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Le jouet sexuel – Chapitre 2

Le jouet sexuel - Chapitre 2



Pour résumer, tout a commencé dans un supermarché. Dans une cabine dessayage, jai proposé à deux charmantes créatures de devenir leur jouet sexuel, chose quelles ont accepté sans hésitation. Je ne mattendais pas à la tournure quelles allaient donner aux événements. Le peu de vêtements que javais sur moi ma été enlevé, me laissant entièrement nu, honteux et excité, exposé aux regards de la nombreuse clientèle de ce magasin.

Elles mont donné en spectacle faisant participer certains spectateurs et spectatrices qui ont joué avec mon sexe pour mon plus grand plaisir. Alors quune responsable du magasin prenait son pied en madministrant une fessée monumentale, les deux jeunes femmes ont disparues, emportant mes affaires avec elles.

Une fois à lextérieur du magasin, jai suivi les ordres quune mystérieuse femme me donnait par téléphone. Me soumettant à ses désirs, jai parcouru de long en large le parking, toujours nu comme un ver. Jai du déambuler autours des nombreux véhicules tout en entretenant dune main une belle érection, tel un pervers exhibitionniste se branlant sous les regards, les insultes, les moqueries et les menaces des clients de ce supermarché. Pour finir, jai rejoins la voiture de cette femme.

Chapitre II. La rencontre. Ma préparation.

Conformément aux ordres transmis par une autre femme, qui a pris un grand plaisir à jouer les intermédiaires, je ferme les yeux et minstalle sur le siège passager, à lavant de la voiture. Je maintiens toujours mon érection en me branlant dun geste qui est devenu machinal. Le délicieux parfum qui envahit mes narines ne mest pas inconnu. Je suis troublé et jessais de me souvenir où jai pu déjà le sentir.

— Cest très bien, le jouet. Je te félicite. Tu as très bien réussi ta première épreuve, haut la main et pas que la main dailleurs à ce que je vois. Surtout, garde bien les yeux fermés. Pose tes mains sur tes genoux.

Toujours docile, jobéis immédiatement. La femme sort de la voiture. Un court instant plus tard, elle est de mon côté, hors de la voiture. Elle me passe un bandeau autours des yeux et sassure que je ne vois rien. Elle se penche ensuite sur moi pour boucler la ceinture de sécurité. Son parfum affole à nouveau mes sens. Elle ferme la portière et revient sinstaller derrière le volant.

La main quelle pose sur ma cuisse gauche me fait tressaillir. En silence, elle commence à me caresser. Dabord lintérieur des cuisses, là où la peau est le plus sensible. Ensuite elle parcourt lentement mon ventre et ma poitrine. Ses doigts, ne font queffleurer ma peau, tels des plumes qui embrasent tout sur leurs passages. Elle sattarde sur mes tétons qui se dressent comme ceux dune femme. Ses doigts progressent sur mon cou et ensuite sur mon visage, frôlant mes joues, ma bouche et mon menton. Faisant chemin inverse, elle parcoure maintenant mon corps avec ses ongles déclenchant des ondes qui électrisent mes sens. Ma verge palpitante est tendue, prête à accueillir ses douces caresses. Mais la femme en a décidé autrement. Evitant soigneusement tout contact avec mon sexe, elle met fin à ce doux supplice, créant ainsi un sentiment de frustration. Sa voix est chaude et douce lorsquelle sadresse à moi.

— Je sais ce que tu attends mais cest moi qui décide. Pour le moment, il faut quon discute. Mais pas ici. Je veux temmener avec moi. Tu peux refuser et dans ce cas, on ne se reverra plus.

Elle ma chauffé à blanc et la seule envie que jai, cest quelle continue de jouer avec moi. Je réponds donc sans hésitation, le coeur battant :

— Je suis daccord, Maîtresse. Emmenez-moi avec vous. Où vous voulez.

Sans répondre, elle démarre le moteur et commence à rouler. Les yeux toujours bandés, je me laisse conduire. Bercé par les mouvements de la voiture, je perds la notion du temps et le sens de lorientation. Pour finir, la voiture avance lentement sur des graviers qui crissent sous les roues. Un dernier arrêt et le moteur se tait. Durant ce voyage, aucun mot na été échangé et cest toujours en silence que la femme sort de la voiture.

La portière de mon côté souvre. Toujours sans un mot, la femme déboucle ma ceinture de sécurité puis me saisit par un bras, me faisant comprendre que je dois sortir du véhicule. Les graviers senfoncent douloureusement sous mes pieds mais je ne bronche pas. Elle me guide maintenant à lintérieur dune maison. La fraîcheur du carrelage apaise les morsures des cailloux. La femme lâche mon bras. Je nai aucun repère et je reste debout sans bouger. Quelques minutes plus tard, jentends un frottement sur le sol et je sens le contact dune chaise derrière mes genoux. Deux mains appuient sur mes épaules pour me faire asseoir et saisissent mes poignets pour les attacher derrière le dossier. Ensuite, cest au tour de mes chevilles dêtre entravées aux pieds de la chaise.

On retire mon bandeau. Je cligne des yeux, laissant mon regard sadapter à la lumière ambiante. Le soleil inonde la pièce au travers dune baie vitrée. Face à moi, de lautre côté dune table basse, se trouve un canapé. Jai un mouvement de surprise en voyant la femme qui y est assise. Ca y est, je men souviens ! Ce parfum que jai déjà senti auparavant et qui me trouble autant ! Cest celui de cette très belle femme élégante, celle qui était près de la cabine dessayage, dans le magasin et qui se trouve maintenant assise devant moi. Son expression, moins sévère que lorsque je lai croisée, mintimide toujours. Deux jeunes femmes la rejoignent sur le canapé. Ce sont mes deux premières rencontres, la brune et la blonde du supermarché.

Toutes les trois mobservent en silence. Je dois leur offrir un joli spectacle car être nu, attaché sur une chaise dans une maison inconnue, devant ces trois superbes femmes, me provoque une excitation que je nai jamais ressentie. Je nai jamais bandé aussi fort.

La femme qui ma conduit brise le silence.

— Bien. Tu tes présenté toi-même comme un jouet sexuel, mais de toute évidence, tu es un novice en la matière. En fait, ce nest quun fantasme pour toi. Jai raison ou pas ?

— Oui, cest vrai. Vous avez tout à fait raison.

— Tu tes montré très obéissant au supermarché et ça nous a donné envie de te découvrir.

— Pour ça, cest réussi. Je ne peux pas être plus découvert.

Ma réflexion fait mouche et les trois femmes éclatent de rire. Reprenant son sérieux, elle tente de reprendre la conversation.

— Et en plus tu fais de lhumour. Bon, continuons. Parle-nous de ton fantasme. Explique-nous comment tu vois la chose.

— Je vais essayer. En fait, jai toujours rêvé de me soumettre et de devenir un jouet sexuel quon utilise comme un objet de plaisir.

— Qui dit soumission, dit punitions. Tu acceptes les punitions ?

— Oui bien sur, mais je dois rester en état de marche. Jaccepte aussi les récompenses.

— Le fait dêtre ici devant nous est déjà une récompense. Est-ce que tu sais vraiment dans quoi tu tengages ?

— Javoue que non. En fait, moi aussi jai tout à découvrir. Dis-je en réprimant un rire. Je ne connais pas mes limites. Disons que je suis un jouet qui na jamais servi et qui doit être éduqué.

— Bon. Voilà ce que je te propose. Nous allons te tester. Te soumettre à diverses exigences. Tes limites se révèleront delles-mêmes. Nous allons nous charger de faire ton éducation. Acceptes-tu de te laisser guider ?

— Cest plutôt inespéré pour moi. Jaccepte volontiers.

— Mais attention ! Rien nest gagné. Ca ne va pas être facile pour toi. Un fantasme, cest une chose. La réalité en est une autre. Ca ne se fera pas en un jour. Si je vois que ça ne va pas, on arrête tout. De ton côté, tu peux aussi tout arrêter mais sache que se sera définitif. Sans possibilité de retour. On est bien daccord ?

— Oui Maîtresse. Jespère seulement ne pas vous décevoir.

— Bon alors voilà comment ça va se passer. Tout dabord, tu nous appartiens à toutes les trois et désormais, tu ne te donnes à personne dautre sans notre consentement. Ton nom reste Le jouet. Moi, cest Maîtresse Sandra. Elle (elle désigne la brune) cest Maîtresse Elodie et elle (elle montre la blonde) cest Maîtresse Valérie. A compter de maintenant, tu nous appelles par nos prénoms sans oublier le mot Maîtresse. Tu nous vouvoies et tu vouvoieras tous ceux quon te présentera. Jusque là ça va Le jouet ?

— Oui, Maîtresse Sandra. Et si je veux madresser à vous trois en même temps, comment dois-je vous appeler ?

— Tu diras, Mes Maîtresses. Bien. Ta seule volonté, dorénavant est de nous obéir et nous satisfaire. Nous te punirons si nous le jugeons nécessaire. Tu devras être disponible et te présenter à chaque rendez-vous quune de nous trois te donnera. Nous nexigeons pas de posture de soumis. Tu nes pas notre esclave. Seulement un jouet. Dans cette maison, tu resteras nu en permanence. Sauf ordre contraire, tu as le droit de parler et de texprimer. Par contre, tu ne dois pas nous couper la parole ou intervenir dans une conversation dans laquelle tu nes pas convié. En toute occasion tu te montreras respectueux. Pas dinsultes ni de gros mots tels que merde, putain etc… Un jouet ne décide rien et ne prends aucune initiative. Jaime bien retrouver mes affaires là où je les mets. Par conséquent, quand on ne se servira pas de toi, tu devras rester là où on taura laissé. Noublie jamais que tu es un objet. Un objet animé et vivant, certes, mais un objet quand même. Pour le moment, je nai pas dautres instructions. Est-ce que tout est clair pour toi ?

— Parfaitement clair, Maîtresse Sandra. Jai juste une question.

— On técoute.

— Il y a juste ma voiture qui me pose un problème. Elle est restée sur le parking du supermarché et

— Ne tinquiètes pas pour ça. Coupe Elodie. Je lai déjà ramené ici.

— Cest super. Merci, Maîtresse Elodie.

— Vous voulez ajouter quelque chose les filles ?

— Non, on va bien samuser. Dit Elodie.

— Comme des folles ! Ajoute Valérie.

— Bien. Dit Sandra. Acceptes-tu nos conditions ?

— Oui, jaccepte. Je suis entièrement à vous, mes Maîtresses.

— Parfait. Je nen attendais pas moins de toi. On commence maintenant et on te garde ici ce soir et cette nuit. Dit Sandra en se levant. Maintenant, je vais te rendre plus présentable. Ce ne sera pas du luxe, tu es plus sale quun cochon.

Voilà donc les présentations faites et les premières règles établies. Jai limpression dêtre pris dans un tourbillon. Tout va très vite et je narrive pas encore à réaliser que mes fantasmes se concrétisent. Je suis devenu le jouet sexuel de trois superbes femmes. Cest nouveau pour moi et jespère me montrer à la hauteur de leurs exigences.

Maîtresse Sandra me libère de mes liens et me conduit dans la salle de bain. Elle en sort aussitôt, sans un mot, me laissant seul devant le lavabo surmonté dun grand miroir, en tête-à-tête avec moi-même. Que dois-je faire ? Attendre sans bouger ? Est-ce que je dois me laver ? Selon les instructions, je ne dois pas prendre dinitiative. Je décide donc de me comporter comme lobjet que je suis désormais et de rester planté là où elle ma laissé dans lattente de son retour.

Elle revient quelques instant plus tard. Elle porte une sortie de bain en soie. Dans le miroir, je la suis des yeux. Elle passe derrière moi et se dirige vers la douche. Elle en manuvre le mitigeur et attend un instant que leau soit à une température quelle juge idéale. Elle dénoue la ceinture de son léger vêtement quelle laisse glisser sensuellement jusquau sol, dévoilant son superbe corps. Jen ai le souffle coupé. Je ne la quitte pas des yeux. Quest ce quelle est belle ! Elle entre dans la douche sortant de mon champ de vision. Je me tourne vers elle pour continuer de ladmirer. Elle me fait un signe avec son index.

— Viens me rejoindre, Le jouet. On va se laver mutuellement.

— Avec grand plaisir, Maîtresse Sandra.

Je la rejoins sous la douche, un grand sourire jusquaux oreilles. Lespace nest pas très grand et nos corps seffleurent, se touchent, sous la pomme de douche qui nous arrose. Elle ferme le robinet, mets du gel douche dans le creux de ses mains ainsi que dans les miennes.

— Je vais te laver et toi, tu me laveras en même temps aux même endroits.

Sans attendre ma réponse, elle commence par savonner mes épaules et mes bras. Ses gestes sont lents et doux. Comme elle le désire, je passe mes mains sur les mêmes zones de son corps. Ensuite, elle se colle à moi pressant ses seins contre ma poitrine pour frictionner mon dos avec douceur de haut en bas. Je fais de même, faisant glisser mes mains sur sa peau douce. Sa bouche frôle la mienne. Son parfum menveloppe, menivre. Elle descend ses mains sur mes fesses laissant ses doigts sinsinuer dans le sillon. La position nous colle encore plus lun contre lautre et mon sexe palpite contre son pubis. Jai envie delle. Jaimerais la baiser ici, debout dans cette douche. Mais je ne suis quun jouet et je dois me laisser faire, me laisser guider. Cest très difficile de ne prendre aucune initiative. Alors que je lui rends la caresse sur son beau petit cul, je sens un de ses doigts, lubrifié par le gel douche, pénétrer sans difficulté dans mon anus. Je mempresse de limiter, comme je dois le faire, mais avant que mon doigt ne la pénètre, elle repousse ma main dun mouvement du bassin et recule dun pas, mettant ainsi fin à cette merveilleuse étreinte.

Elle reprend le flacon de gel douche pour en enduire nos mains puis se met à genoux devant moi. Elle parcourt mes jambes, me les soulevant lune et lautre pour savonner mes pieds. Je me laisse faire, de plus en plus excité par ses mains qui se promènent sur ma peau. Alors que ses lèvres sont à hauteur de ma bite, jespère quelle me prendra dans sa bouche mais malheureusement pour moi, elle évite soigneusement tout contact.

Sandra se remet debout. Sans attendre, je magenouille et entreprend de lui laver les jambes et ses jolis pieds manucurés, répétant ses gestes nonchalants. Ces superbes jambes sont longues et musclées, très agréables à toucher. Je mattarde plus quil ne faut sur lintérieur sensible de ses cuisses, caressant sa peau jusquau renflement de ses fesses. Maintenant, cest moi qui ai son sexe devant les yeux. Il est totalement lisse, sans aucun poil pour en cacher la vue. Jai une terrible envie dy porter mes lèvres mais je nose pas, redoutant la réaction de ma maîtresse. Je nai pas le droit de lui rendre une caresse quelle ne ma pas donnée. Je me remets donc debout, face à elle.

Elle se place aussitôt derrière moi et pose ses mains sur mon torse. Je sens les pointes de ses seins frotter contre mon dos, au rythme de sa respiration qui sest accélérée. La chaleur de son souffle caresse ma nuque. Elle déplace ses mains, me masse les pectoraux, caresse mon ventre. Même si ses gestes sont toujours aussi doux, il me semble quils deviennent plus appuyés et rapides. Par moment, le dos dune main frôle ma verge qui palpite de plus belle, réclamant désespérément des caresses que ces doigts agiles lui refusent.

Me saisissant les épaules, elle me fait faire demi-tour et dans le même mouvement, me tourne le dos. Elle se colle contre moi, laissant mon sexe se placer contre le sillon de ses fesses. Son excitation devient presque aussi palpable que la mienne. Mon visage effleure sa nuque et je suis envoûté par son odeur. Son parfum agit comme une arme fatale, envahissant mon nez pour atteindre mon cur qui bat la chamade me faisant perdre la tête. Sans attendre, je passe mes mains devant elle. Je la caresse comme elle la fait sur moi. Mes doigts fébriles glissent sur son ventre jusquà son pubis. Sans aller plus loin, je remonte mes mains le long de ses flancs puis saisis ses seins par-dessous et les palpes doucement. Je presse ses tétons dressés entre mes doigts, lui arrachant un soupir. Elle me laisse faire et lève la tête pour la poser contre mon épaule. Encouragé, je ne peux plus résister et promène mes lèvres sur sa gorge tendue. Involontairement, jondule du bassin insinuant mon sexe entre ses fesses. Elle creuse ses reins pour me faciliter le passage et je progresse lentement en direction de sa vulve.

Alors que jallais enfin la pénétrer, Sandra se ressaisis et se sépare brusquement de moi en faisant volte face. Sa respiration est rapide tout comme la mienne dailleurs. Sa bouche entrouverte, aux lèvres gonflées est très proche de la mienne et je me fais violence pour ne pas lembrasser. Troublée, elle me toise de ses beaux yeux verts.

— Tu nas pas le droit. Souffle-t-elle dune voix rauque. Jai dit pas dinitiative.

— Désolé, Maîtresse Sandra. Jai cru que vous vouliez. Que je pouvais

— Oui, non. Je sais plus. Coupe-t-elle en cherchant à reprendre ses esprits. Tes doué, tu as failli mavoir. Mais non. Ta préparation nest pas terminée. On va finir de se laver Chacun de notre côté.

— Bien, Maîtresse Sandra. Dis-je déçu.

— Tu as désobéi en prenant des initiatives. Tu as essayé de profiter de la situation. Tu auras donc droit à une punition. Elle essaie de maîtriser le ton de sa voix sans parvenir à le rendre aussi autoritaire quelle le voudrait.

Plus excité quinquiet par ses dernières paroles, je suis ses gestes des yeux. Elle enduit ses doigts dune sorte de crème, contenue dans un autre flacon destiné à la toilette intime. Elle écarte les jambes et porte sa main sur son sexe luisant. Sous mes yeux envieux, elle fait délicatement pénétrer deux doigts en elle et frotte en un doux massage. Je suis déçu de ne pas avoir le droit de terminer sa toilette et quelle ne finisse pas la mienne.

— Quest-ce que tu attends ? Vas-y, lave-toi. Me dit-elle en désignant mon sexe. Fais ça comme il faut et attention, je tinterdis de te branler.

Je mexécute et me lave consciencieusement la bite et les couilles en lui jetant des regards provocateurs.

Jai mal à force de bander. Cest inhumain de me laisser comme ça. Je termine par mes cheveux et mon visage en fermant les yeux. Je suis surpris par leau froide qui jaillit de la pomme de douche. Leau se réchauffe rapidement et nous nous rinçons longuement sous le jet. Inévitablement, nos corps se touchent dans létroite cabine de douche et ces brefs contacts affolent à nouveau mes sens. Et visiblement les siens aussi.

Brusquement, elle coupe leau, mettant ainsi un terme à cette délicieuse douche érotique. Sandra sort de la cabine et me fait signe de la suivre. Elle prend deux serviettes dans un meuble et men tend une que je saisis en effleurant volontairement sa main.

— Sèche-toi et ensuite va directement dans la cuisine. On nen a pas fini.

— A vos ordres, Maîtresse Sandra.

Sur ces mots, elle sort précipitamment de la salle de bain en entourant son corps avec sa serviette. Je messuie soigneusement et, toujours aussi nu, quitte la salle de bain.

Je traverse le salon sous les yeux dElodie et Valérie qui discutent en riant sur le canapé. Sans marrêter, jentre dans la cuisine. Elle est très spacieuse avec une baie vitrée qui donne sur un jardin. Au centre, entouré de plusieurs chaises, se trouve une grande table en bois massif qui mesure facilement deux mètres de longs sur un mètre de large. Je suis aussitôt rejoint par les deux jeunes femmes qui sont dhumeur joueuse.

— Hé bien voilà ! Lance Elodie. Il est tout propre, notre jouet.

— Oui, et en plus il sent bon maintenant. Réplique Valérie.

Les deux femmes me font tourner en me caressant et en me palpant. Leurs mains sont partout sur mon corps. Je me livre avec délectation à leur inspection minutieuse. Elodie saisis ma bite raide dans une main et la relâche aussitôt en sexclamant :

— Regarde ça, Valérie ! Elle na pas fini de le préparer.

— Mais cest vrai ! Quest-ce que vous avez foutu pendant si longtemps ?

— On a prit une douche, Maîtresse Valérie.

— Comment ça, on ? Tu veux dire que tu as pris ta douche avec Sandra ? Tous les deux ensemble ? Demande Elodie.

— Oui, ensemble.

— Maîtresse Elodie ! Me reprend-elle en me donnant une claque sonore sur les fesses.

— Maîtresse Elodie. Pardon Maîtresse Elodie.

Sandra fait son apparition dans la cuisine. Elle est vêtue de sa sortie de bain en soie. Par transparence, le soleil de cette fin daprès midi montre quelle ne porte rien dautre, la rendant encore plus désirable. Elle sadresse aux deux jeunes femmes.

— Ne vous fâchez pas les filles. En fait, jai failli me laisser avoir sous la douche. Il est vraiment redoutable. Du coup, je nai pas pu le finir toute seule. On va donc terminer sa préparation toutes les trois.

— Tu veux dire que tu as failli baiser avec lui ? Demande Valérie.

— Oui, Il sen est fallu de peu. Mais cest de sa faute. Il a essayé den prendre linitiative et on va le punir pour ça.

— Bravo, Le jouet ! On peut dire que tu commences bien. Dit Elodie.

— Et on lui donne quoi, comme punition ? Demande Valérie.

— Venez, je vais vous expliquer. Répond Sandra.

Elles sortent toutes les trois de la cuisine pour se mettre daccord sur la façon de me punir. Je reste debout dans la cuisine et attends sans bouger. Quelle punition vais-je bien avoir ? Et que veulent-elles dire par finir ma préparation, maintenant que je suis propre comme un sou neuf ? Elles vont mhabiller ? Ou me déguiser ? Me maquiller ? Je nen ai aucune idée et javoue que même si ça mintrigue, ce qui mexcite le plus, cest dêtre livré à leurs imaginations sans que jaie quoi que ce soit à dire. Je leur appartiens entièrement et elles font et feront ce quelles veulent de moi.

Les trois femmes reviennent dans la cuisine. Toutes les trois affichent un sourire malicieux et me regardent comme des lionnes qui observent leur proie. Sandra pose une sacoche près de lévier. Je me demande à quelle sauce je vais être mangé. Sandra et Elodie écartent toutes les chaises de la table. Sous mes yeux écarquillés, elles enlèvent le peu de vêtements quelles portent.

— Comme tu peux le constater, dit Sandra, nous sommes à poil. Et surtout, nous sommes sans poil.

— Notre peau est lisse, complètement imberbe. Tout partout. Reprend Valérie en tournant fièrement sur elle-même.

— Regarde, même ici. Dit Elodie en écartant bien les jambes pour me montrer son sexe tout lisse.

— Et ça va être la même chose pour toi. Allonge-toi sur la table. Ordonne Sandra, dun ton sec. Sur le dos.

Jobéis aussitôt et grimpe sur la table pour my coucher. Les trois femmes sortent des cordes de la sacoche et attachent chacun de mes membres à chaque pied de la table. Les cordes sont fortement tendues ne me laissant aucune possibilité de mouvement. Les bras et les jambes écartés, mon corps est entièrement offert à ces trois femmes décidément très attachantes. Au-dessus de ma tête, jentends Sandra me dire :

— Nous allons procéder à ce que nous appelons : Opération peau de bébé. Ton corps va devenir aussi lisse que celle dun bébé.

— Tout comme nous. Ajoute Elodie.

— Partout, partout. Ajoute Valérie. Ta peau va être toute douce. Comme la nôtre.

— Normalement, jaurais du te raser dans la salle de bain. Explique Sandra. Mais tu tes montré très Comment dire Très entreprenant. Du coup, javais les mains qui tremblaient et je risquais de te couper. Donc voilà, je tai promis une punition. Et pour te punir, on ne va pas te raser. On va joindre lutile au désagréable et tu vas avoir droit à une épilation complète à la cire.

— On va tarracher tous les poils. Dit Elodie en riant.

— Nest pas peur. Dit Valérie dun ton moqueur. Cest juste un mauvais moment à passer. Après tu va être tout beau.

Jai le cur qui cogne dans ma poitrine. Est-ce que ça fait mal ? Peut-être pas tant que ça. Après tout, elles sépilent bien, elles. Si elles le font, cest que ça doit être supportable. Je pense que ça ne devrait pas trop mal se passer et que je ne devrais donc pas trop souffrir. Ses pensées apaisent un peu mes craintes mais jappréhende quand même cette séance dépilation. Pourquoi Maîtresse Sandra a dit que ce serait ma punition ?

Elles ont fait chauffer de la cire au bain-marie et préparé des bandes dépilation. Elles saffairent toutes les trois et étalent soigneusement de la cire sur mes bras et mes jambes. Ça va. Ça brûle un peu mais supportable. Elles appliquent ensuite des bandes sur la cire en appuyant fortement et en frottant. La sensation est plutôt agréable et, ce qui ne gâche rien, elles moffrent le spectacle de leurs corps nus qui évoluent autours de moi. Jai limpression dêtre un seigneur qui se fait dorloter par ses courtisanes. La seule différence est que le seigneur que je suis nest pas libre de ses mouvements.

— Prêtes les filles ? Un, deux, trois !

— Aaaaaaaaaiiiiiiiieeeeeeeeeeee !

Ho nom de Dieu ! Putain que ça fait mal ! Jai limpression quelles viennent de marracher la peau des bras et des jambes. Je tourne la tête dun côté et de lautre pour voir la chair à vif de mes bras mais ils sont hors de vue. Je panique complètement. Je voudrais menfuir mais je suis immobilisé, obligé de faire face à mon supplice.

— Sil vous plait. Stop ! Arrêtez ! Ça fait trop mal.

— Allez, un peu de courage. Dit Sandra.

— Il faut souffrir pour être beau. Répond Elodie.

— Et puis on vient à peine de commencer. Ajoute Valérie.

Sandra se penche sur moi. Son parfum affolant menvahit de nouveau. Elle me dépose une légère bise sur une joue et me parle doucement à loreille :

— Laisse-nous finir. Quand tu seras totalement épilé, je te promets quon prendra du plaisir. Juste toi et moi. Après, ce sera avec les filles. Daccord ?

Devant une telle promesse, je ne peux pas refuser. Je suis vraiment envoûté par cette femme. De plus la douleur sestompe petit à petit. Je lui réponds en prenant le même ton quelle.

— Daccord, Maîtresse Sandra. Continuez.

— Bon, allez les filles ! Au boulot ! On ne va pas non plus y passer la nuit.

Elodie mintroduit dans la bouche son string roulé en boule. Une douce saveur se dépose sur ma langue.

— Cest pour ne pas tentendre crier. Jespère que tu aimes. Grâce à toi, jai mouillé comme une folle.

Je crois que je nai jamais autant regretté de voir mes fantasmes se réaliser. Je nai jamais eu aussi mal de ma vie. Elles mont épilé sans prendre de pose. Tout y est passé. Mes cuisses, mes jambes et mes mollets, mes bras et avant-bras, mes aisselles, mon torse et mon ventre. Elles ont même épilé mes doigts et mes orteils. Elles ont mis du cur à louvrage et visiblement, elles en ont pris un grand plaisir. Ma peau est devenue un immense brasier qui se consume sans fin avec des élancements qui attisent la douleur. Sandra retire de ma bouche le string dElodie.

— Ça va, Le jouet ? Tas vu, on a été vite. Cétait pour ne pas te faire souffrir trop longtemps.

— Jai connu mieux, Maîtresse Sandra. Ça me brûle partout.

— Ça va passer. Ecoute-moi bien. Maintenant, on va te détacher. Comme tu ten doute, on na pas encore tout à fait terminé.

Elles retirent les liens me libérant ainsi de la table et je massoie content de constater que ma peau, bien quendolorie recouvre toujours mes chairs.

— Mets-toi à plat ventre. Ordonne Sandra.

Jobéis, comprenant quelles vont épiler toute la partie arrière de mon corps.

— On ne va pas tattacher mais tu as intérêt à te laisser faire sans bouger. Daccord ?

— Oui, Maîtresse Sandra.

Elles reprennent donc sur mon dos ce quelles appellent : Lopération peau de bébé. Je serre les dents pour retenir mes cris. Mon dos et larrière de mes jambes sont maintenant épilés. Je suis fier de moi, jai résisté à la douleur sans me plaindre.

En passant un bras sous mon ventre, lune delles moblige à soulever mes fesses. Comprenant ce quelles veulent, je me mets sur les genoux en gardant le torse contre la table. Jécarte au maximum mes cuisses, leur offrant ainsi un accès total à mon cul relevé de façon obscène. Je sens la brûlure de la cire quelles étalent abondamment, réveillant les zones encore endolories par ma très récente fessée. Alors que quatre mains me maintiennent fermement en position, les bandes sont sèchement arrachées dégarnissant mon cul de tous ses poils. Je nai pas réussi à retenir mon cri tellement la douleur est fulgurante. Jai limpression que mon anus est parti avec mes poils. Vu les larmes qui sécoulent de mes yeux, je confirme que les poils du cul sont bien reliés aux nerfs optiques.

Mon côté pile étant terminé, je suis autorisé à me relever et à masseoir sur la table. De toute évidence, elles ont gardé le meilleur pour la fin. Les seuls poils qui me restent sont ceux de mon bas ventre et de mes couilles. Je ne me berce pas dillusions, je sais que je vais les perdre dans très peu de temps. Sandra prend la parole.

— Cest très bien, Le jouet. Maintenant, tu va tasseoir en tailleur et tu va bien écarter les cuisses. Pose tes mains sur la table derrière toi. Et surtout, tu ne bouges pas. Ça va être un peu douloureux mais je ne veux pas entendre un seul cri. Cest la dernière étape et pour nous cest la meilleure. Pour toi, cest la fin du supplice. On y va ?

— Oui, Maîtresse Sandra. Allez-y. Réponds-je courageusement

Je me positionne comme demandé. Elodie et Valérie passent chacune dun côté de la table pour maintenir mes cuisses largement ouvertes en appuyant sur mes genoux. Sandra étale un peu de cire sur mon pubis, nen recouvrant quune petite partie. Elle y colle une petite bande et tire dun coup sec. La douleur est vive et je sursaute en réprimant un cri, bouche grande ouverte. Les larmes qui envahissent mes yeux prouvent quil ny a pas que les poils du cul qui y sont connectés.

— Comme tu vois, jy vais progressivement. Ça fait durer le plaisir et ça fait moins mal que si jenlève des surfaces plus grandes. Dit Sandra dune voix douce quelle veut rassurante.

Concentré pour lutter contre la douleur, je ne réponds pas. Sandra continue mon épilation sexuelle. Malgré ses doigts qui manipulent ma verge et mes couilles, je ne bande plus du tout. Cette dernière séance a duré longtemps. Trop longtemps à mon goût. Le pire a été lépilation de mon périnée et de mon scrotum. Jai vraiment cru quelle mavait sauvagement émasculé. Jai même vérifié que mes attributs sexuels étaient toujours en place.

— Et voilà ! Opération peau de bébé terminée ! Sexclame Sandra, satisfaite. Tu peux descendre de la table. Et on dit quoi à tes maîtresses qui se sont bien occupée de toi ?

— Merci, mes Maîtresses. Dis-je en me mettant debout.

— Parfait. Ne bouge pas.

Valérie verse un peu du contenu dun flacon dans une de ses mains, aussitôt imitée par les autres. Elles enduisent entièrement mon corps de cette substance. Jai deviné quil sagissait dun baume apaisant et effectivement la fraîcheur du liquide calme le feu qui brûle ma peau. La vue de ses trois femmes nues, qui caressent mon corps, aide aussi à apaiser mes souffrances. Je mabandonne avec bonheur à leurs mains agiles, qui parcourent ma peau et allument un autre brasier en moi. Jai repris de la vigueur et présente à nouveau une belle érection quelles caressent chacune leur tour.

— Ça y est, tu es tout beau, tout propre et tout lisse ! Dit Elodie surexcitée.

— Tout doux aussi. Tu as une vraie peau de bébé. Surenchérit Valérie.

— On a fait de toi un beau jouet tout neuf. Ajoute Sandra. Maintenant, on va pouvoir samuser avec toi.

— Merci, mes Maîtresses. Vous êtes vraiment très belles aussi toutes les trois. Jai vraiment de la chance de vous appartenir.

— Allez, venez ! On va prendre lair dehors. Ordonne Sandra.

Nous sommes sur la terrasse. Toujours très attachantes, elles mont installé sur un transat auquel elles ont lié mes poignets et mes chevilles. Les deux jeunes femmes retournent dans la cuisine pour préparer des boissons. Sandra sassoie à califourchon sur mon ventre et se penche sur moi pour me parler doucement à loreille. Alors que ses seins caressent mon torse, elle ondule du bassin pour frotter sa vulve contre ma bite solidement dressée.

— Tu as été courageux, Le jouet. Je tai promis quelque chose et je tiens toujours mes promesses. Toi et moi, on va prendre du plaisir.

Sur ces belles paroles, elle pose ses lèvres sur les miennes et insinue sa langue dans ma bouche. Elle me donne un long baiser auquel je réponds avec bonheur. Elle se redresse et passe une jambe de chaque côté du transat à hauteur de mon visage.

La position, qui écarte largement ses cuisses, a pour effet douvrir sa vulve ruisselante de mouille à quelques centimètres de mes yeux. Plusieurs gouttes sen échappent sur mon visage juste avant que Sandra vienne coller son sexe béant sur ma bouche. Jaspire et avale avec gourmandise son sublime nectar puis, je rentre ma langue en elle, le plus loin possible. Elle a un goût fabuleux et son odeur affole mes sens. Sandra roule du bassin, frottant son clitoris contre mon nez sans décoller son sexe de mes lèvres. Je fais tourner ma langue dans son vagin en un baiser passionné. Jentends son feulement rauque alors quelle accélère le mouvement de ses hanches. Elle est prise dun premier orgasme suivit de près par un deuxième. Cest une vraie fontaine, ma bouche est envahie de son liquide intime que je bois avec délectation sans en perdre une goutte.

Sandra recule le long du transat jusquà ce que nos sexes se rencontrent. Mon gland franchit aussitôt ses lèvres vaginales et elle sempale dun coup sur moi. Ma queue est avalée par sa grotte brûlante. Complètement surexcitée, Sandra pose ses mains sur mes épaules pour prendre appuie et me chevauche au triple galop. Elle pousse des cris de plaisirs. Son visage est rayonnant. Jessaie de suivre le rythme avec mon bassin sans y parvenir mais mes liens entravent trop mes mouvements pour me permettre de suivre sa cadence effrénée. Je me laisse donc chevaucher passivement. Elle me viole littéralement. Ses fesses claquent violemment sur mes couilles stimulant mon plaisir que je tente, tant bien que mal de retarder. Jai été sollicité sexuellement toute la journée, de diverses manières, sans avoir pu me soulager et je suis au bord de lexplosion. Sandra ne marque aucune pose, pas même un ralentissement pour me permettre de retarder mon éjaculation imminente. Sans prévenir, un raz de marée nous submerge. Un violent orgasme lenvahit, lui arrachant un cri phénoménal. Je sens les muscles de son vagin se contracter autour de ma bite me faisant jouir en elle en de longs spasmes libérateurs. Sandra sécroule sur moi, haletante. Je sens son cur résonner contre le mien au travers de sa poitrine. Je regrette de ne pas pouvoir lentourer de mes bras et la serrer délicatement contre moi. Nos bouches se joignent, mélangeant nos souffles rapides en un baiser ardent.

Elodie et Valérie, alertées par le cri de Sandra se précipitent sur la terrasse. Comprenant ce qui vient de se passer, Elodie, mécontente, sadresse à Sandra avec un ton plein de reproches :

— Cest pas cool, Sandra, taurais pu nous attendre quand même !

— Cest vrai ça, ajoute Valérie. On a dit quon soccuperait de lui toutes les trois ensembles !

— Désolée, mes chéries, mais javais trop envie. Cest de sa faute à lui. Il ma trop chauffée tout à lheure dans la douche.

— Maintenant, je suppose quil va falloir attendre quil reprenne des forces.

— Je ne crois pas, non. Daprès ce que je peux sentir, il a encore de la vigueur.

Effectivement, je nai pas débandé. Il faut dire que la situation y est pour quelque chose : Sandra, toujours couchée sur moi, ma gardé en elle et ses muscles vaginaux ont encore quelques spasmes autours de mon pénis. Son parfum, mêlé à sa transpiration forme un cocktail grisant qui affole mes sens. Et la vue de ces trois très belles femmes nues attise mes envies.

— Tu peux nous le laisser ? Demande Elodie. Tu as eu ta part et maintenant, cest à nous den profiter.

— Exactement ! Enchaîne Valérie. A nous de jouer avec lui.

— Daccord, daccord. Ne vous fâchez pas. Je vous le laisse. Je vais voir des amis que jai envie dinviter ce soir.

Sandra se lève et quitte la terrasse, me laissant avec mes deux jeunes maîtresses. Elles sont debout de chaque côté du transat qui me retient prisonnier. Elodie sadresse à moi :

— Tu vois, Le jouet, on nest pas contentes. Sandra nous a dit que cétait de ta faute si elle ne nous a pas attendu. On va donc te punir.

— On va se venger sur toi. Poursuit Valérie. Mais on préfère te détacher et que tu que tu te soumettes à nous de ton plein gré, en étant libre de tes mouvements.

A suivre

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