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Le fantasme de Sophie, femme candauliste – Chapitre 2

Le fantasme de Sophie, femme candauliste - Chapitre 2



Le lendemain de ma rencontre avec Maelis, après le boulot, je filais dans une boutique de vêtements et de lingerie pour faire une surprise à mon mari. Les jours suivants furent longs dans l’attente du retour de mon chéri. J’étais dans un état d’excitation maximal. Les lèvres de mon sexe étaient gonflées de désir.

Le jour de son retour, j’attendais avec impatience Marc dans une robe très sexy, fendue sur le côté. J’avais acheté un redresse seins qui faisait remonter ma poitrine et laissait entrapercevoir mes tétons qui sont très sensibles et qui pointaient d’une manière presque indécente. J’avais également acheté un shorty fendu sur le devant ainsi qu’un porte-jarretelles et des bas.

J’avais préparé un petit apéritif pour fêter son retour.

Marc rentra de son colloque de bonne heure. Lorsqu’il me vit dans ma tenue aguichante, il n’en revenait pas :

Waouh, quelle surprise et quelle entrée en matière pour mon retour ! Tu me gâtes ma chérie.

Rien n’est trop beau pour le retour de mon guerrier, mon chéri. Tu m’as beaucoup manqué.

Je me précipitais vers lui et vins me blottir dans ses bras.

Il me prit dans ses bras musclés et me roula un patin d’enfer qui n’en finissait plus. Nos langues et nos salives se mélangeaient. Je lui mangeais littéralement la bouche.

Hors d’haleine après ce long baiser, je lui dis doucement :

Ce soir, tu peux faire de moi ce que tu veux mon amour, je suis à ta disposition.

Mais j’ai bien l’intention de profiter de ma superbe petite femme chérie toute la nuit. Ton accueil et ta tenue me font déjà bander, viens toucher.

Je posais ma main sur sa braguette et constatais qu’il avait une érection d’enfer.

Je lui pris la main et l’emmena dans le salon où je le fis asseoir sur un fauteuil.

Je défis sa ceinture et fis glisser son pantalon et son boxer jusqu’aux chevilles.

Waouh, mon cochon, tu me cachais un si bel organe. Il y a longtemps que je ne t’avais vu en si grande forme.

Et encore, tu ny as pas goûté.

Je me penchais sur son gros membre et l’engloutis autant que je pouvais dans ma petite bouche pour lui faire une belle fellation.

Après quelques allers et retours sur sa bite, il me prit le visage et me dit :

Attends ma chérie, ne nous précipitons pas, nous avons toute la soirée et toute la nuit. D’abord, je veux te voir et admirer ta tenue. Et puis, je t’ai ramené un petit cadeau de mon voyage.

Il se releva, remonta son boxer, retira son pantalon, me fit lever et me prenant la main, me fit tourner sur place.

Ta robe est magnifique, elle te va à ravir. C’est une superbe surprise que tu me fais.

Et encore, tu n’as pas tout vu, je te réserve moi aussi une surprise. Pendant que tu vas chercher ton cadeau, je nous sers une flûte de champagne.

Il s’en alla chercher un paquet dans sa valise et revint me l’offrir.

C’est pour toi ma chérie, dit-il en m’embrassant. Comme cela, lors de ma prochaine absence, tu penseras à moi. Maintenant, trinquons à nos retrouvailles.

Après avoir bu ma flûte, je défis le paquet et à ma grande surprise, je découvris un coffret contenant un superbe plug anal orné d’une pierre violette ainsi qu’un gode de couleur chair, très réaliste, et de la même taille que la bite de Marc.

Cette attention me fit rougir. Nous avions déjà discuté de l’éventualité de pimenter nos ébats à l’aide de sex toys, mais je ne pensais pas que Marc franchirait le pas.

Oh merci, mon amour de cette délicate attention. Je confirme que ce gode ressemble vraiment à ta magnifique queue. Terminons nos verres et je te ferais découvrir à mon tour ma surprise.

Dès nos verres vides, je repris mon mari par la main, je le refis asseoir sur le fauteuil, puis je retirais doucement ma robe. Je voyais sa bite palpiter sous son boxer. Dès qu’il me découvrit en redresse seins avec mon shorty ouvert, il voulut se lever.

Reste assis, c’est moi qui mène le jeu pour le moment et enlève ta main de ta bite, sinon tu vas jouir trop vite. Si tu n’es pas sage, je t’attacherais les mains.

Je m’approchais de lui, écartais mes jambes et m’assis sur ses cuisses avec mes tétons dardés juste au niveau de sa bouche. Je sentais au travers de son boxer sa bite qui était dure comme du béton.

Fais ce que tu veux avec mes seins, mais sans les mains.

Il savait que j’avais la poitrine très sensible. Il commença par m’embrasser le sein gauche puis me lécha le téton gauche. Mes mamelons hyperexcités devaient mesurer 2 centimètres au moins, tellement ils étaient bandés. Il emboucha mon téton droit et le suça puis le mordilla légèrement. J’étais aux anges et je sentais le jus de ma chatte couler le long de mes jambes tellement j’étais excitée. Il repassa sur le mamelon gauche, le suça en tirant dessus, ce qui me fit presque défaillir.

Cela suffit, dis-je en me levant.

Je m’agenouillais, ma bouche au niveau de son sexe et retirais son boxer. Sa bite qui était bandée comme un arc jaillit comme le diablotin de sa boîte.

Je vais te sucer jusqu’à ce que tu me déverses ton sirop de corps d’homme au fond de la gorge et j’avalerais tout sans rien laisser.

Et j’entrepris une fellation comme je ne lui en avais jamais fait. Je l’entendais gémir et souffler. Je savais qu’excité comme il était, il ne tiendrait pas très longtemps. Cependant, je le sentais faire beaucoup d’efforts pour ne pas éjaculer trop vite et je lui en étais reconnaissant.

J’embouchais ses testicules puis remontais le long de la verge pour finir par titiller le frein. Puis je reprenais sa bite palpitante au fond de ma gorge. Au bout d’un moment de renouvellement de ses va-et-vient, il ne put se retenir. Je sentis le sperme monter le long de son membre et venir inonder ma bouche.

Comme promis, j’avalais tout son jus de mâle jusqu’à la dernière goutte.

Je le sentis se détendre d’un coup.

Eh bien, je ne te connaissais pas cette aptitude pour la pipe. Tu m’as rendu dingue, je n’avais jamais connu cela.

Profitant de son état vaporeux, je lui pris la main, l’emmena jusqu’à notre notre chambre et le fit allonger sur le dos.

Je me plaçais, les jambes écartées au-dessus de sa bouche, pour qu’il me lèche la chatte. C’est à ce moment qu’il découvrit l’intérêt du shorty fendu, surtout que pour la première fois, je lui présentais mon sexe entièrement rasé, ce qui le surprit.

Waouh ton sexe est glabre… Toi qui as toujours voulu conserver un petit ticket de métro, je suis ravi. Descends un peu et tu vas voir ce dont je suis capable avec ma bouche.

Il présenta sa bouche au niveau de mon minou et commença un cunni.

Mais tu es complètement trempée. Qu’est-ce qui t’excite comme cela ?

Ce n’est pas le moment de discuter, continue à me bouffer mon abricot.

Attends, j’aimerais essayer un de tes cadeaux.

Il se leva et rapidement, alla au salon récupérer le coffret. Il en sortit le plug, se recoucha sous moi et avec ses doigts, préleva mon jus qui coulait pour m’en enduire la rondelle. J’avais l’habitude de la sodomie que nous pratiquions de temps en temps même si ce n’était pas ce que j’appréciais le plus. Il présenta le plug, me l’introduisit doucement dans l’anus puis recommença à me manger la chatte en introduisant 1 puis 2 puis 3 doigts dans le vagin.

Pendant ce temps, je pinçais, tirais, tordais mes tétons.

Je sentais sa langue lécher ma chatte jusqu’à mon anus et le contact des doigts contre le plug et cette sensation de double pénétration me fit jouir de telle sorte que je m’écroulais sur mon partenaire.

Après quelques instants de récupération, nous nous sommes assis au bord du lit et Marc prit la parole.

Cet accueil que tu m’as réservé est diabolique. Je crois que je vais devoir partir plus souvent en formation.

Maintenant que tu m’as offert le clone de ton sexe, il n’y a plus de problème.

Je suis quand même très surpris de tous ces changements. Dis-moi Sophie, à quoi dois-je cette nouvelle expérience sexuelle qui m’a époustouflé.

Ce n’est rien de plus que l’amour que je te porte et que je voulais te prouver.

Mais tu n’as rien à me prouver ma chérie, tu sais que je t’aime comme tu es, même si ce soir, j’avoue avoir été subjugué par ta tenue vestimentaire et par ton comportement.

Il se tourna vers moi et m’embrassa tendrement. En même temps, il commença à me caresser les seins. Marc se leva, se mit à genoux devant moi et me retira mon shorty.

Quel achat fabuleux cette culotte fendue.

Pas plus fabuleux que tes cadeaux, mon chéri.

Il me fit allonger et me releva les jambes en me demandant de les tenir au niveau des genoux, avant de me retirer le plug qui ornait ma rondelle. Il se pencha sur mon abricot qu’il recommença à lécher tout en y introduisant 3 doigts.

Tu es inondé ma belle, je vais te baiser comme mérite la petite salope que tu es.

Oh oui, viens en moi, ma chatte se languit de t’avoir en elle.

Il se releva et me pénétra d’un seul coup, m’arrachant un feulement. Que cette queue était bonne et qu’elle me faisait du bien ! A ce moment-là, Maelis fit son retour dans mon esprit. Pendant tout le temps où Marc me baisa, je n’arrêtais pas de penser à la belle rousse.

Je l’imaginais se faire baiser de la sorte à ma place alors que je serais spectatrice. Cette vision m’excita encore plus et je tirais avec force sur mes tétons gorgés de sang.

J’eus plusieurs orgasmes avant que Marc ne se répande en moi. Après ce combat sexuel, nous étions à bout de souffle et nous nous sommes endormis l’un contre l’autre.

Samedi matin au réveil, nous étions encore tous les deux dans un état de léthargie qui nous faisait vivre au ralenti. J’étais sur mon petit nuage.

Le week-end fut plus calme, nous étions invités à le passer chez les parents de Marc sur les hauteurs de Nice. Mon chéri eut quand même droit à une petite gâterie le dimanche matin.

Lundi, retour aux affaires courantes.

Le soir, je dis à Marc que mercredi, nous avions une formation avec d’autres secrétaires de direction sur un nouveau logiciel informatique (ce qui était vrai) et que nous irions certainement clôturer la journée par un repas en commun et que je rentrerais tard.

Cela arrangea bien mon homme, il y avait ce même soir un match de foot qu’il pourrait voir avec ses amis.

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