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Les hauts et les…bas – Chapitre 4

Les hauts et les...bas - Chapitre 4



Jeannedorée

Des hauts et des bas… 4

travesti

fantasme

Béatrice et ma femme

En satin ou en soie, les caracos sont accrochés à la poignée de l’armoire de la salle de bain… avec quelques autres pièces de lingerie parfois qui semblent encore chaudes du corps de leur occupante, ma femme. Placées à hauteur de verge au sortir de la douche, elles sont autant d’invitations à s’y frotter discrètement faute d’en disposer vraiment pour pouvoir les enfiler ou s’y branler.

La lingerie féminine, quand vous l’avez dans la peau et sur la peau, ça ne vous lâche pas. Fantasmes à portée de main(s) mais avec un goût d’interdit. J’en profite, par jeu un peu jouissif, pour me caler la queue entre les deux portes de l’armoire entre-ouvertes et la faire coulisser dans le fourreau soyeux.

A ce moment précis où j’ai aussi les deux pointes de mes tétons au bout des doigts en gémissant, la porte de la salle de bain s’ouvre! C’est Béatrice la femme de ménage et compagne de jeux parfois interdits, qui demeure… interdite. Elle ne s’attendait pas à me trouver là à cette heure là de la matinée. Moi je n’y pensais plus mais elle est là, en service avec chignon, blouse bleue et chiffon à la main. Seules ses jambes sveltes et gainées sur des talons devenus un tout petit peu plus hauts ces derniers temps pourraient éventuellement être sujets à inspiration, concupiscence ou mains baladeuses. Son regard est narquois

Broute maintenant

« Vous aimez ça aussi ? » glisse-telle.

Allez donc lui dire le contraire!

« Il sont beaux, surtout le blanc. Il est doux mais aussi brillant lisse et excitant » lui dis-je.

Je continue à m’astiquer le sexe en douceur, ayant délaissé le fourreau des portes entre-baillées pour une main pendant que l’autre décroche le caraco blanc. Béatrice me le prend alors des mains et elle y plonge un temps son nez avec bonheur et délicatesse.

«  Et puis, dit-elle, il y a l’odeur de madame ».

«  Vous connaissiez l’odeur de madame, vous? »

Elle pique un petit fard et répond très vite « Ben oui, le linge dont je m’occupe et de temps en temps une petite culotte à renifler ou…à recycler ». Allusion a peine déguisée à une de nos premières parties de jambes en l’air mais il me semble qu’au fond, les choses ne sont pas si élémentaires que cela. «  Et dans ce caraco vous avez senti ça? »

Béatrice se trémousse sort sa langue, lèche la petite bordure en broderie et confesse qu’avec les seins de ma femme dedans, «  c’est encore meilleur surtout quand les pointes sont bien dressées » surtout « quand je peux lui glisser quelques doigts dans la chatte ou dans le cul ».

Sue le cul, c’est moi qui y suis. Je rêve! voilà qu’en clair elle me dit qu’elle se gouine avec la patronne, c’est à dire ma femme, alors que je pensais nos jeux très réservés totalement exclusifs. Il y a non plus une mais deux salopes dans l’histoire! Trois avec moi qui adore les histoires et les habits de femmes. Je reprends le caraco, me le glisse autour de la queue et dis à Béatrice de lécher le tout. Plus de raisons de prendre de précautions.

« Vous le laverez ensuite en lui disant que vous l’avez taché par inadvertance ».

Quand je pense qu’il y a trois mois cette femme était aussi excitante qu’un cachet d’aspirine!

Le sentiment de liberté et d’impunité éprouvées à présent avec mon sexe à la fois dans le satin du caraco et dans la bouche de ma femme de ménage m’excitent. Je me lâche assez vite, Béatrice accroupie jambes écartées devant moi, jupe légèrement remontée, absorbe mon sperme à travers le tissus. Je lui vois la chatte à travers les collants….Au moins elle a retenu ça: plus de culotte.

Le voyeur virtuel de ma femme

« Et avec ma femme, ça s’arrête aux seins? Et ça arrive souvent? »

«  Oui et non. Enfin, non et oui; ça ne s’arrête pas aux seins et c’est assez fréquent ».

En clair, elle y passe ou elles y passent. Depuis quelques temps j’avais cru déceler la présence ou des allusions à des godemichés ou à un vibro-masseur dans la maison…

« Faut bien que je m’occupe » me disait mon épouse avec en prime une allusion aux temps qui sont durs… « eux! ». Un peu raide mais elle me foutait la paix et comme elle ne voulait pas rentrer dans mon goût du travestisme les choses allaient bien comme ça.

A présent une curiosité un peu malsaine et finalement pas justifiée me donne envie d’en savoir plus sur leurs galipettes. Il y a aussi le fait que je ne veux pas lâcher mon avantage sur Béatrice, quelques minutes après avoir cru que c’est elle qui me prenait en faute.

« Ah ma petite salope! » Je lui arrache sa blouse et lui retire son pull sans ménagements.

Une fine chemise et un soutien gorge sans génie se révèlent. « Enlève ça et ta jupe! » Je lui fais enfiler le caraco frippé et souillé mais ça lui donne déjà une autre allure et je la pelote frénétiquement…

«  Ah tu sens ma femme »…ma main se glisse sous le collant et arrive à sa chatte déjà gluante que je pétris avec fougue avant d’y enfoncer deux doigts qui rentrent en elle comme un crochet. Elle se retrouve suspendue à ma main et à ma volonté. L’idée qu’elle broute ma femme ou se laisse manger voir pénétrer par elle ou ses instruments ne me déplait pas, au contraire! Mais j’ai envie de savoir. Comment, où, dans quelles tenues, quels bas…

je les imagine en robes ou à poil, mais de préférence un peu habillées encore, les seins sortant du soutien gorge et la culotte autour d’une cheville. Je veux en jouir en voyeur virtuel, savoir ce que c’est que par exemple que ce parfum d’urine que je sens parfois dans la douche et même dans la cuisine ou sur une paire de chaussures. Un plaisir de la douche dorée que ma femme ne m’a jamais accordé. Ca la bloque me dit-elle…

Colliers de chienne

Pas avec Béatrice manifestement! Je veux en avoir le coeur net alors je lui pince les seins pour qu’elle lève la tête vers moi et me le dise en pleine figure, qu’elle me pisse son histoire dans la gueule. « C’est moi qui n’en pouvais plus un jour, me confie-t-elle et j’ai laissé échapper un petit jet que ta femme à avalé, essuyant même les traces sur mon sexe en riant. J’étais gênée mais elle a affirmé qu’elle en reprendrait bien. Du coup je n’étais plus gênée du tout, soulagée à tous les sens du terme et c’est comme ça que nous avons commencé sérieusement à nous pisser dessus ».

« Continue, petite pute! »

« Dans nos mains, sous la douche et même l’autre jour sur la table de la cuisine. C’était à son tour d’avoir le collier et d’être au bout de la laisse. J’ai grimpé sur la table et accroupie sur un des bord, j’ai envoyé des jets que je lui ai demandée de lécher ».

Le fantasme de la chienne et de la laisse! Et à part ça….Je prend Beatrice par les avant-bras que mes mains serrent devant son torse. Elle raidit sa colonne, jette sa tête en arrière comme pour chercher de l’air.

« Ça a commencé comment tout ça? »

«  Le jour où elle s’est rendu compte qu’il se passait quelque chose avec ses culottes. J’ai fini par lui avouer que j’aimais ça, que ça m’excitait d’imaginer sa chatte là dedans, de penser à la petite goutte après les toilettes, à la sueur des jours chauds et aux coulures des fantasmes devant certaines situations…. et elle m’a dit que décidément elle vivait avec des obsédés!

« Mais je crois qu’elle n’est pas mal non plus. Elle me brosse le sexe et me fait laver le cul à chaque fois avant et après qu’on se gouine en regardant tout, m’enfonce parfois le manche du balais de chiottes de l’étage dans le cul en me demandant de le lécher pour vérifier …puis me met un autre manche ou un petit rouleau à pâtisserie dans l’arrière train tout en me glissant le vibro dans la chatte et en me tirant le bout des seins comme une folle….

Je rebande comme un fou, lache les mains de Béatrice et mets ma femme de ménage à quatre pattes sur le tapis de la salle de bains. Je déchire son collant avec rage et jouissance et lui crache sur la raie, remonte un peu de mouille de sa chatte. « Là ce n’est pas un manche, c’est ma queue et tu lui dira qu’elle est bien raide quand elle m’excite par ton intermédiaire. C’est vos deux culs que je prendrai un jour, l’un après l’autre pendant que vous vous roulerez une pelle et avant de me lécher les couilles. Une chacune »

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