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Les 2 universitaires – Chapitre 1

Les 2 universitaires - Chapitre 1



Ma femme et moi possédons une maison 3 étages que nous avons achetée il y a 12 ans.

Après quelques travaux d’aménagement, nous l’avons transformée en kots pour étudiants.

(entre nous, c’est ce qui rapporte le plus)

Il y a 3 ans, j’avais rdv avec une jeune fille qui allait débuter ses études à l’Ulg (université de Liège) et

cherchait de quoi se loger.

Résidant à plus de 130km, il lui était plus facile de louer quelque chose près de l’université.

Avec ma femme, nous sommes allés lui montrer le kot.

Style petit studio avec douche et toilettes personnelles, ainsi qu’un coin-cuisine et un lit escamotable

(dans une armoire, il suffit d’ouvrir et de l’abaisser).

Malheureusement, le loyer que nous demandions ne convenait pas à son budget. Et il ne faut pas compter

sur ma femme pour en diminuer le prix !

Personnellement, vu la plastique de la demoiselle, j’aurai bien concédé un petit rabais.

Nous nous sommes quittés là et elle est partie assez déçue.

Le lendemain, vers 15h00, mon gsm a sonné et c’était à nouveau l’étudiante.

Elle insistait pour pouvoir louer notre kot en demandant si je ne pouvais vraiment pas

diminuer mes prétentions.

Rien que pour le plaisir de la revoir, je lui ai donné un nouveau rdv pour en parler.

Bien que ne pensant pas qu’il puisse se passer quelque chose, je m’y suis rendu seul

(sûrement mon sixième sens coquin).

Quand je suis arrivé devant mon immeuble, elle était déjà là. Encore plus jolie que le jour d’avant !

Elle portait une petite jupe courte, mais décente.

L’immeuble ne possède pas d’ascenseur et le kot est au 2ème étage.

Vicieux, je l’ai invitée à passer devant moi et me suis régaler d’une belle vue tout au long de notre escalade.

Arrivé dans la pièce, nous avons commencé à discuter sur le prix qu’elle acceptait.

Cela faisait quand même 110 euros de moins que ce que nous en demandions.

Tout en discutant, je ne pouvais m’empêcher de regarder ses délicieuses jambes.

Elle était assise presque face à moi, à peine 50 cm plus loin.

C’est alors qu’elle m’a surpris !

— " Nous pouvons peut-être voir si il n’y aurait pas un moyen de s’arranger" m’a-t-elle dit.

Et tout en parlant, mine de rien, elle a remonté sa jupe de quelques centimètres.

Pour quelqu’un de moins "obsédé" que moi, cela aurait pu passer inaperçu. Mais comme je suis toujours

à l’affût sexuellement, j’ai compris qu’il y avait peut-être une ouverture.

Sachant que sans "contact" il n’y avait pas de risque de scandale ou poursuite, j’ai tenté une approche discrète.

— " Tu (et oui, je l’ai tutoyée), pourrais te lever stp ?"

Ce qu’elle a fait.

— " Tu pourrais te tourner stp ?"

Là encore elle l’a fait.

— " Maintenant, refais-moi face stp"

Et elle me fit face, très proche de moi.

— " Et si je diminue, serais-tu d’accord de remonter quelque chose ?".

Elle resta sans réaction, je crois qu’il lui a fallu quelques instants pour me comprendre.

Puis le déclic se fit !

Elle remonta sa jupe d’une dizaine de centimètres.

Je restai à contempler quelques secondes, puis je tentai un contact en déposant une main sur une de ses jambes.

Elle recula et laissa retomber sa jupe.

— " Ecoute, si tu es d’accord, je te propose un marché".

— " Je diminue le loyer de 150 euros que tu remplaces par 2 soirées/mois avec moi".

— " Mais seulement, je ne te fais pas de bail ".

Nous avons discuté quelques minutes et elle a fini par accepter.

Le samedi, elle emménageait dans le kot.

Durant 3 mois, tout s’est bien passé. Je venais 1 vendredi sur 2 et je la possédais avec volupté.

Jusqu’au jour où elle m’a dit avoir très difficile de continuer à payer son loyer.

Elle voulait que je patiente 2 ou 3 mois, le temps de trouver un petit job-étudiant.

Cela ne m’était pas possible, je devais rendre des comptes à ma femme qui n’aurait pas accepté.

Je lui ai demandé d’attendre jusqu’au lendemain, que je viendrais lui donner ma réponse.

J’étais prêt à accepter, elle me plaisait tellement. Mais cela m’ennuyait de devoir aller sur mon compte perso

pour combler les paiements qu’elle ne ferait pas.

J’ai alors contacter quelques amis que je savais portés sur le sexe, dont 2 d’entre eux qui, je le savais, cherchaient à avoir

une maîtresse.

3 furent d’accord de m’aider à combler mon manque à gagner si il pouvaient avoir les mêmes avantages

que moi avec la demoiselle.

Et le lendemain, c’est en compagnie de l’un d’eux que je me rendis au kot.

La coquine fut surprise, elle m’attendait seul et s’était "préparée" pour obtenir gain de cause.

C’est en portant simplement une petite culotte et un soutien-gorge qu’elle ouvrit.

J’entrai avec mon ami et elle voulu se diriger vers l’endroit où ses habits étaient.

— " Non non, assieds-toi et reste ainsi", " je crois que cela va être possible pour ce que tu m’as demandé".

Elle était debout, merveilleuse de beauté, mais rouge de gêne.

— " Ecoute, j’ai 3 amis qui sont d’accord de participer pour que ton loyer ne te coûte rien durant les 3 mois à venir".

— " Si tu es d’accord, il te suffit de te rapprocher de mon ami ici présent ".

— " Je ne vais pas commencer à me prostituer, jusqu’où cela va-t-il aller " dit-elle.

— " A toi de voir, si tu es d’accord tu vas près de lui et, si tu n’es pas d’accord on stoppera la location ".

— " Excuse-moi, je ne saurai pas faire autrement ".

Elle nous a regardé tour à tour et a fini par se rapprocher de mon ami.

Lui n’a pas hésité, directement il l’a prise sur ses genoux et embrassée tout en parcourant son corps.

De mon coté, j’ai ouvert le lit et l’ai invitée à se coucher.

Il est venu la rejoindre et ils ont commencé à "jouer" ensemble.

J’ai profité du spectacle puis suis venu tout près afin qu’elle me suce pendant qu’il la baisait.

Finalement, ce système a duré toute l’année.

Je ne sais pas si le temps lui manquait pour trouver un job ou si, finalement, elle a trouvé que c’était le moyen le

plus simple.

Faut dire que cela ne lui prenait que 7 à 8 soirées (ou aorès-midi) sur le mois.

Mais cela est peut-être aussi la raison de son échec universitaire.

L’année suivante elle n’a pas continué ses études et c’est un gars qui a loué le kot.

Mes copains continuent encore à me remercier, eux également ont passé une bien belle année.

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