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La venue de ma maitresse chez moi. – Chapitre 2

La venue de ma maitresse chez moi. - Chapitre 2



Après le déjeuner du midi, nous sommes montés à l’étage. Fabienne commença à se déshabiller pour prendre une douche. Elle me demanda de l’aider. Je défis les boutons de sa robe et en profitai pour caresser ses seins. Elle se retourna pour que je puisse les lécher. J’en pris un dans ma main et je suçai le téton de l’autre. Au bout de quelques instants, elle me dit d’aller m’allonger sur le lit et qu’elle allait me rejoindre dans dix minutes après avoir pris sa douche. Je la quittai pour aller dans la chambre. Je me déshabillai également, et c’est nu que je m’allongeai sur le lit. Je me mis sur le dos. C’est le contact de ses cheveux encore mouillés sur mes cuisses qui me réveilla en douceur. J’ouvris les yeux et je vis Fabienne à genoux, entre mes jambes en train de caresser le haut de mes cuisses avec ses mains. J’écartai les jambes pour lui faciliter le passage. Elle prit mon sexe en main et commença à le branler. Je bandais déjà comme un âne. Elle prit mon gland dans sa bouche et passa sa langue dessus. Elle jouait avec sa langue en la faisant tournoyer autour de ma queue. Avec les mains, elle s’amusait avec mes couilles. Elle les prenait en mains, les soupesait, les tirait dans tous les sens et me les serrait. Je lui demandai d’arrêter car sinon j’allais jouir trop vite et je voulais profiter d’elle. Elle arrêta ses "tortures" et vint se mettre en 69. Elle était maintenant au dessus de moi et j’avais une vue magnifique sur sa chatte toute épilée. Je commençai par passer mes doigts sur ses cuisses. A chaque fois qu’un de mes doigts frôlait les lèvres de son sexe elle gémissait. Elle avait repris ma queue dans sa bouche et commençait à me sucer très doucement. Je mis mes mains sur ses fesses pour la forcer à approcher son entrejambe de ma bouche. Une fois à portée de ma langue, je me mis à lécher son abricot. Ma langue entrait et sortait de ce sexe si doux. Elle ondulait de plus en plus du bassin et cherchait à approcher le plus possible sa chatte de ma bouche. Elle ne cessait plus de gémir et je pris son clito à pleine bouche ; je buvais tout le jus de sa mouille qui sortait maintenant en abondance de son sexe. D’un seul coup, je sentis ses muscles se contracter, et c’est dans un cri de jouissance qu’elle eut un magnifique orgasme. Elle avait cessé de me sucer pour se consacrer à son plaisir. N’ayant pas joui, je la fis pivoter sur le côté pour qu’elle s’allonge sur le dos et lui écartai les jambes. Je me mis au dessus de Fabienne et présentai mon sexe à l’entrée du sien. Je pris ma queue et la fis tourner autour des lèvres de sa chatte. Puis je commençai à la pénétrer le plus doucement possible. Je voulais voir son visage sourire au fur et à mesure que ma bite entrait dans son si joli corps. Une fois au plus profond de Fabienne, je commençai à faire des va-et-vient. Pour me faciliter le passage, elle écarta au maximum ses jambes et posa ses talons sur mes fesses. Elle accompagnait les mouvements de mon bassin et, à chaque fois que j’étais enfoncé au maximum dans son vagin, elle essayait de me retenir en elle avec ses jambes. Je la baisais toujours le plus doucement possible car je voulais profiter un maximum du plaisir qu’elle me donnait. Au bout de plusieurs minutes, je changeai légèrement de position. Je me redressai un peu et mis ses jambes sur mes épaules. Pour tenir en équilibre, je pris appui sur ses seins. Je savais qu’elle adorait cette position et voulais lui faire ce plaisir car ensuite j’avais une autre idée en tête. Je recommençai à la baiser mais cette fois mes mouvements étaient plus rapides. Je voulais la traiter comme une chienne, comme une salope qui ne pense qu’au sexe. Je commençai à la traiter de sale chienne, de grosse salope. Elle se prit au jeu et me dit de la sauter, d’aller plus vite, d’enfoncer ma grosse queue dans sa chatte. Elle ne parlait plus mais criait et me suppliait de la faire jouir comme une chienne. Après avoir entendu ces mots, je lui demandai si elle était vraiment sûre de vouloir se faire prendre comme une chienne. Elle criait toujours de plaisir et, entre deux gémissements, elle me répondit que oui. Je me retirai de sa chatte, et lui ordonnai de se mettre à quatre pattes. Elle sexécuta, puis je me plaçai derrière elle. Je fis rentrer d’un seul coup ma queue dans son sexe et je la pilonnai le plus rapidement possible en la traitant toujours de sale pute. Elle reprit ses cris, et sa respiration devint de plus en plus rapide. Tout en la prenant, je mis de la mouille sur deux de mes doigts, puis je les enfonçai dans ses fesses. Elle eut un mouvement de surprise qui ne dura pas plus de dix secondes. Je faisais maintenant entrer et sortir mes doigts le plus rapidement possible de son cul. Elle ondulait son bassin et faisait en sorte de venir à la rencontre de mon sexe et de mes doigts. Je la pilonnai ainsi tout en l’insultant pendant au moins un quart d’heure. D’un seul coup, je retirai mes doigts et ma bite. Je présentai ma queue à l’entrée de son trou du cul et je la pris d’un seul coup. Je fis des va-et-vient très rapides car j’avais maintenant envie de jouir au plus profond de ses entrailles. Elle poussait toujours des gémissements de plaisir, et me suppliait de la baiser, d’aller plus vite, de la prendre à fond. Ces dernières paroles eurent raison de moi et c’est dans un râle puissant que je me répandis en elle. Je restai dans cette position quelques minutes avant de me retirer. Ensuite, on se rallongea sur le lit et on s’embrassa longuement.

J’étais heureux davoir baisé Fabienne dans le lit conjugal mais, ce qui ma fait le plus plaisir c’était de savoir qu’il restait deux jours avant que ma femme revienne de son déplacement professionnel.

La suite de cette histoire réelle, dans quelques jours

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