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Les vacances de Paques 2011 – Chapitre 1

Chantier - Chapitre 1



Nous sommes à la veille des vacances de Pâques, la douce chaleur printanière nous fit prendre des vacances en Espagne à Salou, à cette époque de lannée seuls les retraités de toutes nationalités y affluent, lorsque je dis-nous, je veux dire maman et moi. Elle na jamais été mariée et je suis le fruit dune relation courte de maman à ses dix-huit ans, lâge où lon ne pense pas au lendemain. De mon père je ne sais pas grand-chose hormis le fait quil était dans la même classe que maman et quils ne sortaient que le week-end et je fus conçu dans une vieille grange appartenant à mes grands-parents, puis à ma naissance elle ne revit jamais mon père qui disparut de la région.

Cest aussi ma première année de fac, je ne sais pas quoi faire pour linstant, jhésite entre deux options droit ou médecine, maman elle travaille dans le milieu immobilier où elle est directrice de son agence, elle emploie trois personnes et peut sabsenter tout en la laissant ouverte. Donc aujourdhui samedi nous prenons la route vers le soleil et la mer, nous conduirons chacun notre tour. Après six heures de voyage nous voilà à lhôte, un véritable palace 4 étoiles, nous sommes au 4ème étage, une belle et confortable chambre avec deux grands lits, télévision, bar salle de bains ect.. Là maman me demande.

— Veux-tu prendre une douche avant le repas ?

— Oui, mais vas-y en premier, je me reposerais bien un peu avant.

— Daccord. Et elle senferma dans la salle de bain, tandis que moi après avoir ôté ma chemisette et mon pantalon je mallongeais en caleçon sur mon lit, et finis par massoupir. Après une demi-heure je rouvris les yeux, je nentendais plus de bruit. Jallais frapper à la porte de la salle de bain et fus autorisé à y entrer. Maman en string et soutien-gorge était en train de se maquiller. Surpris je fis demi-tour.

— Non jai fini je te laisse la place et elle libéra les lieux, elle referma la porte en sortant. Cest la première fois que je la voyais en petite tenue, je lavais déjà vue en maillot de bain mais leffet nest pas le même. Pour trente-neuf ans je dois dire que cest une très belle femme brune bien élancée, une poitrine au galbe parfait, une paire de fesses bien rebondie, enfin de quoi satisfaire un homme si elle le voulait bien. Sous la douche je me pris les yeux fermés à rêver et un début dérection se fit sentir et finit par se confirmer tant et si bien que je bandais bien ferme lorsque la porte souvrit. Cétait maman qui voulait récupérer ses sous-vêtements du voyage.

— Oh pardon mon ange, je mexcuse et elle referma la porte. Elle mavait vu la « bite » à lair et au garde à vous. Après mettre habillé je la rejoignis dans la chambre prête pour aller déjeuner. En Espagne les repas sont servis à partir de 13 h et nous voilà dans le restaurant de lhôtel, rien ne manquait : entrées buffet à volonté de même que le plat principal avec plusieurs choix et les desserts abondants et variés. Après le repas nous nous rendons au bar prendre un café et dun commun accord nous décidâmes dune petite sieste avant notre première sortie en terre espagnole. Tout comme à larrivée je retirais mais vêtements pour métendre en caleçon sur le lit, et maman en fit de même elle se coucha en sous-vêtements. Gêné, je me retournais vers le mur. Voilà deux fois que je vois maman en petite tenue et sen est trop pour ma jeune personne ma queue pour lheure sen ressentit et se dressa en une fraction de seconde.

— Luc, sil te plaît veux-tu tirer les doubles rideaux je ne peux fermer les yeux. Bon sang il ne manquait plus que cela si elle avait les yeux ouverts elle ne pouvait ne pas voir mon état.

— Oui maman dis-je en me levant et faisant en sorte dy aller en essayant de masquer la protubérance de mon caleçon.

— Merci trésor. En y allant je maperçus alors quelle avait retiré son soutien-gorge, ses seins étaient bien ronds avec des aréoles blondes à petits tétons. Sa poitrine devait bien avoisinée un bon 90. Ce qui ajouta aussi de la fermeté au bas de mon ventre. Lorsque le rideau fut tiré plus en confiance je regagnais ma couche tranquillement et métendis. La sieste dura pratiquement une bonne heure. Quand je rouvris les yeux, maman dormait toujours, le soleil donnait en plein sur notre façade et lon voyait assez bien même les doubles rideaux tirés, mon érection était toujours de mise bien présente et la vision de ce corps quasiment nu, narrangeait pas la chose. Lidée me vint de réveiller maman pour lui proposer une sortie en ville. Je me mis debout et mapprochai de son lit pour la réveiller.

— Maman réveille-toi il est 17 h.Jallais donc pour ouvrir les doubles rideaux pour amener plus de clarté dans la chambre. Que navais-je pas fait tandis que javais le dos tourné pour ouvrir, maman avait changé sa position elle avait à présent les jambes écartées et avec la lumière du soleil, le bout de tissu transparent de son string laissait voir son sexe dépourvu de tout poils , maman se rasait la toison. A nouveau je lappelais.

— Maman, il est 17 h.. lui dis-je en masseyant au bord de son lit. Elle ouvrit les yeux et me regarda.

— Non encore un peu allonge-toi dans une demi-heure nous irons. Et je métendis à ses côtés. Après quelques minutes, jentendis.

— Dis-moi mon chéri, il me semble que tu es troublé depuis que tu mas vue en tenue légère. Il ne faut pas en avoir honte, cela est normal, moi aussi de tavoir vu nu ma gênée, je nai jamais revu de sexe dhomme depuis ma séparation davec ton père.

— Vraiment depuis bientôt vingt ?

— Oui mon chéri.

— Tu nas jamais eu de relations depuis cette époque ?

— Cest exact. Oh je ne dis pas que je ny ai jamais pensé, mais au moment dessayer à avoir une relation cest à toi que je songeais et là retour à la case baby cest-à-dire toi, tu étais ma priorité. Tout en lécoutant jessayais de me relâcher afin de faire le calme au niveau de mon sexe qui lui était toujours au garde à vous. Maman se redressa et à présent assise sur le lit me regarda et dit.

— Mon pauvre chou, tu es encore dans cet état, va dans la salle de bain et douche le à leau froide cela va te calmer. Sûr de ce conseil jallais me coller sous la douche mais après trois ou quatre minutes la tension nétait toujours pas retombée. Maman gratta à la porte et demanda.

— Alors es-tu calmé ?

— Non toujours pareil. La porte souvrit et maman sapprocha de moi me prit dans sa main et commença un lent va-et-vient qui me parut une éternité mais après une dizaine de mouvements un long et puissant geyser séchappa pour aller se répandre dans le fond de la baignoire. Une fois terminé et après avoir réglé la température de leau maman entreprit de me nettoyer la verge, tandis que jamorçais une caresse sur ses fesses.

— Non je nai fait que te soulager pour te rendre service. Maintenant tu te sèches et lorsque tu seras habillé nous irons en ville. Sur ce elle quitta la pièce pour se préparer, quelques minutes plus tard nous étions parmi tous ces touristes le long de la plage à admirer le printemps qui nous inondait de toutes ses merveilles. Nous fîmes une halte sur un banc et maman me dit.

— Attends-moi là, je vais nous chercher une glace, pistache pour toi nest-ce pas ? Et avant de lui avoir répondu elle était déjà en route. Oh elle ne fut pas longue une dizaine de minutes seulement et elle me tendit mon cornet de glace à la pistache.

— Merci maman. Vers 20 h 30 de retour à lhôtel, il y avait foule au restaurant et maman décida de prendre un apéritif au bar ce qui nous prit une bonne demi-heure, le temps que la fille dattente se réduise au buffet. Une fois le repas terminé maman me dit.

— Moi je monte je suis vannée, jai besoin de repos, tu peux sortir si tu veux tu nauras quà prendre la carte de la porte mais ne fait pas de bruit en rentrant et surtout pas trop tard et elle glissa un billet dans la poche de ma chemisette.

— Merci maman, je taccompagne. Une fois maman dans la chambre je redescendis au bar et me fis servir un café. Tout en sirotant celui-ci, je repensais à laction de maman pour calmer mon ardeur, le café terminé, néprouvant le besoin de sortir je regagnais la chambre. Maman dormait déjà, tout comme laprès-midi en petite tenue. Sa poitrine se soulevait au rythme de sa respiration, la pointe de ses seins se tendait, là je détournais mon regard et après mettre dévêtu tout comme elle je me couchais en caleçon. Dans la nuit un bruit me réveilla, il semblait venir du balcon, lentement je me levais et entrepris daller voir ce quil se passait à lextérieur sans prendre conscience que maman nétait plus sur son lit. En fait cétait elle qui assise sur une chaise se masturbait lentement, le bruit entendu était un gémissement. Elle navait pas remarqué ma présence et le spectacle de ses doigts qui allaient et venaient le long de sa fente me fit bander. Trouvant lespionnage incorrect de ma part, je regagnais mon lit. Quelques minutes plus tard, maman réintégra la chambre et vint près de mon lit me regarder dormir, elle se pencha sur moi et déposa un baiser sur mon front, je me retenais fort pour ne pas lui faire voir que jétais réveillé. Avant de retourner sur son lit, elle esquissa une petite caresse à mon caleçon et saperçut quil était distendu par ma queue en érection. Elle marqua un temps darrêt et lentement elle prit la chose en main à travers le tissu puis tira sur lélastique pour libérer ma bite tendue à lextrême, lentement elle fit coulisser la peau recouvrant le gland et je sentis ses lèvres se refermer autour de ma verge, elle entreprit de me sucer, cétait divin. Nen pouvant plus, je mis ma main sur sa tête comme pour laider à aspirer ma colonne. Elle était à genoux près du lit, cest alors que ma main droite alla se poser sur ses fesses pour la caresser. Mes doigts sinsinuèrent entre ses deux globes et se faufilèrent jusquà sa fente, elle était trempe. Cest alors quelle réalisa que moi son fils je lui rendais la pareille.

— Non que suis-je en train de faire, je suis folle, elle se releva et se coucha en pleurant. Lentendant je me levais et mallongeais près delle en la prenant dans mes bras pour la consoler ce que je réussis à faire avec beaucoup de mal. Enfin calmée elle sendormit, nous étions lun contre lautre, moi contre son dos et là je me rendis compte que mon caleçon était encore baissé et ma bite en contact avec ses fesses ou plus exactement contre sa fente je navais plus quà pousser de lavant pour la pénétrer ce que je ne fis pas. Au réveil, nous étions toujours enlacés dans la même position et elle ne put ne pas remarquer la fléche qui tendait à lentrée de sa grotte. Elle tourna la tête vers moi et me dit.

— Tu veux ? Je ne sus pas quoi répondre et elle se leva et revint se coucher pour prendre ma bite dans sa bouche pour en fait lhabiller dun préservatif. Tout en faisant la chose elle me suçait ce qui me maintenait en érection. Elle me libéra et sétendit sur le dos en minvitant entre ses cuisses, je guidais ma verge à lentrée de sa chatte et poussais légèrement comme si javais peur de la chose car cétait pour moi aussi la première fois, lentement je me faufilais à lintérieur. Quand dun coup de ventre en avant, elle propulsa ma bite au plus profond de son vagin en poussant un petit cri. Là je me mis à la limer du mieux que je pouvais et elle me ralentissait pour faire durer le plaisir. Quand elle saperçut que je pouvais plus tenir elle minvita à accélérer et nous avons explosés ensemble.

— Merci maman pour ce cadeau. Cétait merveilleux.

— Pour moi aussi mon chéri. Je dois tavouer quen allant chercher les glaces il y avait une pharmacie à côté cest là que jai acheté la boîte de préservatifs car je savais ce qui allait se passer après lincident de la salle de bains. Sur ce nous allâmes prendre notre douche ensemble. . !!!!!!!!!!!!!

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