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la vie sexuel d'un jeune manipulateur – Chapitre 5

la vie sexuel d'un jeune manipulateur - Chapitre 5



Chapitre 5 : Lise (point de vue de Lise)

Guillaume était en retard. ENCORE. Il létait toujours de toute manière. Je savais pertinemment que, quelque soit lhoraire, il allait avoir au moins 30min de retard. Cest pourquoi je partais également 30min en retard. Javais la chance de pouvoir lengueuler sans mêtre fait chier à lattendre en plein soleil.

Au moment où je lappelais donc pour lui faire remarquer quil était encore en retard je nétais toujours pas partie de chez moi. Nous devions aller au cinéma, voir un film que je ne connaissais pas, mais les acteurs nétaient pas mal. Javais pourtant une petite idée de ce quil ne se passerait pas dans cette salle de projection. Nous nallions pas regarder le film ni profiter bêtement de linstant partagé. Non, ce que jaimais, adorais, chez Guillaume cétait sa capacité à rendre chaque situation particulièrement érotique et lambiance moite et suave. Tout chez lui incitait à la débauche, de ces yeux sombres et profonds à ses mains larges et musculeuses quil maniait si bien. Je savais donc pertinemment quen aucun cas ce film serait lattraction principale de notre après-midi. En revanche je navais aucune idée de la manière dont cela allait se passer, de ce qui allait se produire ni même du lieu. Chaque coup tiré avec lui était magique car inédit. Pas une fois je nai vécu quelque chose dhabituel.

Toutes mes amies me disaient que cétait étrange de ne rien partager dautre avec son copain que le lit (ainsi que la cuisine, la douche, le métro). En temps normal jaurais été de leur avis, sauf que Guigui avait ce petit je ne sais pas qui rend accro et qui fait quon lui pardonne tout. Avec lui je me sens comme une esclave sans volonté, Ces mots peuvent choquer mais je me contente dobéir à ses désirs. Si il voulait sortir avec une autre fille ce ne serait pas dur, elle serait littéralement dépendante de lui, comme je le suis.

Guillaume arriva peu après moi, les cheveux mouillés. Je dois avouer que la seul chose que je faisais avec lui hormis coucher ensemble cétait le critiquer. Et il ne pouvait rien dire, jacceptais toutes ses lubies sexuelles sans broncher. Non pas que ça ne me plaise pas Mais bon, quand même (meuf sans argument).

-Tes encore en retard, je tai attendue 30 minutes ! fis-je, feintant dêtre excédée.

Il enleva ses lunettes de soleil, membrassa fougueusement en plantant son regard dans le mien et plaçant sa main droite dans le creux de mon dos. Les passants devaient prendre une leçon de romantisme. Lorsque ses lèvres séloignèrent des miennes il me sourit et me répondit de sa voix grave et sensuelle.

-Je suis pardonné ?

Je rêvais de lui répondre « non, va crever connard ! » mais ma bouche ne put sempêcher de balbutier un timide « bien sûr ». Il avait cette faculté de clouer les gens sur place par son assurance et son naturel. Il donnait limpression de tout contrôler, voir même certaines fois, tout manipuler Cen était effrayant certaines fois.

Guillaume paya nos places pour « The Bling Ring » de Coppola. Je ne savais quelle avait sorti un nouveau film. Guigui me récita le pitch, me dit que ça allait être génial, et que jaurai de la concurrence, Emma Watson jouait une petite pouf bourge. A cette remarque je le frappais légèrement. Cétait étonnant, il semblait vouloir vraiment voir ce film. Je nétais ni déçue ni heureuse, juste perplexe. Il sétait vraiment renseigné sur ce film Peut-être que javais fait un mauvais diagnostic de laprès-midi tout compte fait

Nous nous installâmes dans la salle de projection, côte à côte, vers le fond de la salle. Je lobservais discrètement, il semblait normal, détendu, calme.

Le film démarra, la salle se fit obscure, je ne vis plus rien à part lécran, je ne le sentais que respirer à mes côtés. Jétais obligée de mintéresser au film, il ne se passera rien de bien excitant, hormis Emma watson en petite pouf bourge, et encore Au moins la musique était bonne. Cest alors que je sentis sa main se poser sur ma cuisse et son souffle chaud dans ma gorge. Le petit fourbe, il mavait fait croire quil ny aurait rien ce soir ! Je me laisse aller, sa main se fait plus insistante, se rapprochant lentement dentre mes cuisses tandis que je sentais quil me faisait un suçon sur le coup, il marquait son territoire. Cétait si délicieux, tellement bon, le risque mélangé à sa douce chaleur sur mon corps moite dexcitation. Cétait linstant parfait, le lieu adéquat ! !je tournais la tête et lembrassais silencieusement pour ne déranger personne. Il était ferme, il savait ce quil faisait. Sa main se glissa dans la manche de mon short et vint titiller ma fente du bout de ses doigts alors que son autre main suivait les courbes de ma poitrine, en faisant gonfler mes mamelons. Il défit ensuite mon short en jean et vient se mettre à genoux devant mon entre jambe. La situation était tellement excitante, nimporte qui se retournerai croirai que jétais venue seule alors que Guillaume était là, entre mes cuisses, le visage coincé entre mes jambe, sa peau mal rasé picotant la partie la plus sensible de mon anatomie. Il embrassa ma culotte, la rendant un peu plus humide quelle ne létait déjà. Je sentis ses mains puissante mempoigner les hanches alors que moi-même je serrais fermement les accoudoirs de mon fauteuil pour ne pas gémir de plaisir. Ses mains mattrapèrent fermement les jambes et les relevèrent au niveau de mes épaules. Cette fois la situation était vraiment dangereuse, il suffisait que quelquun jette un coup dil par-dessus son épaule pour me voir, la chatte offerte à mon copain, en position de soumise docile, ce qui en soit, était le cas. Il décala ma culotte du bout des doigts et enfin sa langue fut en contact avec ma vulve. Le contact était tellement délicieux, la moiteur de mon sexe contrastait avec la véritable humidité apportée par cet organe si doux et chaleureux. Du bout de sa langue il titilla mon clitoris puis fit de petit cercle concentrique tout autour, rendant la sensation très étrange, entre chatouillement et jouissance, le mélange parfait mempêchant de savoir comment mon corps allait réagir face à une telle intrusion. Je ne regardais même plus le film, je me contentais de savourer mon plaisir, certes dangereux dans une telle situation, mais tellement agréable. Après de longues minutes de ce délicieux traitement, ma chatte criait famine et je ne pensais plus quà une chose : me faire pilonner le plus profondément possible tant jétais affamé de son corps ! Guillaume sarrêta alors, releva sa tête en sessuya les lèvres de sa langues ce qui me fit vaciller tant ce petit geste était vicieux ! A ce moment précis je savais quil aurait pu me demander nimporte quoi, je laurais fait ! Il se mit debout dans la rangée se pencha vers moi et me susurra à loreille de sa voix grave et suave de le suivre. Où allait-on aller ? Nous sortîmes de la salle en abandonnant le film sans que nous ne soyons jamais vraiment rentré dedans (contrairement à dautres choses). Nous filâmes vers les toilettes les plus proches. Guillaume mavait dompté. Je me souvenais, lorsque je lavait rencontré pour la première fois, je menais, à présent cétait linverse, il maîtrisait, il était lartiste, jétais loutil, pourtant son comportement navait pas changé, cétait moi, moi qui avait évolué, qui agissait ainsi, il se contentait de me dire ce quil voulait et jobéissais, jétais comme un petit chien, je ne pensais plus en sa présence. Lui, semblait samuser de cette étrange situation.

Nous rentrâmes dans les toilettes rapidement. Nous nous embrassâmes fougueusement, à pleine bouche, je lui prenais le visage entre les mains, passant mes mains dans ses cheveux, les ébouriffant, les décoiffant. Lui défaisais sa ceinture puis son pantalon. Il nétait même pas encore tombé à terre, dévoilant ses cuisses musclées et légèrement poilues, que javais déjà sa queue enfoncée dans la gorge. Et le pire ce fut que je my empalais de mon propre chef. Ne refusant pas de telles pratiques, il entame de grands mouvements de bassin, menfonçant toujours un peu plus son manche profondément dans la bouche. Jen bavais de plaisir sans même avoir fumé, ce mec me faisait un effet monstre. Jamais je navais sucé une bite de la sorte, en y mettant autant dentrain et de désir, jaspirai son gland alors que dune main je faisais rouler ses couilles et de lautre je mégarais dans ma fente, me faisant saliver de désir. Ny tenant plus, je lâchais cette somptueuse verge dentre mes lèvres du haut pour la loger entre celles du bas ! Huuummm ! Il me remplissait parfaitement ! Il navait pas un sexe démentiel, un bon 19×4,5 mais quest-ce quil savait bien le manier ! Il me labourait lintérieur, sans aucune pitié, jencaissais avec bonheur lexpression de sa sexualité débridée. Je respirais dans sa nuque, sa transpiration perlant sur sa peau, lui donnant une odeur si masculine et bestiale alors quil râlait à la manière dun taureau. Il fallait dire que la performance était très respectable, je navais jamais reçu autant de coups de boutoir à la seconde. Il se déchaînait et moi aussi. Il prit mes cuisses et les remonta autour de sa taille, me plaquant contre la légère cloison des toilettes. Cest alors que quelquun entra. Guillaume se stoppa net. Lhomme qui venait dentrer défaisait sa braguette pour uriner. Guillaume me lança un regard de braise combiné à un sourire de débauché et reprit de lent et amples mouvements de bassin. Moi, trop effrayée et excitée à la fois, je faisais non de la tête alors que mon bassin ondulait sous ses coups de rein. Je ne pouvais me retenir, je lâchais un petit cri. Guillaume plaqua aussitôt sa main contre la bouche. Létranger sarrêta immédiatement.

-Il y a quelquun ?

Dans notre cabine, Guillaume continuait de me bourriner silencieusement, je sentais ses couilles massives frapper ma fente dilatée et ruisselante de mouille. Létranger sen alla alors. Guillaume reprit sa bourre plus violement quavant, me faisant gémir de plus belle tandis que sa respiration se faisait de plus en plus bruyante et saccadée.

Une foule dhomme arriva alors, une séance devait venir de se finir. Il accéléra le rythme et je sentis quil allait jouir malgré tous les inconnus autour de nous. Ses râles bestiaux devinrent plus bestiaux, ses muscles se tendirent. De peur de nous faire repérer, je plaquais ma main contre sa bouche. Rapidement il fit de même sur la mienne. Il fit bien puisque lorsque je sentis quil jouissait en moi je voulu lâcher un cri de jouissance. Nous jouissîmes au même moment, nos cris respectifs étouffés par la main de lautre. Tout mon corps tremblait et je sentais que bien que ses cuisses soient bien musclées elles accusaient lorgasme vécu.

Nous attendîmes quelques minutes que les WC se soient vidés, puis nous sortîmes silencieusement. En prenant lescalator qui ramenait au hall dentrée du cinéma, un homme sur son portable me regarda et me fit un clin dil complice. Je rougis et suivis Guillaume.

-Alors tas aimé ce film ? me demanda-t-il en passant la porte du cinéma.

Je lembrassais amoureusement et lui répondis.

-jai adoré ! Dailleurs, ce soir tu voudrais pas venir chez moi voir Marie-Antoinette de Sofia Coppola ? Kirsten Dunst est aussi sexy quEmma Watson

Il membrasse du bout des lèvres avant de me répondre en affichant un air triste.

-Je suis désolé Lise, mais ce soir je vais dormir chez Antoine

-Tu passes ta vie avec lui !

-Mais il est super sympa, puis il a la PS3 ! Tu peux pas rivaliser avec ça !

-Tes sûr que tu ne peux pas venir ?

-Oui, je suis vraiment désolé. Jaurai adoré, ajouta-t-il, mais ça fait tellement plaisir à Antoine, je peux pas annuler

-bon Ben on se voit une prochaine fois.

Je lembrassais avec amour et il me rendit mon baiser avec autant de passion.

-on se prévoit ça par sms.

Nous nous sommes quitté sur cette phrase, il partit en métro et moi en bus. Je me languissais déjà de le revoir

A suivre

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