’ai une grosse envie.

–    Moi aussi je vais lui en donner. Je me retiens depuis tout à l’heure.

La conversation me semble abstraite et je ne comprends rien quand le liquide recommence à couler dans ma bouche avec toujours ce gout bizarre bien que moins puissant. Mais c’est vrai que ce n’est pas mon habitude de boire de l’alcool et surtout dans cette position avec un sexe dans la bouche.

–    Quel gourmand il a tout bu. Il a l’air d’aimer ça.

–    Venez mes chéries boire du champagne nous allons recharger notre cave pour lui en redonner plus tard.

Une bouteille s’ouvre et des verres tintent.

–    A la vôtre mes chéries

–    A la tienne Maman et encore merci pour cette belle surprise. Disent les filles en cur.

Elles papotent pendant un certain temps de tout et de rien, puis la mère leur demande de passer à table.

–    Prenez votre jouet et installez-le à table.

Je suis pris dessous les bras et on me lève. J’avance dans les ténèbres toujours dirigé par des mains qui en profitent pour me peloter.

–    Mais maman, comment l’asseoir sur sa chaise il a déjà un plus dans le cul.

–    Vous lui enlevez et vous l’installez sur la chaise.

L’intrus perd du volume et ont me l’ôte. J’ai une impression de vide dans mon cul. On me dirige puis on me positionne et on m’accompagne pour m’asseoir. Je sens quelque chose contre mon anus qui entre mais le volume est supérieur à ce que j’avais précédemment. Des mains m’appuient sur les épaules afin que je m’empale. Je suis assis sur la chaise avec le fondement fortement rempli.

–    Je ne pensais pas qu’il rentrerait tellement il est gros.

–    Tu sais Clara je lui ai bien gonflé le plug pour lui préparer et je lui ai mis une pommade décontractante dessus avant de l’installer au pied du sapin. Comme ça son cul était ouvert au maximum.

–    Tu as bien fait Maman, et j’ai hâte de le prendre avec mon nouveau gode ceinture. Tu sais le très gros que tu m’as offert pour mon anniversaire.

–    En attendant fixez-le à la chaise qu’il ne se relève pas.

On me passe une ceinture et je pense que je suis attaché à la chaise.

–    Ca y est Maman.

–    Bien Marine, prend la télécommande et met le gode en route qu’il se fasse bien ramoner l’anus pendant que nous mangeons. Mais en attendant que j’amène les plats pompez lui un peu les seins et le pénis.

Mon sexe est de nouveau aspiré ainsi que les tétons. J’ai mal et le sexe dans l’anus me défonce comme si un homme me prenait. Je soufre horriblement.

–    Tenez mes chéries voici le repas et diluaient les cachets dans un peu de votre champagne pour qu’il soit excité comme un fou. C’est un mélange que m’a donné la pharmacienne pour des soirées spéciales. Nous n’avons pas beaucoup de temps car les cachets agissent vite et le viagra doit fait effet maintenant.

On me glisse encore à boire dans le tuyau et je suis forcé de boire. Pendant ce temps là on dégonfle l’aspiration du sexe et on m’ôte le tube.

–    Oh Maman, il est bien dur. Je peux ?

–    Oui Clara, amuse toi mais pense à manger.

Une bouche se glisse sur mon sexe et me suce. C’est bon malgré mes autres sévices et je ne tarde pas à sentir la jouissance arriver. Je jouis rapidement dans la bouche accueillante. La personne continue encore un peu et me laisse enfin.

Rapidement je sens quelque chose couler dans le tube. Je comprends que le sperme me coule dans la gorge. Je ne peux faire autrement de boire malgré que sois dégoûté de boire mon propre sperme.

–    C’est super ce viagra, il ne débande même pas. Je vais m’asseoir dessus pour manger.

Quelqu’un tire légèrement ma chaise en arrière et viens s’empaler sur mon sexe.

–    Qu’il est gros, je le sens bien. Je le mouille un peu devant et après je m’encule avec. C’est trop bon je sens aussi le gode qui lui défonce l’anus.

Les comprimés doivent commencer à agir car je prends de plus en plus de plaisir. C’est trop bon de se faire ainsi astiquer le sexe en se faisant enculer. L’obscurité dans laquelle je suis augment le plaisir car je ne sais même pas à quoi ressemble mes tortionnaires mais mon imagination joue à fond.

La jeune femme qui est sur mon sexe jouit en hurlant et m’inonde le sexe. Après un peu de calme, elle se relève et  je sens qu’elle prend mon sexe pour le diriger vers son anus si je comprends bien les mouvements qu’elle fait.

–    Oh que c’est gros, vous devriez essayer.

–    Ne t’inquiète pas Clara la nuit n’est pas fini.

Et le ramonage d’anus m’excite au plus haut point. J’aimerais la prendre par les hanches mais je suis attaché et je reste docile avec les mains derrière le dos.

–    Clara, pense un peu à moi j’ai envie aussi de l’essayer.

–    Tiens à toi Marine

Elle se lève et rapidement un autre trou m’enveloppe le sexe.

–    C’est vrai qu’il était gros dans la bouche mais dans la chatte c’est super.

–    Attends un peu de l’avoir dans le cul tu vas voir Marine c’est un gros calibre.

–    Oh oui c’est bon, je vais jouir rapidement. Maman tu peux me donner un verre je vais jouir dedans et je veux le lui offrir.

–    Surtout ma chérie que tu es une fontaine et tu vas saloper partout. Tiens un verre à whisky, il est plus large ce sera plus facile.

–    Ca y est je pars.

Elle se soulève pour jouir, ce qu’elle fait plus discrètement que sa sur. Après s’être calmée, elle me reprend le sexe après s’être tournée vers moi car je sens ses obus sur ma poitrine.

–    Encule-moi bien et comme tu m’as bien fait jouir tu dois avoir soif. Tiens boit.

J’ai encore le liquide qui coule dans ma bouche et ce coup-ci je n’ai pas de doute sur le breuvage. Je prends plaisir à boire sa liqueur. Certainement l’effet des comprimés.

–    Qu’est ce que tu préfères ma liqueur ou mon champagne ? Dit-elle en riant

Pendant qu’elles rient toutes, je comprends enfin que j’ai bu leur urine depuis le début. Je suis troublé entre le dégout et l’excitation d’une pratique que je n’aurais pas  envisagée avec Anaïs.

Pendant ce temps là elle continue ses mouvements sur mon sexe et cela renforce la pénétration que j’ai dans le cul. Qu’est-ce j’aime cela, c’est fort et bon. Mon cul est défoncé pendant qu’elle se défonce le sien quand tout à coup j’explose dans son cul. Le sperme est projeté dans son fondement et cela lui déclenche encore une fois un orgasme dont je sens qu’elle récupère sa liqueur en plaçant le verre entre mes jambes. Elle est affalée sur moi et je ressens sa respiration haletante.

–    Putain qu’est tu m’as mis. Tu m’as défoncé et tu m’as fait jouir du cul. Ça mérite un cadeau.

Elle se relève doucement puis me laisse ainsi planté sur mon gode.

–    Tiens bois salope.

Je me doute d’où vient le liquide qui me coule dans la gorge. C’est vrai que je suis devenue une salope.

–    C’est bon hein ! Je t’ai fait un cocktail perso avec ma liqueur de ma chatte, celle de mon cul et ton sperme.

Je suis devenue une chose car je ne me formalise plus de ce que je bois.

–    Bon les filles, c’est bien tout ça mais nous allons le laisser récupérer même si son sexe est encore en forme. Je vais lui laver en lui faisant une pipe spéciale et après nous mangeons.

Je sens une bouche qui me suce tout en m’astiquant la tige. Mon plaisir monte rapidement car les produits et le viagra continuent leurs effets.  Elle me suce un long moment comme une reine. Le gode continue ses mouvement dans mon cul qui commence à s’échauffer. Je sens que je vais jouir et quand je crois que je jouis, elle me plante les dents dans le gland. Si je n’avais pas le sexe dans la bouche j’aurais hurlé.

–    Tu es vraiment sadique Maman, il a la trace de tes dents sur le dard. Heureusement qu’il nous a fait jouir sinon il aurait fallut attendre.

–    Allez mes chéries, enlevez lui le gode du cul et remettez le gros plug gonflable avec de la crème car tout à l’heure ce sera la fête à sa rondelle.

–    Ah oui Maman, on va bien s’amuser. Dirent-elles en rigolant de bon cur.

Elles me détachent de la chaise me font lever après avoir arrêté le gode puis me basculent le ventre sur la table pour me crémer l’anus et m’introduire le plug qui est déjà de taille honorable puis le gonflent pour m’élargir encore plus l’anus.

Elles me rassoient sur la chaise qui n’a plus de gode. Mais la position avec le plug n’est pas plus confortable.

–    Cuvée spéciale. C’est un mélange de trois crus. A la tienne.

Je bois et je commence à m’habituer à leur pisse et je commence à aimer ça.

Leur repas se passe calmement s’il est possible de qualifier un repas où trois femmes qui parlent de sexe, de domination, de défonce anale et d’urologie comme une soirée calme. Après un long moment.

–    Allez mes chéries, débarrassez pendant que je vais cherchez ce qu’il nous faut pour nous amuser.

J’entends des bruits de vaisselle et les rires des filles. Puis après un temps assez long où je pense que j’ai été oublié, quelqu’un me prend pour me lever de ma chaise, je suis plier en deux afin de me poser le tronc sur la table. On me défait les menottes des chevilles pour me les attacher aux pieds de la table. Les mains sont détachées aussi et on me les allonge pour les attacher en face de moi. Je suis offert ainsi avec le cul à l’air.

–    A moi de m’amuser. Dit la mère.

On me caresse les fesses très longuement, me masturbe par en dessous et me tire les testicules. Je sens que l’on me dégonfle le plug pour me l’ôter.  Quelqu’un me souffle dans l’anus pour me faire comprendre qu’il est bien ouvert. Un crachat est envoyer dans mon cul, puis un autre et encore un.

–    Alors petite pute. Me dit la mère. Je vais te défoncer le cul comme tu ne le seras jamais plus.

Sur ce, je sens des doigts qui visitent mon fondement. Je sens une ondée de fraîcheur qui me fait penser qu’on me graisse le cul. Pendant cela quelqu’un me suce le sexe en me triturant les couilles. Les doigts doivent être nombreux car je sens mon anus se distendre. Ca rentre de plus en plus dans l’anus et je suis pompé comme s’il fallait je sorte encore du sperme dans la minute. Une forte pression se fait sur mon anus et enfin la pression baisse.

–    Je t’ai entré la main dans le cul et je vais te rentrer le bras en entier salope. Si tu jouis dans la bouche de Marine, je te rentre deux mains salope. Pour te calmer, Clara va te fouetter le cul. Tache de te contenir sinon tu n’es pas prêt de t’asseoir.

De là, je suis fouetté et la pénétration continue dans mon cul. J’ai l’impression que quelque chose est dans mon ventre et que je vais avoir la main qui va sortir par là. Les coups pleuvent sur mon cul et la bouche pompe ma bite comme jamais cela ne m’est arrivé.

–    Bravo, sale pute j’en suis à mon coude. Tu es un phénomène, tu as un cul digne des plus grands fist fucking. Je vais te prendre maintenant avec mon gode ceinture hors norme, je ne pensais pas pouvoir m’en servir un jour mais toi tu le mérite.

Le bras s’enlève de mon anus tout doucement pendant que les coups continuent et que la pipe est toujours aussi active.

–    Mais avant cela, comme tu m’as excitée, tu vas me boire car j’ai une très grosse envie.

Quelque chose se passe sur le tuyau que j’ai dans la bouche et le liquide arrive. Je bois par plaisir et le flux ne semble jamais s’arrêter. Je bois un temps très long et enfin le liquide arrête de couler.

Les coups s’arrêtent et la pipe aussi.

–    Attends Maman, nous allons lui pisser dans le cul et ensuite tu li rentre le monstre.

–    C’et une excellente idée Clara. Pissez-lui dans le cul.

Je sens après un petit moment un liquide chaude couler dans mon cul. C’est trop bon d’être ainsi soumis.

Puis rapidement, quelque chose pointe  à mon anus et me pénètre avec difficulté car c’est énorme. Le bout passé cela rentre en moi. J’ai le cul plein mais ça rentre encore. C’est très gros et ça me pousse les intestins. Je me fais enculer par un truc hors norme. Je sens le ventre contre mon cul, je dois tout avoir dans le cul et le mouvement de recul est commencer. Au moment de sortir de mon cul ça rentre de nouveau. Et ainsi de suite et de plus en plus vite. Je en sais combien de temps je me fais ramoner mais je sens que je vais jouir du cul tellement c’est bon. Des bruits liquides sortent de mon cul. C’est complètement obscène comme sensation.

–    Marine, penche toi je vais te baiser avec mon gode ceinture. On va voir si tu jouis avant la pédale soumise.

–    Putain qu’est-ce qu’il est gros. Défonce-moi bien la chatte Clara.

Je les entends baiser à côté de moi et ça m’excite encore plus. La scène est irréelle, je me prend un truc énorme dans le cul pendant que des filles se baisent à côté de moi en criant des gros mots.

D’un coup j’explose, je jouis du cul et ma bite explose. J’entends des rires autour de moi et le ramonage continu. Et cela cesse peu de temps après.

–    Tu es vraiment une salope de première. Nous avons eu de la chance de te trouver pour notre noël. Me dit la mère.

–    La prochaine fois nous fisterons avec deux mains mais pour cette nuit nous allons laisser ton cul se reposer. Continue-t-elle

–    Vous avez passé un bon réveillon de noël mes filles.

–    Oh oui Maman. Disent-elles.

–    Allez une dernière tournée de nos jus pour cette pédale de service.

Et du jus m’arrive encore dans la bouche. Elles me laissèrent seul toujours attaché sur le ventre avec le cul à l’air. Au calme je rentre dans une torpeur à cause de la fatigue. Peu de temps après je sombre dans un sommeil des justes sans m’en apercevoir.

Je me réveille dans ma voiture qui est garée sur le parking de la boite. Je regarde l’heure, Anaïs ne va pas tarder à sortir. J’ai mal au cul et je sens que j’ai un plug planté dans mon anus, je pense à l’enlever mais Anaïs ne va pas tarder et il serait étrange qu’elle me trouve avec le pantalon aux chevilles. Et puis, j’aime bien maintenant avoir le cul rempli.  Un papier est posé sur le tableau de bord, je le prend et lis :

« Si le cur t’en dit, n’hésite pas à revenir pour le jour de l’an et merci pour ce réveillon »

Anaïs arrive et monte dans la voiture. Elle m’embrasse et me dit.

–    Tu as l’air complètement crevé.

–    Oui, je suis tombé en panne d’essence et il a fallut que je me débrouille chez des gens pour trouver de l’essence.

–    Tu aurais pu te laver les dents, tu as une haleine horrible.

–    Excuse-moi.

–    Ce n’est pas grave, tu me raconte ta soirée de galère ?

–    Oh ce n’était pas une galère, mais je suis tombé sur des gens charmants qui ce sont bien occupés de moi.

–    Tu me les présenteras pour que nous puissions les remercier.

–    Pourquoi pas.

Je démarre et prend la route en espérant reconnaître où je suis tombé en panne si le cur m’en disait de fêter le jour de l’an avec eux et peut-être Anaïs

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