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Le réveil des sens – Chapitre 4

Le réveil des sens - Chapitre 4



Un après-midi où ma fille était absente, je somnolais sur le canapé lorsque le carillon de la porte d’entrée retentit. Pestant contre l’intrus qui me dérangeait durant ma sieste je ne bougeais pas mais, la sonnette retentit à nouveau. Je me dirigeais donc vers la porte d’entrée en traînant la savate. J’ouvris.

    Sur le seuil se tenait une femme de mon âge, petite, boudinée dans une robe qui laissait voir ses nombreux bourrelets au niveau de sa poitrine très proéminente, ses poignées d’amour qui tenaient plus de la bouée de sauvetage, des hanches larges, un ventre qui retombait sur ses cuisses et des mollets très développés. Par contre son visage poupin était avenant et maquillé avec goût.

— Excusez-moi, madame X, je suis Madame Claudine Z, la mère d’Anne, l’amie de votre fille. Pourrai-je m’entretenir avec vous quelques instants ? Rassurez-vous je ne serais pas longue.

Je la fis entrer, la guida vers le salon et la fis asseoir dans le fauteuil situé face au canapé sur lequel je pris place. En s’asseyant, Claudine, fut surprise par le moelleux du fauteuil, basculant vers l’arrière, ses pieds quittèrent un moment le sol, ses jambes s’écartèrent, le bas de sa robe remonta et découvrit une partie de ses épaisses cuisses.

— Excusez-moi dit-elle en rabattant sa robe.

— Que me vaut le plaisir de vous rencontrer. Anne me parle souvent de vous (bien que cela ne fût pas la vérité).

— Vous savez combien ma fille et la votre sont très proches l’une de l’autre si proches que je me suis demandée si leur amitié n’avait pas débouché sur des sentiments plus intimes. Vous voyez ce que je veux dire ?

J’avais très bien compris mais je faisais celle qui tombait des nues.

— Non, je ne vous suis pas très bien. Qu’entendez-vous par sentiments plus intimes ?

— Et bien, expliqua-t-elle en rougissant, je pense qu’elles aient des relations plus charnelles qu’amicales.

— Vous supposez donc qu’elles sont homosexuelles ?

— Oui, dit-elle dans un souffle, c’est un mot que j’ai beaucoup de mal à prononcer.

— Et bien vous avez raison, ma fille m’a récemment avoué que Anne était, pour elle, bien plus qu’une simple amie.

— Cela n’a pas l’air de vous affecter ?

— Pourquoi devrai-je l’être ? Elles sont majeures et si cette situation les rend heureuses pourquoi devrions-nous nous opposer à leur bonheur ?

— Mais rendez-vous compte, faire ça avec une autre femme ?

— Elles sont jeunes, cette attirance n’est peut-être pas définitive. N’avez-vous jamais joué au docteur avec une copine ou une cousine ? Pour ma part je le confesse, j’ai connu mes premiers émois grâce aux caresses d’une fille et que j’ai eu un immense plaisir à lui rendre. Chez les garçons, je pense, c’est un peu le même schéma et ils ne deviennent pas tous homosexuels pour autant.

— Vous avez certainement raison. En effet j’ai découvert le plaisir sexuel par la masturbation en lisant une revue érotique que m’avait prêté une amie. Nous en avons parlé ensuite et, presque inconsciemment, nous avons échangé des caresses.

— Vous êtes mariée ?

— Je l’ai été mais je suis veuve depuis deux ans maintenant.

— Excusez-moi.

— Vous ne pouviez pas deviner, bien que je pense que vous auriez pu être au courant par l’intermédiaire de ma fille qui passe nombre de journées chez vous. Mais pourquoi me posez-vous cette question ?

— J’aimerais vous demander si, avec votre époux, vous aviez eu autant de plaisir qu’avec votre camarade ? Vous n’êtes pas obligée de me répondre si vous trouvez ma question trop indiscrète.

— Jusque maintenant je ne m’étais jamais posée la question. Je pensais qu’il n’y avait aucune comparaison possible mais, maintenant que vous me le demandez, je crois que les plaisirs au féminin étaient plus raffinés. C’était, en quelque sorte de très longs préliminaires qui n’aboutissaient pas sur une pénétration mais qui déclenchaient une délicieuse jouissance.

— Et au cours de toutes ses années de mariage vous n’avez jamais eu envie de revivre une expérience lesbienne ?

— Non ! tout le temps où mon mari fut à mes côtés je n’y ai pas pensé mais…

— Mais ?

— Mon veuvage m’avait conduit à oublier mon corps.

— Vous auriez pu rencontrer un autre homme ?

— M’avez-vous bien regardé Madame…

— Oubliez le Madame, étant donné la nature de nos confidences vous pouvez m’appeler Marlène.

— Moi c’est Claudine. Donc, avec mon physique j’avais très peu de chance de retrouver le prince charmant et draguer un homme simplement pour me faire simplement et vulgairement sauter, non, très peu pour moi. Je menais dons une vie d’abstinence jusqu’au jour où je me suis rendue compte que ma fille et la votre avaient des relations particulières ce qui m’a conduit à …, j’ai un peu honte de vous dire cela…

— Allez-y ! Lâchez-vous!

— Et bien je suis allée les espionner en collant mon oreille à la porte de la chambre de ma fille pendant qu’elles étaient ensemble et, ce que j’ai entendu m’a profondément troublé jusqu’au point d’avoir envie de me caresser en entendant leurs gémissements. Elles ont, sans le vouloir, réveillé mon corps.

— Vous parlez d’envie mais l’avez-vous réellement fait ?

— Oui…Oh, j’ai honte mais ce fut pour moi comme une renaissance.

— Et, depuis ce jour ?

— Je me caresse chaque jour. Croyez-vous que je sois devenue une femme, une mère dépravée ?

— Vous voulez mon avis ?

— Oui, vous êtes la première personne à qui j’ose en parler. Vous avez su me mettre en confiance. Si vous saviez combien cela me fait du bien

— Ma chère Claudine vous êtes une femme tout simplement, faite de chair et de sang et avec un sexe. Moi aussi, puisque nous sommes en confiance, je vais vous faire un aveu. Bien que mon mari soit toujours de ce monde, il m’arrive d’avoir des envies que je satisfais comme vous.

J’ai, bien entendu, omis de lui dire que mes masturbations étaient, comme pour elle, dues à la découverte de l’homosexualité de nos filles et que cela ne datait que depuis quelques jours seulement.

Claudine se dandinait sur son siège. J’étais certaine qu’il m’aurait suffit de la provoquer un peu pour qu’elle se fasse jouir, là, tout de suite, sous mes yeux. Il faut dire que mon excitation était certainement aussi forte que la sienne mais je résistais et imaginais rapidement un autre stratagème.

— Ma chère Claudine, je suppose que l’espionnage auditif des ébats de nos filles était intéressant, enfin suffisamment pour que vous éprouviez le besoin de vous soulager en les entendant jouir.

— Oui, je l’avoue. J’avoue que très vite mes doigts m’ont amenés à l’orgasme.

— Auriez-vous aimé aussi les voir ?

— Bien-sur, j’aurai aimé être une femme invisible, pour les regarder se caresser, se lécher.

    Claudine se dandinait de plus en plus sur son fauteuil aussi je lui fis rapidement une proposition avant qu’elle ne se branle, devant moi, oubliant toute la pudeur et la honte qu’elle avait manifesté quelque temps auparavant.

— Demain lorsque votre fille viendra rendre visite à Chloé, 10 minutes plus tard, vous viendrez chez moi.

— Je veux bien Marlène mais qu’elle excuse devrai-je invoquer lorsqu’Anne me verra.

— Aucune ! Vous trouverez le rez-de-chaussée vide aussi, c’est sur la pointe des pieds que vous monterez à l’étage et que vous vous dirigerez vers la chambre du fond.

— Mais qu’irai-je y faire ?

— Ce sera la surprise que j’espère vous plaira beaucoup.

Claudine prit congé.

— Surtout ne faites pas d’imprudence en voiture, lui dis-je en la raccompagnant à la porte d’entrée car se masturber ou conduire il faut choisir.

— Je vois que vous êtes perspicace ma chère Marlène de mon côté je parie que je n’aurai pas parcouru 100 mètres que votre main sera déjà dans votre culotte.

— Pari perdu, répondis-je en souriant.

— Pourquoi ?

— Parce que je n’ai pas de culotte.

Et, avant qu’elle ait franchi le seuil, je soulevais rapidement ma robe pour le lui prouver.

— Belle vision dit-elle, j’attends demain avec impatience.

    Le lendemain, à 14 heures, Anne arriva à la maison, saisit Chloé par la taille et l’embrassa passionnément puis se dirigea vers moi pour m’embrasser également. Je lui tendis la joue mais ses lèvres se posèrent très prés des miennes.

— Si nous allions écouter de la musique dit-elle à l’adresse de Chloé, j’en ai terriblement envie.

    Et, se tournant vers moi.

— Vous pouvez venir aussi, vous verrez que la musique à des effets vraiment bénéfiques sur le corps.

    Chloé emprunta la première l’escalier suivie d’Anne, je fermais la marche. La jupe d’Anne était si courte que je voyais la raie de ses fesses rebondies. Je ne pus deviner immédiatement si elle portait un string ou rien du tout ce n’est que sur le palier, quand elle se pencha légèrement, que j’aperçus sa moule exempt de tout sous-vêtement ce qui me fit sourire car, moi non plus, je n’en portais pas.

    A peine entrées dans la chambre, les filles se déshabillèrent en un tour de main et s’allongèrent sur le lit. Très vite, étendues côte-à-côte, elles entamèrent une masturbation effrénée laissant croire qu’elles n’avaient pas joui depuis des lustres. Chloé avait raison lorsqu’elle avait dit qu’Anne était hypersensible car elle se mit à jouir mais cet orgasme n’était qu’un encas car elle continua de plus belle à se branler.

    – Ca me vient, dit Chloé en me regardant, maman, s’il te plait, montre-moi, montres-toi.

    Devant cette supplique je ne pus que m’exécuter. Je m’installais sur le fauteuil d’où j’avais une vue simultanée sur le lit et la porte d’entrée que j’avais laissé entrouverte. Posant mes jambes sur les accoudoirs, robe relevée jusqu’à la taille, je leur offris la vision de mon intimité.

— Elle est belle ta chatte maman chérie, ouvre-la bien, passe ton doigt, oui comme cela. Regarde Anne, ma mère se branle comme une chienne en chaleur. Je vais venir, c’est trop bon et toi Anne ?

    Anne ne put répondre car elle jouissait, les doigts enfoncés dans sa chatte, le bassin soulevé, le corps en arc de cercle. Chloé la suivit aussitôt dans son délire. Quant à moi, je sentais le plaisir monter inexorablement mais ce ne fut que lorsque je vis apparaître la tête de Claudine dans l’entrebâillement de la porte que j’explosais.

    Je profitais que ma fille et son amie s’étaient installées en 69 pour regagner discrètement le palier. A quelques pas, adossée au mur, la jupe tirebouchonnée autour de la taille, la culotte au bas des jambes, Claudine s’astiquait la moule. A cause de ses grosses cuisses et de son ventre pendouillant, je ne voyais pas grand chose aussi me mettais-je à genoux et mes main écartèrent les masses de chair. Sa chatte était aux dimensions du personnage. Un mont de vénus très proéminent, des petites lèvres gonflées qui dépassaient entourant une longue fente. Deux doigts de Claudine avaient pris possession de son clito qui bandait telle une petite bite. Elle avait une chatte de branleuse et je mettais en doute ses confidences quant à sa soit disant chasteté forcée. Elle avait dû commencer à se caresser très tôt et à continuer pendant le mariage et encore plus une fois veuve. J’étais fascinée par l’agilité de ses doigts. J’aurai préféré la mener dans ma chambre mais je n’ai pas eu le courage de l’arrêter dans sa quête du plaisir. Heureusement je n’eus pas longtemps à attendre, un flot de mouille jaillit brutalement, une quasi éjaculation.

— et femme fontaine en plus, me dis-je.

Je ne la laissais pas souffler et l’entraînais dans ma chambre. 0 peine entrées nous nous sommes mises nues. Claudine avait une poitrine qui lui tombait sur le ventre. Je la fis monter sur le lit et la fit mettre à quatre pattes. Ses seins ballotaient sous elle et leurs tétons venaient frotter sur le drap. Je me plaçais derrière elle. Depuis que je m’étais remémoré mon aventure avec mon amie Audrey, j’avais une folle envie d’enfouir mon visage entre les cuisses d’une femme et là, enfouir était le verbe qu’il fallait. Claudine poussa une sorte hurlement quant ma bouche et ma langue explorèrent sa chatte. Je m’appliquais donc à la mener vers une nouvelle jouissance quand la porte s’ouvrit et lorsque nos deux filles virent le spectacle de leurs mères se gouinant, elles s’écrièrent d’une seule voix :

— Maman !

    Cette intrusion ne modifia en aucune façon notre comportement et je continuais à lécher la moule baveuse de Claudine. Je sentais qu’elle n’était pas loin de jouir quand, derrière moi, une langue faisait sur ma chatte, les mêmes gestes. Un rapide coup d’oil me permit d’apercevoir qu’il s’agissait d’Anne. Une idée saugrenue traversa mon esprit, je me reculais soudain faisant râler Claudine qui était sur le point de jouir et poussais Anne vers le cul de sa mère qui n’opposa aucune résistance et c’est elle qui l’amena à la jouissance.

    Anne tourna alors la tête vers Chloé et moi, la bouche encore toute couverte de la mouille de sa mère.

— Comment saviez-vous, nous annonça-t-elle, que ma mère et moi nous nous gouinons souvent.

    Ah les cochonnes, quels faux-culs ! Me dis-je, on leur aurait presque donné le bon dieu sans confession.

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