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Le jouet sexuel – Chapitre 1

Le jouet sexuel - Chapitre 1



Le jouet sexuel

Cela ne mest jamais arrivé. Ceci reste un fantasme… pour le moment.

Ce fantasme est ancré en moi depuis tellement longtemps ! Malgré le temps qui passe avec ses années qui saccumulent, augmentant inexorablement mon âge, je me dis quun jour ce fantasme deviendra réalité.

Pourquoi pas auprès de vous, chers lecteurs et lectrices ? Si lenvie vous vient de vouloir jouer avec moi, je serai votre jouet sexuel. Déterminons ensemble les règles du jeu et pour cela, voici quelques histoires.

Ces histoires sont des mélanges de réel et de fantasmes. Lensemble de ces histoires forme, en quelque sorte, une lettre de motivation pour qui voudra bien retenir ma candidature. En ce cas, pas dhésitation. Contactez-moi via mon adresse mail.

Chapitre I. Le supermarché

En cette fin de printemps, le soleil est déjà chaud, même ici dans le morbihan. Les tenues légères sont ressorties pour le plus grand plaisir des yeux. Les femmes sont belles et sexy dans les fins vêtements qui soulignent leurs formes plus quils ne les cachent. Certains hommes aussi attirent mon attention. Moi-même je ne porte quun tee-shirt, un short à même la peau et une paire de chaussure en toile. Je laisse volontairement dépasser le bout de mon gland au bas de mon short. Je fais linnocent, comme si je ne mapercevais de rien. Quand certains regards se font insistants, ça mexcite et me provoque une érection qui déforme visiblement mon short. A ce moment là, je mapproche de la personne qui me regarde en espérant quelle osera toucher cette bosse. Si rien ne se passe, je la regarde droit dans les yeux et je lui dis :

— Nhésitez pas, touchez ma bosse, ça porte bonheur.

Malheureusement, rare sont ceux ou celles qui osent le faire et fréquentes sont les remarques désobligeantes.

Comme vous pouvez le comprendre, je tiens à être disponible à tout moment nhésitant pas à provoquer certaines situations.

Je fais mes courses dans le supermarché de ma petite ville. Je prends mon temps, mapprochant et frôlant certaines femmes qui me plaisent, humant leur parfum au passage. Je provoque certains contacts les faisant passer pour involontaires en mexcusant avec un grand sourire.

Dans le rayon lingerie, japerçois deux jeunes femmes très belles, habillée sexy à souhait. Lune delle porte une très courte jupe dévoilant ses superbes jambes jusquau début du renflement de ses fesses et une chemisette à carreaux nouée sur le ventre, mettant en valeur ses seins visiblement libres de tout soutien gorge. Elle a de superbes cheveux longs, blonds cendrés. Lautre porte un short minimaliste épousant parfaitement ses fesses rebondies et un corsage légèrement transparent laissant deviner sa poitrine libre, elle aussi. Ses cheveux bruns forment un carré qui encadre son joli visage. Elles sont en train de comparer divers sous-vêtements. Je mapproche delles en faisant mine de mintéresser au rayon homme qui fait fasse au rayon femmes. Lespace est étroit entre les deux rayons et je les frôle volontairement.

— Oups ! Excusez-moi. Dis-je.

Elles me regardent sans répondre mais avec un grand sourire. Je décide dentamer la conversation. Je suis excité et mon short forme une belle bosse. Je prends un boxer et un slip dans le rayon et je leur demande :

— Sil vous plaît, peut-être pourriez vous me conseiller.

— Je ne sais pas, répond la blonde.

— On peut essayer, dit la brune.

Je leur montre le boxer et le slip en les descendant vers mon bassin.

— Que préférez-vous voir sur un homme ? Un boxer ou un slip ?

Elles baissent les yeux pour regarder les sous-vêtements que je leur montre et je vois leurs joues rosir et leurs yeux sagrandir en voyant mon short déformé.

— Heu ! Le slip risque de vous serrer un peu. Dit la brune en riant.

— Par contre le boxer soulignerait bien vos formes. Réplique la blonde troublée.

— En fait, il faudrait que je les essaye pour être plus sûr. Vous en pensez quoi ?

— Ben oui, pourquoi pas. Me dit la brune.

— Vous voulez bien maider ? Toutes les deux ?

Elles se regardent, un peu gênées mais je vois bien quelles sont tentées. Alors jinsiste :

— Allez, sil vous plaît.

— Bon, daccord dit la brune qui visiblement est moins farouche.

— Vous êtes supers, leur dis-je. Merci beaucoup.

On se rend donc tous les trois à la cabine dessayage située en bout de rayon. Jentre dedans et laissant le rideau ouvert, enlève mon short sans aucune pudeur. Surprises, les deux jeunes femmes se placent instinctivement lune à côté de lautre à la place du rideau, sans doute pour éviter que je ne sois vu par dautres personnes. Elles me regardent sans en perdre une miette, les yeux rivés sur mon sexe gonflé à bloc. Faisant mine dêtre surpris, Je leur dis :

— Ca vous plait ? La vue est belle ?

— Pas mal, répond la brune en rougissant mais sans détourner les yeux.

— Ben, heu, vous avez laissé le rideau ouvert, sexcuse la blonde en bredouillant, on voulait cacher la vue.

— Je souris en leur répondant, finalement, cest peut-être mieux sans rien, je veux dire ni boxer, ni slip. Entrez, on va fermer le rideau.

Non sans une hésitation, elles me rejoignent dans la cabine dessayage. Lespace est très étroit et nos corps seffleurent. Le mélange de leurs parfums envahi rapidement lendroit exigu exacerbant mes sens déjà bien échauffés. Je saisis la main de la blonde et la pose sur ma bite tendue quelle saisit sans hésiter et entame un lent va et vient, décalottant mon gland déjà prêt à exploser. Voyant cela, la brune saccroupit en me prenant les couilles dans une main pour dabord les soupeser et ensuite les malaxer. Je suis aux anges et fait de gros efforts pour ne pas jouir immédiatement sous leurs délicieux attouchements. Surpris moi-même par mes propres mots, je mentends leur dire :

— Jaimerais devenir votre jouet. Votre jouet sexuel. Et si vous le désirez, vous êtes libre de disposer de moi comme bon vous semble. Je peux lire lincrédulité dans leurs jolis yeux grands ouverts.

— Tu veux dire que nous faisons ce que nous voulons ? Dit la brune.

— Oui, si vous voulez bien de moi, bien sûr.

— Tout ce quon veut et tu obéiras ? Demande la blonde.

— Oui, tout. Je ne veux que votre plaisir.

— Bon daccord, réplique la brune, visiblement excitée. A partir de maintenant, tu nous appartiens. Mets les mains dans le dos et ne bouge pas.

Jexécute aussitôt ce premier ordre. Elle approche ses lèvres de mon sexe et entreprend une douce fellation.

— Tu te retiens, me dit la blonde en prenant de lassurance. Tu attends lordre pour juter.

— Bien, mademoiselle, dis-je.

La blonde saccroupit à son tour et entreprend de me lécher les couilles. Jai un mal fou à me retenir, tant la situation est paradisiaque. Les deux filles se partagent mon sexe me suçant lune et lautre, me branlant, me triturant les couilles. Je sers les dents, refoulant tant bien que mal la vague plaisir qui menvahit.

Après plusieurs longues et interminables minutes, jentends leurs deux voix me dire dans un ensemble parfait :

— Vas-y, lâche-toi.

Je ne me fais pas prier et me libère en de longs jets libérateurs. Tour à tours, elles enfournent ma bite, avalant chacune leur tour mon sperme chaud. La brune se relève et membrasse à pleine bouche pour partager avec moi ma semence, imitée aussitôt par la blonde.

— Maintenant, lèche-nous le visage et nettoies tout, ordonne la blonde.

Je mexécute consciencieusement, nettoyant leurs jolis minois avec ma langue, jusquà ce quil ne reste plus une seule trace de sperme.

— Ca y est, mes demoiselles, vous êtes toutes propres.

— Oui, mais pas en bas, répond la brune. On a mouillé comme des salopes.

— Vous désirez que je vous nettoie aussi là ? Dis-je avec un espoir non dissimulé.

— Ce serais avec plaisir mais pas ici, nous sommes pudiques, nous.

— Je rejouerais bien avec toi, le jouet, dis la blonde. Donne-nous ton numéro de téléphone et on tappellera.

— Ho oui, bonne idée, dis la brune. On sera dans un endroit plus tranquille et tu nous obéiras, tu feras tout ce quon te demandera. Ca marche ?

— Oui, bien sur, ça marche. Vos désirs sont des ordres.

Je leur donne donc mon numéro de portable et elles sortent de la cabine dessayage. Je remets mon short et sors à mon tour de la cabine. Les deux jeunes femmes ont disparue. Une autre femme me regarde fixement. Elle parait avoir 35 ans, habillée avec élégance dune robe très classe. Elle est très belle avec son léger maquillage et ses cheveux auburn relevés en un strict chignon. Je suis intimidé par son air sévère. Je me demande si elle a compris ce qui vient de se passer. Peut-être a-t-elle tout vu ou entendu. Je passe près delle et son parfum menvahi aussitôt. Jen frissonne tellement je suis troublé. Je lui dis bonjour et elle me répond dun signe de tête et séloigne de moi, dun air hautain.

Je retrouve mon caddie et continue mes courses en repensant aux derniers événements. Ce qui ne manque pas de me provoquer une nouvelle érection que je ne cache pas. Ce que je ne sais pas encore, cest que ma vie vient de basculer.

Arrivé aux caisses, je choisis celle dont la caissière me plait le plus. Il y a quatre personnes devant moi et jattends patiemment en regardant autours de moi. Il y a beaucoup de monde aujourdhui. Enfin mon tour arrive. Je dispose mes achats sur le tapis pour ensuite les mettre dans un sac au fur et à mesure que la caissière les passes devant son scanner. Elle mannonce le prix à régler. Je paie par carte et tape mon code.

Alors que la caissière me donne mes tickets, deux mains empoignent mon short par derrière et me le baissent dun coup sec jusquau cheville, dévoilant ainsi mes fesses et mon sexe à la vue de tous. Dans un réflexe, je me baisse pour remonter mon short, tout en me retournant pour voir lauteur de cette blague. Je me retrouve face à la brune et à la blonde de tout à lheure. La brune stoppe mon geste et me dit de façon autoritaire :

— Je tordonne de ne pas le remonter !

Je reste stupéfait par autant daudace et décide dobéir. Après tout, cest de mon plein gré que je suis devenu leur jouet. Elles ont donc le droit de jouer avec moi comme elles lentendent et de toute évidence, elles ont la ferme intention den profiter.

— Mets tes mains sur la tête !

Jobéis, honteux. Mon tee-shirt suit le mouvement de mes bras, dégageant ainsi parfaitement le bas de mon corps, laissant à lair libre mon intimité.

— Cest notre jouet à moi et à ma soeur dit fièrement la brune en sadressant à la caissière qui a rougi jusquau oreilles. Si vous le voulez, on peut vous le prêter.

— Heu, non-merci, bredouille la caissière.

— Dommage, vous auriez pu vous amuser.

La blonde sapproche de moi et saccroupit pour me lever les pieds lun après lautre afin de récupérer mon short. Elle le fourre dans son sac à main avec ma carte bancaire quelle enlève du support de paiement.

— Tu les récupèreras plus tard, dit-elle.

— Tient, jai une idée. Viens avec nous, le jouet, dit la brune.

Les deux filles me conduisent au milieu du hall du magasin libérant ainsi la caisse pour les autres clients. Un attroupement de curieux sest formé autour de nous. Des commentaires fusent de toute part. Je sens mon visage rouge de honte mais jaccepte sans broncher cette situation que je ne maîtrise pas, les mains toujours sur la tête. La brune va chercher dans lassemblée un jeune homme et lamène auprès de moi.

— Allez-y, jeune homme, lui dit-elle, ôtez-lui son tee-shirt !

Il ne se fait pas prier, saisis le bas de mon tee-shirt et me lenlève tout en riant devant la foule avide de curiosité. Il le donne à la brune qui le met dans son sac à main en interpellant une dame dâge mûr et la très jeune fille qui laccompagne.

— Vous madame et mademoiselle aussi, approchez ! Nhésitez pas ! Enlevez-lui ses chaussures.

Sans hésitation, elles sagenouillent à mes pieds et ôtent mes chaussures qui rejoignent mes autres habits.

La dame âgée profite de la situation et entreprend de me caresser le sexe. Elle encourage la jeune fille à limiter. Cette dernière, malgré quelques hésitation, sans doute dû à son très jeune âge, commence à me caresser aussi. Dabord les jambes ensuite les fesses et les couilles. Ses mains sont douces, fraîches et hésitantes. Leurs multiples caresses ne tardent pas à me faire bander dur sous leurs yeux.

Je ressens une honte indescriptible mais aussi une très forte excitation. Me voici entièrement nu, de la tête aux pieds, les mains sur la tête, la bite en érection, prenant du plaisir en me laissant caresser par deux parfaites inconnues au beau milieu dun supermarché, livré aux regards dune assemblée qui ne cesse de sagrandir.

Je suis enfin devenu un objet sexuel qui na que pour seule volonté dobéir aux ordres qui lui sont donnés.

— Et maintenant, on va le faire juter ! Sexclame la brune. Allez-y mademoiselle, dit-elle à la jeune fille qui me caresse. Branlez le jusquau bout !

Rougissante et intimidée, elle sexécute et commence à me branler. Doucement dabord pendant de longues minutes, puis ensuite de plus en plus rapidement. La dame âgée prend linitiative dinterrompre le mouvement de la jeune fille et me prend entièrement dans sa bouche. Elle madministre maintenant une pipe magistrale. Je me tortille de plaisir et essaie de retarder mon éjaculation. Brusquement, elle stoppe sa fellation et attire la tête de la jeune fille sur mon sexe turgescent. Celle ci ne se fait pas prier et commence à me sucer maladroitement en suivant les conseils que la dame âgée lui prodigue, se prenant pour sa prof déducation sexuelle, lui donnant un cours version travaux pratiques. Une ou deux minutes de ce traitement et jai de plus en plus de mal à me retenir. La jeune fille sentant mon sexe se gonfler encore (chose que je ne pensais plus possible) le sort de sa bouche et se met à me branler avec force. Nen pouvant plus, jéjacule en de longues saccades qui atterrissent sur le sol, en cabrant mon ventre en avant et en poussant des râles que je ne peux retenir.

Une des responsables du magasin, qui na rien loupé du spectacle se plante devant moi les mains sur les hanches. Je rougis car je la connais. Parfois, on échange quelques mots quand je viens faire mes courses ici. Son joli visage a pris un air sévère. Elle me dit dune voix cinglante en pointant du doigt mon sperme qui macule le sol :

— Il va falloir nettoyer tes cochonneries maintenant ! Et vite avant que quelquun marche dedans ! Tu ne crois pas quon va le faire pour toi quand même !

Un peu perdu, je demande du regard lapprobation de mes deux nouvelles propriétaires.

— Elle a raison, dit la blonde. Nettoie ça tout de suite !

— Cest vrai, cest dégueulasse ! Surenchérit la brune.

Par chance, jai acheté du papier essuie-tout. Je me dirige vers mon caddie pour en prendre un rouleau quand dun ton autoritaire la responsable du magasin minterpelle :

— Stop ! Ou tu vas comme ça ?!

— Chercher de lessuie-tout dans mon caddie.

— Bon daccord, dépêche-toi ! Aboie-t-elle.

— Il nen est pas question ! Tu te mets à quatre pattes et tu nettoie avec ta langue ! Ordonne la brune.

Devant mon hésitation, la responsable du magasin saisie dune main ma bite et tire dessus avec force vers le bas pour mobliger à magenouiller en me montrant le sol avec son index. Elle me fait mal. Aussi, je ne résiste pas et suis le mouvement. Je regarde mon sperme avec une moue de dégoût. Je nai vraiment pas envie de lécher le sol et je commence à me relever en faisant non de la tête. Devant mon refus, la responsable appuie sur ma tête dune main alors que son autre main sabat sur mes fesses en une violente claque retentissante, laissant sur mon cul endolori la marque écarlate de ses cinq doigts.

— On ta dit de lécher ! Et arrange-toi pour quil ne reste aucune trace ! Ordonne-t-elle.

Vaincu, je me soumets et commence à lécher avec application mon propre sperme répandu sur le sol sous les regards moqueurs des spectateurs. Je lèche, avale, re-lèche, re-avale et ainsi de suite jusquà la dernière goutte. Je me sens humilié au plus haut point. Mais au fond de moi, je suis heureux de cet avilissement. Je recommence même à bander.

— Ca y est, jai terminé, dis-je penaud, en restant à genoux, assis sur mes talons, la bite tendue.

La responsable vérifie mon travail. Satisfaite de son inspection, elle sapproche de moi et me donne deux magistrales gifles.

— Allonges-toi par terre ! Sur le ventre ! Dit-elle.

Je nose pas répondre et obéis encore une fois à son ordre. Elle sinstalle à califourchon sur moi de telle façon que mon cul soit sous ses yeux. Elle doit être très excitée car je sens lhumidité de son sexe qui repose sur mon dos.

La première claque marrache un cri non pas de douleur mais de surprise. Elle a décidé de me donner une fessée en publique. Elle ny va pas de main morte. Chaque claque sur mon cul me fait sursauter. Elle sacharne méthodiquement et avec force sur mes fesses et le haut de mes cuisses. Je ne peux pas retenir les larmes qui me viennent aux yeux. Pas plus que la formidable érection qui grossit mon sexe contre le sol.

Je ne sais pas combien de temps a duré cette fessée. Un temps interminable pour moi. Ma tortionnaire se relève enfin. Je sens que mon dos en trempé. Elle a du prendre son pied et jouir pendant quelle madministrait cette magistrale fessée.

— Maintenant, relèves-toi et dégages dici. Je ne veux plus te voir. Du moins pour aujourdhui. Dit-elle en frottant ses mains endolories.

Je ne réponds pas et me relève. Comprenant que la séance est terminée, les groupes de spectateurs se séparent en discutant et riant de ce quils viennent de voir, me jetant des regards goguenards, moqueurs, méprisants, dégoûtés et parfois envieux ou admiratifs. Je cherche des yeux la blonde et la brune. Elles se sont éclipsées avec mes vêtements et dans les poches de mon short, il y a mes clés dont celle de ma voiture et mon téléphone portable. Elles mattendent sans doute dehors pour admirer ma sortie. Je saisis mon caddie et sort donc du magasin en le poussant.

Ma voiture est garée assez loin des portes du magasin. Nu comme un vers, les fesses douloureusement cramoisies, je traverse le parking en cherchant des yeux les deux jeunes femmes. Ma nudité, exposée au soleil, attire lattention. Mes joues sont aussi rouges que mon cul. Jai honte. Je me sens ridicule. Mais paradoxalement, je suis vraiment excité et je ne peux pas contrôler mon érection. Je bande comme un âne.

Je suis maintenant à côté de ma voiture, tenant la poignée du caddie telle une bouée de sauvetage. Ni la brune, ni la blonde ne sest manifestée. Un début de panique sempare de moi. Je ne vais tout de même pas rentrer chez moi à pied et à poil. De toute façon, je ne pourrais pas ouvrir ma porte dentrée puisque je nai pas mes clés. Elles mobservent peut-être de loin et font durer le plaisir. Je décide donc dattendre là, debout auprès de ma voiture, quelles viennent me rendre mes habits et mes clés. Je me demande ce qui me manque le plus. Mes clés ou mes habits ? De longues minutes passent, interminables et toujours rien. Dépité, jactionne la poignée de la portière conducteur. Et là, miracle, elle souvre ! Jai du oublier de la fermer à clé ! Si javais su, jaurais essayé plus tôt. Quel idiot je suis ! Cest avec soulagement que je mengouffre précipitamment à lintérieur. Je minstalle derrière le volant et ferme la portière. La douleur qui irradie mes fesses me rappelle la fessée mémorable que jai subie.

Que faire ? Je nai toujours pas mes habits ni mes satanées clés. Jallume une cigarette et réfléchis sans pour autant trouver de solution à ma fâcheuse situation. Au moins, je ne suis plus exposé aux yeux de tous.

La sonnerie de mon téléphone interrompt mes pensées. Que fait-il là ? Je suis sûr quil se trouvait dans mon short puisque jutilise une appli pour ma liste de courses. Une seule réponse à ça : Elles ont ouvert ma voiture pour y placer mon téléphone et ont pris soin de ne pas verrouiller les portes. Maintenant je suis certain quelles ne sont pas loin et quelles mobservent depuis ma sortie du magasin. Les garces, elles doivent bien samuser ! La sonnerie provient du vide poche. Je louvre et saisis mon téléphone en jetant un oeil à lécran pour voir qui mappelle mais le numéro est caché. Je réponds :

— Oui ?

— Salut, le jouet. Je ne reconnais pas la voix. Je mattendais en toute logique à entendre celle de la blonde ou de la brune.

— Bonjour. Qui est-ce ? Demande-je.

— Peut importe. On sest déjà croisé. Désormais tu mappartiens. Tu mas été donné par tes deux anciennes propriétaires. La voix féminine est douce et agréable tout en étant assurée. Tu ne dois pas poser de question, juste écouter et obéir comme tu sais si bien le faire. On est bien daccord ?

Mon esprit tourne à plein régime. Mes pensées se bousculent dans ma tête. Mon coeur cogne dans ma poitrine. De toute façon, je nai pas le choix. Cest elle qui doit maintenant détenir mes affaires en otage et je suis donc à sa merci. Les mots anciennes propriétaires et tu mappartiens me perturbent. Devant mon silence, la voix insiste :

— On est daccord ? Réponds !

— Oui madame. Dis-je en chuchotant.

— Je nai pas entendu. Parle plus fort.

— Oui madame.

— Parfait. Ecoute bien car je ne répéterai pas. Voici les premières règles que tu dois suivre. Tout dabord, tu mappelleras Maîtresse. Ensuite, tu obéiras immédiatement et sans hésitation à tous mes ordres. Si tu nes pas daccord, on arrête tout maintenant. Si tu acceptes, cest le début dune belle aventure entre nous. Que décides-tu, le jouet ?

Je ne sais pas dans quoi je mengage. Suis-je vraiment en train de vivre ça ? Jai toujours rêvé de me soumettre et de devenir un jouet sexuel et maintenant que loccasion se présente, ça me fait peur. Je suis sûr que ce nest pas une blague. Le ton de sa voix est déterminé. Je sais quelle ne plaisante pas. Et il faut que je donne une réponse, là, maintenant. Je réponds, mon coeur battant à tout rompre.

— Oui, Maîtresse, jaccepte.

— Jai failli attendre ! Dit-elle. Je ne veux plus dhésitation de ta part. Tu es vraiment certain daccepter ?

— Oui, Maîtresse. Certain.

— Parfait. Je nen attendais pas moins de toi. Dautres règles seront établies plus tard mais en attendant, tu fais tout ce que je te dis.

— Bien, Maîtresse. Tout ce que vous voulez.

— Surtout, tu gardes ton téléphone en main. Tu ne coupes pas la communication car cest tout ce qui nous relie pour linstant, toi et moi. Si ce lien se brise, cela signifiera la fin de notre relation. Maintenant, tu vas sortir de ta voiture, fermer la portière, ranger tes courses dans ton coffre et le refermer. Vas-y !

Jobéis sans attendre et me retrouve encore une fois nu au milieu du parking du magasin, tenant mon téléphone collé à loreille dune main, prenant garde de ne pas couper la communication et déposant mes courses dans le coffre avec lautre main. A peine ai-je refermé le hayon que la fermeture centralisée se met en action et verrouille toutes les portes, me privant ainsi du seul refuge que javais.

— Va ranger le caddie. Ordonne ma nouvelle Maîtresse.

Jobéis et pousse le caddie dune main en me dirigeant vers le point de regroupement le plus proche.

— Non ! Pas vers ceux-là. Dis-la voix dans le téléphone. Vas le mettre vers ceux qui sont à côté de la station service.

Toujours obéissant, je fais demi-tour et entame la traversée du parking. Bien évidemment, la station service se trouve à plus de deux cents mètres. Il y a vraiment du monde aujourdhui et je ne compte plus les regards qui se posent sur mon corps nu ni même les réflexions qui me sont adressées. Jarrive enfin à destination.

— Maintenant tu attends que quelquun vienne chercher un caddie. Tu lui donneras le tien.

Jattends donc plusieurs minutes, le téléphone toujours à loreille. Peu de monde vient déposer son caddie, sans doute parce que je suis là avec ma nudité. On me regarde sans trop vouloir approcher, tel un pestiféré. Certains se moquent de moi. Dautres minsultent de loin, me traitant de pervers, dexhibitionniste et menacent dappeler les flics. Je tente de mexcuser, dexpliquer que je nai pas le choix, que jy suis obligé.

Enfin ça y est. Une femme courageuse arrive près de lîlot à caddie pour en prendre un, osant approcher le monstre pathétique que je suis devenu. Au téléphone, ma Maîtresse mordonne de lui apporter mon caddie et me dicte les mots que je dois répéter avec exactitude.

— Bonjour madame. Je suis votre serviteur. Cest avec un immense honneur que je vous apporte ce caddie.

La femme me regarde avec stupéfaction, ses yeux marrons grands ouverts par la surprise. Non pas de me voir nu, ça elle la vu de loin et ne me quitte pas des yeux depuis un moment, mais parce que jose madresser à elle.

— Heu, merci. Dit-elle en semparant du caddie et en séloignant..

— Attendez, attendez madame. Maîtresse veut vous parler, lui dis-je en tendant mon téléphone.

La femme le prend en fronçant les sourcils.

— Allo ? … Comment ? … Je ne sais pas si je… Bon, daccord… Au revoir.

Durant la conversation, jai observé le visage de la femme qui est passé de létonnement à lamusement. Elle me redonne mon téléphone et sadresse à moi. Son visage est radieux.

— Ta maîtresse a raccroché, le jouet. Approche. Plus près. Encore. Ne bouge pas et bas les pattes ! Tu nas pas le droit de me toucher. Juste me laisser faire.

Toujours docile, japproche donc de cette femme, jusquà me retrouver contre elle. A mon grand étonnement, elle me prend dans ses bras et me serre très fort contre elle. Ses mains caressent mon dos et descendent lentement jusquà mes fesses quelle palpe sans ménagement. Jai bien du mal à ne pas la serrer aussi dans mes bras et la caresser en retour. Mais je nen ai pas le droit. Ensuite, elle passe une main entre nous pour saisir mon sexe déjà tendu et commence à me branler. Sa main est douce et ferme. Son autre main se pose sur ma nuque pour maintenir ma tête. Sa bouche vient à la rencontre de la mienne. Elle effleure ma bouche en un chaste baiser, puis la dame force progressivement mes lèvres avec sa langue venant à la rencontre de la mienne. Notre baiser devient plus passionné. Nos langues senroulent, nos salives se mélangent. Il dure longtemps. Suffisamment longtemps pour me faire oublier que je suis nu dans les bras dune inconnue sur le parking dun supermarché. Je suis super excité par cette situation. Jai envie de faire lamour avec cette femme qui affole mes sens. Elle aussi doit être excitée. Je suis sûr quelle mouille mais il mest interdit daller vérifier.

— Ta maîtresse ma demandé de te redonner de la vigueur. Dit-elle en me relâchant. Tu aimes ça le jouet ?

— Oui, madame. Jadore. Merci madame.

— Oui, je vois. Tu es en forme. Dit-elle regardant mon érection. Maintenant, voici les ordres que tu dois suivre à la lettre. Tu dois te branler pour maintenir ton érection. Tu vas rejoindre lautre bout du parking en marchant doucement, tout en louvoyant entre les voitures. Tu dois te montrer à un maximum de monde. Arrivé au bout, tu verras une voiture bleue avec une portière ouverte. Tu monteras à lavant, côté passager. Mais attention, avant de monter, tu devras fermer les yeux et surtout les garder fermés. Tu as tout compris ?

— Oui, madame. Jai bien compris.

— Alors, vas-y. Bonne promenade, le jouet. Dit-elle en me donnant une claque sur le cul en guise de top départ. On se reverra très bientôt. Ajout-t-elle.

Sans un mot, jempoigne ma queue et me branle doucement tout en méloignant de la femme et commence mon long périple avilissant entre les voitures stationnées. Obéissant, javance lentement, essayant dignorer les regards qui se posent sur moi et les paroles désobligeantes qui fusent de tous les côtés.

Je me sens humilié au plus haut point. Je suis très excité aussi, ce qui maide à garder une belle érection.

Ma promenade obscène touche à son terme. Jai terminé cette longue traversée du parking. Je bande toujours. Jai repéré de loin la voiture bleue. Cest la toute dernière voiture du parking. La porte avant, côté passager, est grande ouverte. Le soleil se reflète sur les vitres fumées minterdisant den voir lintérieur. La rencontre avec ma maîtresse est imminente. Diverses questions se bousculent dans ma tête. Qui est-elle ? Comment est-elle ? Que va-t-il se passer ? Que va-t-il marriver ? Est-ce réel ?

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