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Le coup de folie de Marion – Chapitre 3

Le coup de folie de Marion - Chapitre 3



3éme partie : Marion en boite.

Les deux voitures filaient en direction de la zone des boites.

Dans lune, Bilal au volant observait Marion dans le rétroviseur, au milieu de la banquette arrière se faire sévèrement tripoter par Amine et Sofiane.

Amine avait une main dans le short de la jeune fille et ses mouvements ne laissaient aucun doute sur son activité de doigtage de sa chatte. Sofiane avait une main sous le débardeur de Marion, malaxant ses seins, et lui roulait un patin denfer qui étouffait les gémissements de plaisir de la jeune femme.

Marion avait saisi leurs bites et les branlait frénétiquement.

– « Putain, elle est vraiment chaude comme la braise » sexclama Amine.

— « Vous êtes vraiment des chiens » rigola Bilal « dire que je suis obligé de conduire pendant que vous prenez du bon temps sous mon nez ! »

— « Arrête de râler » le coupa Amine « deux mois que tu te la tronches pour toi tout seul ! Laisse profiter les frères un peu ! »

–  « Ouais » lâcha Bilal dubitatif «  ça manque pas les frères qui veulent de la chatte de gauloise ! »

Marion ne participait pas à la conversation, et pour cause : elle était en train d’administrer une sublime fellation à un Sofiane aux anges. Léchage de la hampe, gobage de testicules et gorge profonde, tout l’éventail de la parfaite fellatrice y passait.

Sofiane en put résister longtemps à ce traitement et cracha sa purée dans la gorge de la jeune femme, qui se redressa en déglutissant.

Elle dit à Amine qui avait continué à lui caresser la chatte : « A ton tour, on va voir si ton sperme a le même goût que celui de ton copain »

Et sans attendre, elle engloutit le sexe érigé du jeune beur, pour son plus grand plaisir.

A l’avant, Bilal avait de plus en plus de mal à se concentrer sur la route, et sa bite semblait vouloir déchirer son bermuda tellement elle était tendue.

Marion était devenue une véritable affamée : lavoir baisée à cinq au bord de la rivière l’avait à priori totalement désinhibée, et à présent elle voulait du sexe, et rien que du sexe.

Le petit convoi arriva finalement sur le parking de la discothèque.

En se garant, Bilal entendit un profond râle de contentement sortant de la bouche dAmine : Marion semblait être parvenue à ses fins !

Elle se redressa tout sourire en sessuyant les lèvres.

— « ça se confirme » rigola-t-elle « le goût du sperme diffère suivant les mecs ! »

Le petit groupe fut rejoint par Karim et Abdel, garés plus loin et dégoûtés au récit fait par Sofiane du trajet.

A l’entrée de la boite se trouvait un videur, colosse black nommé Mamadou, que connaissait bien les cinq beurs puisquil venait du même quartier queux.

A leur vue, il les interpella : « Eh les mecs, c’est même pas faisable. En bermuda et T shirt ! Vous pouvez pas au moins vous acheter une chemise ? »

« Sois cool, Mam, on a pas eu le temps de repasser à nos piaules, et puis on est accompagnés » dit Bilal dans un clin dil en désignant Marion qui se faufila entre les types et vint se planter devant Mamadou, qui avait ainsi une vue imprenable sur le décolleté du débardeur qui laissait facilement deviner la taille respectable de ses seins et surtout l’absence de tout soutien.

« S’il vous plaît » minauda Marion de sa plus jolie voix « si vous nous laissez entrer, je vous promets de vous récompenser » lui dit elle en se passant la langue sur les lèvres.

Mamadou adorait les blanches, c’était son péché mignon.

Il avala sa salive et articula : « Bon, OK, c’est bien parce que la petite dame est là et que ça manque de filles à l’intérieur ! »

Ravi, le petit groupe se précipita dans la boite. C’était une boite orientale, beaucoup de rai et de reggae en guise de musique.

Bilal entraîna Marion sur la piste de danse et se lança dans une danse collé-serré en empoignant ses fesses à pleines mains.

Les autres se mirent en quête d’une cavalière pour partager la danse.

Bilal embrassait passionnément Marion tout en lui caressant les fesses.

Il sentait que sa bite reprenait de la vigueur et voulut en faire profiter Marion :

–  « jai la trique, faut que je te baise ! »

— « Allons aux toilettes. Jai toujours fantasmé sur le fait de baiser dans les toilettes dune boite de nuit »

Les deux amants se précipitèrent aux toilettes hommes où ils senfermèrent dans une des cabines. Marion descendit son short et appuya ses mains contre le mur en se cambrant, offrant sa croupe aux virils assauts de Bilal.

Celui-ci ne se le fit pas dire deux fois et pénétra fougueusement cette chatte si généreusement offerte, donnant de puissants et profonds coups de reins, poussant son sexe tout au fond du vagin de Marion.

Mais Karim avait vu le manège. Il entra dans les toilettes et neut pas de mal à repérer les fornicateurs, leurs soupirs langoureux et leurs gémissements étouffés les trahissait.

Il entendit Bilal pousser un grognement significatif de lorgasme : il venait encore une fois de remplir le vagin de Marion.

Karim tapa à la porte : « Police ! On cherche une salope et un sérial niqueur ! »

Bilal ouvrit : « Putain mais tes vraiment con quand tu ty mets ! Fais une annonce au micro tant que tu y es ! »

— « Vas-y, fais ta mijaurée ! Tu vas tirer ton coup en crevard pendant que tu nous laisses comme des clebs ! »

Marion interrompit la dispute : « Arrête de râler et viens prendre sa place, jai encore envie »

Marion navait pas changé de position, ses fesses toujours tendues vers la première bite qui voudrait, quelques gouttes du sperme de Bilal coulant de sa chatte.

Karim se précipita vers Marion et enfourna sans autre préliminaire son sexe en elle, commençant un va-et-vient furieux.

Il agrémenta sa pénétration dinsultes qui eurent pour effet dexciter encore plus Marion : « Salope », « Pute », « Vide couilles », « Vedette de tournante », « fille à caves »

Marion finit par jouir bruyamment, juste avant que Karim se vide lui aussi.

Heureusement, personne nétait entré dans les toilettes et la musique était trop forte en salle, sinon cétait lémeute assurée.

Tous les trois sortirent des toilettes et se remirent à danser.

Marion sentait le sperme des deux lascars lui couler entre les cuisses. Elle ne sétait jamais sentie aussi épanouie et surtout autant salope.

Karim lui offrit un verre et lui dit : « Tas lair dêtre encore chaude ! Ça te dirait de rentrer avec nous au quartier ? On pourrait continuer à samuser et on te ramène chez toi demain matin. »

Marion hésitait : elle avait lu dans les journaux que leur quartier, sans être une zone de non-droit, était quand même un lieu de trafic assez connu, et elle avait entendu des choses assez malsaines sur ce qui se passait dans les caves.

Pour être honnête, quand on lui avait raconté, elle avait mouillé….

Bilal, qui avait senti ses doutes, essaya de la rassurer : « Tinquiète pas, bébé, je reste et personne ne te fera quelque chose que tu ne voudras pas ! »

–  « Alors daccord » décida-t-elle.

Karim alla avertir Amine, Sofiane et Abdel.

Éberlués par la situation mais ravis, ils rejoignirent et tout le monde se mit en route.

A la sortie de la boite, Mamadou les interpella : « Hé ! Poupée ! Tu mavais promis que si je vous laissais rentrer, tu me récompenserais ! »

« Cest vrai » répondit Marion, tout sourire. « Attendez-moi là les mecs ! »

Et elle prit Mamadou par le bras pour lentraîner au vestiaire tout proche.

Au bout de cinq minutes, Bilal et Karim, intrigués, allèrent voir ce qui se passait.

Au fond du vestiaire, Ils trouvèrent Marion entièrement nue, assise au bord dune table. Mamadou, le pantalon sur les chevilles, entre ses cuisses la labourant à grands coups de bite. Spectacle saisissant de cette grosse tige noire coulissant dans un vagin d’albâtre soigneusement entretenu :

« Alors, elle te plaît ma grosse poutre ? » demanda Mamadou en la besognant.

« Oh oui, vas-y, continue, que cest bon ! » dit Marion entre deux soupirs.

Mamadou continua à pistonner le vagin de la jeune femme pendant quelques minutes sous les yeux envieux de Bilal et Karim, puis finit par décharger son foutre dans la matrice de Marion.

Il se rajusta pendant que Marion reprenait ses esprits, assise sur la table, le vagin coulant le sperme.

« Avec une récompense comme ça, tu peux venir tous les soirs si tu veux ! » lui glissa Mamadou avant de retourner à son poste à l’entrée de la boite.

Bilal et Karim étaient eux déjà retournés sur le parking en devisant sur ce qu’ils venaient de voir.

« T’as vu ça ? Elle se fait sauter par tout ce qui vient maintenant !  Attends, au quartier elle va se faire éclater, y a au moins 10 ou 15 mecs qui doivent attendre de tirer leur coup !»

« Ouais ben calmos » tempéra Bilal « c’est bon pour avoir des emmerdes. Et puis c’est TON idée ça la tournante ! »

« Arrêtes ! Rappelle toi la petite blonde binoclarde que j’avais levée dans une soirée étudiante, Je vous l’avais ramenée après l’avoir tirée dans ma bagnole. Et elle a adoré ! Elle me l’a dit le lendemain ! »

« Ouais, enfin au départ tu lui avais fait croire à un jeu sexuel : attachée à des anneaux et les yeux bandés, elle a compris le traquenard quand elle a senti quatre bites se frotter à elle. Heureusement pour nous qu’on a réalisé un de ses fantasmes sans le savoir, sinon on serait tous en taule aujourd’hui ! »

Leur conversation fut interrompue par l’arrivée de Marion, titubante, encore sous le choc de son étreinte avec Mamadou. Elle s’approcha de Bilal et lui dit : « Excuse moi mais je n’en peux plus. Je préférerais rentrer chez moi. »

« Pas de problème, bébé, je te ramène » Dit Bilal

Karim et les autres étaient visiblement déçus mais faisaient contre mauvaise fortune bon cur : Ils en avaient quand même bien profité !

Tout le monde se dit au revoir sur le parking, puis Bilal et Marion partirent vers le domicile des parents de Marion.

Arrivés en bas, Marion eut encore assez de forces pour remercier son chevalier servant en lui prodiguant une fellation dont elle avait le secret, agrémenté d’une cravate de notaire des plus agréables, avant de faire éjaculer Bilal sur ses seins.

« Merci pour cette journée » lui dit Marion en sortant « on se rappelle ! J’ai bien vu que toi et tes copains étiez un peu déçus que je ne vienne pas avec vous dans votre quartier, mais promis, on se fait ça dés que possible ! Tu pourras même choisir comment je m’habille : Tenue de salope, petite écolière, secrétaire docile,… C’est toi qui choisis ! »

« Arrête, bébé, tu me refais avoir la trique rien que d’y penser ! »

Marion lui fit un clin dil en se passant la langue sur les lèvres, avant de disparaître dans le hall d’entrée de l’immeuble.

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