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La panne de courant – Chapitre 1

La panne de courant - Chapitre 1



La panne de courant (1/2) :

Je me sens si seule ce soir, si seule et si vieille. Pourtant je ne suis pas si vieille que ça, certes mes années folles sont déjà malheureusement derrières moi mais je pense avoir encore pas mal de temps devant moi pour profiter de la vie. Seulement ces années folles, justement, me manquent énormément.

Je repense avec une grande nostalgie à une soirée en particulier. Probablement la meilleure soirée de toute ma vie. Elle a été essentiellement intense. Quand jy repense, jétais vraiment folle à cette période mais ne regrette absolument rien. Rien quà ressasser ces souvenirs me procurent immédiatement une certaine excitation.

A lépoque, javais dix-sept printemps, bientôt dix-huit. Cela sest passé dans notre maison de campagne près de Solérèse. Nous avions organisé une petite soirée avec la famille du côté de mon père. Ce dernier ayant deux frères et deux surs, il y avait donc un certain nombre de personnes entre mes oncles et tantes, leurs conjoints et leurs enfants.

Je ne me souviens plus si on avait quelque chose de particulier à fêter où si on sétait juste réuni comme ça. Enfin bon, ça na plus vraiment dimportance maintenant.

Ce quil faut savoir cest que jétais déjà très excitée par cette soirée. En effet, javais invité mon tout dernier copain à cette soirée et javais prévu de lui sortir le grand jeu, de lallumer à fond et de finir au lit pour une nuit de folie. Cétait lun des plus beaux mecs de ma classe et les filles se larrachaient mais cest avec moi quil avait fini par sortir. Jétais très heureuse de ma prise.

Mais ce crétin ma appelé une heure environ avant le début de la soirée pour annuler en prétextant je ne sais plus quelle excuse. Jai appris bien plus tard que cette nuit là, il sétait en fait taper une autre fille de ma classe, une moche avec des lunettes horribles en plus.

Enfin bref, javais enfilé une petite robe dété à petite bretelles qui marrivait à mi-cuisse et possédait un décolleté appétissant. Javais aussi volontairement omis de mettre un soutient gorge. Nul doute que rien que ma tenue laurait rendu fou sil sétait donné la peine de venir. Sans vouloir me vanter, jétais très jolie en ce temps là, la fraicheur de mes jeunes années me conférait une silhouette parfaite avec une poitrine assez volumineuse et ferme dont jétais très fière. Mais ce nest pas les seuls atouts que javais, un sourire quon disait ravageur et des yeux envoutants dont je savais parfaitement me servir pour séduire et que je nhésitais pas à maquiller légèrement pour les mettre encore plus en valeur. Jétais vraiment très belle, je le savais et aimais quon me le dise. Jadorerais tous les regards masculins qui se posaient sur moi pour me mater. Je faisais semblant de ne pas les remarquer, et quand je me sentais émoustillée, je nhésitais pas à laisser une meilleure vue à lespion.

Alors quand jai reçu le coup de fil de mon copain pour me prévenir quil ne viendrait pas jai hésité à me changer et à enfiler une tenue un peu plus décente mais finalement jai décidé de rester comme cela.

Les premiers invités sont arrivés, le frère ainé de mon père, son épouse et leurs deux fils de dix-huit et vingt-deux ans, et déjà jai reçu les premiers compliments. Mon oncle a affirmé quil me trouvait ravissante après mavoir fait une bise que jai trouvée un peu trop appuyée. Jai pu aussi voir mes cousins jeter des coups dil dans mon décolleté. Que ce soit ma propre famille qui me matte ne me dérangerait pas du tout. Jétais belle, je plaisais et cétait le principal. En plus, linceste en soi ne me choquait pas vraiment. Javais déjà plusieurs fois fantasmé sur les membres de ma famille et en particulier sur mon père et mon frère de vingt-et-un ans. Faut dire quil y avait pas mal de beaux-gosses dans ma famille.

La soirée a poursuivi et nous nous sommes vite retrouvés à table. On ma pas mal complimenté sur ma beauté et mon charme. On ma pas mal maté aussi, et lalcool aidant, jétais assez émoustillée par la situation si bien que je faisais exprès de me pencher négligemment pour offrir une meilleure vue sur mon décolleté et à jouer de mon regard pour provoquer un peu. Après le repas, jai dû me rendre aux toilettes et jen ai profité pour reprendre un peu mes esprits. Javais, en effet, la tête qui tournait un peu à cause de lalcool que javais bu. Jai aussi remarqué que ma culotte semblait être déjà légèrement humide. Soudain, la lumière sest éteinte. La surprise passée, je me suis lavée les mains et suis sortie des toilettes pour retourner au salon rejoindre ma famille et savoir ce quil se passait. On ny voyait vraiment rien. La maison était complètement plongée dans le noir. Javançais lentement dans le couloir pour rejoindre le salon en tâtonnant les murs pour me guider. Soudain, jai percuté quelque chose, ou plutôt quelquun qui a bien failli me faire tomber mais ce dernier ma retenu et, je ne sais plus vraiment comment, une de ses mains sest retrouvée sur un de mes seins pour me retenir. Sur le coup, je nai pas réagi mais la main est restée plus que nécessaire avant de finalement se retirer. Je me suis excusée de lui être rentrée dedans puis ai commencé à reprendre mon chemin mais brusquement sa main est venue me claquer les fesses. Jai poussé un petit cri de surprise mêler à de la protestation. La main sest retirée et le profiteur na plus donné signe de vie. Il avait dû partir en me laissant là toute confuse au milieu du néant. Je ny croyais pas, je venais de me faire peloter par quelquun de ma famille mais jignorais qui exactement. Sur le coup, je me suis dis que je lavais quand même un peu cherché avec mes provocations. Qui que ça a pu être, je ne lui en voulais pas vraiment de son geste, au contraire, ça navait pas été trop loin et ça mavait excité un peu plus. Jétais juste étonnée de son audace.

Quoi quil en soit, je suis finalement revenue dans le salon et ai demandé ce quil sétait passé.

— On nen sait rien ma chérie, me dit ma mère. Le courant a été coupé dun coup. Ton père est parti voir le tableau électrique pour identifier le problème.

Je me suis alors dirigé vers le fauteuil de mon père pour massoir en pensant quil serait vide mais ce nétait pas le cas. Il devait y avoir un de mes oncles. Ne voulant pas membêter à chercher une autre place, je me suis assise sur ses genoux comme javais lhabitude de le faire quand jétais plus petite.

Rapidement ses mains sont venues se poser sur mes cuisses dénudées. Peu de temps après, elles ont commencées à me les caresser délicatement. Cétait plutôt agréable et je nai donc rien dit. La douceur de ses paumes sur ma peau me faisait frissonner. Je me suis alors installée plus confortablement sur lui en venant bien me coller à son torse plutôt musclé. Mon cul était bien posé sur son entrejambe. Les mains ont continué leurs douces caresses en remontant lentement le long de mes jambes, jusquà pénétrer quelques doigts sous le bas de ma robe.

Je me suis laissée aller aux somptueuses sensations qui menvahissaient peu à peu en écoutant que dune oreille les blagues provenant du canapé non loin où se situaient mon frère et plusieurs de mes cousins et les conversations que tenaient ma mère avec deux de mes tantes. Sans me poser la moindre question, jai ouvert les cuisses pour faire comprendre à mon oncle de poursuivre son exploration et puis jai senti quelque chose pointer sous mes fesses. Je me suis trémoussée pour lexciter encore plus. Je ne me demandais même pas si ce que je faisais était bien ou mal, si je nallais pas le regretter plus tard. Jétais fière de la belle érection que je sentais sous mon cul.

Jen voulais maintenant plus. Ses mains ont alors atteint ma culotte maintenant bien humide et ses doigts se sont engouffrés à lintérieur. Je nai pas pu mempêcher de pousser un soupir de satisfaction. Ses doigts mont caressé mes lèvres intimes mais soudain ils se sont retirés de ma culotte. Mon oncle a alors tiré dessus pour me faire comprendre quil voulait que je lenlève. Elle devait le gêner. Je me suis alors redressée et il la fait descendre le long de mes jambes. Encore aujourdhui, je ne sais pas ce quest devenue cette culotte. Jaime à imaginer quil la gardée en tant que trophée.

Après avoir repris ma position une main est revenue à lassaut de ma chatte et plusieurs phalanges sy sont engouffrées. Lautre main est remontée le long de mon ventre pour atteindre la poitrine. Elle sest engouffrée dans le décolleté et est venue empoigner mon sein.

La situation était vraiment très excitante, jétais en train de moffrir volontairement à un de mes oncles au milieu de toute ma famille et dans le noir complet. Elle était aussi très risquée. Mon père pouvait à tout moment rétablir le courant. Je nose même pas songer à ce quil se serait passé si ça avait été le cas. Jimagine la réaction de ma famille en voyant mon oncle une main entre mes cuisses et lautre dans mon décolleté sur mon sein nu.

Des doigts sengouffraient ardemment dans ma chatte, dautre me pinçaient le téton et me palpaient le sein et encore cette bosse me défiait larrière-train. Javais vraiment du mal à ne pas gémir de bonheur. Je me trémoussais comme une chienne en chaleur.

Je nétais pas loin de jouir quand soudain mon père a fait irruption dans la pièce.

— Le problème ne vient pas dici, affirma-t-il de sa grosse voix autoritaire. Jai été voir dehors. Apparemment cest toute la rue qui est plongé dans le noir. Il ny a rien dautre à faire que dattendre que le courant revienne.

— Amélie, me fit ma mère. Tu pourrais peut-être aller voir sil reste des bougies dans ma chambre. Ça sera toujours mieux que rien pour nous éclairer.

— Ok mman.

Je me levai déçu de devoir quitter les mains expertes de mon oncle et commençai à me diriger vers la sortie et marrêtai vers le canapé où était installés mon frère et mes cousins avant de me retourner.

— Et elles sont où exactement dans ta chambre ?

Pendant quelle réfléchissait, une main provenant du canapé vint se poser sur lintérieur de ma cuisse et commença à me caresser. Je me souviens sur le coup avoir pensé appartenir à une famille de pervers. Cétait déjà le troisième mâle qui profitait du noir pour venir balader ses mains sur mon corps. Comme javais parfaitement ma place dans cette famille de pervers et que jétais déjà très excitée je nai pas repoussé sa main. Je mouillais abondamment si bien que jai senti un filet de cyprine couler le long de ma cuisse jusquà cette main inquisitrice ne lui laissant rien cacher de mon état. Mais il a fallu me décider à accomplir la mission de ma mère et me forcer à mettre fin à ce nouveau contact.

Je suis montée à létage, ai pénétré dans lantre de mes parents et ai commencé à fouiller dans la table de nuit de ma mère à la recherche des fameuses bougies. Elle ne se souvenait plus de lemplacement exact où elle les avait rangées et mavait donc donné plusieurs endroits à regarder. Le noir ne facilitait pas vraiment mes recherches. Après plusieurs longues minutes de fouilles infructueuses jai entendu des pas arriver dans la pièce.

— Mman menvoie savoir où tu en es.

Cétait la timide voix de ma petite sur. Elle nétait pas venue seule. Je sentais dautres présences dans la pièce.

— Je ne les trouve pas.

Je lai entendu sassoir sur le lit en attendant que je termine les recherches. Pendant que je tâtonnais à lintérieur de larmoire jai senti une main venir se poser sur mon cul. Sur le coup, jai été surprise mais jai fait comme si de rien nétait. Cela devait être probablement le cousin qui mavait caressé la cuisse avant que je monte. Tandis que je continuais de palper les tréfonds de larmoire, on me palpait le cul. Et ce à moins de deux mètres de ma petite sur qui ne devait se douter absolument de rien. Les mains se firent encore plus entreprenantes et sinfiltrèrent sous ma robe pour venir me caresser mes fesses dénudées et mon sexe brulant. Le gars vint coller son bassin sur mon cul. Il bandait fermement dans son pantalon. Jeu la surprise de sentir une nouvelle main se poser sur mon nichon. Merde, il nétait pas venue seule et avait ramené un autre de mes cousins, peut-être mon frère ainé. Javais oublié complètement la présence de ma petite sur et me laissais complètement pelotée par ces deux mecs et je nai pas pu mempêcher de laisser échapper un soupir.

— Quest-ce quil y a ? demanda la voix de ma sur. Quest-ce que tu as ?

— Rien, fis-je avec une voix tremblante. Vas dire à maman que je nai pas trouvé les bougies.

— Ok Vous ne venez pas ?

— Euhje vais regarder de nouveaux voir si je ne suis pas passée à côté.

— Ok Amélie. A tout à lheure.

Elle nétait pas plutôt sortie de la pièce quune bouche sauta sur la mienne pour me rouler une pelle tandis que les mains me palpaient sans ménagement la poitrine. Lautre derrière fouillait ma chatte inondée. Ma main vint agripper la bosse de mon cousin qui me faisait face. Elle était imposante. Sans réfléchir et en suivant mes envies, je me mis à genoux et ouvrit son pantalon. Je nen pouvais plus. Depuis un moment quon me pelotait, je voulais déguster de la bite. Jai fait jaillir son sexe de son pantalon, je me suis jetée dessus et je lai gobé. Je lai pompé avidement. Javais vraiment très envie de faire jouir cette bite qui me faisait honneur par sa virilité.

Tandis que ma langue soccupait de lécher chaque centimètre carré de ce gros gourdin brulant je sentis mon autre cousin me prendre la main et la poser sur sa bite. Visiblement, il ne voulait pas que je loublie. Jai alors lâché lautre pour venir goutter à cette nouvelle bite que je lai engouffrée au fond de ma gorge comme la précédente. Elle avait un goût plus fort que lautre et était moins épaisses mais tout aussi succulente. Jai ainsi alterné entre ces deux bites. Quand je sentais que lun était près de lorgasme je le lâchais pour venir moccuper de lautre.

Mon dieu, quest-ce que jai fait ce soir là ? Jétais vraiment dingue. Deux bites de mes cousins pour moi toute seule. Et je ne savais même pas exactement lesquels de mes cousins cétaient. Javais des doutes sur deux ou trois dentres-eux mais je nai pas pu vérifier mes théories. Ces derniers ne disaient absolument rien et se laissaient téter le gland. La situation était vraiment très excitante pour moi. Ne pas savoir lidentité exacte des propriétaires des ces bites me procuraient une stimulation encore plus forte. Ajoutée au fait denfreindre linterdit familial. Cétait vraiment fou de faire ça mais rien ne maurait arrêté à ce moment. Je mouillais abondamment et me frottais le clitoris frénétiquement tout en continuant à me régaler de ces deux glands et à leur lécher les couilles.

Ça faisait déjà de longues minutes que je moccupais de mes cousins quand le premier a joui. Il a été pris de spasmes violents et est venu se libérer au fond de ma bouche tout en poussant des grognements de satisfactions. Javais déjà sucé avant eux mais navais jamais accepté de recevoir la semence de mes conquêtes dans la bouche mais cette fois cétait différent. Jétais vraiment très excitée et quand jai senti que son orgasme était proche, je lai laissé venir dans ma bouche sans presque réfléchir et jai tout avalé. Je me souviens avoir pensé sur le coup quil naurait pas fallu que je laisse des traces sur le sol, dautant plus que jétais toujours dans la chambre de mes parents et quil aurait été difficile de nettoyer ensuite dans le noir, alors, cest presque naturellement que jai avalé sa semence. Malgré mes craintes, je nai pas été dégoutée par le goût du sperme. Bien au contraire, jai été étonnée de trouver ça plutôt bon. En plus, je me sentais fière daller pour une fois jusquau bout. Après ce soir, je nai plus jamais loupé loccasion de boire un peu de ce divin nectar.

Ce fut au second cousin de venir jouir. Jai eu moi aussi un orgasme tandis que je sentais son sexe se contracter et lâcher de puissants jets dans ma bouche. Mon orgasme ma vraiment déchirée et avec son éjaculation plus importante que lautre, je nai pas pu tout retenir dans ma bouche et ça a coulé le long de mon menton. Jai presque tout récupérer avec mes doigts et les ai léchés ensuite. Le lendemain, je me souviens mêtre aperçue quil y en avait qui avait coulé sur ma robe.

Mes deux cousins ont alors rangés leur sexe et nous sommes redescendus au salon où la soirée continuait à avoir lieu.

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