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L'inconnue du train de l'ouest – Chapitre 4

L'inconnue du train de l'ouest - Chapitre 4



« Charles ! prend un peu de repos » cest ce quil se dit en sortant. Après tout ils lont encouragé à prendre un congé. Sa carrière va connaître un tournant, il ne sera plus autant sous pression, sur une voie de garage, une sorte de placard en attendant… dieu sait quoi…. Oui, une dizaine de jours, deux semaines… quelque part au bord de la mer…. « Prenez quelques jours de congé… Virginie est vraiment folle de vous…. ».

Le lendemain il prenait sa voiture, cap à louest. Quinze jours de congé : Bord de mer, petite maison trouvée rapidement, confortable, promenades, fruits de mer, farniente… Virginie ? Il lappellera en arrivant, elle doit être occupée, des études quelque part…. Près de quatre heures de route… quelques arrêts… resto, juste un verre de vin…. Repartir tranquillement, arriver avant la tombée de la nuit…. Enfin, nous y sommes. Le petit commerce dépicerie, les clefs…. « Vous ne pouvez pas vous tromper, cest la dernière maison, juste après le panneau, sur la droite, presque sur la plage. Vous allez entendre le vent, ça va souffler à ce quon a dit à la télé…. Vous naurez quà faire du feu, y a tout ce quil faut et jai mis le chauffage en route ». Il est presque de retour dans sa voiture quand le téléphone sonne. Il sait… "Virginie ma putain", quelle idée elle a eu, mais elle était vraiment déchaînée….

« Oui ma putain… »

« MMMMMMMMM… Comme tu es gentil, répètes, ça me rend toute drôle… »

« Oui ma putain »

« Tes où ? Je voudrais que tu me caresses là, maintenant, comme lautre jour dans le train… tu es tout seul ? ». Sa voix seule suffit à allumer lincendie…. Oui il est seul… et elle ? Elle a fini sa journée, rentrée dans son petit studio, allongée, sennuie de lui… elle ne touchera pas un garçon avant quil ne soit revenu la … il a peine à placer un mot…. « Laisse-moi par… » « Je te promets, personne ne me touchera, pas même un petit bisous… »…. « JE SUIS LA ».

« LA ? Où Çà Là ? »

« Quinze minutes de ton studio ».

Elle crie de joie, saute « VIENS ME CHERCHER !!!!… ».

Il y va directement : "Ne passez pas par la case gite, nallumez pas le feu dans la cheminée, allez directement la chercher". Il la retrouve avec ses bagages au pied dun immeuble dans le centre ville, fait demi-tour…. « Arrêtes-toi ! ». Il sarrête sur le premier parking. Elle descend, ouvre sa portière à lui, détache sa ceinture, le sort de la voiture, lembrasse, collée à lui, sa bouche, sa poitrine, ses hanches, son pubis…. Cela dure bien dix minutes et leur vaut quelques coups de klaxon enthousiastes pensent-ils…. Quand ils en ont eu leur saoul il la lâche : « Monte, on a tout notre temps ».

Il lui explique, deux semaines…, « Deux semaines !!! » elle va se jeter sur lui mais les ceintures len empêchent. Elle lui explique quelle est en stage, en apprentissage dans lentreprise quil a visitée, pour une formation dingénieure, ils se verront le soir, elle aura à travailler… un peu… enfin elle fera son possible pour que ça ne prenne pas trop de temps…. Elle sera sa putain, elle a envie de tout…. Elle est trempée depuis quil lui a dit….

Arrêt dans un petit port pour acheter à manger, à boire, il y a une épicerie miracle… Il fait nuit noire quand ils arrivent…. La maison est bien chauffée… il regarde la pièce salon, la cheminée…. Elle regarde… « Quinze jours, tu te rends compte, quinze jours pour nous deux… ».

« Laisse moi faire un peu de feu, installer un peu de confort devant cette cheminée… ».

Une demie heure plus tard, le feu a pris, il a aménagé un endroit confortable devant la cheminée, elle a fait le lit au premier…. Elle sest préparée… elle descend dans une robe légère… on voit presque ses sous-vêtements rouges en dessous… le décolleté laisse apparaitre ce quil faut de sa poitrine pour lui rappeler la douceur de ses seins, le dessin de la culotte sestompe à la hauteur de son pubis…. Sa bouche, ses lèvres sont gonflées comme lorsquil la vit le premier soir, elle revient se coller contre lui : « Charles… Je ne veux pas attendre… je peux pas… ».

Lui ne demande quà lui donner tout ce quelle voudra…. Ils sallongent devant le feu… sembrassent… il roule sur son corps… il bande… se colle contre son pubis et lembrasse comme un fou… il se perd dans ses yeux bleus … elle se donne avec ses yeux, sa bouche, se cambre pour être contre lui : « Mords-moi, marque moi partout où ça ne se voit pas… je suis ta putain, à toi, toute…. » Sur les seins quil découvre un peu plus il fait une marque, rouge, sans trop la mordre dabord, puis il pince la peau entre ses dents jusquà ce quelle frissonne, crie « Aïe !!! »

« Encore, je suis à toi… »

Elle se donne, se laisse dévêtir, retardant parfois pour mieux prendre la pose qui met en valeur les lignes de ses hanches, de ses cuisses, des ses seins…. Il la regarde, fait glisser sa main sur les courbes les plus sensuelles… les pleins, les creux, le creux de son ventre qui se creuse un peu plus encore sous le feu de la pointe de ses doigts… le plein de son pubis, les plis de ces lèvres quelle cache dabord pour les faire désirer, quelle abandonne aux caresses en le laissant ouvrir ses cuisses. Il la caresse du bout des doigts, puis de la langue qui descend des seins au ventre, au nombril que la langue agace… elle se cambre, et quand Charles colle sa bouche sur la fente qui sentrouvre elle jette son ventre vers lui, jette ses mains derrière la nuque de son amant… ouvre ses cuisses autant quelle le peut… il la fouille avec sa langue, explore tous les replis quil peut atteindre, agace le clitoris, le suce… écrase sa bouche et boit dans la chatte béante quil fouille, lèche. Sa bouche dérive sur le haut dune cuisse, lintérieur, tout près du sexe, il la marque, suce la peau jusquà ce quelle soit rouge sang, la mord de nouveau du bout des dents. Il la marque sur labdomen et de nouveau la mord. Puis reprend sa chatte dans la bouche, la fouille, pince le clitoris avec les dents, attentif à chacune des réactions de sa partenaire, sa langue parcourt tous les replis de la fente quelle peut atteindre… ses mains la soulèvent, la langue quitte la fente… glisse sur le périnée et elle comprend en même temps quelle sent la pointe de la langue… elle se cambre… gémit, elle aime… cest doux et… quil la caresse ainsi, comme une promesse….

La suite fut plus brutale. Il la retourne, la prend. Les fesses levées, cuisses écartées elle se donne sans retenue. Il la baise…. Cest ce quelle attend, comme une femelle en chaleur, soumise, active, oubliant tout sauf cette bite qui la pilonne et son ventre qui la reçoit, enfin depuis deux jours quelle attend… si longs…. « Baise-moi, mets là tout au fond, vas-y… cogne… plus fort… plus fort… » elle ne dit rien… ses mots restent dans sa conscience… parfois un cri lui échappe… puis des mots… agrippée à la couverture et au drap qui recouvre le tapis… elle crie… et il lui enfonce sa bite aussi loin quil peut, il sent son utérus rouler sous son gland, il la secoue comme une brute à chaque coup de rein… ses seins ballottent sous elle, elle nen finit pas de crier… de crier des mots obscènes, il décharge… de grands jets traversent sa bite, il les sent… elle crie encore plus fort…. il enfonce ses doigts dans ses seins pour la tirer contre lui, pour rester collé à elle… il grogne… grogne… et tombe sur elle tandis quelle fait tout pour quil reste là, dans son con… « Reste… Reste… ». Des giclées de sperme continue de couler… « nom de dieu… » il aurait voulu lui mettre sa queue si loin…. Ils sont en sueur… elle lèche son torse, son ventre et le prend dans sa bouche, suce son membre qui mollit dans sa bouche, suce le sperme quil contient encore, lèche tout ce qui se mélange à la racine, suce les couilles…. et va elle aussi lécher plus bas, elle lui rend cette caresse qui lavait surprise….

Ils dorment devant le feu….

Il la regarde… endormie, jolie blonde, jolie femelle, si sensuelle…, au corps si fin et si plein, … si affamée… « Jolie blond… ma chère tit fill… » … tu vas me laisser tout seul… même si je prends bien soin de toi …. un jour… bientôt. Il met deux buches dans le feu, le fait redémarrer lentement, et va préparer à manger.

« Tu memmènes au travail demain matin… il faut mettre nos deux téléphones pour nous réveiller… parce que partis comme ça, on aura du mal demain matin… ».

Cest sûr… Et ils ont recommencé le repas fini… ils lont pris devant le feu, sur une table basse. Dans un peignoir mal fermé, elle na pas cessé de jouer avec lui… le corps à demi découvert, une épaule dénudée, juste assez de sein pour quil ne puisse empêcher son regard de se glisser entre les pans du peignoir… quand il ne cherchait pas à apercevoir ce qui se trouvait en haut des cuisses… il avait beau commencer à connaître les replis de son corps, il en était toujours aussi curieux, et elle en jouait avec un instinct sûr… ne dédaignant pas de temps en temps de le laisser entrevoir, comme par maladresse, les plis quil convoitait tant, quitte à se recouvrir avec un air boudeur, comme sensuellement coupable et pudique… elle qui ignore tout de la pudeur. Et son maintien, légèrement déhanché, son cou, sa tête inclinée avec grâce…. Virginie et sa sensualité extrême le rendaient fou…, de désir au moins…. Mais elle a une excuse… elle le désire lui, encore bien plus… et le manifeste sans retenue.

Cest dans le milieu de la nuit, encore dans le désordre des sens, mal réveillé, quil la reprit, longuement, ils nen finirent pas de faire lamour. Elle le chevaucha, pour la première fois, comme en soubliant, utilisant le corps de son amant pour son propre plaisir, cherchant un orgasme à corps perdu, enfonçant le membre en elle, empalée comme sur un pieu, roulant des hanches comme une furie, jusquau moment où perdant la tête, elle enfonce ses ongles dans les épaules auxquelles elle sétait cramponnée…. Il crie de douleur… tout en la conservant sur lui, la tirant sur lui pour garder sa bite tout au fond, jusquà ce quenfin elle se fut calmée…. Lui na pas joui. Elle sait ce qui va suivre, elle la provoqué… elle le cherche délibérément. Comme elle se laisse tomber sur lui il lentent dans son oreille… « Tu peux…, vas-y … défonce-moi… défonce-moi le cul, vas-y…. » Il perd la tête, la prend sans bien mesurer ce quil fait. Il lentend crier quand il la pénètre brutalement, quand il entre en force sa queue dans le cul quil avait caressé de sa langue un peu plus tôt…. Quand il lance ses reins elle geint, quand sa bite senfonce entre les fesses, elle geint, crie…. Il ne sarrête que lorsquil sent de nouveau ses couilles se vider… il naurait pas cru quil put en avoir autant à donner. Il ne sétait jamais conduit aussi brutalement…, elle le pousse à bout…. Elle se tourne vers lui, se colle contre lui pour effacer ou oublier la douleur, elle lembrasse avec passion, lui mord la lèvre… assez pour quil sente le goût du sang….

Les jours vont se suivre, tellement semblables : elle travaille, il fait à manger, tient la maison, cherche des vins… de temps en temps ils sortent sur la plage, dans la nuit, le froid…. Chaque nuit ils font lamour, ou il la baise… chaque nuit il mord, suce sa peau pour la marquer…. Une nuit ils abandonnent, ils nen peuvent plus, et se contentent du contact de leurs corps repus….

Le vendredi soir, après manger, écoutant au hasard le stock de musique qui est sur son ordinateur, branché sur la chaîne du gite, il sabandonne à elle. Il fait bon… Ensommeillé… Cest le début du week-end, pour la première fois ils vont passer des journées complètes ensemble…. Il pleut, la cheminée ronronne, diffuse lumière et chaleur…. Elle le caresse, commence à le branler doucement, contre ses seins, amorce une fellation… pas tant pour le faire jouir que pour lui faire plaisir… et lavoir dans la bouche… elle aime le sentir grossir, durcir dans sa bouche lui a-t-elle dit…. Il profite…. Les yeux fermés, les mains dans ces cheveux blonds qui avaient attirés son regard, de temps en temps il se cambre et attire la tête quil emprisonne vers son pubis, il enfonce sa bite aussi loin quelle peut, jusquà sentir le menton de Virginie sur ses couilles, sentir sa gorge palpiter contre son gland, il la tient privée dair… la relâche…. Il la regarde, elle lui retourne un regard qui lui semble obscène, animal, le visage couvert luisant de salive, en partie masqué par sa bite quelle lèche, suce, reprend dans sa bouche. Les yeux dans les yeux…. Elle enfonce sa bite dans sa bouche, aspire, tête, lenfonce un peu plus, la retire pour ne garder que le gland quelle suce délicatement comme un esquimau… elle magnifique dans son obscénité, lexpression même du sexe sans pudeur ou sans débordement provocateur… la quête du plaisir sans transgression : elle na aucun interdit à transgresser. Quand elle sent quil va jouir elle lenfonce dans sa bouche, il décharge… elle prend tout, en garde le plus possible pour lui montrer sa bouche sa langue remplie, couverte de son sperme, lavaler lentement en le regardant dans les yeux…. Elle remonte vers lui, dépose sur ses lèvres, ce baiser quil napprécie pas toujours…. « Je suis ta putain… tu aimes que je te suce, hein ? Tu aimes me mettre ta bite dans la bouche, dans la gorge… tu aimes que je boive ton sperme, que je te vide les couilles, je suis sûre que personne ne ta sucé comme je le fais ». « Oui jaime ça… tenfoncer ma bite dans la gorge, vider mes couilles dans ta bouche et te regarder avaler le sperme que tu as tiré de mes couilles…. Tu es ma putain, ma petite salope… sans égale ».

« MMMMMMMMMM… Je voudrais… te demander quelque chose… »

« Je voudrais que lon retourne là où tu mas trouvée… jai envie… de me faire baiser… par plusieurs hommes, comme Mathilde… me faire couvrir de sperme… jouir jusquà ne plus pouvoir… emmène-moi là-bas demain… tu regarderas, je jouirai pour toi, je te regarderai quand ils me soumettront…. jen ai très envie… »

Ah ! Au fond il savait bien, elle nest pas à lui, elle nest quà elle….

« Euh… Bon… OK. Comment te refuser quelque chose…. Je vais partager ma putain… tu te fera très belle… je veux emmener une femelle de toute beauté. »

Elle est très belle ce samedi soir quand ils entrent dans le lieu de leur rencontre. Elle a tressé ses cheveux à plat, légèrement maquillée, légèrement vêtue quand elle enlève la parka qui la protège du froid…. Il annonce aux hommes présents quelle est là pour satisfaire ceux qui la voudront, il la fait marcher comme une pouliche pour bien montrer ce quil leur concède, il lexhibe ainsi lentement devant eux. Il lentraine dans un salon, la dénude tranquillement, lagenouille, appuyée sur la table basse. Il la flatte comme une femelle animale, ses mains la caresse elle le ferait dune chienne. Puis, alors que quelques curieux peut-être seulement pressés de se mettre sur les rangs les premiers, sont entrés dans le salon, il flatte sa croupe, elle se cambre, ouvre ses cuisses pour lui. Nue, déhanchée, la peau renvoie lombre et la lumière du salon, lombre surtout. Les seins qui pendent entre ses bras, légèrement compressés nen paraissent que plus tentants…. Ils portent des taches plus ou moins sombres, plus ou moins estompées, des marques dont elle ne semble pas consciente. Elle incarne les promesses de ce quune femelle peut donner par le sexe. Le visage dans la lumière douce, les yeux ouverts qui semblent éclairés de lintérieur, bleus-verts, elle communique par leur intermédiaire les sensations que lui procurent les doigts qui jouent dans lombre entre ses cuisses, qui la pénètrent, jouent avec son clitoris, le pincent. Sa bouche et ses lèvres en disent autant que ses yeux…. Elle ronronne, gémit lorsque lorgasme monte, elle mord ses lèvres, entrouvre sa bouche pour respirer, la pointe de sa langue apparait sur ses lèvres, son nez palpite, elle se cambre. Les mouvements si légers soient-ils déplacent les zones de lumière qui révèlent les détails de sa peau. Elle jouit, presque en silence, retenant ses gémissements, à peine quelques petits cris aigus de souris… Complètement tendue au sommet de son orgasme, cambrée à lextrême, elle comprime ses seins, lève son visage, creuse ses reins, lève sa croupe…. Ils bandent tous à la regarder…. Devant eux ils sort son sexe, la chevauche, la prend jusquà la faire jouir de nouveau… se retire, rajuste ses vêtements. Il sécarte…. « Vous ne la maltraitez pas, son cul est à moi seul, sauf pour la prendre en sandwich, une fois. Merci de ne pas ajouter de nouvelles marques sur sa peau ».

A lécart il regarde cette jeune femelle sabandonner aux hommes qui la désirent….

« Etes-vous en train de tomber amoureux de Virginie ? » La voix vient de lombre, près de lui, une femme sest assise alors quil était si occupé à caresser Virginie.

« Comment êtes-vous là ? »

« Je travaille dans cette ville vous savez…. Et je savais que vous veniez, Virginie mavait prévenue, nous avons une histoire toutes les deux…, je suis tombée sous le charme. Jai un faible pour les femmes parfois, elle aussi…. Je sais combien elle peut être envoûtante ».

« Votre présence gâte ma soirée… même si je me remettrai de mon changement professionnel. Je déteste le faux-semblant, le mensonge poussé en principe dexistence… vous gâchez ma soirée… je vous laisse le soin de récupérer Virginie, emmenez-là chez vous. Demain vous récupérerez ses affaires dans le gite, elle vous conduira. A partir de demain après-midi… je serai parti. Bon vent ».

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