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La ravissante Bonnie se fait partouser – Chapitre 2

La ravissante Bonnie se fait partouser - Chapitre 2



La ravissante Bonnie se fait partouzer 2

Banging Beautiful Bonnie!

Coulybaca / Black Demon

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Cette histoire se suffit en elle même,

cependant elle est aussi la suite logique de

La ravissante Bonnie se fait partouzer 1

"Banging Beautiful Bonnie! 1".

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Clignant des yeux alors qu’elle essayait de reprendre ses esprits dans la grande chambre légèrement éclairée, Bonnie frémit alors que l’adorable Nasha Jones, l’hôtesse de cette soirée de débauche, elle lui tenait la tête une main sur la nuque l’invitant à savourer la délectable potion qui la droguait.

Regardant sa souriante hôtesse droit dans les yeux, Bonnie souffla :

— Jack… Où est Jack ? Où se trouve mon mari ?

Son avenante hôtesse lui sourit sans lui répondre alors que des mains calleuses caressaient l’intérieur de ses cuisses, elle se mit à trembler en réalisant qu’un pénis viril parcourait sa fentine cherchant sa cible avant de s’enfoncer sans effort apparent dans sa chatoune accueillante.

Nasha se pencha alors vers son visage l’avisant :

— Ne te ronge pas les sangs chérie… J’ai dit à ton petit mari qu’apparemment tu étais allergique à la boisson que je t’ai offerte, qu’elle t’avait affectée profondément, et que, de ce fait je t’avais invitée à te reposer dans une chambre d’amis.

— J’ai ajouté que tu dormais profondément et que tu étais e de bonnes mains… Comme celle dans lesquelles tu te trouves maintenant !

— J’ai terminé en lui disant que tu irais faire un tour chez toi cet après-midi…

— Cet… Cet après-midi… Demanda Bonnie épatée de voir que tant de temps s’était écoulé.

— Heu… Sait-il… Sait-il ce que… Ce j’ai fait ? Interrogea-t-elle éperdue à Nasha.

Bien qu’elle aurait adoré voir le visage de cette innocente oie blanche afficher l’horreur de savoir que son mari avait assisté à sa déchéance, elle rétorqua :

— Non, il n’a aucune idée de qui s’est passé dans cette chambre… Il ne sait pas que tu as accueilli les tente centimètres de l’énorme bite de Mort dans ta chatoune distendue… Il ne sait pas quelle fieffée salope il a épousé… Il ne sait rien de la nuit de débauche de sa jeune femme supposée si innocente et fidèle ! Il ne sait pas plus qu’une soixantaine de bâtards pervers ont profité des charmes de sa chienne de femme ! Chinois, Japonais, Coréens, Indonésiens, Vietnamiens, Philippins, Thaïs… Tu as essayé toute la palette des asiatiques cette nuit !

— Oohhhhhhhh… Ohhhhhhh… Oh, mon Dieuuuuuuuuuuuuu ! Palpitait Bonnie alors que l’homme posté entre ses cuisses coulissait avec vigueur dans sa petite chatte inondée.

Ses sphincters vaginaux se crispaient et se décrispaient sur sa bite alors que son jus s’écoulait à flot de sa foufoune, il se tétanisa soudain et gicla profondément enfoncé dans sa grotte embrasée.

Jamais Bonnie ne s’était jamais sentie aussi dépravée alors que l’Asiate lui susurrait :

— Oh ma petite chérie d’américaine, Jim Tseu serait très honoré d’être celui qui t’implante un petit bébé jaune dans le ventre !

Ce qui venait de lui donner tant de plaisir quelques instants plus tôt la révulsait maintenant alors qu’il venait de remplir sa chatoune de son infâme semence active.

Cherchant à reprendre haleine alors qu’elle serrait maintenant ses muscles vaginaux pour l’expulser de sa chatte, elle tentait de rassembler ses esprits pour réfléchir lucidement.

— Dieu merci, Jack ne sait rien de mon infidélité… Que j’ai eu des rapports sexuels avec un autre homme… D’autres hommes, un nombre incalculable ! Frémit-elle soudain.

— Presse-toi Jim Tseu, magne-toi le cul c’est mon tour maintenant !

— Ça devrait être le mien… Dao Pang devrait être celui qui… Comme ils disent… Qui engrosserait cette pute américaine ! Entendit-elle soudain un autre asiatique intervenir.

Elle parvint alors à expulser la bite ramollie de Jim Tseu de sa chagatte, ainsi qu’un flot de foutre crémeux qui s’écoulait de sa foufoune béante alors que déjà une nouvelle mentule bandée se plantait dans sa fente engorgée de foutre.

Quelques secondes plus tard, le nommé Dao Pang la labourait vigoureusement de sa bite fine et allongée sans se soucier de lui donner du plaisir mais de prendre le sien en abusant de ses charmes.

— Ahhhh… Ahhhhhh… Ahhhhhhhhhhh… Grogna-t-il soudain alors qu’une bonne dose de sperme éclaboussait son intérieur.

Une fois que Dao Pang eut fini de projeter son ignoble jus au fond de sa foufoune asservie, un autre homme l’enfourcha et se mit à son tour la ramona énergiquement.

C’est alors qu’un autre enfonça ses doigts dans sa chevelure blonde lui tournant la tête sur le coté et une bite répugnante fora son chemin entre ses lèvres.

Bonnie reconnut la voix, elle appartenait au chef de la délégation chinoise, c’était le nommé Wo qui lui dit :

— Eh oui ma chérie, c’est le moment de te remettre à sucer une bite ma chère madame Speers ! Rappelle-toi comment j’ai déjà englué ta langue agile ma chérie, cette fois je vais te faire un onctueux masque facial !

Un asiate après l’autre chaque homme eut la fierté de se la faire de façon conventionnelle lui disant çà chaque fois à quel point ils seraient honorés d’être celui qui l’engrosserait !

Apparemment la queue s’avérait trop longue pour certains impatients et Bonnie se retrouva couché sur un homme alors qu’un autre la sodomisait vigoureusement alors qu’un dernier lui fourrait sa bite entre les lèvres !

On lui saisit les poignets et ses mains se retrouvèrent sur deux pines qu’elle entreprit machinalement de masturber.

L’un d’eux était si gros et laid que Bonnie avait des nausées rien qu’à la vue de son gros ventre débordant de son caleçon.

Elle était maintenant seulement capable de rester à genoux, on lui tenait les chevilles alors que des pervers glissaient leurs bites contre ses soyeuses plantes de pieds, tout de suite elle les sentit éjaculer sur ses orteils.

Comme la majorité de ces asiatiques n’avaient jamais eu la possibilité de se faire une ravissante américaine auparavant, et de plus une somptueuse blonde, ils essayaient tous de satisfaire des phantasmes sexuels refoulés depuis de nombreuses années.

Une paire d’entre eux n’avait jamais du voir de chevelure blonde aussi soyeuse, ils adorèrent voir la jeune femme grimacer alors qu’ils enveloppaient leurs bites de ses longues mèches d’or les testicules frottant sur son front, ils déchargèrent alors leur foutre dans sa chevelure dorée.

Et, en tableau final, Bonnie grimaça et tourna la tête alors qu’une douzaine de bites projetaient leur gourme sur son visage, ses cheveux, ses nichons et son cou.

Ils lui jetèrent alors deux serviettes sèches afin qu’elle se nettoie.

C’est vers trois heures de l’après-midi, alors que Jack s’était effondré sur leur sofa après avoir trop bu de scotch lorsqu’une plume lui chatouilla le nez, le réveillant en sursaut.

Clignant des yeux, il avala sa salive à la vue de Nasha Jones lui souriant une plume entre les doigts.

— Ma femme… Où est-elle ?

— Où est Bonnie ? Balbutia-t-il incompréhensif.

— Oh elle est à l’étage, elle se rafraîchit ! Elle avait grand besoin d’une bonne douche… Une douche vaginale… S’il est encore temps !

Elle avait peur de rentrer avec Wo et ses amis, elle avait peur que vous soyez en colère contre elle, d’autant plus que sa robe était couverte de foutre ! Aussi nous a-t-elle priée de la ramener, elle nous a invité à souper pour que les choses se passent au mieux ! Après tout, c’est elle qui a vous a permis d’obtenir une si importante promotion !

Quelques secondes plus tard, Abner Jones apparut lui tendit un bon verre de scotch écossais.

Deux scotchs plus tard, Jack avala sa salive en voyant sa superbe femme apparaître au bas de l’escalier, elle était toujours aussi élégante dans la tenue sombre qu’elle avait revêtu.

Un frisson d’excitation couru au travers de son corps alors que Bonnie se penchait sur lui pour lui donner un petit sur les lèvres, lui disant :

Pourquoi n’irais-tu pas prendre une douche rapide pour te rafraîchir un peu, je prendrai soin de ton patron et de sa femme le temps que tu redescendes !

Hochant la tête en signe d’approbation, il remonta l’escalier pour prendre une douche et se remettre les esprits en place.

Il saisit un caleçon propre dans sa penderie puis il gagna la salle de bain.

Il enlevait sa chemise sale en entrant dans la salle de bain et ouvrit la corbeille à linge pour y jeter ses effets sales.

Il se figea alors à la vue de la robe beige de sa femme roulée en boule, avec au-dessus sa petite culotte blanche qu’il avait vu Wo lui ôter pour la porter à ses narines.

Saisissant la petite culotte entre pouce et index, la fragile parure semblait lourde et empesée, elle était couverte d’une épaisse croûte et sévèrement décolorée par le jus de corps d’homme qui l’avait souillée.

La portant à ses narines, Jack frissonna en inhalant la lourde flagrance de sperme, plusieurs hommes s’en étaient servis comme d’un chiffon pour se nettoyer la bite, le fond qui, était détrempé par les flots de foutre mêlé à de la cyprine qui s’étaient échappés de la chatte engorgée de Bonnie.

Il se doucha et se rasa avant de se vêtir élégamment et de redescendre au rez-de-chaussée, il avala un nouveau scotch alors que Bonnie lui tendait un plat de steaks qu’elle venait de sortir du réfrigérateur afin qu’il se charge de les faire griller.

Alors que Nasha se penchait sur lui alors qu’il s’exécutait, il entendit soudain Bonnie l’informer :

— Chéri, le temps que tu prépares la braise pour cuire les steaks je vais présenter la maison à Abner !

Jack se retourna pour voir sa ravissante épouse précéder son patron dans l’escalier.

Se penchant sur sa gauche, il essayait de voir au-delà de la cage d’escalier qui lui bouchait la vue, Jack aurait juré que la main noire de son patron se promenait sur la croupe de son épouse avant qu’ils ne disparaissent dans l’escalier.

Déjà Nasha s’approchait de lui, lui murmurant à l’oreille :

— Vous êtes-vous rendu compte que mon cher mari veut profiter des charmes de votre somptueuse épouse ?

Jack allumait le barbecue, d’abord des petits morceaux de bois puis, le charbon de bois, levant les yeux vers leur chambre conjugale, il voyait la chevelure blonde de sa femme et son dos.

Il cligna une nouvelle fois des yeux, il aurait juré que s’il avait d’abord vu le dos de la robe de sa femme et il voyait maintenant sa croupe blanche !

Sa mâchoire lui en tomba en voyant la main noire de son patron caresser la peau lisse et soyeuse de ses fesses.

Effarouché, il sentit soudain Nasha empoigner sa bite rigide au travers de son pantalon, il avala sa salive tandis que la femme d’Abner l’informait

— Sur le chemin il m’a dit qu’il voulait se faire ta femme sur son lit conjugal, et regarde maintenant !

Alors que les deux personnages disparaissaient de leur vue, elle sortit de son sac son téléphone qui sonnait.

Elle l’alluma et regarda l’écran, elle lui souriait de toutes ses dents alors qu’elle jetait un oil sur la retransmission en cours.

Puis elle tourna l’écran vers lui demandant.

— Ne trouves-tu pas cette chambre familière ?

Il se pencha en avant pour mieux voir, il constata qu’il s’agissait d’un couple dans une chambre.

Se penchant encore plus il comprit pourquoi cette chambre lui semblait si familière, c’était leur chambre conjugale au premier.

A l’insu de sa femme qui ne soupçonnait rien, après avoir pressé le bouton d’appel de sa femme, il avait posé son portable sur une commode, dirigé vers eux, la caméra démarrée.

Sur le petit écran on voyait clairement l’élégant noir presser contre lui sa femme qui le suppliait :

— Monsieur Jones… Abner… Je vous en prie, mon mari doit attendre que nous redescendions ! Il… Il va se demander où nous sommes !

Mais cela n’empêchait pas son patron de lui descendre sa robe dénudant ses deux nibards, Jack entendit ensuite sa femme défaillir alors que son patron embouchait ses tendres tétons.

— Ooooooooohhhhhhhhhh… Oh, monsieur Jonesssssss… Ohhhhhhhhhhhhhhhh ! Gémissait Bonnie alors que sa robe et sa petite culotte de dentelle noire étaient repoussée sur ses jambes.

Elle était maintenant allongée sur leur lit, elle ne portait plus que ses hauts talons noirs, ses soyeuses jambes blanches contrastaient extraordinairement avec le corps noir ébène de son patron.

Comme Nasha avait mis le portable sur haut-parleur Jack entendait sa délicieuse femme couiner :

— Ohhhhhhhhh, ouiiiiiiiiiiiiiii… baisez-moi… bourrez-moi votre grosse bite dans la chatoune ! Oh mon Dieuuuuuuuuuuu… Ouiiiiiiiiiiiiiiiii !

Jack ne pouvait s’empêcher de penser :

— Comment les choses pouvaient-elles être si différentes d’un jour à l’autre !

Dans cette courte période du temps, moins d’un jour de fait, Jack avait sa femme innocente se faire baiser par un nombre incalculable d’étrangers.

Pantelant d’excitation il voyait maintenant sa femme et son patron forniquer allégrement à l’étage, alors que Nasha la branlait lascivement.

Sa femme avait ses cuisses blanches verrouillées dans le dos ébène de son patron, son patron se penchait sur elle bourrant sa grosse bite jusqu’à la racine dans sa chatte juteuse, il se tétanisa soudainement !

Quelques secondes plus tard Jack explosa entre les mains de Nasha en entendant sa femme hurler :

— Oh oui… oui… Gicle dans ma chatteeeeeeeeeee !

L’éjaculation de Jack fut bien prêt d’éteindre son barbecue qui venait de prendre un bon départ.

Cette nuit même, une fois leurs hôtes repartis, Bonnie était un peu stressée, elle avait peur que son mari ne soupçonne ce qui s’était passé la nuit dernière pendant la fête chez son patron.

D’après ce que lui avait dit Nasha, Jack n’avait rien vu et ne se doutait même pas de son infidélité, quant à elle-même elle mettait cette nuit de dépravation sur le compte de la trop grande absorption d’alcool.

Elle ne soupçonnait même pas que ses boissons avaient été droguées cette nuit là ce qui lui avait fait perdre tout contrôle de soi en levant ses inhibitions tout en l’excitant prodigieusement.

Elle ignorait tout autant que son gentil mari avait observé sa prestation avec le patron de son mari, dans leur lit conjugal cet après-midi.

Serrant ses cuisses l’une contre l’autre, elle frémit en constatant que le foutre d’Abner continuait à s’écouler de sa foufoune embourbée.

En allant se coucher cette nuit là, Bonnie tremblait se demandant si son mari aurait encore envie de la toucher, s’il l’embrasserait encore s’il connaissait son infidélité.

Lorsqu’il l’embrassa avec la langue, Bonnie pensa :

— Que ferait Jack s’il avait vu l’importance de la dose de foutre que le gros et gras Wo lui avait injecté en pleine bouche.

Pendant ce temps Jack grignotait son cou, mordillait ses mamelons et descendait plus bas sur son ventre.

— Oh mon Dieu… Il va me le faire !

Frissonnait-elle alors que son mari humait les flagrances intimes de sa foufoune.

Elle était un peu choquée, Jack n’avait jamais manifesté le désir de faire de telles choses !

Comme elle écartait docilement les cuisses, elle sentit sa chaude haleine courir sur sa fentine, elle frémit à l’idée que sa chatoune était encore engorgée de l’épaisse semence de son patron.

— Oh Jack… Ohhhhhhhhhhhhhhhh… Bouffe moi la chatteeeeeeeeeeee !

Hurlait-elle alors qu’il lapait la chaude semence de son patron !

Tout au long de la semaine suivante, Bonnie fut bourrelée de culpabilité, se demandant comment tout sens moral pouvait l’avoir aussi subitement abandonné.

Elle se blâmait de tout ce qui était arrivé, se gourmandant de n’être rien d’autre qu’une fieffée salope, une pute incapable d’interdire au patron noir de son mari de profiter largement de ses charmes, de s’être laissée baiser dans son lit conjugal, à quelques pas de son mari qui préparait le barbecue du soir.

Que lui arrivait-il ?

Pourquoi s’était-elle laissée faire par tous ces bâtards dépravés !

N’était-elle donc qu’un jouet sexuel pour tous ces hommes !

Lorsqu’un homme me regarde pourquoi se demande-t-il immédiatement s’il pourra se glisser entre mes cuisses ?

Se demande-t-il à quoi je ressemble toute nue ?

Se dit-il que je dois être une femme facile ?

Se demandait-elle assise à son bureau, la tête perdue dans ses pensées moroses, c’est alors qu’elle reprit pied dans la réalité se rappelant qu’elle était à son poste de travail.

Elle rougit en voyant monsieur Bently, le vieil associé principal, âgé de 72 ans, qui la regardait fixement, elle lui retourna un sourire.

Comme elle se retournait pour taper une lettre sur son ordinateur, elle ôta un mouvement du coin de l’oil, elle aurait juré que monsieur Bently la toisait du regard à cet instant.

Tout en tapant sa lettre, elle se gourmanda de ressentir une certaine excitation et croisa ses longues jambes l’une sur l’autre.

Bonnie se mordit les lèvres, alors qu’elle laissait audacieusement pendiller un de ses hauts talons au bout de son pied, elle aurait juré avoir entendu le vieux Bently haleter tout le long du chemin de son bureau.

— Se demande-t-il, s’il pourrait partager mon lit ?

— Se demande-t-il ce que cela fait de baiser une jeune femme deux fois plus jeune que soi ?

— M’imagine-t-il nue au lit avec lui, verrouillant mes jambes dans son dos alors qu’il enfouirait sa vieille bite dans ma chatoune ?

— Se pourrait-il qu’il me voit gagner son bureau, m’agenouiller pour lui tailler une pipe ?

Se demandait-elle lubriquement.

— Mon Dieu, à quoi suis-je en train de penser ?

— Un homme plus âgé que mon père et je me demande si cela me prendrait longtemps pour faire bander sa vieille bite en refermant mes mains sur sa hampe ! Se gourmandait-elle.

Deux semaines plus tard, par un chaud après midi du samedi, Jack réconfortait sa femme en larmes aux funérailles de Phil Bently.

Comme ils offraient leurs condoléances à la famille, la veuve de monsieur Bently remercia Bonnie pour tout ce qu’elle avait fait pour monsieur Bently alors qu’en voyage, il avait appelé sa chambre pour réclamer son aide, se plaignant de douleurs dans la poitrine.

Apparemment il avait une seconde attaque cardiaque, une attaque massive lorsqu’il fut emmené à l’hôpital, malgré tous les efforts des secours à l’hôpital ils ne purent rien faire pour le sauver.

Bonnie sanglotait, la veuve l’étreignait fiévreusement lui disant :

— Vous avez fait tout ce que vous avez pu pour lui venir en aide ! Et je vous en remercie ma chérie !

Les larmes de Bonnie ne traduisaient pas que son désespoir de voir monsieur Bently trépasser, mais étaient l’expression de sa culpabilité.

Monsieur Bently avait bien appelé sa chambre mais pas pour réclamer une assistance médicale, ce n’était qu’une histoire inventée pour éviter le scandale.

En fait, il n’avait pas eu à l’appeler dans sa chambre puisque Bonnie se trouvait avec lui.

La crise cardiaque n’était pas prête de s’effacer de sa mémoire, elle ne s’effacerait jamais en fait, elle était gravée de façon indélébile dans son esprit.

Son cour avait cédé au stress causé par une excitation sexuelle excessive au mauvais moment… Juste à l’instant où il éjaculait dans sa chatoune alors qu’elle verrouillait ses chevilles dans son dos.

La vie avait littéralement était extirpée du corps du vieillard, mais quelle agréable façon de trépasser pour un vieillard, son dernier acte avait été de se vider les couilles dans la chatoune d’une ravissante blonde.

Bonnie n’avait pas pris immédiatement conscience du problème de monsieur Bently alors qu’il râlait :

— Bonnie… Oh, Bonnie… Je jouis… Ahhhh… Ahhhhhhhh… Ohhhhhhhhhhhhhhhhh… mon Dieuuuuuuuuuuuuuuu !

Alors qu’il s’effondrait, Bonnie caressait le corps du vieillard qui convulsait serrant ses sphincters vaginaux sur sa bite pour lui soutirer sa dernière goutte de foutre.

Ce n’est que lorsque sa bite eut glissé hors de sa chatoune crispée et qu’elle le repoussait sur le flanc qu’elle prit conscience du problème.

Dès la découverte du grave problème de santé de monsieur Bently, Bonnie avait tout de suite téléphoné à la réception pour leur demander d’appeler une ambulance les avisant que son patron avait une crise cardiaque.

Une fois cela fait Bonnie avait réalisé qu’il ne serait sûrement pas bon pour elle que l’on apprenne que la crise cardiaque de monsieur Bently avait eu lieu lors d’une relation sexuelle avec une femme, qu’il était en train de baiser avec elle à cet instant fatidique.

Elle alla chercher un gant de toilette humide dans la sale de bain de la chambre pour laver le sexe de son patron, nettoyant les restes de semence et de cyprine qui le couvrait, puis elle lui avait remis son caleçon et le pyjama qu’il portait un peu plus tôt.

Avant de prendre un taxi pour suivre l’ambulance, elle s’était rendue à la réception pour obtenir une chambre séparée pour elle-même, histoire de sauver les apparences.

Elle s’empressa de transférer ses affaires dans sa chambre puis elle se rendit à l’hôpital pour donner les coups de fil nécessaire pour informer le cabinet de l’attaque cardiaque de monsieur Bently.

La mise en scène était suffisante pour qu’ils croient tous qu’il avait eu une crise cardiaque alors qu’il se trouvait seul dans sa chambre.

Lorsque son fils et un de ses partenaires vinrent emballer les affaires de monsieur Bently qui se trouvaient dans sa chambre, pas un ne se douta de ce qui s’était vraiment passé.

Les funérailles terminées, Bonnie se trouvait profondément plongée dans ses pensées en se remémorant l’excitation de son patron lorsqu’ils étaient arrivés dans cet hôtel et que Bonnie avait demandé les clefs de la suite réservée à monsieur Bently.

Le vieux bonhomme l’avait fixé surpris en entendant cela et elle l’avait senti trembler d’excitation lorsqu’elle lui avait pris la main alors qu’ils prenaient l’ascenseur.

Une bouteille du vin préféré de monsieur Bently avait été mise dans le seau à glace avant leur arrivée, le vieux gaillard avait ouvert la bouteille et servit leurs deux verres en un rien de temps.

Le vieux schnock n’entendait pas perdre de temps, et sa main s’égarait déjà sur ses longues jambes gainées de nylon, les caressant de la cheville à l’entrejambe d’un lent mouvement lascif.

Très rapidement ses mains qui étaient montées sous sa jupe entreprirent de rouler ses collants bleus marines sur ses cuisses.

Alors qu’il continuait à la caresser lascivement Bonnie réalisa qu’il était fétichiste des longues jambes sexy en sentant monsieur Bently s’emparer de son gros orteil qu’il se mit à sucer voluptueusement avant de lécher l’espace entre ses orteils puis de prendre l’orteil suivant en bouche.

Il les mignota un orteil après l’autre, avant d’engouffrer les cinq doigts de pied réunis dans sa bouche puis de s’occuper de l’autre pied et de lécher ses soyeuses plantes de pied.

Puis centimètre après centimètre il traça son chemin partant des chevilles, pour remonter sur ses mollets, ses cuisses avant d’atteindre le petit trésor doré situé entre ses cuisses.

Comme le vieux schnock frottait son visage ridé contre dans sa toison parfumée Bonnie verrouillait ses pieds couverts de salive dans son dos histoire de l’encourager alors qu’elle pesait de la main sur sa nuque.

Dans leur cabinet elle avait entendu dire que monsieur Bently employait une langue experte devant les tribunaux, mais elle réalisait maintenant que cette sentence pouvait aussi s’appliquer à son art du cunnilingus.

— Oh monsieur Bently… Oh oui…Ouiiiiiiiiiii… Oh bouffez-moi la chatte ! Bouffez-moi le gazon ! Ahhhhhhhhhh….. Pantelait-elle s’arquant pour mieux se livrer à ses caresses.

Et lorsque le vieillard si talentueux s’empara de son clito sensibilisé il propulsa Bonnie dans l’espace alors qu’elle hurlait :

— Je… Je jouis… Je jouissssssssssssssss… Oh oui… Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii…

Défaillante, extasiée, Bonnie, allongée sur le sofa sentit le vieil homme se débrouiller pour la transporter sur le grand lit.

Une fois qu’il l’eut dépouillé de sa robe et de son soutien-gorge, elle gisait sur le lit dans sa glorieuse beauté alors que son talentueux fellateur se déshabillait prestement.

Bras grands ouverts, Bonnie l’accueillit chaleureusement lorsqu’il s’allongea sur le lit la caressant tendrement.

Si elle exceptait les troubles dus à l’âge de monsieur Bently bien qu’il veuille se repaître activement de ses charmes, Bonnie se trouva fort surprise de le voir si vaillant, se comportant en jeune homme impatient.

Il la martela pendant quinze bonnes minutes lui procurant le meilleur de sa vie, une chevauchée dont elle se rappellerait longtemps encore.

Pistonné au point de succomber à un intense orgasme, Bonnie boucla son bras dans son dos et serra ses cuisses sur son buste alors qu’il éjaculait profondément dans son intimité avant de s’écrouler épuisé sur elle.

Crispant ses muscles vaginaux sur sa bite elle le traya véritablement extirpant jusqu’aux dernières gouttes son fluide génital.

Somnolant légèrement alors qu’elle digérait ce violent orgasme qui venait de la terrasser, elle cligna des yeux alors que la bite de monsieur Bently glissait mollement hors de sa caverne brûlante.

C’est alors qu’elle prit conscience du problème en sentant le vieux schnock gésir sans réaction entre ses cuisses charnues, elle comprit alors qu’il avait succombé à une crise cardiaque en l’honorant de ses faveurs.

Deux semaines plus tard, alors qu’elle se reprochait encore le décès de monsieur Bently, Bonnie se sentait si coupable en regardant son beau-père se demandant si lui aussi rêver de coucher avec elle.

Lors de la visite habituelle que leur faisait son beau-père une fois par an pour passer une semaine en leur compagnie, il en profitait pour se livrer à quelques travaux de bricolage autour de la maison.

Le détaillant alors qu’il était assis dans le salon sirotant une boisson fraîche qu’elle venait de lui tendre, Bonnie se gourmandait d’avoir de telles pensées, se disant en son fort intérieur :

— Comment puis-je penser à de telles choses ? Il a 66 ans ! Quand je repense à ce qui s’est passé avec monsieur Bently… Je me sens responsable de sa mort !

Le lendemain matin, alors que Jack était parti faire une partie de golf avec ses copains, Bonnie enlevait sa chemise de nuit pour enfiler une petite robe d’été bleue.

Se mordant les lèvres, elle se livra alors à un acte assez pervers.

Le café passait tandis qu’elle faisait de la pâte à crêpe, beau-papa entra alors dans la cuisine et elle le salua aimablement :

— Bonjour Papy, voulez-vous bien vous servir vous-même votre tasse de café, il est prêt dans la cafetière, j’ai les mains couvertes de pâte à crêpe.

Une fois q’il se fut servi son café, comme il s’asseyait, elle lui demanda :

— Oh, Papy avant de vous asseoir, pourriez-vous aller me chercher mon chandail… Il fait un peu frais ce matin…

Il se trouve sur le fauteuil dans ma chambre…

Le cour battant la chamade, aussi excitée que honteuse du piège qu’elle avait mis en place, elle attendait les mains toujours plongées dans la pâte à crêpe.

Dès son entrée dans la chambre le regard de beau-papa se porta sur une petite culotte négligemment jetée en travers du lit, il s’aperçut tout de suite que le fond de cette petite culotte semblait décoloré, empesé.

Il s’en saisit pour en inspecter le fond et découvrit qu’il était trempé du jus intime de sa salope de belle-fille qui devait s’être branlée juste avant de descendre dans la cuisine.

En fait, il s’agissait d’une mise en scène habilement composée par sa belle-fille qui était désireuse de savoir si beau-papa la désirait autant que les autres hommes.

La petite culotte de Bonnie avait été disposée soigneusement en travers du lit, à moitié retournée, froissée comme si elle venait de s’en débarrasser, pour attirer l’attention de Papy, il ne pouvait que tomber dans le piège ainsi tendu.

Il tendit la main et en huma les flagrances intimes de chatte en chaleur qui émanaient de la partie poisseuse de jus de chatte.

Il la porta à ses narines s’imprégnant allègrement de ses parfums intimes avant de la reposer sur le lit.

Entendant les pas pressés de beau-papa qui revenait dans la cuisine, Bonnie s’assura que ses mains étaient toujours couvertes de pâte à crêpe, puis elle lui demanda de draper son chandail sur ses épaules.

Comme il s’exécutait Bonnie constatait son essoufflement causé par l’excitation d’avoir manipulé sa petite culotte avant de se hâter de revenir dans la cuisine avant qu’elle se demande ce qu’il pouvait bien le retarder dans sa chambre.

Une fois le petit-déjeuner consommé, Bonnie demanda à beau-papa :

— Pendant que vous tracerez les plans pour l’armoire à chaussures que vous vouliez installer dans les toilettes aujourd’hui, je vais me rendre rapidement au marché pour racheter du café et un plat froid pour le repas de ce midi.

Son jus intime coulait entre ses cuisses qu’elle serrait l’une contre l’autre de façon à ne pas tacher le derrière de sa robe bleue du fait qu’elle ne portait pas de petite culotte.

De retour dans sa chambre elle jeta un oil sur le lit et sourit en voyant que la petite culotte ne se trouvait plus à la place où elle l’avait soigneusement posée.

Une fois ses cheveux brossés elle se saisit de son sac à main abandonnant sa petite culotte sur le lit, elle se mit en chemin pour se rendre au marché.

Après avoir laissé à son beau-père nécessaire pour qu’il agisse, en revenant du garage vers la cuisine :

— Hey Papy, je suis rentrée !

Il lui répondit toujours assis au même endroit où il traçait des plans sur la feuille de papier sur laquelle il travaillait plus tôt déjà lors de son départ pour le marché, elle remarqua alors qu’il se mettait brusquement à transpirer.

Dans la chambre conjugale Bonnie sourit en notant que la petite culotte se trouvait presque à la même place que lors de son départ, il l’avait vraiment manipulée soigneusement.

Se rendant dans la salle de bain adjacente, Bonnie releva la lunette et sourit malicieusement en se rendant compte qu’elles avaient servi il y a peu de temps, elle le savait car le brin de laine témoin qu’elle y avait déposé avait disparu.

Sa petite culotte à la main elle redescendit à pieds nus le vestibule pour gagner l’endroit où se tenait son beau-père.

Elle savait que l’annonce de la découverte de ses agissements allait l’effaroucher, mais depuis qu’elle avait assisté la crise cardiaque fatale de son patron, Bonnie ne voulait surtout pas le stresser outre-mesure.

Aussi au lieu de respecter son plan initial qui risquait bien trop de l’affoler, Bonnie concocta un plan B tout en s’approchant de son beau-papa.

Elle tendit la main et la posa sur son épaule elle le sentit se raidir et son souffle s’accélérer brutalement alors qu’elle lui disait tout doucement :

— Papy, puis-je vous parler de quelque chose de très personnel ?

En l’entendant s’approcher, il s’était figé les yeux rivés sur son plan, espérant que ses agissements pervers n’avaient pas été découverts.

Le cour battant la chamade, il chercha à se remémorer s’il avait bien pris la précaution de remettre fidèlement la petite culotte à sa place, il était sur de ne pas l’avoir souillée de son sperme lorsqu’il s’était branlé dans l’affriolant sous-vêtement, il avait soigneusement nettoyé les gerbes de foutre qui avaient jaillies sur la lunette, et il avait méticuleusement inspecté le sol pour être sur de ne pas avoir laissé de tracés d’éjaculation.

Alors qu’elle lui caressait gentiment l’épaule et le cou elle lui susurra à l’oreille :

— Papy, vous êtes conduit comme un vicieux petit garçon alors que je faisais les courses, n’est ce pas vrai ?

Comme son beau-père tremblait de tout son corps, elle lui fourra sa froufroutante petite culotte sous les yeux en commentant :

— Vous vous êtes servi de ma petite culotte pour vous branler n’est ce pas Papy ?

Devant son silence significatif, elle insista :

— Répondez-moi donc !

Elle sentait son corps trembler comme une feuille, alors qu’il hochait la tête admettant qu’effectivement il s’était masturbé dans son sous-vêtement.

L’entendant haleter péniblement, elle laissa sa main descendre dans son dos le massant de ses doigts agiles tout en poursuivant :

— La, la, la Papy… C’est bon. Je comprends… C’est très dur d’être veuf !

Bonnie constata le soulagement de son beau-père, elle sut alors qu’elle pouvait continuer de développer son, plan et lui dit :

— Vous avez vraiment agi comme un vicieux petit garçon lorsque je suis partie ! Et les petits garçons doivent être punis lorsqu’ils sont méchants ! N’est ce pas vrai papy ?

— N’est ce pas Papy ? Répondez-moi ou je devrai révéler à Jack vos agissements !

Lui confia Bonnie, un long silence s’ensuivit.

Elle lui fit un signe de tête apaisant en constatant que la menace de révéler à son fils qu’il se masturbait dans ses sous-vêtements le tracassait sérieusement.

— A moins que vous répondiez à chaque question désormais, et que vous me répondiez sincèrement,, j’en aviserai votre fils dès son retour ce soir ! Le menaça-t-elle sévèrement.

— Avez vous porté ma petite culotte à votre visage pour en respirer les flagrances ?

Le vieil homme répondit affirmativement d’un signe de tête.

— Vous êtes-vous frotté le visage dans ma petite culotte ?

Questionna-t-elle ensuite.

Il hocha à nouveau la tête.

— Avez-vous léché vicieusement l’entrejambe ?

Nouvel hochement de tête.

— Vous êtes vous servi de la petite culotte de votre belle-fille chérie en l’entortillant autour de votre bite dedans pour vous branler à votre aise ?

Il hocha encore la tête.

— Et maintenant vilain petit garçon préférez-vous que je vous punisse moi-même ou que j’en informe Jack ? Comprenez vous- ce que je vous dis ? Ajouta-t-elle, il fit signe qu’il avait compris murmurant un oui misérable.

— Je pense qu’il faut que je trouve un moyen de vous dissuader de sentir et lécher le fond des petites culottes de votre belle-fille ! Annonça Bonnie avant de fourrer l’entrejambe de sa petite culotte sous le nez de son beau-père.

— C’est bien ça que vous vouliez humer ? Le fond de la petite culotte que votre bru portait la nuit précédente ? Respirez profondément, captez toutes les flagrances de ma petite culotte sale vilain petit garçon ! Le gourmanda-t-elle en posant son autre main sur sa nuque pour l’empêcher de reculer la tête.

Puis elle recula la petite culotte de quelques centimètres tout en la gardant sous son nez, elle lui ordonna :

— Et maintenant léchez là !

Une fois le fond de la culotte trempée de salive Bonnie lui enjoignit de la tenir grande ouverte face à son visage.

— Tenez la comme ça ! Bien face à vous.

Puis elle fit le tour de la chaise pour se poster face à lui.

Alors qu’il la regardait tout en tenant la petite culotte ouverte, Bonnie leva sa jambe droite, offrant à son beau-père haletant la vue de ses orteils manucurés alors qu’elle l’enfilait dans sa petite culotte.

Puis posant sa main sur son épaule pour ne pas risquer de tomber, Bonnie leva alors sa jambe gauche pour la glisser à son tour dans la petite culotte.

L’affriolant sous-vêtement remonté aux genoux elle lui ordonna :

— Et maintenant remontez la à la bonne place Papy !

Bonnie gagna ensuite l’évier de la cuisine pour y laver la vaisselle du petit déjeuner, jetant un oil sut sur beau-père elle le prévint :

— Votre punition n’est pas terminée papy ! Venez vous asseoir au sol à coté de moi pendant que je lave la vaisselle…

Il obéit timidement, il s’assit à sa droite, Bonnie continuait à laver les bols et les assiettes du coté gauche de l’évier les posant ensuite à sa droite pour les rincer.

Tout en lavant les plats elle commenta :

— Je suppose que je vais devoir garder un oil sur vous tout le temps désormais… Que feriez-vous si je ne vous faisais pas assoir à mon coté tandis que je lave la vaisselle… Vous iriez fouiller le panier à linge à salle pour y dégoter une autre de mes petites culottes ?

On aurait dit un petit garçon apeuré, Bonnie recula un peu le toisant du regard et l’enfourcha.

Elle releva le devant de sa légère robe bleue et la laissa retomber sur la tête de son beau-père, elle l’entendit haleter brutalement, elle savait que cela l’étourdissait tout autant que cela lui plaisait.

— Et maintenant il va falloir apprendre à cesser de manipuler mes petites culottes et de vous frotter le visage dedans… Sinon, vous aurez affaire à moi !

Elle l’entendait respirer difficilement alors que sa chaude haleine lui caressait la face interne des cuisses elle lui demanda :

— Qu’y a-t-il Papy ? Vous n’aimez pas mes petites culottes lorsque je les porte ? Léchez-la ! Léchez la alors que je l’ai sur le cul, vilain garçon !

Papy pensait qu’il venait tout juste de mourir et se trouvait au paradis, il ne pouvait pas y avoir d’aussi délicieuse place sur terre.

Il réalisait maintenant que Bonnie devait avoir mis en scène tout ceci, qu’elle avait délibérément abandonné sa petite culotte sur son lit pour le piéger, allant jusqu’à se rendre au marché sachant très bien qu’il ne saurait pas résister à l’envie de retourner se branler dans son affriolant petit cache-sexe.

Il tendit nerveusement la main et palpa la chair tendre de ses cuisses, puis il se pencha fourrant son nez dans son entrecuisse tout contre le fond de sa petite culotte, il savourait le fait qu’elle ne lui opposa aucune objection.

Puis il se mit à lécher le fond de sa petite culotte repoussant de coté le fond de son slip pour glisser la pointe de sa langue dans sa balafre génitale.

— Oh Papy, ohhhhh…, Oh Papyyyyy… Ooooooooooohhhhhhhhhhh ! Grommelait sa bru alors qu’il parcourait d’une langue agile sa fentine enfiévrée.

Alors qu’elle chancelait sur ses jambes, il la repoussa contre l’évier tout en continuant à déguster sa féminité.

— Ahhhhhh… Ahhhhhhh… Ahhhhh… Ohhhhhhh… Papyyyyyyyyy… Pantelait -elle maintenant.

Il trouva alors son clito sensibilisé et le mignota lascivement.

— Oh, mon Dieuuuuuuu… Ahhhhhhhhhhhhhh… Ahhhhhhhhhhhhhh… Gémissait-elle alors qu’elle orgasmait sous ses caresse linguales.

La tête ressortie de la robe de sa belle-fille, Beau-papa la retroussa sur sa taille, et la guida jusqu’à sa chambre conjugale.

Il aida la jeune femme chancelant sur ses jambes à monter les escaliers puis il la tourna vers lui et lui roula une pelle enfiévrée.

Il baissa prestement la fermeture éclair dorsale de sa robe, dégrafa son soutien-gorge et entreprit de sucer avidement ses tétons roses écarlates.

Il la débarrassera rapidement de son affriolante petite culotte.

Elle l’aida de ses petites mains manucurées à rouler sa culotte sur ses cuisses puis déboucla fiévreusement sa ceinture.

Bonnie se mit à trembler de tout son corps alors que son beau-père relativement âgé grimpait sur le lit et l’enfourchait, elle s’excusa :

— Je suis désolée de vous avoir fait cela ! De vous avoir piégé en "oubliant" ma petite culotte chargée de mes effluves sur le lit.. De vous avoir tenté de façon si perverse ! C’est juste que… Nous avons découvert que le sperme de jack est peu actif… Peut-être bien qu’il ne sera pas capable de m’engrosser !

— C’est pourquoi j’ai fait tout cela ! Comme je pense que je ne pourrai pas avoir de bébé de Jack, j’en veux un de vous !

La deuxième partie de son discours était totalement fausse, Jack n’avait jamais fait de test de fertilité, mais quel homme ne serait pas flatté d’être sélectionné pour engrosser sa jeune et ravissante bru.

Papy Speers était vraisemblablement aussi enchanté qu’excité de remplacer son fils en cette occasion, spécialement étant donné la façon dont elle s’y était prise pour se faire désirer.

— Oh Papy… Oh oui… Baisez-moi papy… baisez-moi ! Mettez-moi tout, encore… Plus profond… Giclez dans mon ventre ! Engrossez-moi !

— Oh ouiiiiiiiiiiiiiiii… Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii… Pantelait-elle folle d’excitation.

Bonnie avait appris de son expérience avec les vieux comme monsieur Jefferson et maintenant son beau-père, qu’il faisait des efforts démesurés lorsqu’ils avaient l’opportunité de pilonner la chatoune d’une jeune salope.

Et à voir la façon dont Papy Speers la prenait maintenant, savourant le fait d’être sollicité pour lui faire un enfant, ne pouvait que la convaincre de continuer à prendre de vieux hommes comme amants à l’avenir.

Embrassant son beau-père, bouclant ses chevilles dans son dos elle s’arquait pour profiter de toute a longueur de la bite qui la fouaillait si délicieusement.

Cette session de baise s’avérait fantastique, déjà Bonnie succombait à un premier orgasme d’une intensité rare alors que Papy Speers déversait une louche de semence active dans le tréfonds de son intimité fertile.

FIN DE L’HISTOIRE.

5 mars 2008

Coulybaca ([email protected])

Avec l’aimable autorisation de l’auteur :

Black Demon

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