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Les démons de Noémie – Chapitre 11

Les démons de Noémie - Chapitre 11



XI

Humiliations

Troisième partie

Noémie arriva sur le chantier, comme l’avait voulu René. Elle portait un long manteau sans rien en dessous et des escarpins noirs. Elle vit au loin Géraldi qui se tenait près d’un gros fourgon blanc et le rejoignit tant bien que mal, en marchant dans les gravillons. Le lieu était assez isolé. Elle vit cinq ouvriers qui s’affairaient sur les fondations d’une future maison. Tout cela ne lui disait rien de bon.

— "Ah ! Te voilà enfin, avec la tenue adéquate…", fit Géraldi avec un sourire moqueur.

— " Lâchez-moi avec vos blagues…".

— " Tu vas t’éclater aujourd’hui, tu vas voir."

Il frappa contre la porte du fourgon qui s’ouvrit. A l’intérieur, trois ouvriers en train de manger des sandwiches et de boire des bières s’arrêtèrent et regardèrent la belle Noémie, interloqués. La jeune philippine s’avança.

— "Cette jeune femme est à la recherche de sensations fortes…", expliqua René.

— "Hein ? Des sensations fortes ?", fit l’un d’eux.

Noémie ouvrit alors son manteau et découvrit son corps nu devant les yeux écarquillés des trois hommes.

— "Elle veux qu’on la tire ? Tous les trois ?", demanda l’un des ouvriers, un vieux un peu enrobé, à la peau sombre et avec une grosse moustache noire.

— " Oui.", répondit Noémie, rouge de désir et de honte.

Elle regarda les deux autres qui commençaient à peine à comprendre. Le plus vieux était mince et très dégarni avec quelques cheveux gris épars sur les tempes. Il avait d’énormes lunettes qui grossissaient démesurément ses yeux noirs. Son visage très anguleux et creusé était cisaillé par un sourire pervers, avec des dents jaunes. Il était habillé, comme les deux autres, d’un bleu de travail et de chaussures de sécurité noires. Le troisième était un gros bonhomme, très petit, avec des cheveux bruns longs et graisseux. Son visage était rouge avec un nez énorme et constellé de points noirs. De grosses joues entouraient des lèvres épaisses et des dents sales. Il était mal rasé et arborait une fine moustache brune. L’intérieur du fourgon dégageait une très forte odeur de transpiration et de bière que la jeune femme sentait depuis dehors. Elle laissa tomber le manteau à terre et se tint devant les trois hommes qui n’en perdirent pas une miette.

— "Le canon, dis-donc…", lança le vieux.

Noémie grimpa et se retrouva à genoux au milieu du fourgon. Les trois types bandaient déjà comme des taureaux. Elle s’assit sur ses fesses et croisa les mains sur ses cuisses. Ils sortirent rapidement leurs queues et commencèrent à s’astiquer en regardant la jeune asiatique. Les dimensions du fourgon permettaient de se tenir debout et la largeur était suffisante pour tenir à plusieurs. Le gros se leva d’un bond et se planta devant le visage de la belle philippine. Il se branla doucement face à elle. Le plus vieux caressa ses seins. Le dernier observait en ricanant. Noémie ouvrit la bouche et enfourna lentement la bite du gros. Elle puait terriblement. Il mit sa main sur la jolie tête brune en riant. Le vieux se redressa et colla sa queue sur la joue rosie de Noémie. Elle la saisit et la branla lentement. Le troisième larron ne voulut pas être en reste et imita ses deux collègues. La belle asiatique s’occupait à présent des trois membres durs et puants en même temps, un dans chaque main et un dans la bouche, alternativement.

Noémie était surexcitée et suçait avec ardeur les trois types. Dehors, Géraldi regardait la scène en souriant. Soudain, le gros partit s’asseoir dans le fond, dos contre la séparation de la cabine et tira la jeune femme vers lui. Elle écarta les jambes et s’empala sur la bite tendue, face à l’ouvrier. Ce dernier s’empressa de saisir les fesses dorées et de les pétrir tout en bourrant la chatte en feu de la belle métisse. Il lécha chaque sein en mordillant les tétons. Noémie bougeait rapidement son bassin, ses mains agrippées aux épaules du gros. Il sentait très fort et sa grosse langue râpeuse passait et repassait sur ses seins durs. Il la défonçait de plus en plus violemment. Le vieux s’approcha et enfourna sa langue dans la bouche de la jeune asiatique. Elle ferma les yeux, en transe et accéléra sa cadence. La bite du gros s’enfonçait au plus profond de sa chatte. Il finit par s’allonger et Noémie, toujours au dessus, offrit son petit trou à qui voulait bien. Elle gémissait fortement et tout son corps réclamait ces queues. Le vieux se positionna à l’entrée de son anus et s’enfonça d’un coup. Il la pilonna en cadence avec son ami. Le dernier vint planter sa queue dans la bouche pulpeuse.

— "Oh qu’elle est bonne, la salope !", lança le vieux.

— "Ouais, bordel ! Vas-y, bouges sur ma bite, salope ! T’en voulais des sensations fortes, hein ? », hurla le gros.

Noémie, la bouche prise, étouffait des cris de plaisir. Elle ondulait tout son corps pour encore mieux sentir les deux bites en elle. La double pénétration était devenue pour elle une source d’orgasme intense. Elle adorait ça, au-delà du « trouble ». Elle ne serait plus jamais la même à présent. Le moustachu l’attrapa par les cheveux et enfonça son pieu au plus profond de sa gorge. Elle manqua de vomir mais continua de sucer à fond. Les deux types avaient accéléré et la défonçaient violemment. Tout le fourgon bougeait et faisait des bruits étranges.

Dehors, Géraldi filmait avec son téléphone. Il se régalait du spectacle de cette jeune et belle femme baisée par ces types repoussants. Et se félicitait de pouvoir la contrôler à loisir et lui faire faire ce qu’il voulait. Il jetait un il de temps en temps sur les ouvriers qui travaillaient au loin, mais ils n’avaient visiblement encore rien remarqué. A l’intérieur du fourgon, les trois ouvriers s’acharnaient sur les trous de la belle Noémie. Le moustachu avait pris la place du vieux dans le cul béant et ce dernier se faisait sucer goulûment, tandis que dans la chatte ruisselante et écartelée, le gros allait et venait à un rythme fou. Tous transpiraient et les odeurs se mélangeaient. Les types grognaient et grimaçaient, haletaient et insultaient copieusement la jeune asiatique qui se donnait à fond. Elle avait déjà joui une fois. Le vieux reprit sa place dans son anus dilaté et le moustachu remit sa queue sale et odorante entre ses lèvres sombres.

— « Elle sent bon, hein ? T’aimes son bon goût ? Petite salope, bouche à foutre… », fit-il, les dents serrées, presque menaçant. « Je vais te démonter la chatte quand l’autre sera sorti, tu vas voir. Tu vas hurler comme jamais t’as gueulé, petite pute. »

Son ton et son regard étaient agressifs. Noémie était totalement soumise et attendait impatiemment le moment promis. Le vieux lui pilonnait le cul en hurlant :

— "Ah, oui, oui ! Ah oui, salope, prends tout ! Ah, putain, que t’es bonne !".

En dessous, le gros, en sueur, gémissait et poussait des « han » de plus en plus fort. Il la labourait de toutes ses forces. Le corps de Noémie luisait et tremblait sous les assauts. Sa chatte et son cul la faisaient souffrir et jouir en même temps. Elle  n’était plus qu’une poupée sexuelle aux mains de ces ouvriers.

Le gros décida d’échanger les places et le moustachu installa la jeune asiatique à quatre pattes. Il s’enfonça aussitôt dans la chatte béante. Ses comparses tendirent leurs engins devant la bouche de Noémie. Le type derrière elle tint ses promesses et la ramona comme aucun avant lui. Sa bite énorme l’écartelait littéralement. Elle hurla de surprise tant l’homme était violent et la prenait comme une chienne. Il avait retiré le haut de son bleu et était en marcel gris que son ventre gras avait fait remonter, si bien que ses coups de reins monstrueux étaient accompagnés par les claques violentes de sa peau contre les fesses de Noémie. Chacun leur tour, les deux autres emplissaient sa bouche avec leurs queues. Même avec une bite au fond de la gorge, la jeune philippine gémissait fortement. Le moustachu la baisait si violemment que sa chatte devint vite douloureuse. Mais elle prenait un pied fantastique. Il lui claqua une fesse avec force et la jeune femme trembla de tout son corps puis se raidit. Elle finit par jeter sa tête en arrière, libérant ainsi sa bouche et hurla de plaisir  Elle venait d’avoir un orgasme si intense qu’elle mit quelques dizaines de secondes à se remettre et savoir où elle était. Et le type continuait de la pilonner sans faiblir.

— « Eh ben, taimes vraiment la bite toi ! Incroyable, cette salope… », s’étonna le vieux.

— « Ouais, je vais bien la remplir de foutre moi ! », cria le gros.

Les autres éclatèrent de rire. Le moustachu se retira et coucha la belle asiatique sur le dos, puis s’allongea sur elle et la pénétra brutalement. Noémie avait à peine eu le temps d’écarter les jambes. Il engouffra sa langue dans sa bouche et lui roula une pelle tout en la baisant. Ses deux amis attendaient leur tour en se branlant. Le type en elle la ravageait sauvagement. Il la pilonnait sans vergogne. Noémie écarta au maximum ses belles jambes dorées et enroula avidement sa langue autour de celle de son baiseur. Après une dizaine de minutes, il se retira et céda sa place au gros qui se mit à la labourer aussi violemment que son prédécesseur. Un filet de bave s’échappa de ses lèvres et Noémie tendit sa langue pour l’avaler. Le type fourra alors sa langue dans la bouche pulpeuse de la belle métisse. Sa bite entrait et sortait de la chatte inondée à une vitesse folle. Il finit par grogner encore et se retira en faveur du vieux qui sempressa d’imiter ses camarades en investissant les mêmes orifices. Son haleine infecte surexcita encore davantage la jeune philippine qui ne put réprimer un énorme cri de plaisir. Puis les trois types se mirent à genoux autour d’elle, et après s’être vigoureusement branlés, inondèrent son corps en sueur.

Dehors, les choses avaient un peu évolué. Les cinq ouvriers restants avaient fini par se rendre compte que le fourgon était étrangement secoué. Et ils comprirent vite pourquoi en arrivant devant les portes ouvertes. Noémie retourna sa jolie tête empourprée et fixa les cinq types qui bandaient à mort. Géraldi continuait de filmer. Les trois compères, vidés, descendirent et laissèrent leurs camarades s’engouffrer dans le véhicule. Ils ricanaient en se disant qu’ils allaient quand même bien s’amuser avec la jeune asiatique encore pantelante. Elle regarda les nouveaux arrivants : un petit brun à l’air maladif, le visage creusé et très pâle, les cheveux courts et noirs les yeux verts, la trentaine ; un vieux au regard stupide, très gros, avec quatre dents manquantes juste devant, la cinquantaine, blond et frisé ; un grand type à la peau très foncée, cheveux noirs en brosse, le visage très anguleux avec un très long nez, la quarantaine ; un énorme type au visage rouge et au regard bleu pervers, front très dégarni, proche de la soixantaine et enfin un très jeune garçon blond, plein d’acné, l’air très stupide et très mince. Ils l’avaient entourée et la regardaient avec un mélange de surprise, de mépris et d’envie. Au centre, la jeune femme se remettait. Le vieux aux dents manquantes lui jeta une serviette et elle essuya le sperme sur elle. Ils sortirent leurs queues et commencèrent à s’astiquer. La belle se remit à genoux et ouvrit la bouche en grand. Le gros rougeaud enfonça sa bite dans sa gorge en lui tirant les cheveux. Le gamin agrippa le sein gauche et le malaxa sans ménagement, tout en se branlant. Le sein droit atterrit dans la main du grand type. Le gros édenté colla sa bite dans la main droite de la jeune philippine. Puis ce fut au tour du jeune d’enfoncer sa queue dans la bouche avide. Noémie se mit à sucer chaque queue avec ardeur, branlant les autres qui attendaient leur tour. Ils étaient épuisés par le travail et avaient décidé de juste se faire pomper et vider les couilles. La jeune femme mettait tout son cur à l’ouvrage et avalait les queues jusqu’à la garde. Les souffles se faisaient plus rapides et elle sentait que tout le monde était sur le point de cracher. Elle accentua alors ses pipes, léchant les glands luisants et puants, puis gobant les bourses de chacun. Elle titillait les freins de sa belle langue rose et avalait les verges jusqu’au fond de sa gorge.

Soudain, il y eut comme un moment suspendu, un long silence. Puis, dans un râle rauque, le gamin largua toute sa purée sur les cheveux de Noémie, qui suçait le grand type. Ce dernier, ne tenant plus, inonda la gorge de son foutre. Les trois autres finirent par jouir aussi et de longues giclées vinrent recouvrir la tête et le visage de la jeune asiatique. Le sperme dégoulinait sur ses joues, son front et ses cheveux. Elle recracha une partie du jus qu’elle avait en bouche qui coula sur son menton et finit sa course sur ses seins. Ce spectacle amusa les gars qui remballèrent leurs queues et sortirent en riant. Noémie resta figée, avec des filets de semences gluantes glissant sur ses cheveux et son visage. Elle haletait, l’air un peu hagard. Géraldi n’avait pas loupé une miette et grimpa à son tour dans le fourgon. Il sortit sa bite et l’enfonça dans la bouche de la jeune asiatique.

Quelques minutes plus tard, rhabillée, elle vit René parler aux ouvriers. Et quelque chose lui parut évident : il ne faisait jamais rien pour rien. Ce qu’elle avait subi aujourd’hui devait servir ses intérêts d’une façon ou d’une autre. Et le gangbang de l’autre soir n’avait pas de but précis. Ce n’était pas lui le commanditaire mais quelqu’un d’autre.

Une fois revenue chez elle, Noémie analysa la situation. Il lui fallait contrer Géraldi. Pour ça, elle devait avoir un allié. Michel, le beau-frère ? Ils avaient un ennemi commun. Elle devait avoir accès aux ordinateurs de Géraldi et à son portable. Et donc, détourner son attention pour pouvoir pénétrer chez lui. Un plan était en train de germer dans sa jolie tête.

Elle reçut un message sur la page « Chasseresse ». Le gros avait réagi enfin et donné le nom et le numéro de son complice : Marc Duverne. La belle entreprit aussitôt des recherches et finit par trouver son adresse. Il était marié. Un point de pression bien utile. Elle s’en était déjà voulue de ne pas avoir demandé au gérant de la station le nom de l’inconnu. Mais les choses tournaient enfin à son avantage. Elle pouvait elle aussi contrôler les hommes qui avaient profité de son corps. Elle remarqua, en regardant son portable, qu’elle avait un message vocal d’André. Sûrement avait-il appelé lorsqu’elle se faisait démonter dans le fourgon.

— « Noémie, c’est André Je Tu n’es pas là Il faut qu’on parle d’Olivier Il Tu ne sais pas tout, pourquoi ma femme est partie Olivier est pas celui que tu crois, c’est un petit fumier Je Faut qu’on se parle. Bye. »

Elle essaya de rappeler mais personne de répondit. Curieux message. De quoi pouvait-il être au courant ? Elle s’allongea sur son canapé, la tête pleine de questions et s’endormit.

Le lendemain, elle décida de contacter Michel. Elle se rappelait très bien de l’adresse de Géraldi et savait que le bar qu’il tenait était en bas de la rue. Elle ne tarda pas à trouver le numéro. Elle se présenta rapidement.

— « Ah tiens, la femme de mon neveu ! Prête à remettre le couvert ? »

— « Non, écoutez-moi. Je sais que Géraldi vous fait chanter. Moi aussi. On peut s’en débarrasser si on collabore. »

Il y eut un long silence. S’il refusait, la partie était perdue. Elle espérait que son envie de vengeance fut la plus forte.

— « Qu’est-ce que je dois faire pour vous convaincre ? », finit-elle par dire.

— « Venir en parler avec moi. Dans mon bar. »

Noémie savait comment cela allait finir si elle acceptait. Mais avait-elle vraiment le choix ? Ils convinrent d’un rendez-vous. Une fois les détails réglés, la jeune femme décida de se pencher sur la vidéo de la station. Elle fit défiler les images lentement, remontant autant qu’elle pouvait. L’homme qui avait changé l’angle des caméras l’intriguait. Qui était-il et pour qui travaillait-il ? Olivier ? Quelqu’un d’autre ? Le "cerveau" ? Et l’inconnu dans la salle de surveillance ? Il y avait beaucoup de gens impliqués dans cette sombre histoire. Tout ça pour quoi ? Son téléphone sonna : André la rappelait.

— « Noémie, enfin ! Je peux plus me taire, je sais des choses sur Olivier que tu dois savoir. Malgré ce que tu crois, je t’aime bien, tu sais… »

— « D’accord Vous avez l’air bouleversé »

— « Pardon, oui Je dois tout te dire Ma femme est partie parce qu’elle a découvert que j’étais gay Je ne voulais le dire à personne, je ne veux pas qu’on le sache,  tu sais comment c’est au village. »

— « Oui, je sais. »

— « Olivier l’a découvert depuis quelques mois aussi et menace de tout révéler. Il me fait chanter. »

— « Que voulait-il en échange ? »

— « J’ai des amis dans la finance et dans le milieu des banques. Il m’a demandé de lui ouvrir un compte dans une banque « discrète » Et il reçoit tous les mois de fortes sommes d’argent d’après un de mes amis. De l’argent non déclaré. »

Noémie était abasourdie. Olivier recevait de l’argent pour la mettre dans des situations scabreuses, c’était évident. Et il devait certainement fournir des preuves pour toucher son fric.

— « André, il faut absolument qu’on se voit. Je viendrais la semaine prochaine. Seule. »

— « Oui, d’accord… »

— « Ne vous en faîtes pas, on va le coincer, ce salaud. »

Elle n’en revenait pas. Elle était la cible d’un complot très élaboré, impliquant de nombreuses personnes. Et des gens qui avaient visiblement des moyens financiers importants. Mais quel était le but de tout ça ? Sa relation avec son compagnon était un mensonge. Qui d’autre était dans le coup ? Si Olivier devait fournir des preuves pour être payé, il devait avoir des complices. Aude ! Celle qui l’avait envoyé chez Géraldi, chez Verdier Qui avait son emploi du temps Qui avait accès au véhicule de fonction. Qui avait le matériel informatique et vidéo nécessaire pour pouvoir la filmer. L’appartement devait être truffé de caméras Si Noémie les trouvait et les enlevait, Olivier s’en rendrait compte et elle perdrait l’avantage. Elle devait encore attendre et élaborer un plan d’attaque.

Elle nota tout ce qu’elle venait de découvrir. Le type de la station devait certainement devoir récupérer les images pour Olivier. Mais il avait visiblement échoué. Une question la taraudait : Géraldi filmait tout. Mais était-ce pour la faire chanter ou pour les envoyer à son « compagnon » ? Peut-être avait-il décidé de jouer coup double

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