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Les 7 pêchers – Chapitre 2

Les 7 pêchers - Chapitre 2



Pour ceux qui n’ont pas lu l’épisode précédent je me représente, Ystid jeune homme de 20 ans poursuivant tranquillement ces études à la fac de Marseille. Je suis assez grand (1m84), sportif (76 kg), brun aux yeux marron clairs. Voici donc la suite de mes histoire,…

Chapitre 2 : La Gourmandise.

Deux semaines se sont écoulées depuis ma rencontre avec Julie. Depuis tout va pour le mieux dans le meilleur des monde, bref je suis heureux. Rien de fabuleux ou d’extraordinaire, juste une présence agréable et pleine de vie, attentionnée et indépendante qui permet d’affirmer qu’on est le plus heureux des hommes. Bon, c’est vrai, les copains râlent un peu car je passes moins de temps avec eux mais c’est juste pour mieux profiter de ces ’premiers’ temps avec mon petit trésor.

Cette fois-là encore j’avais décidé de faire bande à part et de passer l’après-midi seul avec ma Julie. Certes je manquais une partie de jeux de rôles sans doute très passionnante mais bon, la vie et une question de choix et quand le second choix et proposé par une jolie fille se blottissant contre vous, vous regardant avec de grand yeux gris suppliant, vous parlant d’une toute petite voix douce et pressant sa poitrine contre votre torse, vous ne réfléchissez pas deux fois et vous dit OK pour sa proposition de pique-nique à la plage.

C’était donc un mardi de juillet, sous le magnifique soleil marseillais que je me lève. Il doit être aux alentour de dix heures, juste pour moi le temps de prendre une bonne douche froide, de me préparer et de savourer un succulent petit déjeuné (car chez moi le petit déjeuné c’est sacré!) , et vers onze heure trente je file en voiture chercher ma douce. Le panier de victuailles trônait sur la table de son appart, elle me dit d’attendre le temps qu’elle finisse de se préparer. Je jette donc des coups d’oeil discret au grand panier qu’elle m’interdit de toucher, tout est emballé, je peux même pas voir ce qu’il contient. J’espère que je n’aurais pas de mauvaise surprise !

La voilà, ben dis donc, ça valait le coup d’attendre. Je la préfère comme ça, les cheveux attachés, ça lui donne un air plus coquin, en plus j’adore sa nuque dégagée, légèrement moins bronzée que ces épaules. Elle porte un petit haut noir à bretelles assez petit pour laisser son nombril découvert. Viens ensuite un petit short de la même teinte suivi de ces magnifiques jambes fines et musclée se finissant par des chaussettes dépassant de ces petites bottines. ’On y va ?’ Lança-t-elle joyeusement avant de déposer un baiser furtif sur mes lèvres.

Nous sommes donc en chemin pour les calanques de Cassis essayant de me concentrer sur la route plutôt que sur les magnifiques jambes de ma compagne. Nous quittons ensuite la voiture à la recherche d’une crique sympathique pour se baigner. Après près d’une heure de marche et d’un peu d’escalade nous trouvons finalement notre bonheur, une petite crique déserte faite d’un grand bloc de pierre donnant sur la mer. Enchantée par le lieu, Julie installa rapidement la nappe et sorti notre repas : sandwich, pâté. Heu bof, je m’attendais à mieux… tant pis. On passe donc un bon moment à discuter à rigoler et surtout à manger. C’est quand même agréable le Sud en été !

Après ce petit repas, Julie décide de se prélasser au soleil pendant que moi je choisi de faire un tour dans l’eau. Elle est un peu froide mais on s’y fait vite. Je m’éloigne un peu de la crique pour explorer les environs. Je sais pas si vous connaissez mais si ce n’est pas le cas vous manquez quelque chose. Les calanques est une sorte de falaise composée de petites criques plus ou moins accessibles donnant sur une eau claire. Je nageais donc tranquillement lorsque le hasard me fit arriver sur une autre crique. Je restais presque totalement immergé laissant juste ma tête hors de l’eau pour observer le couple qui s’y trouvait.

En plein ébats, la fille poussait des cris de plaisirs chevauchant avec vigueur le corps allongé de son compagnon. Ah que les femmes sont belles dans ces moments-là. Brune au cheveux coupés courts, les yeux mi-clos, les lèvres suaves, la poitrine imposante en mouvement, la fille d’environs vingt-cinq ans devait provoquer bien du plaisir à son copain et à l’entendre elle ne s’en privait pas. Immédiatement, malgré la froideur de l’eau je me mis à bander dans mon caleçon. J’étais hypnotisé par ce spectacle. Je restais là, immobile et invisible jusqu’à ce que le couple s’épuise et se séparent l’un de l’autre satisfait.

Excité comme vous vous en doutais, je regagnais rapidement ma Julie dans sa crique déserte, des idées pas très religieuses en tête. Lorsque je sorti de l’eau ma douce venait à peine de se réveiller. Elle avait ôté ces vêtements et portait plus que le bas de son maillot deux-pièces. Mon ardeur s’étant finalement calmée lors de ma nage, elle ne put se douter de ce que je venais de voir. Contente de me voir, elle sorti des fraises de son panier pour le goûter. Quelle bonne idée, des fruits frais… mais désolé ma douce, c’est un tout autre fruit qui me fait envie.. Mais bon, un peu de retenue, chaque chose en son temps. Je croquais donc avec délectation ces petits fruits rouges admirant une fois de plus le corps de Julie si mignon.

Lorsque que sans faire exprès, en mordant dans une fraise trop mure, le jus de celle-ci dégouline sur sa poitrine, je ne laisse pas passer une telle occasion et je lui annonce avec un air malicieux que je vais nettoyer cela. Me rendant mon sourire coquin, Julie s’allonge doucement sur le dos, me laissant aspirer le jus répandu du sa poitrine. Je commence par l’embrasser puis ma langue descend dans son coup. J’embrasse en aspirant délicatement le haut de sa poitrine, puis ces seins. Elle me laisse faire, ne me regardant même pas concentrée sur son plaisir. Ses tétons commence à durcir. Je les prend en bouche et les suces lentement provoquant de léger soupir chez ma compagne. Une fois ces seins bien ’propres’ je continu ma descente toujours avec la même minutie. Ma prochaine étape est son joli nombril contenant encore un peu de jus de fraise. J’entreprend donc de le laper jouant avec ma langue chatouillant Julie. Mais fini de jouer, les choses sérieuses commencent ! Délicatement je fais glisser son maillot le long de ces cuisses puis mollets, chevilles pour enfin le jeter loin de nous. Je sens la respiration de ma belle s’accélérer, elle attend, elle m’attend. Je souffle sur ces poils bruns avec lenteur je m’approche de son sexe envoyant mes doigts en éclaireurs, puis ma langue. Elle est toute mouillée, je prend donc tout mon temps pour y balader ma langue en surface avant de l’enfoncer plus dans ces tréfonds. Julie est aux anges son petit corps se cambre de plaisir. Concentré sur ma tache j’essaye de lui procurer le plus de plaisir possible, jouant avec ma langue entre les lèvres de son sexe offert. Hum que j’aime se goût, cette odeur, toutes ces sensations offertes par une chatte. Sentant mon amie près de la jouissance, j’accélère mes mouvements de langues, de plus en plus vite, de plus en plus profond, je colle mon visage contre ces lèvres humides. Soudain elle se cambre une dernière fois et retombe, comblée de bonheur, me gratifiant d’un de ces plus beau sourire.

Je continu à la caresser doucement, puis la voyant sortir de ce merveilleux moment, je décide de tomber mon caleçon vraiment trop encombrant. Je l’embrasse longuement puis je retourne vers ces jambes pour cueillir le fruit de mes efforts. Je fait glisser mon sexe sur son ventre, puis je le présente devant l’entrée du bonheur. Julie écarte ces jambes bien volontiers et bientôt mon membre retrouve la merveilleuse sensation de chaleur du corps de ma douce. J’entre en elle doucement comme quand on cueille un fruit trop mur et qu’on a peur de l’abîmer. Puis je commence des vas et viens, changeant de cadence régulièrement, faisant bouger le corps et surtout la poitrine de Julie sous mes impacts. Elle pousse de grands cris de plaisir amplifié par la crique. Quand même je préfers ma Julie à l’inconnue de tout à l’heure, elle est beaucoup plus jolie. Je maintiens un rythme soutenu, me retenant pour prolonger notre plaisir si bien que Julie joui la première. Je me retire donc de son cops exténué et présente son sexe devant son visage et après quelques instants je lâche des jets de sperme sur son joli visage. ’ Et bien, ça valait la peine que tu enlève le jus de fraise’ me lance-t-elle en riant avant de se nettoyer le visage avec la langue puis léchant ces mains pour récupérer le reste de sperme. Heureux, nous nous courons vers l’eau en riant aux éclats.

Comme j’aime les pique-nique moi !

A la prochaine fois, Ystid

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