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Les locataires du gite – Chapitre 1

Les locataires du gite - Chapitre 1



cette histoire s’est passée l’été dernier.

Mes parents ont un gîte à la campagne qu’ils louent. Ils avaient eu une demande pour un week end et comme ni l’un ni l’autre ne pouvait être présent ils me demandèrent de bien vouloir accueillir nos hôtes.

Je vacquais à différentes tâches entre bricolage et jardin. J’étais donc habillé en conséquence avec des vêtements plutôt crades. Ne sachant pas trés bien l’heure à laquelle ils allaient arriver je me voyais mal perdre ma journée à attendre.

En milieu d’apres midi, une voiture arriva. Je m’attendais à voir un couple mais je fus agréablement surpris de voir 2 nanas.

Je m’excusai pour ma tenue campagnarde et en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire je leur expliquai que mes parents n’avaient pas pu les accueillir, que j’étais tout seul pour le week end et que j’étais chargé de les installer.

Je leur fis la visite et pris aussi un peu de temps pour les matter plus en détail.

Elles avaient entre 25 et 30 ans; L’une me plaisait beaucoup. L’autre n’était pas mal malgré tout.

Après avoir répondu à leur question je m’eclipsai et regagnai la maison juste à côté retournant à mes occupations. Il faisait une journée ensoleillée, et assez chaud et c’était bien agréable de sentir les rayons du soleil réchauffer ma peau.

Un moment passa et je vis les 2 nanas se diriger vers la pisicine. Elles portaient un 2 pièces laissant apparaître de jolies petits ventres plat ainsi que de belles paires de fesses.

Ca faisait un moment que je n’avais pas touché de filles et j’avoue que ca me chauffait au niveau du bas ventre…

la fin d’apres midi passa, je pris une bonne douche et quand elles eurent fini avec la piscine je pris leur place.

Puis je suis remonté et me suis changé cette fois-ci en mettant des vêtements de ville.

Le jour tombait, le jardin sentait bon et je profitai de ce moment pour me poser et fumer une cigarette sur le terrasse en écoutant un peu de musique.

Je laissai flâner mon esprit quand tout à coup, l’une des nanas arriva. Je lui demandai s’il tout allait bien ou s’il y avait un problème.

"Pas du tout" me répondit-elle " tout est OK, on est trés bien installé" Puis après un bref instant, il me dit " Vous nous avez dit que vous étiez tout seul ce week-end donc est ce que vous voulez venir prendre l’apéro avec nous ? "

je leur répondis que c’était trés gentil et que ce serait donc volontiers.

On installa la table et on déboucha une bouteille de vin. L’air était doux, la lumière magnifique. On parla de choses et d’autres comme le font des gens qui ne se connaissent pas. On parlait un peu de nos vies respectives. La conversation roulait bien et les filles étaient sympas.

L’heure tournait, la bouteille était presque vide et je leur dis que j’allais les laisser tranquille pour dîner;

L’une d’elle me dit que c’était trop bête de partir comme ça et que si je voulais rester dîner avec elles se serait bien, sauf si bien sur j’avais prévu autre chose.

On fit donc un barbecue, je sortis une bouteille de la cave paternelle et la soirée pouvait débuter. Les filles mirent la table, je m’occupais du barbecue cette petite soirée improvisée démarrait trés bien.

Pendant le dîner la conversation roulait bien mais malgré tout, une des filles me plaisait plus que l’autre et je ne sais pas trop mais sa copine se faisait plus discrète.

A la fin du dîner, cette dernière s’excusa mais nous dit qu’elle avait un mal au ventre pas possible et que de plus elle allait se coucher car elle n’en pouvait plus. C’était trop beau pour être vrai ! J’allais me retrouver seul avec elle rien que pour moi ! Je lui demandais quand même si elle ne voulait pas que je les alisse pour qu’elle s’occupe de sa copine mais me dit que tout irait bien, que elle, elle n’avait pas sommeil et que de toutes façons on ne pouvait pas grand chose pour elle. Elle alla quand même voir si ça irait et revint …avec un grand sourire !

On se resservit un petit verre. Elle me demanda si j’avais envie d’aller me baigner dans la piscine. Je lui ai dit que pourquoi pas mais que je n’étais pas certain de rester longtemps dans l’eau car elle était encore un peu fraîche. Elle alla enfiler son maillot et moi j’avais la flemme d’aller chercher le mien. Quand elle revint elle m’interrogea pour savoir pourquoi je ne m’étais pas changé. Je lui répondi que ca ca ne la génai pas je me baignerai en caleçon. Pas du tout me dit elle mais dans ce cas là tu ferai mieux de te baigner à poil. Ce n’est pas moi que ca allait gêner si elle n’y voyait pas d’inconvénients.

On rentra dans l’eau éclairée par le phare. Dehors il faisait bon mais l’eau était fraîche. J’avais un peu froid mais ce bain eut le mérite d’attenuer les verres de rosé bus jusque là.

Elle sortit elle aussi assez vite et s’enroula dans la serviette avant de venir à côté de moi sur le banc.

Je tentai de la frictionner dans le dos pour la rechauffer et ma lacha qu’elle était bien ici sous les étoiles au calme à la campagne. On était dans l’obscurité avec juste la lueur de la lune au dessus de nous.

Je gardai mon bras sur son dos elle se lassa faire et ne dit rien. Son odeur m’enivrait et j’avais trés envie de l’embrasser. Je lui fis un bisou dans le cou elle se retourna et m’embrassa tendrement.

Elle sentait bon et j’avais envie de l’embrasser partout. Mon sexe commençait à pointer sous la serviette, j’enlevai le haut de son maillot. Elle avait un petite poitrine ferme magnifique comme j’aime. Entre la fraicheur du bain et mes coups de langue ses tétons était durcis. On commençait à se chauffer mais la margelle en carreau de la piscine n’était pas trés confortable pour des ébats plus poussés. On n’osait pas aller dans une chambre car sa copine aurait été juste à côté. On s’est donc rabattu sur la terrasse.

Elle alla jeter un coup d’oeil pour voir si sa copine dormait toujours. Elle revint avec son pareo noué autour de la taille. Elle me regard fixement dans les yeux et le laissa choir parterre. Elle était nue debout devant moi. Je la regardais de la tête au pied; Elle avait les levres lisses et juste une petite touffe de poils bien taillée sur son mont de Vénus. On s’assis sur la canapé et on se caressa longuement. J’exitait ses tétons, elle m’embrassait dans le cou, n’en pouvant plus je laissai une main baladeuse se faufiler entre ses cuisses. Mes doigts glissaient entre ses lèvres gonflées et humides. Il ne fut pas bien difficile de trouver son bouton d’amour sorti de son capuchon. J’avais envie d’elle autant qu’elle de moi. Je lui glissai à l’oreille que je désirai la prendre mais que je n’avais pas de capote. La coquine me fit un clin d’oeil et attrapa un préservatif qu’elle avait pris quand elle alla voir sa copine qui dormait…

Elle vint vers moi et pris mon sexe en bouche. C’etait délicieux ! J’étais tellement excité que je lui demandai de s’arreter sinon j’allais jouir.

Elle cessa un instant et enfila le capuchon de latex. Elle se mit contre la table debout et me tendait ses fesses. Je la pris donc debout en levrette. On aurait dit que nos sexes étaient faits l’un pour l’autre. Je la pilonnais variant la cadence. Elle gémissait me demandant de ne pas arrêter qu’elle jouissait. Quand je lui dis que j’allais venir a mon tour elle se retourna brusquement m’enleva la capote et me masturba a genou devant moi. Elle voulait me voir éjaculer ce que je fis rapidemant sur sa poitrine.

Nous nous sommes embrassés. Je n’avais pas envie de rentrer pour dormir seul et elle avait aussi envie que je passe la nuit avec elle.

On a pris la chambre d’a côté et nous avons dormi tous les deux alterant les phases de sommeil et de caresses.

Le lendemain matin au réveil la copine nous demanda si la nuit fut bonne avec le sourire aux lèvres.

Je soupçonne que son mal au ventre de la veille fut une parade pour laisser sa copine tranquille avec moi…

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