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Les Servantes d'Artémis – Chapitre 1

Les Servantes d'Artémis - Chapitre 1



La jeune femme prit une grande inspiration. Sur lécran face à elle se trouvait écrit en gras « Accepter la demande de transfert », celle-ci voulut se retourner et regarder en arrière. Mais cela était-il simplement envisageable ? Non, elle avait tout claqué en fermant la porte de sa maison. Son passé nexistait plus. Pourquoi ? Je nai pas le cur à vous le dire. Tout ce que je peux affirmer cest que cette jolie brune ne rentrera pas chez elle ce soir, ni les autres dailleurs. Pourtant, alors que tout était prêt pour une nouvelle vie, la jeune femme hésita. Elle regarda à droite et à gauche la grande avenue était noire de monde pourtant notre jeune héroïne se sent toujours aussi seule. Son regard passa une fois de plus sur lécran, ces yeux noisette parcouraient les lignes une nouvelle fois. Non sans mal et après une grande inspiration elle appuya sur le bouton accepter. Son esprit se vida et elle eut la sensation de tomber dans les pommes.

« Sujet numéro 4591. En attente de transfert. » Répétait une voix mécanique. La jeune femme voulut se lever mais une force invisible lempêcha de faire un mouvement. Tout ce quelle savait cétait quelle se trouvait allongée. Où ? Elle ne saurait que dire, il y avait au-dessus delle une lampe assez forte qui lempêcha de se repérer correctement. Elle se résolut donc à attendre patiemment son sort. Une boule dangoisse se forma dans son ventre après de longues et interminables minutes. Puis un déclic se fit entendre comme lors ce que lon ouvre une porte. Une silhouette blanche se fit voir. Linfirmier ou ce que la jeune fille prit pour un infirmier regarda son lit avant de prendre quelques notes sur un bloc-notes avant de sortir. Les yeux lourds elle sendormit sans s’en rendre compte. Elle fut réveillée par plusieurs mains qui… la déshabillaient… Deux ou trois infirmières lui retirèrent un à un ses vêtements jusquà ce quelle se retrouve toute nue sur le lit ou elle se trouvait. On lui rasa les poils de sa jeune chatte.

Mais ce qui étonna la jeune femme cest quaucune personne ne tenta de la toucher du moins de façon malsaine. Au contraire les jeunes femmes qui lentouraient étaient très respectueuses. On brossa ces cheveux et on la parfuma, linquiétude nouait tout de même le ventre de la jeune femme. Puis elle se retrouva à nouveau seule, elle voulut rester éveillée mais ses paupières étaient si lourdes quelle sendormit presque instantanément dans un sommeil sans rêve. Quand elle ouvrit les yeux une femme dans la cinquantaine les cheveux grisonnants se tenait devant son lit, elle portait un uniforme blanc avec une bande grise qui partait du col qui descendait jusquà la ceinture.

« Sujet 4591 suivez-moi je vous prie. » Dit-elle avant de se retourner pour sortir. Notre héroïne se leva et suivit la femme comme un automate. Passant dans un long couloir, elle avait une très jolie peau, fine et lisse qui avait dû faire tourner quelques têtes. Elles entrèrent dans une autre salle ou plusieurs vêtements étaient rangés. Ils étaient tous marron clair, ou noirs. La femme en uniforme blanc fixa notre jeune héroïne avant de lui demander quelle était sa taille de soutien-gorge. Notre héroïne répondit machinalement « 90 B ». Lautre femme ouvrit un grand tiroir à sa gauche et sortit un soutien-gorge sombre et une petite culotte noire. Une fois habillée, elle lemmena dans une autre grande salle. Une cuve ancienne était posée au centre, entourée de deux flammes.

« Comme toi jai reçu un nom : Ophédia, lors ce que jai vu la lumière, à présent tu vas entrer dans le monde de la Vérité avec un autre nom et cest le Feu qui le décidera. » Dit Ophédia dune voix presque irréelle. La jeune fille sapprocha de la cuve, au fond reposait un papier plié en quatre. Ophédia lobservait, dune attitude qui se voulait neutre mais notre jeune héroïne savait au fond delle quelle lobservait. En se tournant vers la cuve elle prit le papier et le déplia. Sur celui-ci était inscrit en lettre dor. « Clara ». Elle se tourna vers lautre femme qui la fixait durement.

— Comment tappelles-tu ?

— Clara !

Bégaya la jeune femme.

Ophédia vint alors la rejoindre en déclarant. « Bien vient tincliner devant Artémis notre déesse à toutes maintenant. » Elle tendit la main à Clara quelle accepta sans peur. Ophédia lui offrit un magnifique sourire avant de lemmener dans une autre salle. Clara et sa guide passèrent dans plusieurs salles avant darriver. Une statue géante de la déesse grecque était présente. Mais le sculpteur avait pris quelques libertés. En effet le haut de la statue était nu, pendant que le bas était taillé ce qui ressemblait à une petite jupe qui arrivait mi-cuisses. Ophédia alla sincliner devant la déesse et alla vers une petite boîte qui se trouvait aux pieds de la statue. La femme se tourna vers Clara et dit.

— Tu devras gravir les échelons pour pouvoir baiser sous les yeux de ta déesse.

— Je suis prête à les gravir, Ophédia.

— Bien tu commenceras à léchelon de servante. Tu devras nettoyer les prêtresses.

— Comment ? Avec quoi ?

Dit Clara en regardant la pièce à moitié vide.

Ophédia sortit sa langue et mima ce quelle devait faire. Ophédia montra ces pieds, la jeune femme comprit et vint se positionner à quatre pattes sur le sol. Elle prit un pied de sa supérieure et le leva à sa hauteur ce qui découvrit lépaisse toison qui recouvrait la chatte dOphédia. Avoir la vue de cette chatte excita Clara qui commença le nettoyage de la prêtresse. Ses pieds ces jambes, elle monta jusquà sa chatte avant que lautre femme stoppe son élan.

— Tu nas pas le droit de toucher la chatte ni le cul des prêtresses avant den devenir une. Lentorse au règlement est sévèrement punie ici… Mais javoue que tu mexcites beaucoup je te permets de me lécher mais ne va pas croire que cela de donne une place de choix… Dailleurs avant de tester lanal tu devras porter un plug à queue en lhonneur de notre déesse… Fais bien ton travail sinon tu seras punie.

Ophédia enleva sa culotte et montra sa chatte à Clara. Elle était fraîchement rasée ce qui excita Clara, la jeune femme commença à embrasser le contour de labricot de la prêtresse avant daller titiller le clitoris dOphédia. Clara ouvrit les deux lèvres de la chatte de son amante et y pénétra la langue. Elle aspira, lécha la chatte de sa supérieure qui lencourageait avec de petits soupirs. Elle sappliqua jusquà ce quelle sente une main ferme la prendre par larrière du crâne. Clara sentit la mouille de la prêtresse remplir sa bouche puis sa gorge. Elle déglutit goulûment pour ne perdre aucune goutte de ce nectar. Pendant ce temps-là, Ophédia avait lâché un puissant orgasme, elle sétonna du savoir-faire de la nouvelle servante.

La supérieure se rhabilla, et cria.

— Dalfée ?

— Oui grande prêtresse ? Dit une jeune femme rousse en entrant. Jolie femme légèrement ronde Dalfée demeurait une belle femme en chaire.

— Voici Clara une nouvelle servante de la déesse. Assure-toi que tout rentre dans lordre.

— Bien grande prêtresse.

Dit Dalfée en s’inclinant.

Clara se tourna vers Ophédia mais celle-ci ne la regardait plus. Elle était plutôt tournée vers la grande statue de la déesse grecque comme hypnotisée. Clara se tourna alors vers Dalfée et la suivit comme un automate.

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