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Les bachelières – Chapitre 2

Les bachelières - Chapitre 2



Dimanche matin 9h00

Je me réveille vers 9h00 et passe tout de suite à la salle de bain. Apparemment, Morgane est déjà levée car la porte de sa chambre est ouverte et celle-ci est vide.

Après mes ablutions matinales, je retourne dans ma chambre pour m’habiller. Aujourd’hui, je vais faire comme mon amie et me vêtir légèrement car il fait chaud. Je passe donc une jupe en coton et un tee-shirt avec un petit décolleté bateau.

Je descends au séjour et j’entends Morgane s’affairer aux préparatifs du petit-déjeuner. Lorsqu’elle sort de la cuisine avec un plateau chargé de tout ce qu’il faut pour nous sustenter, je lui fais un bisou pour la saluer. Elle a remis les mêmes vêtements qu’hier.

— Bonjour Mélanie. Tu as bien dormi ? Tu n’as pas été gênée par la moto de mon frère ?

— Non, non, t’inquiète. J’ai bien dormi, merci.

Je ne vais quand même pas lui raconter que je l’ai matée par le trou de la serrure puis que je me suis branlée pour me calmer !

Nous déjeunons donc en papotant puis, comme prévu, nous nous mettons au boulot à 10h00 pile.

Vers 11h00, première pause. C’est le moment que choisit son frère pour faire son apparition dans la pièce. Il vient de se lever et ça se voit ! Il est tout ébouriffé et a les traits encore ensommeillés. Il ne porte qu’un short en guise de pyjama et a l’air surpris de nous voir là.

— Ah ! Salut Mo ! Euh … bonjour mademoiselle.

— Mademoiselle, c’est Mélanie. Elle est dans ma classe et nous avons décidé de faire nos révisions ensemble. Mélanie, je te présente Pascal, un bon à rien mais le plus gentil des frères !

— Bonjour Pascal, enchantée de te connaître.

Là-dessus, il disparaît à la cuisine et en revient après quelques minutes avec un bol de café fumant et des croissants.

Je le regarde à la dérobée pendant qu’il mange. C’est un sacrément beau garçon. Vingt ans, je le sais par sa sur, un corps d’athlète mis en valeur par sa tenue, une voix mélodieuse, un air sympa, bref, tout pour plaire.

Mais je ne suis pas là pour le séduire ! Je reprends donc le travail avec Morgane.

Vers 13h00 nous arrêtons pour la pause déjeuner. Pascal a disparu depuis un moment et nous allons toutes les deux à la cuisine nous préparer un repas léger. Les parents de Morgane ont rempli le frigo avant de partir pour nous éviter de perdre notre temps à faire des courses.

Et comme nous vivons un printemps particulièrement chaud cette année, ils ont prévu pas mal de légumes frais pour nous préparer des salades.

Nous optons donc pour une salade niçoise et Morgane se met à nettoyer la laitue. Lorsqu’elle agite ses bras sous le robinet, je constate qu’elle ne porte toujours pas de soutien. Et comme, en plus, elle a laissé ouverts les trois premiers boutons de son ample chemise, j’ai une vue plongeante sur sa poitrine, ce qui me rappelle mes émois de la veille.

Heureusement, vu ma couleur de peau, ça ne se remarque pas vraiment quand je pique un fard. Sans quoi, elle m’aurait sûrement demandé ce qui m’arrivait ! Il vaut mieux que je me calme.

— Je vais mettre la table pendant que tu termines la salade.

— D’accord, j’aurai vite fini.

Et dix minutes plus tard nous sommes attablées. Comme c’est dimanche, nous nous accordons un verre de rosé avec notre repas.

A 14h00 nous reprenons le travail. J’ai repris mes esprits et nous abattons un solide boulot jusquà 15h00. Là, première pause de l’après-midi.

Je me lève de table et vais m’asseoir dans le canapé, histoire de me détendre un peu. Morgane vient s’installer à genoux à mes côtés et se penche vers moi. Sa chemise, largement entrouverte, pend sous elle et m’offre une vue imprenable sur ses jolis seins. Elle me regarde droit dans les yeux.

— Je te plais ?

— Pardon ? Qu’est-ce que tu veux dire Morgane ?

— Allons, ne fais pas l’innocente Mélanie, je sais bien que tu me regardais hier soir pendant que je me branlais. Je connais cette maison et toutes ses particularités par cur. Entre autres, les bruits du plancher. C’est comme ça que j’ai su que tu te levais vers 23h30. Et ce n’est pas par hasard que j’ai allumé la lumière et que je me suis masturbée. J’espérais bien que tu me materais. Je t’ai entendue t’arrêter sur la latte de plancher devant ma porte et j’ai su que tu regardais.

Puis, baissant les yeux vers sa chemise béante :

— Vas-y, touche-les. Tu en meurs d’envie … et moi aussi.

Et là, l’image de mon amie occupée à se branler me revient brusquement. Sans plus réfléchir, je passe mes mains dans l’échancrure de sa chemise et les pose sur ses seins.

Quelle sensation ! C’est la première fois que je touche les seins d’une autre fille et ça me rend toute chose. Ils sont doux et chauds, à la fois fermes et souples, assez volumineux pour son âge (j’apprendrai plus tard qu’elle porte du 90C). Je les caresse en m’attardant sur les pointes qui durcissent.

Morgane a fermé les yeux. Elle savoure … Puis, elle pose ses lèvres brûlantes sur les miennes, pousse sa langue entre mes dents et l’enroule autour la mienne.

A son tour, elle glisse les mains sous mon tee-shirt, palpe mes seins, les pétrit puis, passant dans mon dos, elle dégrafe mon soutif et lève les bras, entraînant tout dans son mouvement. En une seconde, mon soutien et mon tee-shirt se retrouvent au pied du canapé.

Dans la foulée, elle s’attaque à ma jupe et mon slip qu’elle tire vigoureusement vers le bas. Sa fougue me fait perdre tout sens de la réalité et, au lieu de protester et de m’opposer à ses gestes, je soulève les reins pour faciliter le passage de mes derniers vêtements.

C’est ainsi qu’en quelques instants, je me retrouve entièrement à poil devant Morgane qui s’extasie :

— Mon Dieu, Mélanie, que tu es belle ! Il y a si longtemps que je voulais te voir nue et enfin ce moment est arrivé.

Elle se couche de tout son long sur moi et je sens ses seins s’écraser contre les miens. Je suis brusquement prise d’une vague de désir et j’arrache sa chemise pour pouvoir les caresser, les lécher, les malaxer …

Morgane se relève et me prend par la main.

— Viens.

Et elle m’entraîne vers l’escalier. Elle monte devant moi et je peux admirer son petit cul qui se balance. Elle n’a plus que son short moulant sur elle et je ne vois aucune trace de slip à travers le fin tissu tendu. Ça la rend encore plus désirable que si elle était nue, c’est comme si elle me suppliait de lui enlever son dernier rempart.

Elle a donc tout prémédité depuis hier et a tout fait pour m’allumer. Et moi, je me suis embrasée comme un fétu de paille. Elle m’a rendue folle de désir et n’aspire plus qu’à me faire tomber dans son lit.

Et de fait, à peine arrivée dans sa chambre, elle se tourne vers moi et m’embrasse langoureusement. Elle prend mes mains, les pose sur ses hanches et pousse vers le bas. Le message est évident et je baisse son short en me mettant à genoux.

Je me retrouve alors exactement devant son pubis et je pose mes lèvres sur sa vulve. Elle tressaille comme si elle venait d’être mordue par un serpent.

— Oooh oui, continue, c’est si bon …

Elle ouvre les jambes et je pousse mon visage tout contre son intimité. Je me remplis les narines de son odeur puis je glisse ma langue entre ses petites lèvres. Morgane sursaute et presse ma tête de ses deux mains contre sa chatte.

— Ouiiiii ! Encore … Vas-y, prends-moi tout entière … Fais-moi jouir …

Mais, plutôt que de continuer, je me redresse et la pousse sur son lit. Car mon corps aussi appelle sa dose de caresses.

Je me vautre sur elle et frotte mon pubis contre le sien. J’empoigne ses seins que je malaxe à pleines mains et elle en fait de même avec les miens. Notre plaisir est proche du paroxysme lorsqu’elle me prend par la taille et me retourne comme une crêpe.

Elle se met en 69, attrape mes jambes et les écarte complètement. Elle fourre sa tête dans le creux et insinue sa langue dans mon sexe. Elle rencontre immédiatement mon clitoris et se met à le sucer frénétiquement. Elle me pénètre avec deux doigts et me branle profondément. Je coule comme une fontaine et elle lèche toute la cyprine que mon vagin déverse à flots.

A ce contact, je monte en flèche et, son entrejambe étant béant devant moi, je lui applique le même traitement. Et, moi aussi, je me régale de son divin jus.

En quelques minutes, nous atteignons toutes deux les sommets du plaisir et nous éclatons dans un orgasme violent qui nous laisse pantelantes …

— Oh, Mélanie, quel bonheur. Depuis le temps que je mourrais d’envie de faire l’amour avec toi. Merci de m’avoir offert ton merveilleux corps. J’espère que ça t’a plu aussi.

— Morgane chérie, je ne m’attendais évidemment pas à ça en acceptant de venir ici mais, rassure-toi, je ne le regrette pas. Je n’avais jamais fait l’amour avec une fille auparavant et, maintenant, j’ai hâte de recommencer.

Elle s’est remise à mes côtés et me caresse tendrement sur tout le corps en me regardant.

— Tu es vraiment belle. Mieux, tu es splendide. Tout ton corps est magnifique : tes seins, ta chatte, tes fesses, ta peau dorée … et ton mont de Vénus tout lisse. J’aimerais aussi avoir mon pubis aussi doux que le tien.

— Il suffit de te raser la toison une première fois puis d’épiler un à un tous les poils qui repoussent. Si tu le fais régulièrement, au bout d’un moment ils ne reviendront que beaucoup plus lentement.

— Tu voudrais bien me le faire ?

— D’accord, mais pas maintenant. Il est temps de se remettre au travail. Ce soir, si tu veux, je te le promets.

— Et comment que je veux ! Et ne t’inquiète pas pour nos études. Aujourd’hui nous révisions le cours d’anatomie … Eh bien, nous venons de faire les travaux pratiques !

Le reste de la journée est sagement consacré à nos révisions. Il est 21h00 lorsque nous avons fini de dîner, de faire la petite vaisselle et de tout ranger. Ce soir, pas de série télévisée, nous avons un autre programme !

— Mélanie chérie, il est l’heure de tenir ta promesse !

— Volontiers mais as-tu le matériel nécessaire … ?

— Oh, avec deux hommes dans la maison, je vais bien trouver un rasoir quelque part. Va déjà dans ma chambre, je vais chercher et je te rejoins.

Je vais donc l’attendre dans sa chambre. Je m’assieds sur le lit et je regarde autour de moi. Mon regard se pose sur un objet abandonné sur sa table de nuit. Il s’agit du gode dont elle se servait hier soir. Curieuse, je le prends en mains et l’examine. Il est très réaliste, en silicone très doux et a dû être moulé sur le sexe en érection d’un fameux étalon. L’engin est équipé de deux boutons de commande, apparemment l’un contrôle le mode de vibration et l’autre je ne sais pas quoi.

Comme j’entends Morgane revenir, je remets vivement l’objet où je l’ai pris.

— Voilà ce que j’ai trouvé : une petite tondeuse sur batterie, un blaireau et du savon appartenant à mon père plus un rasoir jetable qui vient de la salle de bain de mon frère. J’ai également amené un récipient avec de l’eau chaude, des serviettes et un flacon d’après-rasage. Ça te convient ?

— C’est parfait, il y a tout ce qu’il faut. Il ne manque plus que toi !

Elle me regarde en souriant et commence à se déshabiller. Comme elle ne doit plus me séduire, puisque c’est chose faite depuis cet après-midi, elle a mis une tenue plus sage pour terminer la journée : un bermuda et un tee-shirt. Et cette fois-ci, avec des sous-vêtements !

Elle retire d’abord son bermuda puis son dessus. Elle m’apparaît alors seulement vêtue d’un soutien-gorge en fine dentelle noire et d’un mini slip assorti. Sa peau blanche et lisse ressort sur le noir profond des sous-vêtements qui mettent ses rondeurs en valeur.

Elle entame ensuite un véritable strip-tease et ôte lentement ses derniers voiles qu’elle jette délicatement un à un sur le sol. Elle m’apparaît alors dans toute sa splendide nudité.

Morgane est très mince mais a une poitrine épanouie. Ses seins sont gros, ronds et pleins, fermes et bien dressés. Ils se terminent par deux petits tétons qui pointent au centre de ses aréoles roses. Elle a des hanches en amphore et des fesses hautes, galbées et dures. Enfin, elle a un mont de Vénus joliment bombé au centre duquel s’ouvre sa fente encore recouverte pour l’instant d’une légère toison rousse bouclée.

Je ne peux pas résister à cette apparition et je l’attire contre moi. Je me mets à la peloter partout, je l’embrasse, je lui caresse les seins, le ventre, les fesses … Je glisse un doigt dans son vagin puis dans son anus, puis dans les deux à la fois. Je la pompe tant et plus, ma bouche, ma langue, mes lèvres courent partout sur son corps, je deviens comme folle de désir …

— Doucement Mélanie, d’abord tenir ta promesse. Ensuite, toute la nuit nous appartiendra. Et pour ça, tu dois te mettre tout de suite dans la même tenue que moi car je ne pourrai pas attendre longtemps.

— Tu as raison, ce sera encore meilleur après. Vas-y, couche-toi sur le lit et écarte bien les jambes. Je dois pouvoir tout enlever sans rien laisser.

Elle se met donc comme je le lui ai demandé pendant que je me mets à poil. Je prends ensuite la tondeuse, la pose sur son pubis et la fais descendre doucement.

Morgane frémit.

Après avoir nettoyé son mont de Vénus, je passe sur ses aines et remonte à l’intérieur de ses fesses jusqu’à son anus. Elle m’a demandé de la raser donc pas un poil ne doit subsister !

Les vibrations de l’appareil tout près de son sexe lui font manifestement de l’effet car je vois son clitoris gonfler et son vagin palpiter. Ses petites lèvres sont déjà toutes humides et je dois faire un effort important pour me contenir tant j’ai envie de lécher ce fruit mûr.

Mais je dois d’abord achever ma mission. Je passe donc le blaireau à sec sur son ventre pour évacuer les poils coupés puis je le trempe dans l’eau chaude et mouille toute la zone à raser. Lorsque celle-ci est bien enduite de mousse, je passe prudemment la lame partout pour qu’il ne subsiste plus la moindre trace pileuse.

Je termine ensuite en passant une serviette pour sécher son ventre et son entrejambe et j’admire mon uvre. Le résultat est parfait, elle est aussi nue que le jour de sa naissance.

Pour ajouter la touche finale, je pose deux doigts sur sa fente pour protéger ses muqueuses et je pulvérise l’après-rasage afin d’éviter l’apparition future d’éventuels petits boutons.

Elle est maintenant là devant moi, complètement offerte, hurlante de désir. Et moi, je coule déjà depuis de longues minutes. Il est temps de prendre ma récompense …

Comme je me suis mise à genoux entre ses jambes pour la raser, je n’ai qu’à baisser la tête pour happer son sexe entre mes lèvres et le sucer. Elle m’inonde instantanément la bouche de sa cyprine que j’avale avec délice et, profitant de l’occasion, j’introduis trois doigts dans son vagin abondamment lubrifié et la masturbe lentement.

Morgane répond à chacune de mes pénétrations en poussant son bassin vers le haut ce qui l’empale profondément sur ma main. Elle gémit en permanence et accélère le rythme jusqu’à une cadence infernale. Je sens qu’elle ne va plus tarder à arriver et je suce frénétiquement son clitoris ce qui la fait exploser dans de puissants coups de reins.

— Ouiiiii … c’est bon … encore … Je viens … Aaah … je jouiiiiis

Et, pendant son orgasme, elle éjacule un jet de liquide qui m’arrose le visage.

Puis, elle retombe sur le lit, haletante, comme anéantie par sa jouissance, à la recherche de ses esprits. Lorsqu’elle émerge du nirvana, elle me regarde et me sourit :

— Je savais qu’avec toi ce serait merveilleux et ça l’a été ! J’ai joui comme jamais je n’y arrive quand je me branle toute seule. Merci mille fois… mais tu mérites mieux que des mercis. Toi aussi je veux te voir jouir à fond. Et je vais m’en occuper.

Morgane se retourne et saisit le dildo posé sur la table de nuit.

— Je suis sûre que tu sais ce que c’est. Mais as-tu déjà essayé ?

— En effet, je sais ce que c’est et non, je n’ai jamais essayé. Mais j’ai bien envie de me rattraper … surtout si c’est toi qui le manipules !

Et aussitôt dit, aussitôt fait. Elle tripote l’engin pendant deux secondes puis … le remet sur la table de nuit !

— Il faut environ dix minutes pour qu’il soit bien chaud. Car c’est moins agréable à froid.

— Ah, parce que, en plus, il chauffe !

— Bien sûr. Mais je vais te faire passer très vite ces dix minutes !

Elle me pousse sur le lit et s’étend sur moi. Elle frotte tout son corps contre le mien. Je sens sa vulve encore mouillée de cyprine danser une folle sarabande contre la mienne pendant que ses mains pétrissent mes seins qui sont devenus durs comme de la pierre.

Elle m’embrasse jusqu’au fond de la gorge puis descend ses lèvres sur mes tétons érigés et les suce comme pour en aspirer la substance. Elle reste un long moment à pétrir et lécher ma poitrine puis continue à descendre le long de mon ventre.

Elle est maintenant tout contre ma vulve et je sens son souffle chaud sur mon clitoris. Puis c’est sa langue qui s’empare de mon organe le plus sensible et commence à le lécher délicatement. Je sens mon clito gonfler et se remplir de sang, mon vagin est trempé et palpite, je gémis en continu, j’ai besoin d’un sexe mâle … et Morgane m’embroche d’un seul coup avec son gode brûlant.

Je ne l’ai pas vue venir mais elle m’a pénétré exactement au moment où j’allais lui hurler de le faire. Je sens les vibrations envahir tout mon ventre pendant que, par d’amples mouvements de va-et-vient, Morgane me masturbe avec son engin diabolique qui me donne vraiment la sensation d’être possédée par un vrai pénis.

Mon amie est très douée avec son joujou, sans doute le fruit d’une longue pratique, car il ne lui faut que quelques minutes pour me faire grimper aux rideaux et j’arrive dans de grands cris de jouissance. Tout mon corps est secoué de violents soubresauts, ma tête dodeline de gauche à droite, mes mains écrasent mes seins, mon sexe aspire le gode comme pour l’empêcher de sortir, mes lèvres tremblent et mes yeux pleurent à chaudes larmes … Puis, à mon tour, je retombe comme morte sur le lit.

Il me faut de longues minutes pour récupérer et lorsque je reviens à moi, j’attire Morgane contre moi et l’embrasse langoureusement.

— Mon Dieu, quel orgasme ! Je suis encore jeune et n’ai pas une très grande expérience sexuelle mais je n’avais jamais connu ça. Je n’imaginais même pas que cela pouvait exister.

— Oh, j’ai à peu près le même âge que toi et mon expérience n’est pas énorme non plus mais, depuis que j’ai découvert le plaisir que me procure mon jouet, je ne m’en prive pas, tu peux me croire.

— Je te crois … et vivement la prochaine fois.

Là-dessus, épuisées par nos ébats, nous nous endormons côte à côte sur son lit, les doigts enlacés.

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