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Les jolis pieds de ma belle-soeur – Chapitre 1

Les jolis pieds de ma belle-soeur - Chapitre 1



Les jolis pieds de ma belle-sur.

Ah les vacances en famille ! C’est une tradition dans celle de ma femme Tous les ans en juillet, elle retrouve ses surs avec maris et enfants en Bretagne, dans une vieille maison qui appartenait à leurs parents. Elle est grande, un peu isolée, avec du terrain et une piscine, et c’est là que l’an dernier j’ai connu une expérience inoubliable

C’était la fin du séjour, tout le monde partait retourner travailler ou vers d’autres lieux de vacances, et je me suis retrouvé le vendredi  vers midi seul avec ma belle-sur Claire, après le départ de ma femme et des autres membres de la famille. Nous devions partir le dimanche soir après avoir nettoyé et fermé la maison jusqu’à l’année suivante.

Claire porte bien sa quarantaine, les cheveux blond vénitien coupés au carré, les yeux bleus et une silhouette sportive mais féminine. Son teint clair est vite piqué de son au soleil. Elle est assez BCBG mais en vacances elle se décontracte vite et nous passons souvent de bons moments.

La fin de Juillet était torride et nous venions de déjeuner frugalement quand Claire me dit :

« -Bon je vais faire un petit plouf, et comme on est seuls tous les deux j’y vais à poil ! Je suppose que tu n’as rien contre ? »

Elle ponctua sa question d’une illade friponne qui me laissa interloqué.

Elle marcha jusqu’au bord de la piscine, juchée sur ses mules à talons et enleva sa robe d’été. Elle était belle, nue, avec ses seins lourds, une chaîne d’esclave à la taille et une autre à la cheville, son sexe épilé. Il y avait longtemps que je la trouvais fort désirable, mais là elle était carrément excitante et je sentis une douce langueur envahir mon bas ventre à ce spectacle bandant.

Elle plongea, prenant soin de bien présenter à mes yeux ébahis ses fesses rebondies, et réapparut, se retournant  face à moi, lissant ses cheveux des deux mains, ruisselante, la poitrine tendue, soupirant de plaisir.

« – Viens vite ! C’est délicieux ! »

J’étais très excité et très gêné aussi, je me demandais comment me débrouiller avec l’érection déclenchée par ce charmant spectacle

Je n’hésitai pas longtemps, me débarassai de mon bermuda et de mon boxer short avant de plonger à mon tour.

Je fis quelques brasses sous marines qui me permirent de me repaître de la nudité épanouie de Claire, et émergeai tout près d’elle.

« – Ben dis donc ! C’est moi quoi te mets en forme comme ça ? » dit-elle.

« – Il faut croire, oui.. » répondis-je en souriant.

Alors Claire se colla contre moi, mit une main sur ma nuque et sa langue dans ma bouche.  Je lui rendis son baiser, longtemps Nos langues se mêlaient, roulant l’une sur l’autre et elle me mordillait les lèvres… Je sentais ses seins durcir contre mon torse et lui pris les fesses à pleines mains avides. Elle se recula pour serrer mon sexe durci entre ses cuisses et ondula du bassin en me murmurant à l’oreille :

« -Tu aimes ça, dis ? Ca fait très longtemps que j’en avais envie, tu sais Touche moi encore, touche moi partout ! »

Claire aime bien ordonner… J’obtempérai et la caressai encore, ses hanches, son dos, ses fesses, sa nuque… Elle soupirait de plus en plus fort et commença à gémir doucement Elle se retourna et colla ma bite maintenant de marbre entre ses fesses continuant à se tortiller.

« -Branle-moi ! » ordonna-t elle.

Je m’exécutai, glissant mon majeur dans la fente de velours, ne tardai pas à trouver le point sensible que je commençai à titiller doucement. Elle gémit plus fort cette fois, et se cambra en tournant la tête pour que je lui suce la langue De ma main gauche je lui agaçai les tétons, les roulant entre mes doigts, les pinçant doucement, puis de plus en plus fort sans cesser de triturer son clitoris ce qui lui fit ahaner des sons informes et de plus en plus rauques.

Puis elle jouit dans un interminable « ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii »

Elle se recroquevilla dans mes bras comme une enfant épuisée, enfouissant sa tête au creux de mon épaule, encore parcourue de frissons, puis se mit à rire doucement en sentant que je ne cessai pas de bander.

« -Sortons, on sera mieux ! » Elle m’entraîna hors de la piscine, prit mon sexe dans sa main pour m’emmener et me fit me coucher sur un matelas gonflable.

« – A ton tour, je vais m’occuper de toi ! »

S’allongeant à coté de moi elle lécha mon flanc, descendit jusqu’à mes hanches et me prit en bouche. Ses doux va-et-vient me rendaient fou, elle ne s’arrêtait que pour me lécher doucement le gland et les couilles et je sentais venir un orgasme dément. Je me tournai  sur le côté, et attrapant sa cheville, me mis à lécher son pied et suçoter ses orteils, elle roucoulait de plaisir !

« J’adore tes pieds, soufflé-je caresse moi avec »

En souriant, assise  entre mes jambes qu’elle écarta au maximum,  Claire se mit à me masser les couilles avec ses jolis doigts de pied vernis de rouge foncé, c’était divin Son gros orteil gauche se faufilait dans ma raie et je me mis à me trémousser en soupirant jusqu’à ce qu’elle comprenne

« – Tu le veux dans le cul ma salope ! Tiens ! »

Elle me fouillait l’anus maintenant, allant et venant dans mon petit trou et je perdis la tête…

« – Oh oui encule moi Chérie, vas y plus fort ! Bien à fond !»

« -Tu vas voir mon cochon, je vais te faire gicler pendant que tu vas jouir du cul comme une petite chienne ! »

Et soudain je déchargeai à longues coulées épaisses en criant, cambré et empalé, souillant mon ventre avant de retomber lourdement  sur le dos, à la recherche de mes esprits

Alors Claire se coucha sur moi, me lécha le ventre et le torse, avant de m’embrasser et de me caresser très tendrement

« -Je crois bien qu’on ne va pas du tout s’ennuyer jusqu’à dimanche, mon Chéri »

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