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La passion brûlante d'un frère et une soeur – Chapitre 5

La passion brûlante d'un frère et une soeur - Chapitre 5



Mais un jour, lors dun repas en famille, nos parents nous ont annoncés quils allaient partir un week-end pour leur anniversaire de mariage. Ils disaient quils avaient besoin dun peu de temps rien que pour eux et cela tombait très bien parce que javais aussi besoin de temps avec ma petite sur. Cela faisait un mois, je crois, que nous navions pas eu loccasion de coucher réellement ensemble et non pas seulement tirer un coup comme ça. Je me rappelle que lorsque ma mère nous a dit ça, Laura et moi nous sommes échangés un regard discret mais qui voulait tout dire. Il y avait trois jours avant le départ de mes parents et ce furent les plus longs de ma vie. Jétais impatient et elle aussi apparemment puisquun jour avant le grand départ, ma sur ma plaqué contre le mur quand nous nous étions croisés dans le couloir. Sa main était fortement agrippée à mon sexe. Elle sest approchée de mon visage et ma dit :

— Demain, je te fais ta fête. Ici même dans ce couloir, tu vas prendre comme tu ne mas jamais prise.

Elle ma ensuite embrassé fougueusement. Mes mains étaient fixées à son cul. Si javais pu, je laurais prise là tout de suite. Avec ce quelle mavait dit, il était clair que nous étions deux à être impatient maintenant. Mais jai dû attendre vendredi 20h avant de pouvoir prendre ma sur dans mes bras.

Quand nous étions certains que mes parents avaient bien pris la route, ma sur ma sauté dessus dans le divan en rigolant. Elle était déchainée, nos mouvements étaient rapides, le désir nous consumait. Cela mavait fait penser à notre première fois. Nous nous sommes déshabillés lun lautre rapidement. Mais je nai pas eu le temps denlever mon pantalon quelle était déjà en train de sortir ma queue dehors. Je bandais déjà comme un taureau, puisque ces dernières heures, la tension était montée peu à peu. Laura me léchait goulument le sexe, elle avait lair de sen délecter. Même mes couilles et mon pubis avaient droit à son coup de langue. Quand elle me regardait droit dans les yeux, elle ne pouvait sempêcher de sourire parce quelle voyait bien tout le plaisir quelle me donnait. Il était temps que je lui rende la pareille. Je lai alors soulevé, ce nétait pas dur elle était toute légère. Elle avait ri parce quelle fut surprise et ne savait pas ce que jallais lui faire. Je lai déposé sur le haut du divan et je me suis agenouillé dedans, de sorte à être au même niveau que son joli minou. Nous avons rapidement enlevé sa culotte quelle a lancé au loin avec sa jambe, puis elle ma offert complètement son sexe en écartant les jambes.

Je me suis alors attelé à lui lécher la vulve du mieux que je le pouvais. Je caressais son pubis rasé puis son clitoris, cela faisait longtemps que je ne lui avais pas fait une gâterie comme ça. Elle me tenait la tête et me disait de ne surtout pas marrêter. Ses gémissements ont commencés à vraiment augmenter quand jai planté mes doigts en elle. La pauvre était déjà bien trempée.

— Vas-y Oui, comme ça fit-elle entre deux bruyantes respirations. Je vais juter, continue.

Jai alors posé ma main sur son pubis et de mon autre je lai doigté comme il se doit. Quelques secondes après, elle bascula la tête en arrière et bougeait ses hanches delle-même sur mes doigts. Je pouvais sentir son vagin se contracter sur mes doigts, je pouvais voir son anus se contracter aussi.

Mes doigts étaient trempés et un peu de cyprine avait coulé sur le canapé mais nous aurions tout le temps de nettoyer par après, nous nallions pas nous arrêter en si bon chemin.

Elle est alors descendue sur le divan pour me monter mais étant donné quil ny avait rien derrière mon dos, je suis tombé sur le sol avec elle. Nous avons rigolé, jai voulu me relevé mais Laura men a empêché, elle a alors prit ma queue et se lest mise elle-même dans son antre bouillant.

Elle me regardait la bouche ouverte dun air de dire « tu aimes ça hein ? », bien sûr que jadorais ça. Sentir son sexe se serrer autour du mien, ses petites fesses qui claquaient contre mes jambes, de là où jétais je pouvais voir son joli mont de vénus. Nous sommes restés là quelques temps à se faire lamour, par terre. Jaimais soulever ses cuisses et bouger mon bassin de sorte à la « mitraillait » de coups de bite. Mais il a fallu que je ralentisse sinon jallais déjà mettre fin à notre premier coït du week-end.

— Hé, tu te rappelles de ce fameux mur sur lequel je dois te prendre comme je ne tai jamais prise ?

— Hum hum ! me fit-elle comme si je parlais dune chose délicieuse.

Nous sommes allés alors dans le couloir de notre entrée, jai dabord plaqué Laura contre le mur et je lai embrassé. Je me suis un peu baissé pour pouvoir entrer mon pénis en elle, elle a alors tenté de levé sa jambe mais jai refusé.

— Non, reste droite. Je nai jamais essayé cette position avant.

Quand mon sexe la pénétré, elle a poussé comme un gémissement de soulagement. Nous étions debout, face lun à lautre, et je faisais des vas-et-viens en elle. La maison était silencieuse, seuls nos gémissements et soupirs de plaisir cassaient le silence. Laura avait posé ses mains sur mon torse. Après un moment, jai soulevé sa jambe puis lautre pour que je puisse la baiser en même temps que je la porte. Grâce à madame la gravité, nos vas-et-viens étaient rapides et profonds. Il ne lui fallut pas beaucoup de temps avant dêtre parcourue par lorgasme une nouvelle fois. Je tenais fermement ses fesses et je la pilonnais du mieux que je le pouvais. Son regard était tourné vers le plafond, ses gémissements sétaient transformés en cris. Heureusement que nous ne vivions pas dans une maison mitoyenne, les voisins auraient probablement tout entendu. Après que la jouissance lait saisie, je continuais mes mouvements mais dune manière plus lente, quant à elle, elle déposa ses lèvres dans mon cou et décida de me faire un suçon pendant que je la baisais lentement. Et pour moi, qui suis fan de sa bouche, je peux vous dire que cétait le pied total ! Sentir ses lèvres sucer ma peau, sentir sa langue me caresser.

Quand je lai déposé par terre, sa mouille coulait le long de mes jambes. Jai décidé de racler une goutte qui perlait et de gouter ma propre sur. Hum, quel délice ! Voyant ce que je faisais, elle voulu se goûter elle-même. Elle me suça le doigt mais il ny avait déjà plus rien. Elle sest alors abaissée et a commencé à me lécher la jambe pour remonter vers la source : ma queue toute mouillée. Quand elle sest remise debout nous nous sommes échangée un divin baiser.

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