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Le récit de ma vie – Chapitre 13

Le récit de ma vie - Chapitre 13



Chapitre 10 Tendre Elvina

Un après midi, Elvina m’avait invité à passer la voir chez ses parents. C’est ainsi que j’ai rencontré sa famille, des gens aisés, qui habitaient une jolie maison. Après m’avoir présenté nous avons partagés un verre sur leur terrasse, en compagnie d’amis de la famille. Après être restés un petit moment avec eux, Elvina m’a fait signe de prendre congé, et m’a emmené dans sa chambre.

Nous avons longuement discutés des événements de ces derniers mois, notamment la soirée post-résultats, qui l’avait réellement troublée, et excitée. Jamais elle n’aurait pensé se faire lécher par une fille, exposée sur la table d’une amie, et pourtant depuis elle ne rêvait que de recommencer. Je vous avais déjà dis qu’elle était toujours vierge, seulement avec ses 19 printemps, elle avait maintenant une très forte envie de sauter le pas et d’aller plus loin que les caresses. Seulement sa timidité avec les hommes ne lui permettait pas de faire beaucoup de rencontres en dehors de son cercle d’amis.

Dans le même temps, elle connaissait mes sentiments pour Mélissa, et ce qu’on avait fait ensemble lors de l’après midi piscine la mettait mal à l’aise. Autant elle avait apprécié le fait de savoir mon attirance pour elle (c’est comme ça qu’elle avait interprété le fait que j’avais fouillé dans ses affaires ce jour là), autant elle se sentait mal de savoir que je n’avais pas autant de sentiments pour elle que pour Mélissa, et qu’elle avait l’impression de me voler à son amie. Nous avons beaucoup parlé, et je lui ai rappelé que depuis maintenant plusieurs mois que je draguais Mélissa, elle ne s’intéressait pas à moi (maintenant on aurait dit que j’étais en « friendzone » , mais je ne sais pas si ce terme existait déjà à l’époque), et donc qu’en aucun cas elle ne devait avoir de regrets pour le peu qui s’était passé entre nous. C’est vrai quoi, je ne trompais personne, j’étais toujours célibataire.

Je l’ai rassuré jusqu’à ce qu’elle intègre le fait qu’il était normal pour deux célibataires de se chercher, et normal pour une fille d’avoir peur et en même de vouloir faire sa première fois, et qu’il valait mieux le faire avec quelqu’un de confiance. Finalement, je l’ai convaincue puisque c’est elle qui s’est penchée vers moi pour m’embrasser.

Après ça, tout c’est passé sans paroles, sans réflexion. Nos langues ont rejoint nos baisers, et nous avons joué avec elles. Tout en l’embrassant, je l’ai allongée sur son lit, en m’allongeant près d’elle. Mes mains caressaient son dos et son visage avec tendresse. Nous sommes restés un long moment comme ça, se découvrant petit à petit. Puis je lui ai retiré ses lunettes. Elle était très jolie, avec ses yeux un peu bridés et son petit nez. Tout en la couvrant de baisers, j’entrepris de lui retirer son chemisier et sa jupe, découvrant de nouveau son joli ventre et ses jolies formes. J’avais très envie d’en voir plus mais je ne voulais pas non plus aller trop vite pour elle, alors je l’ai prise dans mes bras, et je l’ai embrassée encore et encore, pendant que mes mains exploraient son corps. Je l’avais déjà vue en maillot de bain, mais là je la découvrais très sexy, portant un ensemble culotte et soutien gorge assortis noir et blanc décorés avec de petits motifs en reliefs. Pas de dentelles, pas de transparence, mais la carte de l’étudiante chic était jetée, et j’avais très envie maintenant d’aller plus loin.

Sa peau était douce et lisse, et quand ma main a caressé ses fesses, j’ai pu apprécier leur fermeté à travers le tissu de son sous vêtement. Puis j’ai effleuré sa colonne jusqu’à atteindre les agrafes de son soutien gorge, et les ôter. Je l’ai allongé sur le dos, et l’ai aidé à se débarrasser de ce sous vêtement devenu inutile. Thomas ne m’avait pas menti, ses seins étaient magnifiques, de petites montagnes de forme pyramidales pointant vers le ciel. On aurait dit qu’ils refusaient l’attraction de la gravité. Avec douceur, je me suis mis à les caresser et les titiller avec le bout de ma langue. Elle semblait apprécier mes gestes. Après quelques minutes à alterner des caresses et des baisers de ses lèvres à ses jambes, j’ai retiré sa petite culotte, lentement. Elle s’est laissée faire, ce qui semblait encore un bon signe. Elle avait resserré ses jambes par réflexe, et je les ai écarté, tout en passant ma main sur son ventre, en descendant sur son mont de Vénus, sur ses grandes lèvres, jusqu’à bifurquer sur l’intérieur de ses cuisses. Je la mettais en confiance.

En m’allongeant entre ses jambes, j’avais une superbe vue sur ses lèvres intimes. Sa jolie chatte était presque intégralement épilée, seuls sur son pubis quelques poils subsistaient pour former un petit motif rectangulaire. Ses grandes lèvres étaient fermées, mais en passant un doigt sur elles, j’ai senti Elvina frémir, et en fin de course, le bout de mon index était humide. Avec ma langue, j’ai doucement effectué le même passage qu’avait fait mon doigt. Après plusieurs passages, ma langue avait écarté ses grandes lèvres, et avait maintenant un accès à l’entrée de son vagin. Elvina avait une très bonne saveur, sa cyprine était meilleure que la plupart des femmes que j’avais connu. Avec le bout de ma langue, j’ai essayé de toucher le plus loin possible les parois de son vagin, puis j’alternais en léchant ses lèvres, de bas en haut, mais aussi de gauche à droite pour varier les mouvements. Pas un millimètre n’était épargné. Elvina avait placé une main sur ma tête et me caressait les cheveux. Quand je me suis mis à jouer avec son petit bouton d’amour, je l’ai ressenti frissonner. Lentement d’abord, puis de plus en plus rapidement, je jouais avec lui, faisant tournoyer le bout de ma langue dessus, le léchant à pleine langue, ou alternant en léchant l’entrée de son intimité. Quand j’ai entendu sa respiration s’accélérer, je ne me suis plus concentré que sur son clitoris, jusqu’à ce que son bassin ait des tremblements et que sa main agrippe mes cheveux à m’en faire mal.

Pendant qu’elle récupérait, je l’ai couverte avec son drap, puis je me suis entièrement déshabillé sous ses yeux, avant de la rejoindre. Nous nous sommes câlinés de longues minutes encore, partageant baisers et caresses. Mon sexe érigé était plaqué contre son ventre, il me semblait brûlant contre sa peau pourtant chaude. À l’inverse, les magnifiques seins de la belle me semblait eux aussi très chaud contre mon torse. Avec ses boucles d’oreilles et son collier pour seuls habits, et cette innocence qu’elle sapprêtait à perdre, elle me faisait l’effet d’une drogue qui m’aurait maintenu éveillé près d’elle jusqu’au lendemain si elle s’était endormie.

Quand elle me sembla prête, j’ai glissé un peu plus dans le lit, de façon à ce que mon gland se présente à l’entrée de son puits d’amour. Tout en l’embrassant, je l’ai lentement pénétré. Quand j’ai buté contre son hymen, j’ai marqué un temps d’arrêt. Elle tremblait dans mes bras, mais son regard m’a convaincu de ne pas m’arrêter. J’ai forcé le passage en elle tout en l’embrassant. Je dû m’y reprendre à plusieurs reprises, car je ne voulais pas la pénétrer en une seule fois (peut être qu’elle aurait eu moins mal au final, mais comparer la perforation de l’hymen et le fait de retirer un pansement m’a toujours déplu : « un grand coup sec »…). Quand enfin je n’ai plus senti de résistance, je me suis laissé glisser jusqu’à buter au fond de son étroit vagin, qui se dilatait sur mon passage et menserrait pour ne plus que je reparte. Notre petite BCBG pas si innocente venait de concrétiser sa première fois. Lentement j’ai débuté des va-et-vient, de façon à habituer son corps à ma présence. Je n’augmentais le rythme que très lentement, laissant bien Elvina découvrir les nouvelles sensations que je lui faisais découvrir. Elle me caressait le dos pendant que mes lèvres parcouraient les siennes, son cou, ses oreilles… Nous avons sûrement fait l’amour dans cette position pendant au moins une heure. J’aimais sentir son souffle dans mon cou, être attentif à ses petits gémissements, à ses mains qui tressaillaient quand une vague de plaisir la traversait. Après énormément de temps, et alors que j’avais augmenté le rythme de mes coups de rein jusqu’à atteindre une fréquence correcte à laquelle j’étais habitué, son intimité encore serrée eut raison de moi, et plusieurs jets de sperme tapèrent contre son col, heureusement protégé par un préservatif.

Elle me demanda de rester pour la nuit, ce que j’ai bien sûr accepté. Nous avons évité autant que possible ses parents, en mangeant tard le soir, et en restant au maximum dans sa chambre. Elle m’avoua, alors que nous étions au lit l’un contre l’autre, qu’elle avait eut un orgasme. J’en fût très heureux. C’est orgueilleux me direz vous, mais au moins avait elle passé une bonne première fois, et c’était important, c’était mon amie.

Au matin la vision de ma jeune conquête en nuisette et en culotte réveilla une solide érection. Nous avons recommencé la même chose au matin. Pas de brouette japonaise ou de facial, mais beaucoup de tendresse. Ce coup ci son orgasme fût plus important, car je l’entendis très distinctement crier au dernier moment. Nous avions fait l’amour moins longtemps, maintenant elle pouvait supporter des va-et-vient plus violents, et une cadence plus rapide. Elle découvrait l’amour, celui dont nous sommes tous toujours en quête. Assouvir nos pulsions, c’est le meilleur plaisir qu’il nous reste dans nos vies pas toujours faciles.

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