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La progression d'Amélie – Chapitre 6

La progression d'Amélie - Chapitre 6



La jeune fille

Il m?avait acheté cette tenue qu?Il m?avait fait découvrir et porter le jour où Il avait décidé que je serais toujours lisse entre mes cuisses. Ce jour-là, en rentrant du bureau, il me trouva dans une petite robe noire dont je savais qu?elle Lui plaisait. Cela faisait 3 ou 4 semaines que ma soumission avait commencé et que je ne cherchais plus à m?habiller que comme cela lui plaisait, c’est-à-dire essentiellement en robe. Je ne portais déjà quasiment plus de culottes, pour être toujours disponible. Cet aspect de ma soumission m?était assez difficile, car j?avais l?impression que tout le monde savait que j?étais nue sous mes robes…En rentrant, il me saisit par la taille et nous nous sommes embrassés très longuement, pendant qu?Il m?enlevait ma robe, me laissant avec mes dim-ups et mes petits escarpins. Ma robe tomba à terre et il passa sa main entre mes cuisses pour d?assurer de mon état de disponibilité et d?excitation, tout en m?embrassant. Je pensais que j?allais être prise dans cette tenue, à quatre pattes ou couchée sur la table du salon, comme la plupart du temps. Et comme Lui, j?adorais ces positions car j?étais complètement offerte, sans pudeur aucune, à Sa disposition.

Mais ce jour là, Il me signifia que la toison de mon ventre était trop fournie pour une vraie esclave et qu?Il souhaitait (à ce moment de notre relation, Il n?exigeait pas encore) me voir lisse, comme une jeune fille qui découvre la vie…

J?acceptais en hésitant un peu, car c?état une chose assez importante que de toucher à mon corps. En renonçant à cette pilosité, j?avais l?impression de commencer à renoncer à moi-même. Malgré tout j?acceptais, à la condition que ce soit Lui qui m?épile. Il me serra alors dans ses bras et me dit qu?Il allait s?occuper de cela tout de suite.

— Ne bouge pas ! dit il avec une autorité que je ne lui connaissait pas. Je restais donc immobile, nue dans le salon et Le vis revenir avec un bandeau noir avec lequel il me masqua les yeux. J?en tremblais d?aise. Puis je sentis qu?il me ramenait les poignets dans le dos et qu?il les ligotait. C?était encore une des premières fois où j?étais attachée. Comme cela avait changé depuis…

Il m?attrapa l?avant bras sans ménagement puis me dirigea en me tirant au niveau du bras vers la chambre où j?allais certainement subir les derniers outrages.

Il m?ordonna de m?agenouiller sur le lit, ce qui je fis difficilement car aveugle et avec un équilibre incertain à cause de mes liens. J?écartais alors machinalement les cuisses, m?ouvrant un peu plus. Puis Il m?ordonna de me cambrer en posant mes épaules par terre, offrant mes fesses et l?entrée de mon ventre. J?avais l?habitude d?être utilisée ainsi mais c?est la première fois que j?étais ligotée. L?impression d?être offerte en était que plus intense.

— C?est la dernière fois que j?utilise ton ventre sans qu?il soit lisse. Je vais te raser une fois que je t?aurais utilisée, puis ce sera à toi de t?assurer que tu es toujours parfaitement lisse et épilée. Si je trouve que tu es négligente sur cet aspect, je te punirais.

Sur ce, il s?inséra d?un coup dans mon ventre et me pilonna sans ménagement, ne se souciant que de son propre plaisir. J?éprouvais des sensations très partagées, entre un plaisir très intense, une honte de ma condition (prise comme une vulgaire catin) et de la douleur liée à ma position et à mes entraves. J?ai le souvenir de plusieurs orgasmes très forts.

Il se retira, me remis à genoux sans ménagement, en me signifiant qu?Il allait terminer dans ma bouche, pour ne pas avoir à me nettoyer avant de me raser. Machinalement, j?ouvris la bouche et une fois que je Le sentis, je me mis à Le sucer, jouant de mes lèvres et ma langue comme Il me l?avait appris. J?adorais L?avoir dans ma bouche…

Il jouissait au fond de ma bouche, et j?avalais entièrement Sa semence. C?était quelque chose qui m?était complètement inimaginable quelques semaines avant. Maintenant, cela me paraissait tellement normal…

Il me coucha sur le dos puis me mis les bras en croix. Il noua une corde à mon poignet gauche puis en passant sous le lit et en s?aidant des pieds du lit, m?attacha le droit, en prenant bien soin de tendre la corde, m?écartelant presque. Je ne pouvais plus bouger le haut du corps. Il m?enleva mes souliers puis mes bas, très lentement, prenant bien soir d?effleurer l?intérieur de mes cuisses.

Il s?éloigna et revint. Je sentis le contact d?un linge chaud sur mon pubis puis il le frictionna longuement, probablement avec de la mousse à raser…Il fait de même entre mes cuisses, autour de ces deux orifices qui ne m?appartenaient presque plus. Puis vint le contact du rasoir, qu?il manipulait délicatement…J?avais envie de bouger tellement ça m?excitait, mais les cordes me rappelèrent vite à la raison. Je le laissais terminer mon épilation, prenant sur moi…Puis une fois terminé, il me détacha les mains et en m?aida à me lever et m?enleva le bandeau. J?étais face à la glace de la chambre et je me découvris nue et complètement imberbe, alors que je m?étais habituée à cette toison assez fournie.

Nue, pas maquillée et avec mes petits seins, j?avais l?impression d?avoir rajeunie de 10 ans…

— Ca te plait ?

— Si c?est comme cela que tu me veux, alors oui cela me plait ?

— Pourquoi ? Dit Il en me prenant dans ses bras et en me caressant pour la première fois mon ventre lisse.

— Je suis ton esclave et je ferais tout ce que t u me demanderas.

— Alors allons t?habiller, nous dînons dehors ce soir, jeune fille. Je t?ai acheté des vêtements cet après midi…Il me tendit pour commencer des bas très blancs, avec le haut en dentelle, visiblement autofixants. A l?époque, je commençais à peine à découvrir les jarretelles et autres guêpières et j?étais plus habituée aux dim ups sans culotte…Je les enfilais très lentement, les remontant bien haut, en faisant exprès de me caresser tout en ouvrant mes cuisses pour bien les lisser. Je n?avais jamais porté à ce moment là (ce qui n?était plus franchement le cas depuis…) de bas blancs. Puis il me donna une combinaison en soie avec de toutes petites manches en bas des épaules, blanches également, légèrement transparente qui descendait au milieu des cuisses, que j?enfilais immédiatement. Le contact de la soie sur mes fesses et mes seins était délicieux. Malgré les bas et la combinaison, je n?avais toujours pas l?impression d?être couverte, mon ventre étant toujours à l?air libre. Mais je ne pensais pas que j?allais mettre une culotte ce jour là, même en blanche et en coton…

Puis il me donna le reste de ma tenue que Virginie allait porter ce matin. Un chemiser blanc à col rond et petites manches, mais assez serré pour souligner la forme de mes seins libres sous la combinaison puis une jupe plissée, bleue marine, très ajustée au niveau de la taille qui descendait juste en dessous des genoux. Enfin les ballerines noires et vernies, juste à ma taille. Et dernier accessoire, un flot en velours bleu marine me ramenait les cheveux en queue de cheval…

Je me regardais alors habillée dans la glace et découvris une jeune fille toute mignonne, type collégienne ou écolière. C?est vrai que je faisais facilement 10 ans de moins habillée de cette façon. Malgré le côté sordide et déplacé, voir ridicule de ma tenue, je me plaisais ainsi habillée (déguisée) et surtout je savais que je lui plaisais, car il m?avait souvent parlé de me ? transformer ? en jeune fille.

Il me saisit les bras et m?embrassa longuement. Il passa une main sou la jupe et la combinaison pour découvrir en fouillant mon ventre que j?étais aussi excitée par la situation que lui (car je le sentais plein de désir à ce moment là). Puis il retira sa main, m?approcha les doigts de ma bouche et je les suçai un par un, en prenant un air le plus ingénue possible, telle la jeune fille qui mange une sucette…

Ce soir là, nous sommes allés dîner au restaurant. En montant dans la voiture, il me signifia :

— A partir de maintenant, ne ma présence, tu retrousseras tes robes ou tes jupes pour t?asseoir directement sur tes fesses. Tu ne croiseras plus les cuisses et tu feras attention d?avoir les cuisses toujours entrouvertes. Tu dois comprendre que tu dois être toujours disponible, toujours prête à être utilisée, n?importe où, n?importe quand et n?importe comment.

En disant cela, avant que je ne m?installe dans la voiture, il glissa une main sous ma jupe et ma combinaison, ne faisant pas attention aux passants encore nombreux dans la rue. Moi, je ne voyais qu?eux, qui mataient la jeune fille et ses fesses qui se découvraient sous les caresses de son Maître. Il descendit sur mes fesses et glissa entre celles-ci, jusque vers l?entrée de mes reins, pour me faire comprendre que cette voie là également serait utilisée par la suite.

Je m?installai comme ordonné sur le siège passager, en prenant bien soin de retrousser jupe et combinaison pour poser mes fesses nues sur le cuir des sièges. Le contact de mes fesses sur le cuir, après la soie me mettait dans un état second. Je pris bien soin de maintenir une ouverture entre mes cuisses. Il démarra. Je sentis la ventilation s?engouffrer dans cette ouverture et me caresser le ventre, humide et chaud. Il remonta la jupe et la combinaison à hauteur de la naissance de mes bas, m?exhibant ainsi aux passants et autres automobilistes qui lorgnaient dans sa voiture. La honte d?être ainsi exhibée et déguisée en jeune fille (alors que les jeunes filles ne s?habillent plus du tout de cette façon !) était plus que compensée par la fierté de montrer au monde que j?étais son esclave soumise et obéissante, d?avoir envie de montrer mon sexe épilée et ma tenue un peu saugrenue. J?étais particulièrement (et aussi bizarre que cela puisse paraître) à l?aise et heureuse, de cet avilissement, de cette exhibition, de cette transformation. De même au restaurant, je dus m?asseoir lentement, en relevant bien ma jupe et mes dessous pour poser mes fesses et mes cuisses gainées de blanc sur le fauteuil, faisant la joie de plusieurs autres clients qui ne me quittaient pas du regard. Maintenant, Il pouvait me demander tout ce qu?il voulait…Et le soir même, je fus sodomisée pour la première fois, debout, habillée en jeune fille, appuyée contre un mur et sans aucune préparation.

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