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Le Théâtre de l'Enclume – Chapitre 1

Le Théâtre de l'Enclume - Chapitre 1



Et si on ressuscitait Au Théâtre ce Soir ? (ou à n’importe quel moment de la journée, d’ailleurs). Un théâtre un peu spécial – faut-il le dire – où des artistes improbables, aux noms très évocateurs, viendraient nous parler de leur expérience dans un domaine qui leur est cher. Ce domaine est, en fait, une des catégories d’histoires chères au bon peuple d’XStory.

Prêts pour un premier essai ? Le temps que je retourne à ma place Allons-y !

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Le directeur du Théâtre de l’Enclume, Olivier Mégaleau, s’entretient avec Ernestine Brouteminoux, avant l’entrée en scène de cette dernière :

— Alors, Ernestine, vous êtes en forme ? C’est à vous que revient l’honneur d’inaugurer le tout nouveau Théâtre de l’Enclume ! Et, d’emblée, vous allez aborder un sujet délicat, bien qu’il soit très prisé des XStoriens : l’inceste.

— Je suis très heureuse d’avoir été choisie, d’autant plus que je peux me prévaloir de ma propre expérience en ce domaine.

— Justement, Ernestine, il n’a échappé à personne que vous avez un certain talent de polémiste, et que vous n’avez pas votre pareil pour remettre les gens à leur place. Je tiens donc à vous signaler qu’il n’est pas impossible qu’un militant du M.A.I. se soit glissé parmi les spectateurs.

— Le M.A.I. ? Qu’est-ce que c’est ce truc ?

— Le Mouvement Anti- Inceste. Un groupuscule très actif. Je voulais juste que vous le sachiez, Ernestine.

— Hum maintenant que vous me parlez de ça, Olivier, je crois savoir : son leader, ce n’est pas un type d’un certain âge, reconnaissable à sa longue chevelure et qui a toujours une clope au coin des lèvres ?

— C’est bien lui, Ernestine, Serge Bouviol, pour tout dire !

— Ah ! Je vois je vois il se fait appeler Sergueï, n’est-ce-pas ? Olivier, je peux utiliser le micro de scène ? Celui qui sert pour les annonces au public Justement, je voudrais en faire une à ce cher Serge

— Ernestine, je ne sais pas si je dois vous le permettre. Vous êtes parfois imprévisible

— Allons, Olivier ! Un bon mouvement, c’est juste pour lui dire un mot, au cas où il serait dans la salle.

— Bon, c’est la première, alors allez-y. Mais, je vous en supplie, Ernestine, du tact, de la retenue !

Ernestine s’empare du micro et le tapote pour savoir s’il est branché.

— Serge ! Si jamais tu te trouves parmi le public, écoutes-moi bien : tu n’as pas intérêt à ouvrir ton claque-merde ! Sinon, je descends et tu prends mon poing dans la gueule! C’est clair ?

Puis, un sourire de satisfaction sur les lèvres, elle repose le micro.

— Oh, non ! Ernestine, je vous avais dit du tact, de la retenue et vous donnez dans la provocation (il semble observer quelque chose). Au fait, Ernestine, en parlant de provocation  votre jupe, vous ne trouvez pas qu’elle est bien courte ? Et quand je dis bien courte, c’est un doux euphémisme. Ça ne vous gêne pas d’exhiber vos jolies jambes, de cette façon ?  Vous avez quelque chose dessous, au moins ?

— À qui le dites-vous, Olivier … C’est une exigence de mon fils il est fou de moi et me trouve bandante. Alors il m’a dit : « Maman, il faut absolument que tu portes cette jupe ; tu vas les faire tous bander et rien qu’à imaginer ça, je jute dans mon caleçon ! »

— Vous n’étiez pas obligée d’accepter, Ernestine. Vous êtes sa mère, tout de même !

— Vous ne le connaissez pas, Olivier. Sur un ton mielleux, il a laissé entendre qu’il pourrait me séquestrer, si je n’obtempérais pas

— À ce point, Ernestine ?

— Eh oui ! Ce petit vicieux savait que je n’aurais manqué pour rien au monde la première du Théâtre de l’Enclume.

— Bien, en tout cas vous allez faire une entrée remarquée. C’est qu’à votre âge, Ernestine, pour parler comme votre fils, vous êtes vraiment très bandante !

— Vous êtes un fieffé coquin, Olivier. S’il n’y avait pas mon fils

— Calmez-vous ! (il regarde l’horloge) Voilà, il est presque 20 h 30. Notre entretien est clos, Ernestine ! Votre public vous attend. Et n’oubliez pas la devise du Théâtre de l’Enclume : « Frappez fort ! »

Ils se lèvent. Olivier Mégaleau accompagne Ernestine Brouteminoux jusqu’à la petite porte qui donne sur la scène. Puis elle pénètre sur le plateau, tandis qu’Olivier, resté dans l’ombre, annonce au micro :

— Et voici celle que vous attendez tous : Ernestine Brouteminoux, la reine de l’inceste !

(Applaudissements nourris, tandis qu’elle se place devant le micro).

— Bonsoir, mes amis! Je suis très heureuse de me trouver ici, devant vous. Comme vous l’avez entendu, je m’appelle Ernestine Brouteminoux

(Des ricanements fusent dans la salle)

— Ah non ! Ah ça non ! Vous n’allez pas vous y mettre aussi ! Que je m’appelle Brouteminoux, ça vous fait marrer ? Et puis quoi encore ?

(Au premier rang un spectateur est secoué de rires)

— Alors, le blondinet grassouillet ? Oui, toi ! T’as fini de rire comme un crétin ? Tu veux que je descende ? Tu veux mon poing dans la gueule ?

(Les rires cessent)

— Bon, on va pouvoir commencer les choses sérieuses. Nous allons, vous et moi nous étendre longuement sur l’inceste. S’étendre c’est juste une façon de parler, hein ? D’abord, il y a plusieurs sortes d’inceste : mère/fils, père/fille, frère/sur Ici, nous aborderons celui qui me concerne au premier chef : mère/fils.

(Un titi se lève, un brin goguenard)

— Il a une grosse bite, le fiston ? C’est que les belles cochonnes de ton âge, ça les fait mouiller grave !

(Des spectateurs s’esclaffent)

— Toujours pressé, hein ? Aucune patience tu ne serais pas un «  Viiite-la-suite » ? Une espèce très répandue chez les Xstoriens, il me semble. Et je suis vraiment une belle cochonne ? Je suppose que c’est parce que je porte une micro-jupe et que je montre mes cuisses ?

(Des sifflements admiratifs fusent)

— Merci, mes amis ! Vos compliments me vont droit à la vulve je suis toute à vous !

(Les sifflements reprennent de plus belle)

— Merci, merci mais revenons au sujet qui nous intéresse. L’inceste mère/fils, ça commence souvent de la même façon : le père disparaît et aller savoir pourquoi, on ne pense jamais à le remplacer Pour moi, cela s’est passé ainsi :

— Il y a environ deux ans, alors que nous prenions le petit-déjeuner, mon mari me lance, tout en beurrant sa biscotte . (Deux spectateurs assis côte-à-côte, se marrent). Qu’est-ce que j’ai encore dit ? Attendez, laissez-moi réfléchir Putain, faut vraiment avoir l’esprit tordu pour imaginer un truc pareil ! Vous savez quoi ? Je disais, benoîtement, qu’il beurrait sa biscotte, et ces deux abrutis, je ne trouve pas d’autres mots, on traduit aussi sec : il malaxait sa zigounette ! Pff

(Le calme revient)

— Donc mon mari me lance : « Chérie, je mets les voiles ; je me tire aux Galapagos ! Je te laisse la maison, le gamin, tout, quoi ! » Galapagos ? Un moment j’ai cru que c’était en Grèce Ben, ça se termine par « os ». Quand j’ai su que c’était du côté de l’Équateur, et qu’en plus il y avait des tortues j’ai vite imaginé des choses je ne vous dis pas lesquelles, ce n’est pas le sujet du moment. Mais c’est qu’il est bel et bien parti, le bougre, et je me suis retrouvé seule avec mon grand fils.

Ernestine marque un temps d’arrêt :

— Au début, ça n’a pas été trop dur. Pour me « soulager » je lisais des histoires cochonnes sur XStory, et c’est comme ça que j’en suis venu à m’intéresser à l’inceste. Faut dire que les histoires d’inceste, ce n’est pas ce qui manque sur le site. Ça aurait même tendance à déborder, comme dirait Bouviol, qui n’est pas présent, d’ailleurs ; se serait-il dégonflé ? Et dans ces histoires, les fistons sont pourvus, disons-le tout net, de bites hors norme. Et je me suis pris à rêver : peut-être que Rocco, mon fils, abritait un gros calibre dans son slip ? Je désirais tant le savoir et chaque jour, je retirais, avec une certaine fébrilité, une feuille du calendrier. Il me tardait d’arriver à ce fameux 13 juillet ; ce jour-là, Rocco fêtait ses dix-huit printemps ! Quelle libération pour moi. Mais, très vite un doute me tarauda l’esprit : je ne me souvenais plus de l’heure laquelle il était né ! L’horreur Vous imaginez la honte : instiller le stupre et la fornication à Rocco, deux heures moins le quart avant ses dix-huit ans ?

Ernestine sourit de contentement :

— Alors, j’ai attendu le quatorze juillet. Ce matin-là, je suis allé prendre ma douche, en laissant, sciemment, la porte de la salle de bain grande ouverte. Une fois toute nue, je me suis attardée devant le miroir : je désirai à tout prix que mon fils voit sa mère à poil. Je me demandais si j’allais attendre longtemps encore, quand j’ai vu un ombre se glisser près de l’encadrement de la porte. Je me suis tripoté les seins et doigté ma vulve. Au moment où je suis entrée dans la cabine de douche, j’ai frissonné de plaisir : Rocco n’avait d’yeux que pour mon 95 c. Et il est resté là, tapi dans l’ombre, à se beur Merde, vous voyez ce que vous me faites dire ?

Ernestine se reprend :

— à se branler. Mais quand je suis sortie de la douche, il n’était plus là. Alors, j’ai remis ma nuisette avec le string assorti et je me suis dirigé vers la cuisine, espérant l’y retrouver. J’avais un peu plus de quarante ans, je mesurais 1, 70 m et je pesais 60 kg. Et justement, Rocco était là, en train de beurrer sa biscotte . Putain, le premier qui se marre, je lui fous mon poing dans la gueule !

Elle respire un bon coup :

— Il a levé les yeux sur moi, il était sidéré. Il a dit, avec des trémolos dans la voix : « Oh ! Maman, ce que tu peux être bandante ! J’étais très émue, rendez- vous compte, je faisais bander mon fils ! J’ai su que j’allais enfin pouvoir juger du contenu de son caleçon, quand il m’a dit : « Maman, tu veux voir ma bite ? Elle est toute dure pour toi. » Eh oui, il l’a dit comme ça, direct, sans aucune précaution de langage. J’ai honte de le dire mais j’ai, instantanément, inondé mon string, au point que ça dégoulinait sur mes cuisses. J’ai, timidement, murmuré un « oui » et il a baissé son truc Mama mia ! Un monstre ! Une colonne de chair qu’on aurait dit la colonne Vendôme !

Ernestine ferme les yeux un instant :

— J’ai repensé à la bite, en érection, de mon mari ce ridicule vermicelle de 16,5 cm de long et de 3,7 cm de diamètre ou de circonférence ? Je me mélange toujours les pinceaux. Si les dimensions sont si précises c’est que javais utilisé un pied-à-coulisse. Mais, alors, Rocco ! Sa bite était dressée comme un missile intercontinental au moment de la mise à feu. J’avais peur de mesurer ; quand je l’ai fait, je n’arrêtais d’ouvrir le pied-à-coulisse : trente-six centimètres et quatre millimètres et le diamètre : six centimètres et deux millimètres. J’étais abasourdie et je ne parle même pas des couilles : la taille d’une balle de tennis !

Elle affiche un sourire coquin :

— Mais comment c’est possible, un tel engin ? Que je lui ai demandé. Il m’a dit sobrement, qu’il avait vu des pubs sur Xstory, où l’on proposait des produits miracles pour avoir une grosse bite. Effectivement, le miracle avait eu lieu Maintenant j’avais un gros joujou à ma disposition. Mais ce que je voulais aussi savoir, c’était sa taille au repos. Dès que cela a été possible, il l’a fait. Oui « il » car en ma présence, il bandait en permanence. Résultat : dix-sept centimètres et trois millimètres. Si je n’avais rien remarqué jusque – là, c’est qu’il portait un genre de caleçon kangourou (avec une poche ad hoc pour ranger l’engin). Il m’a même laissé entendre qu’au repos, son engin était enroulé sur lui-même, façon langue-de-belle-mère et se déroulait suivant le même principe. Futé, le Rocco !

Ernestine s’interrompt un instant, rêveuse :

— Après ça, mon petit Rocco a dit, à la cantonade et à moi aussi, bien sûr- que sa petite maman allait être comblée il parlait de mes trous, bien sûr Il dit, parce que ça continue, bien sûr, qu’il a de gros besoins : alors il déverse ses litres de foutre dans tous mes orifices, comme on remplirait le réservoir d’une voiture j’adore sentir son pistolet gicler son foutre crémeux dans tous mes trous ça m’excite, vous ne pouvez pas savoir. De sentir la grosse pine de mon fils que ce soit dans mon con, dans mon cul ou dans ma bouche ça me rend folle, ça me fait mouiller je Ooooh !

Elle semble comme tétanisée. Puis elle se reprend :

— Les gars je crois que j’ai mouillé ma culotte

(Un concert de sifflements admiratifs, accompagné de trépignements de pieds, emplit la salle)

— Merci, mes amis, merci ! Pour tout vous dire, je ne sais plus si je suis amoureuse de mon fils, ou juste de sa gigantesque bite. Mais c’est un sacré baiseur, endurant, en plus. Il me défonce chaque fois qu’il en a envie Et moi, je mouille dès qu’il me dit : « Tu viens maman, on va baiser comme des fous ! » En plus, il est un peu macho sur les bords. Vous voyez ma tenue ? C’est lui qui a exigé que je vienne comme ça. Il m’a dit : « Maman, habille-toi comme une pute, tu vas tous les faire bander ! » Et j’ai accepté, vous vous rendez compte ?

(Le public entonne une chanson improvisée « Ernestine, c’est une pute » sur l’air des lampions)

Ernestine les écoute, sans broncher, puis :

— Les gars, faut pas pousser, quand même ! Encore que mon fils vous connaissez sa dernière lubie ? Il veut un enfant de moi ! C’est délicat et puis ça ferait une situation drôlement embrouillée « Imagine, que je lui ai dit, qu’on ait un fils ensemble. Pour toi, ce serait à la fois ton fils et ton demi-frère ; de mon côté, mon fils et mon petit- fils ». J’ai l’impression que, pour le moment, du moins, il a abandonné cette idée.

Elle semble rêveuse :

— Heureusement, je prends la pilule. C’est que je suis devenue accroc à son énorme bite. Il le sait, ce cochon et il n’hésite pas à m’envoyer des photos de sa très grosse queue depuis son smartphone, chaque fois qu’il se trouve hors de la maison. Et il a même été jusqu’à faire une photo artistique de son TGV (Très Gros Vit) qu’il a fait encadrer Maintenant, j’ai ça sur ma table de nuit : un cadre avec une gigantesque bite, la sienne, celle de mon fils. Ça me permet de tenir le coup et de mouiller beaucoup de culottes, du même coup !

(Des sourires apparaissent sur les visages des spectateurs)

— Et quand il rentre à la maison, c’est la fête ! Je suis déjà trempée rien qu’à l’idée d’avoir en main mon jouet préféré : la bite de mon fils. À peine est-il devant moi que je lorgne sa braguette. Et oui, que voulez-vous, je ne regarde pas plus haut. Mon regard est littéralement scotché par ça. Si bien que Rocco ne me demande plus si je vais bien, mais dans lequel de mes trous je veux sa bite ! Et quand il me ramone, quel délice ! De sentir sa gigantesque queue s’enfoncer dans mon trou de balle, tel le Simplon Express s’engageant dans le tunnel du même nom, ça me rend folle je mouille de partout . Les grandes eaux de Versailles, je vous dis ! Attendez un instant, mes amis, j’ai un cadeau pour vous.

Ernestine sort de scène pour y revenir aussi vite, avec un petit magnétophone en main :

— Vous allez entendre les effets du plaisir que la grosse queue de mon fils, Rocco, me procure.

Elle déclenche le magnétophone et l’approche du micro.

— OOOOH ! OUIIIIIIII ! RAMONE- MOI AVEC TA GROSSE BITE ! TU ME RENDS FOOOOOOOLLE ! J’ADOOOOOOORE ! TU M’EXCIIIIIIITES ! JE SUIS TA CHIENNE DE MAMAN ! MON FIIIIIIILS ! VAS- Y ! VAS-Y ! ENCUUUUUULE- MOI ! AAAAAAAARRRRRRRRRGGGGG ! JE VAIS JOUIIIIIIIIIR ! JE VAIS JOUIIIIIIIIIIIIIR !

(La bande son dure huit minutes, mais vous n’en aurez pas plus : je ne tiens pas à indisposer nos dévoués validateurs par une avalanche de borborygmes plus ou moins compréhensibles)

Quand Ernestine stoppe le magnétophone, le public, un instant sonné, ne réagit pas puis, c’est un tonnerre d’applaudissements. Mieux, voilà qu’ils se lèvent tous pour Ernestine-, et qu’ils lui font, comme on dit en franglais une standing ovation. Puis, tous entonnent l’air des supporters d’Ernestine :

                                                                               Ernestine c’est une coquine,

                                                                               Elle aime les grosses pines,

                                                                               Surtout celle de son fils Rocco,

                                                                               Qui la rend folle du ciboulot.

Elle écoute l’hymne, quasiment au garde-à-vous. Des larmes coulent sur son visage. Elle est très émue. Sa prestation est un triomphe. Quand le chant se termine, Ernestine annonce, des trémolos dans la voix :

— Mes amis, j’ai un dernier cadeau à vous faire !

Et devant son public ébahi, Ernestine fait glisser sa culotte sur ses chevilles, la retire et la prend en main. Puis, la faisant tournoyer :

— Qui veut ma culotte toute trempée ?

Et elle la lance sur les spectateurs. C’est la ruée et on manque de peu d’en venir aux mains : dame, une culotte trempée de la mouille d’Ernestine Brouteminoux, quel trophée ! Un certain Serge Bouviol regrettera d’avoir renoncé à venir au dernier moment Finalement, c’est un homme à la carrure de rugbyman qui brandit, triomphalement, la petite culotte (j’avais oublié qu’il faut dire « petite culotte » ) d’Ernestine.

Elle a droit, maintenant, à un triple ban, en guise de final. Puis, comme à regret, elle sort de scène, tandis que les spectateurs se lèvent et quittent la salle.

Olivier Mégaleau est là, qui l’attend :

— Oh ! Ernestine, vous étiez formidable ! Je n’espérais pas un tel succès !

Puis son regard se porte sur les jambes d’Ernestine :

— Hum ! Et dire que vous n’avez plus de culotte . Vous êtes une sacrée coquine, Ernestine !

Et, alors qu’elle passe devant lui, il lui met la main au popotin. Et elle, de répondre, tout en affichant un air mutin :

— Et vous un sacré coquin, Olivier ! S’il n’y avait pas mon fils

Fin de la première représentation. Les suivantes ne sont pas programmées à l’avance. Elles dépendront de mon imagination.

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