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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans – Chapitre 20

La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans - Chapitre 20



De retour à laile Sud du château (suite) –

Ils quittèrent le Marquis dEvans en silence et partirent pour aller à la cuisine sagement. Walter devant, tenant les deux laisses reliées aux colliers, les deux esclaves à 4 pattes et suivi de Marie qui, derrière et à laide dune cravache, fouettait de temps en temps, au travers des couloirs, les fesses des deux soumis pour les faire avancer promptement. Arrivée en cuisine, esclaveAstride eut comme tache de préparer les légumes, ce qu elle fit soigneusement en silence. Quant à esclave69, Marie lui avait donné une serpillière, un seau deau javellisée et une brosse. Agenouillé il devait frotter le magnifique carrelage près de la grande cheminée, tout au fond de la grande pièce qui faisait office de cuisine.

Marie la cuisinière annonça à esclaveAstride que le repas du soir serait dans la grande salle à manger et que le Maître voulait là voir sur la table comme décoration, durant son dîner. Astride devra être bien remplie par un concombre dans son anus et dune pomme dans sa bouche. Le tout en position à quatre pattes et immobile, cul tourné face au Marquis au centre de la longue table massive. La soumise paniquée se mit à genoux et éclata en sanglot devant se qui lattendait et Marie lui dit de se relever et dobéir pour ne pas aggraver son cas. Elle se releva réalisant que tous les esclaves ici étaient comme elle pour parfaire leur dressage et quelle devait, elle aussi, obéir afin dêtre digne pour Son Seigneur et Maître.

Le temps passait rapidement et elle commençait à craindre le moment du repas. esclaveLennyMDE vint la prendre par la main et lemmena dans la pièce où un bain parfumé lattendait. Elle sy glissa silencieusement. Sa sur de soumission lui sourit et lui expliqua quelle devait demeurer sage et obéissante durant le repas et qu elle ne devait en aucun cas se plaindre ni bouger. esclaveLenny demanda à la chienne Astride de sortir du bain, une fois lavée et parfumée et de sétendre sur la table afin quelle puisse raser proprement son sexe, tel que le Marquis dEvans lexigeait de Ses chiens et chiennes. Elle demeura sans bouger, gardant en pensée Son Seigneur et Maître souhaitant delle, une obéissance exemplaire. Une fois esclaveAstrideMDE bien rasée, esclaveLenny linvita à la suivre et elles pénétrèrent toutes les deux dans la salle à manger.

Astride regarda le décor majestueux de la salle à manger. Des bougies étaient allumés en nombres multiples sur des magnifiques chandeliers ornés dor. La table de chêne massive et vernie dune longueur digne dun Roi devant ses yeux sétalait. Les couverts et ustensiles étaient aussi en or. Elle réalisa quautour de cette table étaient placés plusieurs couverts et quelle allait servir de décors, pas uniquement pour que Son Vénéré Maître, mais bien pour plusieurs personnes. Elle sentit ses jambes ramollir mais deux esclaves mâles noirs et nus au volumineux sexe pendant comme leurs bourses assorties, vinrent la prendre afin de la placer correctement au centre de la table tel que le Maître lavait ordonné. Ont lui fourra un concombre, lequel avait le bout englué de lubrifiant, dans lanus et une belle pomme rouge dans la bouche. Elle tremblait et un des deux blacks lui caressa les cheveux en signe de soutien.

esclaveAstrideMDE bien installée sur la table n osait point bouger, malgré linconfort du concombre bien entré dans son cul. Elle laissa verser quelques larmes redoutant la suite pour elle. Elle entendit des voix venir près de la salle à manger. Elle ferma les yeux afin de garder son calme mais elle ressentait son cur battre la chamade très rapidement. Les Nobles Invités prirent place autour de la table en complimentant le Marquis dEvans pour le décor en place. Le Maître expliqua que la chienne au centre de la table était nouvellement arrivée pour un dressage ferme et quelle allait être lobjet de plaisirs pour les Invités durant la soirée. Les invités samusèrent à faire des commentaires sur lobjet nouveau quils allaient bientôt user et abuser sans retenue.

Pendant le repas, Walter arriva, avec en laisse e69MDE et il le positionna couché sur le ventre, jambes écartées, à quelques mètres de la table des convives. On lui intima de rester ainsi couché et dattraper les restes jetés du repas des Maîtres. Ceux-ci ne se privèrent donc pas de lui lancer des restant dos de poulet à rogner ou quelques morceaux de viande. e69 se jeta, tel un bon chien, sur ces restants de nourriture quil dévora à quatre pattes dans un bruit bestial.

Le repas prenait fin et le Maître des lieux invita les Nobles Invités de bien vouloir passer au grand salon pour le digestif. Il demanda à Walter de faire descendre Astride afin de lui permettre de se dégourdir les jambes une quinzaine de minutes et ensuite de linstaller au donjon sur le banc de fessées. Walter lui enleva donc le concombre du cul, elle soupira et après avoir été promenée en laisse ¼ dheure, elle fut emmenée au donjon afin dy être installée. Elle vit de suite en arrivant au donjon e69MDE également enchaîné et bâillonné, dos au mur. esclaveLenny était nue aussi et enfermée dans une étroite cage suspendue. Une autre, esclaveLaétitia était quant à elle, à genoux avec un instrument métallique. Cétait un écarteur de bouche fixé tel un bâillon-bouche, lui obligeant de garder la bouche grande ouverte et retenu par une corde ses cheveux en une tresse vers le haut lempêchant de pouvoir abaisser la tête. esclaveAstrideMDE avaient eu le temps de voir des fouets et objets de punition bien rangés sur les murs du donjon. Des bougies illuminaient la pièce et une musique de fond jouait du Bach. esclaveLenny dans la cage lui dit dêtre forte et ne penser quau Maître qui la désirait totalement obéissante pour Lui. Elle remercia sa sur de soumission de ses paroles réconfortantes dont elle avait besoin.

Les invités pénétrèrent dans le donjon avec le Marquis qui les devançait. Tous firent le tour des esclaves offerts pour eux. Le Maître expliqua que esclaveAstrideMDE était lobjet principal de la soirée pour être enculée afin de lui élargir lanus trop serré. Le Marquis dEvans vint vers elle et samusa à lui tirer les tétons fermement en lui interdisant de crier. Elle retint donc ses cris et Il sourit sadiquement. Il alla derrière elle et samusa à élargir ses fesses en demandant aux invités de venir voir son trou. L un des Invités samusa à le fouiller de son doigt en ordonnant à lesclave de le remercier.

e69 fixé au mur se fit mettre des poids aux seins par une Dame qui prit un fouet en le flagellant sur tout le corps. Elle ordonna à esclaveAstrideMDE de le sucer afin quil bande et une fois la queue bien durcie, la Dame Maîtresse prit une chandelle et fit couler de la cire sur la nouille du chien. Le soumis e69 se lamentait demandant grâce mais rien à faire, la Dame poursuivait son uvre, ce qui lexcitait à mouiller de voir gigoter le chien espérant échapper à son supplice.

Walter attrapa esclaveAstrideMDE qui avait sucé e69 et linstalla sur la fuckmachine, enfonçant le gode bien au fond du vagin de la chienne et fit démarrer la machine qui entrait, allait et sortait au début dune douceur lente mais poursuivit par des vas-et-viens plus rapidement. La chienne bien fixée ne pouvant échapper au vas et vient du gode commença à gémir ne pouvant contrôler le plaisir montant en elle. Elle implorait à son Maître la permission de jouir. Il riait en la traitant de chienne en chaleur, quelle ne demandait que ça jouir et jouir alors Il arrêtait la machine, la laissant sur sa faim.

Les Invités complimentèrent leur hôte sur son engin à fourrer alors Walter, à la demande du Marquis, remit la machine en marche pour montrer la soumise gémir encore et il ne fut pas longtemps pour quelle supplia encore et encore le Maître de lui permettre de jouir. Il arrêta a nouveau la machine lui offrant ainsi de nouveau la torture de ne pouvoir jouir. Les Invités samusaient à la voir ainsi, si bien mouillée mais ne pouvant jouir. Et cela fut renouvelé plusieurs fois, jusquà finalement quelle reçut lautorisation de crier son orgasme.

Pendant ce temps là, esclaveLaétitia ayant la bouche toujours maintenue largement ouverte gémit de cris étouffés puisquelle se faisait remplir la bouche par les queues des Dominants sintroduisant longuement au fond de sa gorge lempêchant de respirer librement et on samusait également à lui mettre aussi des poids retenus à des pinces sur ses lèvres vaginales. Elle gémissait de douleurs offrant du plaisir aux Invités.

Le Maître fit sortir esclaveLenny de la cage et la fit installer fermement sur une table basse. La fixant par ses 4 extrémités dans des bracelets, Il lui mit un bâillon afin de ne pas lentendre. Il offrit une canne de bambou à la Dame Maîtresse qui se fit un plaisir sadique de lui donner des coups strident sans retenu, la soumise gigotait tellement tant que les coups marbraient son fessier et y laissait des boursouflures rougies. Lorsquelle jugea que Lenny fut assez corrigée, elle lui défit ses liens et sinstalla dans un fauteuil confortablement ordonnant à celle-ci de venir Lui lécher la chatte. Ce qu elle fit sans attendre afin de ne pas, à nouveau, se faire corriger. La Dame releva sa robe et prit lesclaveLennyMDE par les cheveux lobligeant à demeurer entre ses cuisses et de bien jouer de sa langue. Lorsquelle fut sur le point de jouir, elle repoussa sèchement la soumise, fixant du doigt le sol qui lui indiquait de mettre son front contre le carrelage et ne plus bouger.

La Dame se leva et vint sappuyer sur la table invitant le Marquis dEvans de venir la prendre. Alors le Noble vint derrière Elle et Il la pénétra fougueusement, la faisant jouir fortement. Il se retira, gardant son sperme, vint devant esclaveAstrideMDE en ordonnant douvrir sa bouche. Il lui gicla Son sperme en pleine figure et invita les Dominants de bien la bourrer dans le cul. Ils se mirent alors autour delle et elle suçait chaque queue qui une fois bien gonflée, chaque Dominant venait derrière elle et sans ménagement lui écartait les fesses et lenculait sans retenu. Ainsi elle criait, hurlait dabord de douleur puis de plaisir. Cest cris excitaient les Dominants qui à tour de rôle, la bourraient sauvagement. LorsquIls furent bien vider les couilles, Walter emmena en laisse esclaveAstrideMDE dans sa cellule où elle se laissa aller enfin à ses pleurs librement. Elle sendormit rapidement tellement lépuisement lavait vidé de tant démotions, de douleurs et de plaisirs sétaient ainsi mélangés pour sa première journée de dressage.

Astride dormit encore lorsquon entra dans sa cellule et elle fut prise sans préambule par les cheveux en guise de réveil pour lobliger de la mettre à genoux sur les dalles froides de pierres. Une queue raides et épaisse devant elle se pointait et on lobligea à la prendre en bouche. Elle ne savait pas qui était lhomme quelle suçait mais elle poursuivit son vas et vient jusqu à ce que la queue se déchargea dans sa gorge et elle dû tout avaler. Une fois retiré de sa bouche, l homme lui ordonna davancer à 4 pattes jusquau grand salon, ce qu elle fit. Elle avança le regard au sol et une fois entrée au grand salon, elle entendit son Maître demander si elle avait bien servi de vide couilles et lhomme répondit qu elle avait servi correctement. Elle fut alors dirigée avec les autres esclaves installés à 4 pattes le cul offert front au sol.

Le Marquis défit sa ceinture de son pantalon et commença la fessée matinale de chaque soumises et soumis qui à chaque coups reçus sur leurs fesses s appliquaient à dire un « Merci Maître, je suis Votre chose ». Le tour arriva à Astride, qui reçue, elle aussi sans ménagement sa fessée matinale. Tous les esclaves furent, par la suite, envoyés aux douches et durent bien se laver sous les yeux de Walter qui supervisait le bon déroulement de la douche collective. Puis tous les esclaves furent dirigés vers la salle du repas des esclaves. Munis de gamelles au sol, ils mangèrent en silence et lapèrent leurs jus du matin comme des chiens.

Le Maître les rejoignit ensuite au donjon où Ils furent mit à genoux devant d énormes queues en plastique rigides fixés au mur et ils furent obligés de les sucer avec applications sans relâches. Lorsque certains ralentissaient la cadence le fouet retentissait sur leurs fesses. Ils furent ainsi installés durant pratiquement une heure. Leurs mâchoires souffraient tellement car le rythme sans relâche leurs offrait des crampes. Pendant quils devaient sucer les queues, le Marquis les traitait de chiens et chiennes à fourrer, de putains en chaleur. Il soccupait aussi à prendre un gode et le faire aller dans les chattes des soumises pour les entendre gémir sans pouvoir jouir.

(A suivre )

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