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La voyeuse – Chapitre 15

La voyeuse - Chapitre 15



Le résumé de lépisode de la voyeuse 14

Elle se mit à haleter, se démena avec une sorte de sauvagerie. Elle eut un long râle, le corps agité de secousses violentes. Tout à coup elle saperçut quAlfred était lui-même sur le point de jouir ce qui déclencha enfin son orgasme. Elle se laissa tomber, les mains placées de part et dautre des épaules de lhomme. La verge sortit de sa cachette et des jets de foutre frappèrent sa toison, son nombril. Elle eut un rire étrange, presque un sanglot, sallongea confortablement, leurs ventres accolés.

Baisant Alfred sur la bouche, elle sentit la double brûlure de leurs sexes, celle du sperme qui collait à leurs peaux

    LA VOYEUSE 15

Un soir, Robert rentra chez lui en se plaignant de malaises intestinaux. Il se coucha sans manger, but un verre dalcool, mais le mal empira rapidement. Elsa dut appeler un médecin qui jugea quil était nécessaire de faire transporter Robert en clinique afin dy subir une intervention chirurgicale. Elle accompagna son mari dans lambulance mais on lui refusa de rester auprès de lui dans sa chambre.

Sortant de la clinique elle prit un taxi avec lintention de rentrer immédiatement chez elle. Mais en cours de route elle se ravisa et donna au chauffeur ladresse dAlfred. Cétait risqué, ce quelle faisait là. Ou bien Alfred était absent ou encore il ne lui ouvrirait pas sa porte.

Elle eut de la chance. Dès quelle eut sonné chez son amant la porte souvrit. En pyjama, les cheveux embroussaillés, Alfred vint ouvrir et la fit entrer aussitôt. Elle expliqua lincident. Il linvita à passer la nuit avec lui, ce quelle accepta avec reconnaissance. Elle prit un bain, mangea un morceau et se mit au lit avec Alfred qui lattendait en fumant une cigarette, le pyjama débraillé, la verge dressée.

-Cet incident vient à point, dit-il lors-quElsa le rejoignit, complètement nue, bien quelle se fut déshabillée sans penser à mal.

-Tu es un cochon, dit-elle cependant lorsquelle le rejoignit. Je suis une pauvre affligée, je cherche du secours, jen trouve, mais sous la forme dune bitte pleine de foutre

-Tu nas pas envie ? fit Alfred en souriant. Si tu veux, on peut dormir ensemble comme frère et sur. Mais le fait est que je ne le supporterais pas. Je serai obligé de me branler pour faire baisser pavillon à ma queue

-Salaud, tu es occupé à me rendre salope, répliqua Elsa. Quand je te vois comme ça Mais si tu as envie de le faire avec ta main ça ne me dérange pas jaime voir ça puisque je me branle aussiet souventJoublie volontiers que Robert est en clinique. On va samuserse faire jouir Oh, je suis déjà en feu ! Ma fente ruisselle

Elle se coucha à côté dAlfred, négligea déteindre la lumière, ce qui ne les gêna ni lun ni lautre. Elle se pencha au-dessus dAlfred, lembrassa sur la bouche en lui glissant sa grosse langue jusquà la glotte. En même temps elle ouvrit davantage son pyjama, dégagea les couilles velues quelle serra entre ses doigts avides.

-Ton gros morceau, gémit-elle. Montre

Elle admira. Alfred samusa de ses seins, agaça les bouts bruns auréoles de rose. Elle se sentit très excitée, prête à passer une bonne nuit de débauche. Prenant la main dAlfred, elle la posa sur la verge.

-Fais-le, murmura-t-elle. Je ten prie montre comment tu fais JaimeRegarde, je me touche déjàJe peux ? Ainsi je suis vraiment ta salope une chaude salopele viceOh cest bon, cette touche nattends plus fais-leoui

Alfred maniait lentement son outil dont le gland se découvrait dune manière très obscène. Lil luisant, Elsa regardait le geste, le souffle bruyant. Couchée sur le flanc, une jambe repliée mais relevée, le genou en lair, elle montrait son ventre, les lèvres de sa vulve, dans laquelle elle agitait doucement le doigt.

-Oh ce que cest sale, ce que nous faisons, fit-elle avec beaucoup dimpudeur dans la voix. Jaime la luxure, tout ce qui est lubrique. Je me donne des sensations devant toi et toi salaudtu me plaisnous sommes deux bêtes à plaisir Oh chéri, ce que tu es beau quand tu maime ainsi, tout seul, avec ta main

Souriant, les traits déjà crispé à cause de ce quil faisait, Alfred lui dit de saccroupir au-dessus de lui mais de poursuivre sa masturbation. Elle neut garde de désobéir. Les cuisses outrageusement ouvertes, la motte écarquillée, elle saccroupit, mit son sexe en contact avec la bouche, devenue obscène, de son amant.

-Ce que cest bon je me branle et tu membrasses au bon endroitje sens ta langueCest délicieux de se branler ainsi pendant que tu me suces et pendant se temps je peux admirer ta façon de taimer avec ton machin je me frottecai ça monte terriblement jaime ce que nous faisons regarde comme je me touche délicatement

Elle sétait soulevée. Alfred voyait sa vulve devenue énorme, les lèvres gonflées, les poils mouillées, les fesses, deux masses de belle chair nue, la main courbée, le doigt fouilleur. Du coup il accéléra le mouvement de sa main.

Ils ne tinrent pas le coup. Elsa sempara de son clitoris, tira dessus. Elle répétait sur elle-même le geste de son amant.

-Je me laisse aller, fit brusquement Alfred, regardele foutre vagicler regarde ma chérie

Ils se laissèrent aller au plaisir. Elsa déchargea dès quelle vit jaillir la première goutte de sperme. Puis, ce furent des saccades, des glaires épaisses, gluantes, qui retombèrent sur les doigts et sur le ventre de son amant. Plus tard, allongés côte à côte, se regardant dans les yeux, ils se sourirent.

-Ce que cétait bon, dit Elsa en frissonnant. On recommencera ce truc, pas vrai ? Et dautres façons de le faire Je veux tout faire avec toi. Je taime

Elle sendormit dans les bras de lhomme et la femme débauchée devint une enfant

Ils restèrent ensemble jusquau moment où Elsa dut partir vers la clinique. A son arrivée on lui annonça que Robert venait dêtre opéré, mais quil devrait rester en clinique au moins trois semaines encore car ce fut une intervention chirurgicale très importante. Comme Robert dormait, sous leffet de la narcose, elle quitta la clinique et rentra chez elle afin dy faire acte de présence. Parvenue à proximité de son domicile, elle rencontra Louise. Elles bavardèrent quelques instants au bord du trottoir, puis Elsa invita la femme à lui rendre visite au cours de laprès-midi.

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