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Les actrices – Chapitre 10

Les actrices - Chapitre 10



Lorsque j’ouvris un il le jeudi matin, ce fut sous l’impulsion de quelqu’un qui me secouait. Sabrina se tenait près de moi, vêtue d’une robe longue rouge à bretelles fines, extrêmement décolletée et fendue jusqu’au-dessus des hanches. L’absence de sous-vêtements rendait le spectacle encore plus hallucinant. Devant mon regard ébahit, elle se justifia :

— Ben quoi je retrouve plus mon combishort, dit-elle en chuchotant pour ne pas réveiller Mélanie ! J’ai piqué ça à Chloé, je la lui ramènerai.

— T’as regardé sur les armoires ? C’est là que t’as dû le jeter hier soir, lui répondis-je en me retenant de rire.

— C’est malin. En attendant, je n’ai plus ni mon téléphone ni mes clés de voiture. Je ne bosse qu’à 9h mais je vais pas y aller comme ça, je dois me changer. Du coup, je dois rentrer avant que ma sur ne parte.

— Tu m’étonnes, là c’est l’émeute assurée, lui dis-je avec un grand sourire. Pas de problème, je te ramène chez toi.

Je regardai l’heure, il était 7h30. Malgré cela, je me sentais reposé. L’appartement que Sabrina et sa sur Anaëlle partageaient était à l’entrée de la ville, quinze minutes de route environs. Je m’habillais rapidement et nous nous sommes dirigés vers ma voiture. En chemin, je lui posai la question qui me brûlait les lèvres depuis longtemps.

— Dis-moi Sabi, tu t’es copieusement fait démonter cette nuit mais ce matin tu es rayonnante. Que s’est-il passé à ton casting pour que tu reviennes cassée en deux ?

— Rayonnante certes, mais j’ai quand même mal aux guiboles et la chatte un peu douloureuse. Ce sera jupe sans rien en dessous aujourd’hui. Pour mon casting, je suis juste tomber sur trois abrutis qui, entre autres choses, m’ont enculée à sec, fait une gorge profonde sur bite de cheval, martelée la chatte à grands coups de reins, et parfois les trois en même temps. Ceci dit, si j’avais su dès le début qu’ils étaient surnommés les triopikeurs, je me serai méfiée.

Oh nom de dieu, c’est pas vrai !!! Je compris tout à cet instant. Je l’informai alors que je connaissais ces tristes sires et que toutes les actrices les craignaient. Elle haussa les sourcils, et eu une parole de compassion pour ses jeunes femmes qui devaient les subir régulièrement. La seule bonne chose que je voyais dans cette histoire, c’est que grâce à la bourde du directeur de casting, nous avons pu garder Sabrina rien que pour nous.

A peine avions nous quitté le gîte que quelqu’un nous interpella :

— Hey, attendez ! Je peux venir avec vous ?

Nous nous sommes retournés, pour voir Jade seins nus en string et talons hauts courir derrière nous, ses vêtements à la main. Le spectacle était suffisamment surprenant pour que nous restions tous les deux quelques instants bouche bée. Cela ne sembla cependant pas perturber la belle asiatique, qui continua sa course vers nous.

— J’ai reçu un message de Gilles, il me propose de passer ce matin avant son service. Vous pouvez me déposer ?

— Bien sûr, monte.

Sabrina et elle s’installèrent à l’arrière, et tandis que je roulais, la jolie rousse aidait son amante de la nuit passée à s’habiller. Arrivé en ville, je déposai Jade devant le domicile de Gilles, admirant au passage la sublime silhouette que le short, le débardeur et les chaussures conféraient à la jeune femme, avant de filer vers celui de Sabi. Arrivé sur place, je trouvai facilement à me garer. Sabi sonna, et fut soulager d’entendre sa sur répondre. Celle-ci nous ouvrit la porte de l’immeuble puis celle de l’appartement mais ouvrit grand les yeux devant la tenue de sa cadette.

— Dis voir, toi, t’étais pas habillée comme ça hier soir.

— J’ai perdu mes fringues, avec les clés dedans. J’ai emprunté cette robe, j’allais rentrer à poil.

— Je ne suis pas sûre que ça t’aurait vraiment dérangée, dit-elle d’un ton moqueur. Prends mes clés, je passerai les récupérer à ta boutique à midi. Par contre, ne rends pas tout de suite cette merveille à sa propriétaire, j’aimerai vraiment l’essayer.

Anaëlle eu un dernier regard de gourmandise sur la tenue de sa sur, nous fit une bise à chacun puis s’en alla vers la mairie où elle travaillait comme secrétaire. Cette jeune femme, de quatre ans plus âgée que Sabrina, était une grande blonde élancée de plus 1m70 pour à peine 60 kilos, toujours impeccablement vêtue et maquillée, ne quittant jamais son air sérieux presque hautain qui lui donnait un air de maîtresse femme qu’elle cultivait. Sexuellement, elle était moins vagabonde que Sabrina, mais assumait totalement sa bisexualité et ne se privait pas lorsque quelqu’un lui plaisait et savait se faire plaisir, comme j’avais pu le remarquer à deux ou trois reprises. Son argument de séduction principal était alors son opulente poitrine totalement naturelle, l’unique point sur lequel Sabrina jalousait son ainée. Autant dire que la robe de Chloé sur Anaëlle serait sans aucun doute du plus bel effet.

Sa sur partie, Sabrina se dirigea vers la cuisine et se servit un café avant de se préparer des tartines. Après avoir bu une gorgée, elle se tourna vers moi :

— Au fait, merci pour ce gang-bang, ce n’était pas vraiment un fantasme mais c’est toujours bon à prendre. D’ailleurs, Mélanie m’a dit que tu comptais satisfaire les fantasmes de toutes les filles. Tu penses y arriver ?

— J’espère. Mais une va être difficile à combler. Tu as une idée de comment piquer les clés de l’église le temps de faire un double ?

— Ben oui, facile. Tu vas voir André, l’homme à tout faire de la paroisse. Une fois, au catéchisme, il nous avait montré le trousseau qu’il a toujours dans sa poche. Et vu que lorsqu’il ne bosse pas, il est au bistrot …

La simplicité de sa réponse me laissa sans voix. Mais bien sûr, André! Une des personnes les plus serviables que j’ai jamais connu, mais avec un problème d’alcool.

— Sabrina, tu me sauves, dis-je d’un air enjoué. Par contre tu n’as pas retenu grand-chose de l’enseignement catholique, on dirait.

— On ne peut pas dire que ça te dérange, me répondit-elle avec un sourire narquois. Bon, je vais enlever cette robe.

— Déjà? Dommage, tu es super bandante là-dedans.

— Ah bon ? Demanda-t-elle soudainement intéressée. Bandante comment ?

— Comme ça !

Joignant le geste à la parole, j’exhibai mon sexe durci par une solide érection, sous le regard plein d’envie de la jolie rousse. Je m’approchai d’elle, la fis se retourner, descendis partiellement la fermeture de sa robe puis, après avoir dégagé sa poitrine, empoignai ses seins tout en l’embrassant dans le cou. La tête renversée en arrière et les yeux clos, Sabrina passa une main sur ma nuque, tandis qu’elle glissa la deuxième derrière son dos et commença à me branler doucement. Très vite, une de mes mains quitta sa poitrine pour se faufiler sous la jupe via la fente de celle-ci, et vint caresser son sexe, lui arrachant un soupir de satisfaction. Je restai ainsi quelques instants, lui mordillant régulièrement le lobe de l’oreille, faisant monter la température en elle. Malheureusement, en voulant introduire mes doigts entre ses lèvres, j’eus un geste maladroit qui provoqua chez ma partenaire une sensation douloureuse, la double pénétration de cette nuit ayant laissé des traces. Je me retirai aussitôt et m’excusai platement.

Sabrina se retourna en souriant, cette mauvaise expérience n’ayant pas du tout calmée ses ardeurs. Elle m’attrapa par la bite et m’entraîna jusqu’à sa chambre où elle me fit assoir sur le rebord du lit après avoir fait glisser mon pantalon sur les chevilles. Elle releva alors sa robe, et vint s’assoir sur mes jambes, en s’empalant très lentement sur ma bite au passage. Une fois celle-ci bien au fond, la jolie rousse commença de lents mouvements de bassin, parvenant ainsi à éviter la douleur tout en faisant monter le plaisir en elle. Accrochée à mes épaules, elle prit le contrôle de la situation, tandis que, profitant de ma position, je lui caressais le dos tout en lui mordillant les tétons. Instantanément, elle commença à haleter lentement, de plus en plus fort au fur et à mesure qu’elle approchait de l’apothéose. Au bout de quelques instants, elle eut un orgasme, qu’elle manifesta par un langoureux "Ouiiiiiii", tout en fermant les yeux. J’en profitai alors pour la serrer contre moi, accentuant encore sa jouissance.

Remise de ses émotions, la jeune femme me demanda de m’allonger, ce que je fis sans attendre. Les mains sur mon torse, elle reprit ses mouvements, tête en arrière et yeux fermés, haletant de plaisir. Pendant ce temps, mes mains parcouraient son sublime corps, caressant cuisses et poitrines, effleurant son sexe et ses lèvres. A en juger par l’en train de ses coups de bassin, cet orgasme avait estompé toute douleur, m’incitant à explorer un peu plus profondément son clito lorsque mes caresses m’entraînaient dans cette zone. A chaque fois que je la titillais, elle avait un petit soupir de plaisir accompagné d’un semblant de frisson, qui m’excitait grandement. A ce rythme, le deuxième orgasme ne fut pas bien long à venir, et c’est par un râle de satisfaction qu’elle l’exprima.

Cette nouvelle jouissance passée, Sabrina se dégagea de ma bite, enleva complètement sa robe et vint se placer dos à moi avant de reprendre sa position et ses mouvements. Très vite, elle s’affala sur moi, attrapa mes mains et les plaqua sur ses seins. Et tandis que je commençai à masser ses globes et à pincer ses tétons, elle s’équilibra avec ses bras et commença à agiter son bassin. Jugeant la position peu confortable et trop acrobatique, je fis basculer ma partenaire sur le flan, lui arrachant un cri de surprise au passage, avant de commencer à la prendre en cuillère. Craignant de lui faire mal une nouvelle fois, je m’employai à être tendre, réalisant des mouvements de bassin lents et amples, tout en continuant à lui caresser la poitrine. Visiblement, la jolie rousse n’était pas insensible à un peu de tendresse car elle connut très vite l’orgasme, avant de se laisser complètement aller et de profiter pleinement des orgasmes suivants.

Les jouissances successives de Sabrina ayant eu pour effet de bien lubrifier mon braquemart, je décidai au bout de quelques minutes de changer d’orifice, et dans un même mouvement, je quittai la chatte de ma partenaire pour rentrer sans difficulté dans sa rondelle. En sentant mon sexe lui explorer l’arrière-train, la jeune femme poussa un râle de satisfaction accompagné d’un "Oh oui putain, encule moi" à peine audible. Encouragé dans ma démarche, je commençai sans attendre mes allers-retours, explorant méthodiquement chaque centimètre de son anatomie. Très vite, souhaitant innover un peu, je la fis basculer sur le ventre, avant de venir m’asseoir à califourchon sur ses cuisses. Dans cette nouvelle position, je repris l’exploration de son fondement, profitant de ma position pour rentrer plus profondément dans la demoiselle, qui accueillit mon initiative par un "Putain vas-y défonce moi le cul, fais-moi jouir". C’est donc fortement sollicité que j’entrepris de lui pilonner les fesses, accélérant le rythme à chaque mouvement.

A chaque impact, Sabrina poussait des râles de plaisir de plus en plus intenses, jusqu’à l’apothéose, au bout de quelques minutes, sous la forme d’un puissant orgasme anal. La tête enfoncée dans un oreiller, elle parvint à contrôler son cri, tandis que, parvenu aux limites de ma résistance, je quittai son anus accueillant pour me répandre en longs jets sur son dos, parvenant même à la souiller jusque sur la nuque.

— Oh putain, rien de tel que de se faire enculer avant d’aller bosser, annonça Sabrina comme s’il s’agissait d’un vieux proverbe.

— Tu vas pas être à la bourre ?

— Il n’est que 8H30, j’en ai pour cinq minutes de marche pour y aller. Une bonne douche, une séance maquillage, une tenue légère, et c’est bon. Je file à la salle de bain. Tu peux prendre un café en attendant, tu sais que la douche est trop petite pour deux.

Ça, pour le savoir je le savais. La seule fois où nous avons essayé de baiser dans cette douche, on n’a pas arrêté de se cogner partout et on a fini en levrette contre le mur. Je me suis donc dirigé vers la cuisine, tandis que Sabi s’en allait d’un pas vif vers la salle de bain, s’assurant juste de ne pas mettre du foutre partout. Elle était increvable cette nana ! Elle avait enchaîné une journée de boulot, un plan à quatre lesbien avec trois professionnelles endurantes, un défonçage en règle par cinq mecs chauffés à blanc, puis une séance de baise sur son lit, le tout entrecoupé de peu de sommeil. Malgré cela, elle avait encore de l’énergie pour une bonne partie de la journée. J’avalai vite fait un café, avant de prendre la place de la jeune femme partie se maquiller.

Sorti de la douche, je me dirigeai vers la chambre de Sabrina pour récupérer mes vêtements. Je la trouvai en train de mettre la robe de Chloé sur cintre, avant de revêtir porte-jarretelles, bas, soutien-gorge, jupe et chemisier. Comme annoncé, elle ne mis pas de culotte et s’assura dans le miroir que l’illusion était bonne. Je m’habillai à mon tour et, ainsi paré, nous sortîmes de l’appartement. Avant de nous quitter, Sabrina me demanda de prévenir Chloé qu’elle passerait le lendemain soir rendre la robe, sauf si elle en avait besoin avant. Promettant de faire la commission, je me dirigeai vers le bar où le fameux André avait ses habitudes, et j’y commandai un petit-déjeuner en attendant ma victime.

Le vieil homme arriva bientôt. André était de ses hommes que la vie n’avait pas épargnés mais qui n’avait jamais perdu sa joie de vivre. Faire la liste de toutes les galères qu’il avait enduré serait déplacé et déprimant, mais jamais aucunes n’avaient entamé son moral. Il avait cependant développé au fil des ans une addiction à l’alcool qui, bien que moins prononcée que pour d’autres, commençait à lui être préjudiciable. Aujourd’hui, il occupait son temps et complétait sa retraite en travaillant pour la paroisse, qui, soit dit en passant, profitait largement de sa gentillesse. En entrant dans le bar, André accrocha sa veste à un porte-manteau près du comptoir et alla s’asseoir sur un tabouret. Laissant volontairement ma montre sur la table, je me levai pour régler ma consommation, me plaçant ainsi près que possible de la veste. Pendant que la caissière cherchait la monnaie sur le gros billet que j’avais volontairement donné pour l’occuper, je glissai discrètement la main dans une poche, m’étant assuré que personne ne me voyait.

Par chance, ce fut directement la bonne, et je pus quitter l’établissement avec mon butin. Ainsi, il fut facile de faire faire un double des clés, avant de ramener l’original à sa place, prétextant la récupération de ma montre oubliée. J’avais quelques scrupules à jouer ce tour à André, mais je ne voyais pas comment cela pouvait lui retomber sur la figure. Mon précieux sésame en poche, je repris la direction du gîte.

Arrivé dans la cours, je pris directement la direction des chambres en passant par l’extérieur. En chemin, je m’étais décidé à franchir le pas avec Mélanie, repensant sans cesse aux paroles de Sabrina. De plus, connaissant Gilles, j’étais certain que son invitation avait certes pour objectif de pouvoir la tringler tranquillement (et vue sa tenue, la belle asiatique devait s’en douter), mais aussi pour lui avouer ses sentiments. Il était temps de m’assumer. En arrivant dans le couloir, je fus presque surpris de voir Mélanie entrer nue dans la salle de bain, visiblement mal réveillée et ne m’ayant pas remarquée. J’entrai à mon tour, et je la vis devant le miroir, essayant d’arranger une mèche rebelle qui s’obstinait à tomber sur son visage. J’approchai silencieusement et l’enlaçai délicatement en la serrant contre moi.

— Bonjour mon amour, bien dormi ? Demandai-je tendrement

Dans le miroir, je vis le visage de ma chère Mélanie d’abord incrédule, puis s’illuminer avant de rayonner de bonheur. Elle se retourna d’un coup, me regarda les yeux grands ouverts avec un sourire incrédule, avant de passer ses bras autour de moi et de m’embrasser fougueusement. Ce baiser passionné dura plusieurs secondes, puis la jolie brune se recula pour me regarder dans les yeux, un sourire radieux sur le visage. A cet instant précis, elle semblait être la femme la plus heureuse du monde. Je repris alors l’initiative, et ce fut mon tour de l’enlacer pour l’embrasser. Quelques secondes plus tard, mes lèvres s’égaraient dans sa nuque, alternant baiser et mordillement. Mélanie plaqua alors ma tête contre son cou, m’incitant à poursuivre la manuvre. Pendant ce temps, mes mains parcouraient son sublime corps en tous sens, s’égarant parfois dans son intimité, lui arrachant un cri de plaisir à chaque fois. Bien vite, ses propres mains se faufilèrent sous ma chemise, avant de venir dégrafer mon pantalon et de saisir mon sexe durci pour une douce masturbation.

Notre petit jeu dura ainsi plusieurs minutes, faisant grimper la température. Mes incursions dans son vagin se faisant de plus en plus fréquentes, Mélanie décida de passer à l’étape suivante. Elle vint s’assoir sur le rebord du lavabo, puis tendit les bras vers moi, m’invitant à la rejoindre. Sans me faire prier davantage, je m’introduisis en elle puis, fermement accroché à ses cuisses, je commençai mes va-et-vient, en m’efforçant d’être le plus tendre possible. Sur un rythme assez lent, j’explorais méthodiquement ses entrailles, pour le plus grand bonheur de la jeune femme qui, les jambes autour de mes hanches et les bras autour de mes épaules, commençait à haleter de plaisir. Ainsi collé l’un à l’autre, j’agrémentai mes coups de bassin de baisers dans le cou et de mordillements du lobe de l’oreille, que ma partenaire me rendait régulièrement. Nos caresses nous ayant déjà très fortement excitées, la jolie brune ne fut pas bien longue à venir, et un premier orgasme la submergea de plaisir, m’attrapant les fesses au passage pour me forcer à m’introduire plus profondément en elle.

L’excitation venait de franchir un palier supplémentaire. Invité à y aller plus fort, je me fis un peu plus percutant, passant mes mains autour de ses hanches pour une meilleure prise. De son côté, Mélanie se cambra au mieux, les mains autour de ma nuque, recevant avec délectation mes assauts. A chaque mouvement de ma part, elle s’abandonnait un peu plus, savourant chaque centimètre de ma verge dans son intimité et poussa de petits râles de plus en plus intenses. Ainsi, il fallut peu de temps pour qu’un nouvel orgasme survienne, rapidement suivi de plusieurs autres, de plus en plus puissants. A chaque nouvelle jouissance, la jeune femme avait de plus en plus de mal à rester accroché à moi, ses forces l’abandonnant petit à petit. Au bout de quelques minutes à ce rythme, elle eut un orgasme si violent que ses mains glissèrent de mes épaules, la jolie brune menaçant de venir se cogner contre le miroir. Je parvins à la rattraper In extremis, mais je jugeai préférable de me retirer et de la laisser reprendre son souffle.

Mélanie reposa ses pieds au sol, m’enlaça tendrement puis m’embrassa langoureusement. Ce doux baiser échangé, elle se retourna face au miroir, et je profitai de cette nouvelle position pour reprendre mes caresses et mes baisers dans le cou. Comme précédemment, elle me facilita la tâche en penchant la tête sur le côté, tandis qu’elle me caressait les cuisses en retour. Les yeux fermés, elle savourait chaque seconde ainsi passée avec un bonheur presque palpable. Quelques instants plus tard, je glissai une main entre elle et moi, attrapai mon braquemart que je dirigeai vers sa rondelle, dans laquelle je m’introduisis lentement, sans difficultés. Pendant toute l’introduction, ma compagne retint son souffle, avant de pousser un soupir de plénitude une fois l’engin en place. Aussitôt, tout en reprenant caresses et embrassades, je commençai de lents et profonds va-et-vient, tandis que la jolie brune plaçait une de ses mains derrière ma tête et l’autre sur ma cuisse. Les jambes appuyées sur le rebord du lavabo, elle accueillait ma verge en elle avec délectation, les yeux toujours fermés, la bouche entrouverte et émettant de petits soupirs de plaisir.

Son visage rayonnait de bonheur et je mesurai à cet instant à quel point j’aurais été idiot de ne pas me déclarer auprès de cette sublime jeune femme.

Pendant quelques minutes, je restai ainsi à la sodomiser doucement, mes mains explorant la totalité de son corps divin. Afin d’augmenter encore son plaisir, je décidai ensuite d’introduire deux doigts dans son vagin, lui faisant vivre une sorte de double pénétration. Mélanie accueillit cette initiative par un "ouiiiiii" langoureux, avant de commencer à faire osciller son bassin, augmentant ainsi l’intensité des sensations qui parcouraient son corps. Très vite, elle se mit à haleter en rythme, de plus en plus fort, provoquant chez moi un regain d’excitation qui se traduisit par une augmentation de la cadence de mes mouvements en elle. Le pilonnage de son arrière-train et la stimulation de son vagin gagnant en vitesse, ma partenaire grimpait de plus en plus en pression, complètement en sueur, avant d’exploser dans un puissant orgasme qui la submergea complètement. Cette jouissance fut si puissante qu’elle dû s’appuyer sur le lavabo pour ne pas chuter, tandis que, de mon côté, mes forces m’abandonnèrent.

Je me rependis alors en longues saccades dans son anus, la remplissant de foutre qui se répandit sur le sol lorsque je me retirai d’elle. C’est dégoulinant de transpiration que je la serrai contre moi, regardant par miroir interposé toute le bonheur qui se lisait sur son visage.

— Merci mon amour, me dit-elle tendrement en me caressant la joue. Et merci d’avoir franchi le pas, je n’aurais pas osé. Dans ce métier, on apprend vite à faire taire ses sentiments.

— Tu veux dire que tu n’as jamais plus aimé personne depuis ton médecin ?

— Non, personne. Mais il ne faut pas être triste. Dis-toi que si j’avais rencontré quelqu’un, je ne t’aurais pas rencontré toi.

Son argument était imparable, et pour être sûre qu’il soit bien compris, elle se retourna, me serra contre elle, avant de m’embrasser avec passion. Je chassai bien vite de mon esprit toutes idées bizarres, et lui rendis son baiser avec la même fougue. Je lui avouai ensuite, sans trop savoir pourquoi, que c’était suite à une engueulade de Sabrina que j’avais osé me lancer. En entendant cette révélation, elle arbora un large sourire :

— Eh bien, je lui devais déjà l’assouvissement de mon plus grand fantasme ainsi qu’une de mes meilleures parties entre filles, et voilà que maintenant je lui dois le plus formidable des mecs. Je vais vraiment devoir la remercier TRÈS personnellement.

— C’était si génial que ça cette nuit ? Demandai-je, masquant difficilement la fierté d’être qualifié de "plus formidable des mecs"

— Oh oui !!! Presque autant que dans la cabine d’essayage. D’ailleurs c’est au tour de qui aujourd’hui ?

— Bouchra, dans une salle de classe.

— Mmmm prometteur, faudra que tu me racontes. Ou mieux, que tu me le fasses vivre, dit-elle avec un regard gourmand.

— Sans problème, déclarai-je avec un grand sourire, trop heureux de constater qu’elle ne semblait en effet pas jalouse.

Nous nous sommes douchés, et tandis qu’on se rhabillait, je lui racontai brièvement les derniers exploits de Sabrina, ainsi que la visite de Jade chez Gilles. Elle fut surprise mais visiblement très intéressée par l’endurance de Sabi, et fut particulièrement heureuse pour Jade, m’apprenant au passage que Gilles et elle correspondaient énormément depuis leur rencontre près de la rivière. Décidément j’étais de plus en plus sûr qu’il n’allait pas tarder à lui faire part de ses sentiments. J’eus la confirmation presque immédiatement, lorsque, alors que nous descendions à la cuisine, je reçu un message de mon ami, m’annonçant qu’après le petit-déjeuner, il avait fait sa déclaration à Jade, laquelle avait tellement bien accueilli la nouvelle qu’ils avaient baisé comme des bêtes pensant près d’une heure. Je le félicitai en retour et lui annonçai que pour moi aussi c’était fait. Dans le même temps, Jade et Mélanie échangeaient le même genre de message. Notre correspondance terminée, nous nous sommes embrassés et nous sommes descendus.

Peu de monde était déjà levé, seules Samia et Marianne étaient debout, en peignoir de bain pour la première, en bikini et short pour la deuxième. Il était à peine 10 heures du matin, tout le monde profitaient de la grasse matinée, ou se remettaient des exploits de la nuit. Alors que j’étais en cuisine pour récupérer des bols, j’entendis glousser dans le salon. A mon retour, Déborah et Marianne affichaient un large sourire, tandis que Mélanie souriait timidement. Avant peu, tout le monde serait au courant pour elle et Jade, ce qui, honnêtement, n’était pas pour me déplaire. Le petit-déjeuner avalé, et Bouchra toujours dans les bras de Morphée, je me décidai à m’occuper du spa pour le reste de la matinée, la jeune femme devant bien avoir un moment de libre dans l’après-midi. Après avoir annoncé mon programme à Mélanie, celle-ci me répondis que, pour sa part, elle comptait profiter du soleil de juin pour faire un parfaire son bronzage. L’ayant embrassé sous les encouragements des autres convives présents, je filais dans le local technique récupérer mes outils.

La vérification de toute la plomberie du spa, le changement des pièces défectueuses et la remise en route de l’installation me pris une bonne heure. Les travaux terminés, je rangeai mon matériel et retournai au salon, espérant y trouver Séb. Il était bien là, seul, à lire quelques scripts. Je profitai de l’occasion pour l’informer des changements concernant Jade et Mélanie, et pour lui demander s’il était possible de lui "emprunter" Bouchra pour une partie de l’après-midi. Il accueilli la nouvelle avec joie, espérant que Gilles soit un garçon sérieux car, apparemment, bien des hommes déclaraient leur flamme à des actrices uniquement pour pouvoir les tringler à volonté ou pour en faire profiter des amis. Après l’avoir rassuré sur le sujet, il m’annonça que Bouchra serait libre jusqu’à 16H mais il fallait impérativement qu’elle soit de retour à cette heure-là et, si possible, "à peu près en forme". Après avoir bien rigolé, je le remerciai et je partis chercher la jeune femme.

Je la trouvai dans le jardin près de Mélanie, profitant elle aussi du soleil. Je lui annonçai que j’avais une surprise pour elle dans l’après-midi, et que, avec l’accord de Séb, je passerai la cherche d’ici une heure et demi environs. Face à son regard interrogateur, Mélanie vient à mon secours :

— Vas-y les yeux fermés, ma chérie. Crois-moi tu vas adorer !

— Ah d’accord, je comprends ! Pas de problème je serai prête.

Mélanie adressa un clin d’il à sa comparse, tandis que je prenais congé, non sans avoir embrassé ma fiancée auparavant. Il me restait une bonne heure, que je mis à profit pour rentrer chez moi, manger vite fait un morceau, me changer, préparer quelques affaire pour l’après midi et travailler encore une bonne heure, m’assurant des prochaines réservations, et prochains rendez-vous, etc … A l’approche de l’heure, je pris un vieux trousseau de clé dans mon bureau, et repartis vers le gîte.

Mon plan était simple. Lorsque le lycée de la ville était dirigé par la fille d’un de ses meilleurs copains, mon grand-père rendait souvent des services. Pour faciliter ses allers et venues, il s’était fait un trousseau de l’ensemble des clés de l’établissement. Au changement de direction, il s’était fâché avec le nouveau directeur et était parti sans rendre le trousseau dont presque tout le monde ignorait l’existence. Après son décès, je l’avais retrouvé dans un bureau, et allais m’en servir pour la première fois.

Il était un peu moins de 13h lorsque je reçu un message de gilles me demandant si je pouvais venir chercher Jade au restaurant où elle était resté manger, car lui ne pouvait s’absenter. J’acceptai sans difficulté et me mis en route sur le champ. Arrivé sur place, Jade m’attendait, Gilles sortit discrètement pour embrasser fougueusement sa compagne, avant de me saluer et de me remercier. Une fois dans la voiture, la belle asiatique me félicita pour Mélanie et moi, avant de me raconter sa matinée. Comme je l’avais supposé, Gilles lui avait proposé un excellent petit-déjeuner au cours duquel il s’était déclaré. A partir de là, ce fut une heure de jambe en l’air, un message à Mélanie et moi, puis rebelote. Selon Jade, elle n’oubliera jamais ce début de journée. Arrivé au gîte, je changeai de passagère et repartis vers le centre-ville.

Bouchra avait choisi une robe légère à fine bretelles, arrivant aux genoux, mais largement décolleté et dont les épaules nues laissaient apparaître son tatouage. Elle ne portait pas de soutien-gorge, et sa forte poitrine était superbement mise en valeur. Elle portait une paire de hauts talons ajourés qui lui galbait superbement les jambes. Elle était très excitante et j’avais hâte d’arriver. S’il était évident qu’elle avait parfaitement compris le but de notre balade, elle n’en connaissait pas la destination, et j’entretenais le mystère sur le sujet. Vers 13h45, je trouvai une place à l’arrière du lycée, où nous sommes entrés par une porte de service. Une fois dans le bâtiment, Bouchra regarda autour d’elle puis, comprenant où nous étions, m’adressa un large sourire et commença à sauter partout comme un cabri. Nous nous sommes mis en quête d’une salle tranquille, que nous avons fini par trouver au deuxième étage.

En entrant dans la pièce, Bouchra se précipita vers les fenêtres et regarda dans la cour.

— Il y a encore du monde pour un fin juin.

— Le lycée est centre d’examen et ce sont les rattrapages du bac.

— Ah oui c’est vrai. Moi, je l’ai eu du premier coup mais je n’en ai pas fait grand-chose. Tu sais que je voulais être institutrice quand j’étais petite ? Précisa-t-elle en se dirigeant vers le tableau

— Ah oui ?

— Rêve de beaucoup de gamines, dit-elle avec un sourire presque mélancolique. Mais aujourd’hui, je vais réaliser ce rêve. Aujourd’hui c’est moi la maîtresse. Assied-toi.

Le sourire plein de malice de Bouchra à cet instant m’amusa énormément. Elle était radieuse et semblait être aux anges. Je choisis une place, tandis que, d’une démarche très sensuelle, elle se dirigea alors vers le tableau, prit un feutre et, d’une jolie écriture, écrivit :

"Leçon du jour

Travaux pratiques

— Fellation

— Sodomie

— Pénétration vaginale

Conseil :

Penser à utiliser bouche et mains"

En lisant le texte, j’étais tout à la fois complètement ébahi et complètement excité. Une fois fini, elle posa le stylo et se retourna vers la salle

— Bien. Qui veut faire l’exercice au tableau ?

— Moi, Maîtresse, répondis-je en levant la main

— Parfait, viens ici. J’espère que tu as bien révisé

— Oh oui, vous allez voir

Je quittai ma place pour me diriger vers l’estrade. Arrivé devant Bouchra, je pris délicatement ses seins en main, avant de commencer à les caresser à travers sa robe et de les embrasser. La jeune femme plaça alors ses mains derrière ma tête et commença à me caresser le cuir chevelu tout en appuyant légèrement dessus. Très vite, mes mains abandonnèrent sa poitrine pour parcourir tout son corps, la faisant frissonner de plaisir et pousser de petits soupirs de satisfaction. Le comportement de la jolie brune face à de simples caresses en disait long sur son excitation et m’encouragea à aller plus loin.

Profitant d’avoir les mains dans son dos, je commençai par dégrafer la robe afin de faire tomber tout le corsage, libérant ainsi la poitrine de la jeune femme. Je plaquai ensuite ma bouche contre ses seins, puis lentement je descendis le long de son corps, embrassant ou caressant chaque centimètre carré de peau rencontré et mordillant ses tétons, la faisant tressauter au passage. Une fois à genoux devant elle, je remontai sa jupe en caressant ses jambes, je fis glisser sa culotte au sol, avant coller ma bouche contre son sexe. Lorsque ma langue commença à pénétrer dans son intimité, Bouchra laissa échapper un petit râle de plaisir, et commença à me caresser le crâne, tandis que, fermement accroché à ses fesses, j’entrepris d’explorer sa grotte d’amour. Sa chatte était parfaitement lubrifiée, et à chaque fois que je lui mordillai le clito, elle était parcourue par un frisson de plaisir de la tête au pied. Dans le même temps, je lui massais délicatement les fesses, m’égarant parfois dans son anus pour le plus grand plaisir de ma partenaire.

Visiblement, elle n’avait pas l’intention de se retenir, et la température grimpa aussi vite que la passion, si bien qu’il ne fallut pas plus d’une ou deux minutes pour que Bouchra connaisse son premier orgasme. Je restai encore quelques instants à la travailler ainsi, jusqu’à ce que, sous l’effet d’une nouvelle jouissance, le corps de ma partenaire soit parcouru de spasme

— Parfait, bonne maîtrise de la langue. Passons au reste

Tandis que je me relevai, Bouchra se mit à son tour à genoux devant moi, et fit tomber mon pantalon et mon boxer, faisant jaillir devant elle ma verge bien dressée. Elle s’en saisit, me masturba trois ou quatre fois, avant de la glisser entre ses seins et de commencer une branlette espagnole. Ma bite prisonnière de ses énormes loches, elle y imprima un lent mouvement de haut en bas, tout en me regardant avec un large sourire. Peu habituer à ce genre de pratique, j’en appréciais néanmoins la sensualité, et je goûtais avec bonheur la délicieuse sensation. Très régulièrement, la jeune femme descendait assez bas pour pouvoir gober mon gland, et ainsi me prodiguer quelques instants d’une somptueuse fellation. Je vivais chaque seconde avec un immense plaisir, ma partenaire se masturbant pendant ce temps, tandis que de mon côté je lui massais le cuir chevelu.

— Dit Maîtresse, je peux te montrer ce que je sais faire avec ma bite, s’il te plaît ?

— Mais bien sûr, montre-moi ça

Bouchra se redressa pour se retourner vers le bureau, et pendant que je quittai mes vêtements, elle remonta sa jupe et se pencha sur le meuble, fermement agrippée et les pieds bien au sol. Aussitôt, je m’approchai d’elle, et sans aucune difficulté, j’introduisis mon braquemart dans sa chatte, lui arrachant un râle de jouissance au passage. Sans attendre, je m’accrochai à ses hanches et j’entamai de lents mais profonds va-et-vient, m’assurant de venir cogner contre ses cuisses à chaque pénétration. Très vite, la jeune femme monta en pression et en température, soupirant de plaisir à chaque impact. Petit à petit, me rappelant que la belle maghrébine aimait être un peu secouée, j’augmentai la cadence, lui pilonnant de fondement de plus en plus vite. Lorsque survint l’orgasme, elle n’essaya pas de le contrôler, et se laissa envahir par la douce jouissance. Tremblant de toute part, elle s’écroula sur le bureau dans un profond râle de satisfaction, le corps parcouru par une série de spasme.

Une fois remise de ses émotions, j’attrapai Bouchra par les épaules, l’aidant à se relever puis, la bite toujours plantée dans sa chatte, je la fis pivoter pour la placer face au tableau. Elle s’y appuya de tout son long, tout en cambrant les reins afin de faciliter mes mouvements. Je repris sans attendre mes allers-retours énergiques, plaqué contre son dos et ses seins bien en main. Cette position me le permettant, je commençai à lui mordiller le cou et à lui pincer doucement les tétons, provoquant chez ma partenaire un regain d’excitation. De ses mains, elle attrapa mes fesses du mieux qu’elle pouvait et m’incita à la percuter de plus en plus fort. Totalement abandonnée à ses fantasmes, ses sensations et son excitation, la jeune femme ne contrôlait plus rien et laissait les orgasmes, plus puissant les uns que les autres, se succéder et la jouissance l’envahir. Totalement en nage, son corps était tellement moite qu’elle avait toutes les peines du monde à ne pas glisser.

— C’est bien, tu es très doué, dit-elle hors d’haleine au bout de dix minutes. Tu peux enculer la maîtresse, maintenant.

Sans me faire prier davantage, la bite largement assez lubrifiée, je changeai d’orifice dans un même mouvement, m’enfonçant jusqu’à la garde dans son anus. Bouchra accueillit cette nouvelle position par un "Oh Ouiiiiii" langoureux, qui fut pour moi le signal du pilonnage en règle de son arrière-train. J’avais à peine commencé mes mouvements que la porte s’ouvrit soudainement, laissant passer un jeune homme qui referma machinalement derrière lui, avant de rester scotché sur place bouche bée devant le spectacle. A sa décharge, en rentrant dans cette salle de cours, il ne devait pas s’attendre à y voir une ravissante jeune femme se faire défoncer le fion contre le tableau. Très vite je reconnus ce jeune homme : c’était le petit frère d’un copain de l’équipe de foot, qui passait son bac pour la deuxième fois. Il se prénommait Thomas, et d’après son frère il n’avait aucun succès auprès des filles bien qu’il soit jolie garçon, la faute à une timidité maladive. Selon son ainé, il était encore puceau.

— Et bien mon garçon, ne reste donc pas là, approche ! Dit soudain Bouchra. Et toi, voyons ce que tu vaux en travail de groupe.

Elle fit un signe à Thomas qui s’approcha du tableau, la surprise faisant apparemment place à l’excitation. La jeune femme se décolla du mur, aida Thomas à se déshabiller puis le fit s’allonger sur le bureau, ma bite toujours plantée en elle. Elle s’approcha de la verge bien dressée du jeune homme, et commença à le sucer, tandis que je repris mes mouvements là où je les avais arrêtés. L’interruption ayant été de courte durée, la température n’était pas descendu et je pus sans difficulté reprendre un bon rythme, claquant mes cuisses contre ses fesses à chaque impact, et agrémentant le tout de quelques fessés érotiques. Affairée sur la bite de Thomas, Bouchra pouvait juste émettre quelques grognements, mais visiblement le plaisir semblait l’envahir de nouveau et l’arrivée impromptue de nouveau compagnon de jeu l’excitait au plus haut point. De son côté, Thomas était aux anges, sa première pipe lui étant prodiguée par une professionnelle particulièrement brillante dans l’exercice. Manquant d’expérience, il ne savait que faire de ses mains, et je dus lui faire comprendre de caresser la tête de la jeune femme.

Nous sommes restés ainsi quelques minutes, jusqu’à ce qu’un nouvel orgasme fasse trembler le sublime corps de la belle maghrébine, qui dut quitter le braquemart de son jeune amant pour émettre un long râle de jouissance.

L’orgasme passé, la jeune femme se releva, demanda à Thomas d’en faire de même, avant de me demander de prendre sa place. Elle enleva complètement sa robe puis grimpa sur le bureau pour venir s’empaler sur ma verge et commencer à aller et venir dessus. Ne sachant que faire, Thomas resta un court instant à nous regarder, avant que notre amante ne saisisse à tâtons son engin et le guide vers sa rondelle. Le jeune homme écarquilla les yeux, mais d’un regard, je lui fis comprendre qu’il pouvait y aller. Il fit donc un mouvement en avant, et pénétra sans difficulté au plus profond de la jeune femme, lui arrachant un soupir de jouissance au passage. La surprise passé, il s’accrocha à l’épaule et à la hanche de notre amante et commença timidement des allers-retours, prenant petit-à-petit de l’assurance. De mon côté, je calai mes mouvements sur ceux de Thomas, et c’est avec la plus grande des félicités que Bouchra s’abandonna à cette double pénétration sur le bureau d’une salle de classe, assouvissant son fantasme à un point qu’elle n’aurait pu imaginer.

Une nouvelle fois, la jeune femme ne chercha pas à contrôler quoi que ce soit et se laissa aller à ses sensations. Elle soupirait de plaisir à chaque impact, ses énormes seins ballotant devant mon visage. Elle affichait un visage rayonnant, et laissa les orgasmes la submerger les uns après les autres. Thomas quant à lui vivait un rêve éveillé. Lui qui n’avait jamais baisé qui que ce soit, venait non seulement de se faire pomper par une actrice porno, mais pour sa première pénétration, il enculait en double cette même actrice. Bien peu d’homme doivent pouvoir se vanter d’une telle première expérience, et je doute qu’il l’oublie de sitôt. Au bout de quelques minutes, il parvint même à faire jouir Bouchra, au moment exact où elle avait un énième orgasme vaginal. Ce double orgasme fut pour la jeune femme le summum de la jouissance, et ce fut si intense qu’elle s’écroula littéralement sur moi, tout en se retenant à grand peine de hurler de plaisir. Surpris, Thomas ne sut que faire et, ne se contrôlant plus, se vida entièrement dans les entrailles de la jolie brune.

Il venait d’ajouter à sa liste de Première Fois "éjaculation anale". De mon côté, j’aidai Bouchra à se relever puis à s’allonger à ma place puis, debout près d’elle, je me branlai doucement jusqu’à venir me vider sur le visage de mon amante. Thomas me rejoignit alors, et c’est une Bouchra souriante mais totalement épuisée qui nous nettoya avec sa langue.

— C’est parfait les garçons, vous avez bien travaillé.

Je regardai l’heure, il était presque 15h. Thomas se rhabilla vite fait tout en se rependant en remerciement, son oral de rattrapage commençant dans quinze minutes. J’ignore encore si c’est ce plan à trois qui lui a donné l’assurance nécessaire, mais son frère m’apprit plus tard qu’il avait brillamment passé ses épreuves. Restés seuls, Bouchra et moi avons tranquillement repris nos esprits, moment que je mis à profit pour essuyer les traces de notre passage, et notamment les flots de sperme qui s’écoulait de la jeune femme. Lorsqu’elle put se relever, il lui fallut encore un instant pour pouvoir marcher correctement, et je dus l’aider à revêtir sa robe, non sans en profiter pour la peloter au passage. Nous sommes ensuite repartis vers le gîte, Bouchra passant tout le temps du trajet retour à me remercier pour ce moment magique. Elle m’apprit également qu’elle avait remarqué du premier coup d’il que thomas était puceau, et que, sans être superstitieuse, elle croyait que dépuceler un homme surtout avec son cul portait bonheur.

Arrivés à destination, nous nous sommes douchés et avons rejoint Mélanie qui se reposait toujours dans le jardin. Notre compte rendu l’excita au plus haut point, et lorsqu’elle apprit que ma dernière histoire serait avec Julie dans une église très certainement le lendemain matin, elle me fit promettre de lui faire vivre les mêmes expériences, même s’il restait peu de temps. Sa remarque me rappela cruellement que nous serions obligés de nous séparer dans quelques jours, mais au moins nous pourrions encore vivre de belles choses.

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