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"Le piège" – Chapitre 8

"Le piège" - Chapitre 8



Pendant le déjeuner, ma femme se conduisit comme une épouse modèle… il semblait qu’il ne s’était rien passé durant la nuit !

Pourtant chacun connaissait la mauvaise conduite de l’autre…

" Ah au fait, j’ai invité tes copains en milieu d’après-midi… il vaudrait mieux que tu ne sois pas là. Néanmoins, comme je subodore que toute cette histoire te fait bander à en crever, j’aimerais que ce soit toi qui prennes la place de tes voyeurs de copains… derrière le gros buisson à 10 mètres de la piscine. Amusant non ? Il y a quelques jours, tes copains jouaient le rôle de voyeur et toi tu me baisais… et maintenant, c’est l’inverse ! Je suis sûre que tu vas adorer ça mon chéri !

Ça te plaît tout ça, hein espèce d’ordure ! Tu m’as trompée, tu es allé dire à tout le monde que j’étais un mauvais coup… mais je vais prouver à tout le monde que non ! Je vais me venger espèce de connard ! Tu en bandes déjà, de m’imaginer recevoir tes copains à moitié à poil, avec une tenue de pute, comme tu aimes tant que je sois attifée ! Guêpière, porte-jarretelles, et la chatte à l’air… tu aimes ça hein ? Hé bien tu vas te régaler, je vais me faire baiser et enculer, jusqu’à plus soif et toi, tu seras là à 15 mètres, tu verras tout, tu pourras te branler, en regardant ta petite femme se faire souiller comme une pute. Ah, tu m’as prise pour une femme frigide, je vais te prouver que je suis meilleure au lit que ta copine Simone… celle avec qui tu as tant pris ton pied ! D’ailleurs, je vais demander à Ruiz qu’elle participe un de ces jours…ça te plairait de me voir baiser avec une autre femme… c’est ton fantasme ça ? Hein, me voir lécher la chatte d’une gonzesse !

Tu m’as poussée à la luxure… tu vas voir jusqu’où je suis capable d’aller ! "

Ainsi fut fait… mi-excité, mi-défait par la tournure de la situation qui m’échappait totalement, j’attendis dans la cachette, que les trois gougnafiers viennent une fois de plus profiter des charmes de mon épouse ! Ils ne mirent pas longtemps à apparaître, fiers et joyeux !

Cécile les attendait, elle avait sorti le grand jeu ! Guêpière blanche, bas résille blancs, très maquillée, rouge à lèvres carmin, crayon noir autour des yeux, elle ramenait un gros pack de bières de 24, pour les trois hommes attablés sur la terrasse, près de la piscine. Bien évidemment, quand elle posa le pack qu’elle tenait devant son bassin, chacun put s’apercevoir qu’elle avait le pubis dénudé.

Elle se baissa pour prendre des canettes, qu’elle distribua aux hommes, pendant que Ruiz lui posa la main en coupelle sous son abricot, et que le gros Alban prenait possession d’une fesse, de sa grosse main calleuse.

Alors petite salope, ça t’excite de te balader la chatte à l’air entre nous ?

Dommage qu’elle se soit rasé la touffe, moi j’aime bien un peu de poils !

Oui, mais regardez un peu comme ça mouille, une salope pareille, et ses nibards petits, mais aux tétons si dressés.

Et son cul ? Tu aimes prendre les grosses bites dans ton cul, pétasse de bourgeoise ?

On va t’enculer chacun notre tour, tu vas voir.

Je mouille comme tu peux t’en apercevoir ! Bon, j’ai envie de me faire prendre un peu ! Eh oui, je veux vos grosses queues dans tous mes trous de pute ! leur répondit fièrement ma charmante épouse ! "

Cécile sans aucune pudeur, se baladait presque nue, la chatte à l’air, devant les trois goujats et répondait avec le sourire à toutes leurs allusions graveleuses. Où était donc passée la petite bourgeoise féministe bien éduquée et cultivée ? Je ne voyais de loin qu’une fille de joie, une fille à soudards… et c’était ma femme ! Entre dégoût et excitation, je voyais bien que le jeu allait beaucoup trop loin. Mais comment revenir en arrière et la tirer des griffes de ces malotrus, à qui elle allait se donner sans vergogne !

Entre bouteilles de bière décapsulées et très vite bues, Cécile passait de main en main entre les trois hommes qui lui caressaient les cuisses, les fesses et le sexe. Chacun leur tour, ils la prenaient sur leurs genoux, la doigtant généreusement au passage. Alban qui buvait sa bière, lui fit ouvrir grande la bouche, après lui avoir roulé un palot bien baveux, et déversa dans son gosier une quantité de bière assez importante. Cécile ne buvait pas, ne supportait pas l’alcool, et je me disais que le résultat n’allait pas être beau à voir, entre l’ivresse et la surexcitation sexuelle qui s’était emparée d’elle.

Ruiz l’avait prise sur lui et lui ayant ouvert bien grandes ses cuisses, et rabaissé la guêpière, avait une main qui pinçait les pointes des seins et l’autre, les doigts en plat de karaté, la limait joyeusement. Lucien lui, lui vidait des canettes de bière dans la gorge. Cécile jouissant, buvant, rigolant, avalait de travers et recrachait une partie du breuvage. Mais elle commençait déjà à perdre pied. Le gros Alban s’avança, ouvrit sa braguette et baissa son pantalon :

Allez, viens me sucer ma grosse queue, salope et t’avales tout comme hier !

La prenant par les cheveux, il la fit s’agenouiller devant lui, et sortant un sexe de fort belle facture au gland très épais, le fit pénétrer dans la bouche qu’il ouvrait de son autre main. La gorge fut si profonde que Cécile manqua de vomir, peut-être était-ce aussi dû à l’hygiène, plus que douteuse du malabar ! En tout cas, ayant récupéré son souffle, les deux mains sur le braquemart, ma femme suçait le gros porc avec application…

La scène était vraiment obscène, mais au-delà du dégoût qu’elle m’inspirait, l’excitation sexuelle était là. Je ne pouvais me mentir à moi même, je prenais plaisir à la scène de l’avilissement sexuel de mon épouse. La honte n’était pas plus intense que l’érection monstrueuse, qui déformait mon pantalon et m’obligea à sortir ma verge, que je commençai à masturber… en un sens, j’avais envie de participer à la curée, et avilir encore un peu plus ma femme, en même temps que les trois malotrus.

Je sentais que ma femme, sous peu, me ferait assister à ses séances de dévergondage, pour me faire honte, pour m’humilier, moi le mari cocu et content de l’être. Mais après qu’elle se serait aperçue que la chose ne me gênait guère, je savais qu’elle me demanderait de participer à son avilissement, ainsi elle se sentirait encore plus pute et dégradée : la pute des trois malotrus, mais en plus la pute de son mari.

Ce que je redoutais et espérais en même temps, c’était l’escalade. Cette jouissance que les trois morveux procuraient à ma femme, au travers des immondices de luxure qu’ils lui feraient traverser, ne la comblerait jamais assez. Si je ne demandais pas grâce, si je ne demandais pas pardon, pleurant devant elle, m’excusant de l’avoir poussée à cette ignominie, alors elle irait toujours plus loin… la chose me terrifiait, mais j’étais très curieux de savoir quelles limites elle était capable de transgresser ? Concept à la fois épouvantable, mais tellement excitant.

Après tout, si Madame demandait à être souillée, pourquoi ne pas céder à ses désirs les plus secrets et les plus pervers ? Ceux que l’on n’ose même pas évoquer avec son psychiatre …

Pour le moment, je regardais ma femme finir de sucer le gros Alban, qui éjacula bruyamment dans sa bouche.

Bon, allez, assez sucer Alban, foutez-la couchée sur la table, j’ai envie de la baiser, moi !

Alban et Lucien soulevèrent ma femme comme un fétu de paille, le visage barbouillé de sperme, dont un filet s’écoulait de sa bouche de pute ! Et ils la disposèrent sur le dos, cuisses écartées, chatte grande ouverte à disposition des trois mâles. Lucien prit la canette de bière et en versa le contenu généreusement, sur les seins et le ventre de Cécile… le liquide lui coula sur le sexe, engendrant de gros éclats de rire de ma fidèle épouse…

Ruiz se mit à genoux entre les jambes de ma femme, et lui lécha généreusement la bière sur ses nymphes découvertes. Cécile lui prit la tête entre ses mains qu’elle força sur sa chatte, tandis qu’elle commençait à gémir bruyamment !

Puis Ruiz se remit debout, et d’un grand coup de reins, pénétra ma femme, qui criait littéralement sa jouissance… il éjacula très vite en elle, tout de suite remplacé par ses deux collègues.

Ma femme n’arrêta pas de jouir pendant ces accouplements sauvages et sans douceur… c’était exactement le genre de choses qui lui plaisait, à la voir ainsi jouir…

Puis, alors que les trois hommes commençaient à se rhabiller, ma petite femme chérie leur fit une annonce incroyable :

Bah alors, y a personne qui vient m’enculer ?!

Et joignant l’acte à la parole, Cécile se retourna et se posa sur le ventre contre la table, les cuisses toujours bien écartées, pieds reposant sur le sol. Elle écarta alors de ses mains, ses fesses en grand, pour présenter aux trois mâles, son petit trou, qu’elle avait tellement envie de se faire défoncer sauvagement ! Jamais je n’aurais pu imaginer ma petite pute de femme, avoir un langage si ordurier, et se livrer à une pose aussi vulgaire et dégradante, mais si excitante aussi, en attendant l’intromission bestiale des trois sexes en érection…

Les trois hommes ne se le firent pas dire deux fois, et chacun leur tour, enculèrent joyeusement ma femme, avec force, gémissements et cris de jouissance de sa part !

Je restai caché à observer toute la scène, partagé entre dégoût et excitation très malsaine. Ma femme avait révélé sa nature profonde d’hystérique sexuelle, chose dont je ne m’étais jamais aperçu ! Qu’aurais-je donc dû faire, pour en profiter moi-même ? Mystère !

En tout cas par rapport à ce que je voyais, j’avais perdu la main… il serait extrêmement difficile de récupérer ma femme. Elle allait s’enfoncer dans des abîmes de luxure et de fornication. Il était évident que Ruiz et sa bande en feraient tout ce qu’ils voudraient ! Elle était devenue leur esclave sexuelle consentante… et moi un petit voyeur candauliste, qui s’excitait à voir sa femme se faire prendre de toutes les façons possibles, par ces mecs ! Pas très glorieux tout ça ! J’étais, ou plutôt, nous étions tous les deux tombés dans le piège tendu par Ruiz… je n’avais rien vu venir !

En l’occurrence, voir ma femme en vidéo, se faire baiser aussi brutalement était déjà quelque chose… mais là, la voir se dévergonder sans pudeur sous mes yeux en était une autre… elle avait perdu tout sens moral !

Comment la tirer de ce mauvais pas ?

Une fois les "agapes" terminées, les quatre fornicateurs s’en allèrent… ce nétait pas du tout prévu au scénario.

J’allais irrémédiablement perdre toute possibilité d’intervenir si les choses tournaient mal !

Après, qu’auraient-ils pu lui faire de pire ? La violer ? L’enculer, la baiser à plusieurs, pendant toute la nuit ? Se faire sucer ? J’avais envie de rire !

Même si Ruiz invitait d’autres potes à lui, pour baiser ma femme, ce qui n’était pas exclu, celle-ci n’aurait que ce qu’elle méritait ! Après tout, elle était majeure et vaccinée, consentante, elle connaissait les hommes, leurs vices et leur libido débordante ! La seule chose que je lui souhaitais, c’était de rentrer à la maison, souillée comme une pute passée à l’abattage, les jambes arquées, et qu’elle ne puisse plus s’asseoir pendant une bonne semaine…ça lui remettrait les idées en place !

Mais quand ayant attendu 10 minutes qu’ils soient vraiment partis ; après avoir entendu le moteur très sonore de la voiture pourrie d’Alban, qui emmenait ma femme vers une destination inconnue, je trouvai un papier à mon attention, je ne riais plus du tout !

" Salut connard, on emmène ta charmante épouse à la ferme du père Auguste. Je suis certain qu’elle va encore découvrir des choses sur sa sexualité pour le plaisir de tous ! A +.

Signé Ruiz "

Ah oui, pensais-je, soudain redevenu très humble et philosophe, ça peut toujours être pire ! Car que trouve-t-on dans une ferme…

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