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L'Acheteur – Chapitre 2

L'Acheteur - Chapitre 2



5h30, la radio s’allume directement sur les chaînes d’infos. Il était tard à mon retour de l’hôtel ma nuit a été de courte de durée. Pourtant ça ne me dérange pas plus que ça, mon rythme de travail a toujours été intense et j’ai pris l’habitude.

Je vis dans un quartier cossu de la capitale, appartement haussmannien, haut plafond mais déco dernier cri. J’ai les moyens, et ça se voit. Je roule en Porsche, je porte des costards sur mesure et à mon poignet j’ai toujours de la haute joaillerie, Audemars, Jaeger et compagnie sont mes plus fidèles maîtresses.

Café, journal, un coup d’il sur les chaînes d’infos boursières. Il est 6h45 et je décolle.

J’aime parcourir la ville encore endormie pour me rendre au bureau. La main posée sur la boîte de vitesse, je sens le cuir de qualité et l’odeur de neuf qui embaume l’habitacle. Je repense à la pute qui m’a sucé à la sortie d’un restaurant alors que je la ramenais à mon hôtel. Je ne mélange jamais mes femmes à ma vie privée, elles ne savent pas où j’habite et c’est mieux comme ça.

Je ne chasse d’ailleurs jamais au bureau même, ma vie professionnelle est la seule qui importe et je ne veux rien risquer.

Arrivée au bureau, on me donne du Monsieur Paul par ci, Monsieur Paul par là. Je suis respecté comme D… le père par mes collaborateurs et je les traite avec arrogance et condescendance. J’ai trimé pour en arriver là, et mon comportement est indispensable pour mater les petits employés. Ma secrétaire m’accueille avec un café au lait sans sucre, elle sait ce que j’aime. Elle est jeune, extrêmement compétente et super bonne, pourtant je ne la sauterai jamais, elle me sert surtout à déstabiliser mes adversaires masculins, et parfois féminins. Je l’ai déjà utilisé à des fins de négociations alors que mes fournisseurs se montraient fermes sur leurs positions.

Ma journée s’enchaîne à un rythme effréné.

Ma tactique est la suivante : quel que soit votre prix, la négociation ne débutera qu’à 10% en dessous.

Les producteurs, fournisseurs, vendeurs rêvent tous de travailler pour nous, ce qui me donne un ascendant évident dès le départ.

En attendant mon septième rendez-vous de la journée, je surfe rapidement sur internet. Mes doigts tapent intuitivement l’adresse d’un site de vidéo de cul. Je tombe sur la vidéo d’une secrétaire visiblement très désireuse d’avoir son augmentation et qui suce la bite de son patron allongée sur son bureau. Ma main s’active sur ma queue, la caressant à travers mon pantalon. Elle atteint rapidement une belle dimension, alors que le patron fouille la chatte de sa collaboratrice qui a remonté sa jupe à hauteur de ses hanches laissant apparaître ses bas autofixants. Son cul est magnifique, et je sens mon sexe gonfler de plus belle.

La sonnerie du téléphone me sort de ma torpeur, putain, impossible d’avoir cinq minutes à soi ici.

Mon prochain rendez-vous est arrivé, une entreprise de lingerie veut nous proposer ses derniers modèles un peu plus haut de gamme. Je bande encore carrément mais impossible de me calmer, je les reçois donc assis derrière mon bureau.

Deux femmes et un homme entrent dans mon bureau, chargés de sac et de paquets.

La discussion démarre sur leurs chiffres. CA, bénéfice, marge tout y passe.

Je comprends que l’homme et la fille sont maris et femmes et que la petite jeune qui se tient un peu à l’écart semble être leur assistante.

Vient le moment de découvrir les nouveaux modèles. On me passe un soutien-gorge, une culotte, des nuisettes, des guêpières, rien à dire le travail est bien fait, la qualité est au RV. La texture commence à renforcer ma gaule qui se calmait et j’ai de plus en plus de mal à calmer mon érection, ça commence à se voir. Je gesticule sur ma chaise mais le boss dans la pièce c’est moi et si quelqu’un doit se sentir gêné ce sera quelqu’un d’autre. Je surprends d’ailleurs les deux jeunes demoiselles à reluquer ma queue qui déforme l’avant de mon pantalon.

Nous entrons dans le vif du sujet dès que j’aborde la question du prix, je peux constater que ma tactique les déstabilise complément. Certes la qualité est là mais personne ne paiera ce prix et puis la coupe ne me plaît pas tant que ça.

Les deux associés semblent paniqués et j’enfonce le clou en leur donnant mon prix d’accord, 20% en dessous du leur. Je peux voir sur leur visage se lire la panique, c’est là que je me sens le plus puissant. Je leur fais part de ma date limite pour qu’il accepte mon offre et les vire de mon bureau sans plus de cérémonie.

Ils se lèvent visiblement déçus et quittent mon bureau. Cet échange m’a excité encore plus, l’odeur du sang me fait cet effet-là.

La suite de ma journée est faite de tableaux de bords, de conférence call avec nos fournisseurs chinois et avant que j’aie pu m’en rendre compte il est 23h passé.

Je quitte mon bureau, lance une bonne soirée à ma secrétaire et me dirige vers le parking.

« Monsieur Paul ? » C’est l’associée de la marque de lingerie, la femme de lautre gars.

Elle me serre la main et me demande si elle pouvait me montrer la coupe des nouveaux modèles qu’elle réserve à ses meilleurs clients.

Je lui donne l’adresse de mon hôtel et lui donne rendez-vous 30 minutes plus tard. Elle me dit qu’elle n’est pas en voiture et nous nous dirigeons ensemble vers ma voiture.

Mon parking est vide, pas une seule voiture à l’horizon. Ses talons claquent sur le sol emplissant l’air du bruit de ses pas. Je m’installe au volant, les phares s’allument et illuminent la jeune femme qui se tient face au capot de ma Porsche. Je la vois défaire la ceinture de son trench qui tombe au sol.

Putain quel corps, elle est bandante. Des jambes fines et musclées sont enfermées dans des bas en résilles noirs. Deux lanières les retiennent à la culotte en dentelle noire aussi. Un soutien-gorge lui couvre les seins, lui couvre est un bien grand mot, ils descendent sous les tétons et me file une trique d’enfer.

Je la vois se dandiner, elle sait que j’ai le pouvoir et compte bien finaliser le contrat dès ce soir. J’ouvre ma portière et m’approche de la jeune opportuniste qui continue sa danse lascive. Elle descend écartant ses jambes et me laissant voir une petite toison noire à travers sa culotte.

— Tu as bien compris ce que tu devais faire, tu iras loin dans la vie.

Je m’assois sur le capot, pendant qu’elle dézippe ma braguette. Ma bite jaillit, à demi-molle mais déjà impressionnante par sa taille. Je la vois ouvrir la bouche dans une mimique de stupeur :

— Qu’elle est grosse Monsieur Paul, je n’ai jamais vu de bite aussi belle

— Alors suce-la, je lui ordonne.

Elle la prend entre ses deux mains, et l’embrasse sur les côtés. Ses baisers deviennent de plus en plus mouillés, sa langue explore ma queue, lèche ma hampe, descend sur mes couilles.

Y a pas à dire elle sait y faire, elle continue de me branler toujours en me faisant profiter de ses léchouilles.

Finalement elle prend ma bite en bouche, enfin elle essaye. Je vois sa gueule s’ouvrir en grand alors que j’enfonce mon pieu au fond de sa gorge. Sa langue reste sous ma tige pendant que je la pilonne jusqu’à la limite de l’étouffement. Elle crache, elle bave et s’étouffe mais je n’arrête pas, je continue aussi fort que je peux.

Finalement je la fais se lever et l’allonge sur le capot la tête en bas vers ma bite. La bouche grande ouverte je peux voir ma bite progresser dans sa gorge, j’en profite pour caresser son petit minou à travers la dentelle, elle aura bien mérité son contrat cette petite salope. Faire faux bond à son mari pour signer le plus gros contrat de sa carrière elle n’a pas dû y réfléchir trop longtemps. Sa mouille sent le paradis, sent la petite pute, elle coule carrément. Mes doigts insistent sur son clito. Je décale la culotte pour avoir accès à sa chatte. Elle est trempée d’excitation. Je la pilonne, je la caresse, je la pilonne de plus en plus, et mes doigts appuient avec force sur son bouton.

Sans prévenir j’éjacule une quantité de sperme qui marinait dans mes boules depuis cet après-midi. Tout déborde de sa bouche et atterrit au sol… Je finis d’éjaculer sur sa lingerie, j’adore souiller de la belle lingerie avec mon jus.

Je suis vidé, le cul à l’air dans ce parking, j’essaye de retrouver mes esprits.

Je l’aide à se remettre droite, on dirait une vraie traînée avec son maquillage qui a coulé le long de son visage.

Elle referme son trench, l’air hagard.

Je lui dis que ma secrétaire lui enverra une ébauche de contrat demain et qu’elle peut rentrer chez elle.

Elle me demande si je peux la déposer à une borne de taxi, je ne prends pas la peine de répondre, claque la porte et démarre en trombe.

Tout en me dirigeant chez moi, je porte mes doigts à mes narines, l’odeur de sa chatte est encore dessus et je me dis que la prochaine fois j’aimerais bien y fourrer ma queue.

Encore une belle journée qui se termine en beauté.

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