Histoires de sexe mobiles Histoires de sexe travesti Histoires gays

LINE ET AHMED – Chapitre 5

LINE ET AHMED - Chapitre 5



REPRISE DES SÉANCES RÉCRÉATIVES

Line fait les cents pas devant limmeuble. Marjorie est en retard. Elle repense aux derniers mois, au chalet de montagne, à Jean-Paul et Désiré les médecins, à Philippe et Ahmed. A ressasser ses souvenirs, elle a envie de tout laisser tomber. Que fait-elle là ? Tant pis si Bernard nest pas content. En quoi peut-il lui nuire ? Elle pâlit en réalisant quil est capable de sen prendre à sa mère, sa tante et sa cousine et leur faire payer cher sa désertion. Elle soupire, elle ne peut pas leur faire ça. Sa cousine qui émerge de la bouche de métro et se hâte à sa rencontre, vient à point nommé la conforter dans sa décision. Après un rapide baiser, les deux filles entrent dans limmeuble et montent à létage. Bernard les reçoit.

— Entrez vite, vous êtes en retard. Vous avez de la chance quaucun invité ne soit arrivé sinon, vous ne couperiez pas dune amende.

— Cest ma faute avoue Marjorie. Javais pas vu lheure.

— Que cela ne se reproduise plus. Filez dans la chambre du fond, Denise et Sylvette vous y attendent.

Line sourit. Elle aime bien Denise et est contente de sa présence pour la reprise. Les deux filles sempressent de rejoindre leurs aînée et revêtent la tenue choisie par Bernard pour le début de la soirée : sous-vêtements sexy, chemisier translucide et jupe fendue. Elles sont prêtes à temps pour accueillir les premiers invités.

Line se détend. Elle reconnaît certains des hommes présents qui lui sourient, heureux semble-t-il de la revoir. Elle prend plaisir à glisser parmi eux en présentant des verres de punch, les laissant la frôler mais évitant avec un grand sourire les mains trop indiscrètes. La séance de striptease achève de la décontracter. Elle se sent bien, les vapeurs dalcool du verre quelle a bu lui titillent agréablement le cerveau. A la fin de la danse elle est attirée dans un coin par quatre de ses anciennes connaissances qui dun geste identique se débraguettent et exhibent un sexe long et dur. Cela la fait rire.

— Regarde comme nous sommes impatients de recevoir tes caresses, lui disent-ils.

— Vous savez parler aux femmes, réplique-t-elle en sagenouillant.

Elle donne à chaque queue une caresse, un baiser sur le bout du gland. Puis, elle soupèse les testicules gonflés, lèche les tiges raides, découvre les glands, les avale en sefforçant de répartir ses attentions entre ses quatre admirateurs. Ils la conduisent vers un fauteuil où ils linstallent, la poitrine appuyée sur laccoudoir, le cul proéminent, la figure à la hauteur de leur bas-ventre. Elle peut sans fatigue continuer à leur prodiguer ses caresses. Un des participants sarrache des ses mains et se poste derrière elle. Il promène son gland découvert sur la raie fessière.

— Line ma jolie, Puis-je honorer ton splendide cul ?

Il appuie le bout sur la rosette.

— Bernard ! Sil te plait, viens maider, lance-t-elle.

Lorganisateur se précipite. Dun geste habile il habille le sexe malgré la grimace de dépit de lhomme.

— Si, si, monsieur, cest indispensable Merci Là vous pouvez y aller, déclare-t-il après avoir enduit le pourtour de lanus dun peu de crème.

Line prend appui sur laccoudoir pour mieux résister à la poussée.

— Aah ! Oui ça y est Excusez-moi de vous avoir abandonné quelques instants, dit-elle aux trois autres.

— On comprend ma chère Line, on comprend.

Elle sefforce de leur prodiguer sucettes et caresses pendant que lautre énergumène sactive dans son cul. Trop secouée par son enculeur, elle ne peut plus passer dune queue à lautre et se contente den masturber deux pendant que le dernier investit sa bouche. Elle a néanmoins la satisfaction de recevoir en même temps les quatre offrandes, dans le cul, la bouche et sur les doigts.

— Vous êtes encore plus belle que dans mon souvenir, lui affirme celui dont elle a avalé le sperme.

Elle ne peut le remercier ayant encore de la liqueur séminale sur la langue. Elle se redresse pour voir lassistance la dévisager, les femmes envieuses, les hommes admiratifs. Troublée, elle se réfugie dans la salle de bain où Marjorie la rejoint.

— Ben dis donc ! Tas eu du succès ! Quatre à la fois, javais jamais vu ça.

Line ne répond pas se contentant de faire un raccord de maquillage sur ses lèvres.

De retour dans la salle elle est accaparée par deux hommes entièrement nus. Elle en reconnaît un qui lui adresse un grand sourire.

— Ma chère Line, que je suis heureux de vous revoir. Vous nous avez manqué vous savez. Permettez-moi de vous présenter mon collègue qui navait pas eu le plaisir de vous rencontrer auparavant. Comme moi, il était impatient de pouvoir vous témoigner son admiration et nous avons dû ronger notre frein en attendant que vous soyez libérée de vos soupirants.

— Je remarque à votre tenue que mes compagnes ont su vous divertir, et calmer quelque peu votre impatience, sourit-elle en soulevant dun doigt coquin la verge souple de son interlocuteur.

— Euh Je dois reconnaître que nous avons passé un moment fort agréable en compagnie de Denise Non, continuez sil vous plait, supplie-t-il quand Line veut retirer sa main, vos caresses sont un tel réconfort

— Si mademoiselle Line permettait, jaimerai profiter moi aussi de ses bonnes dispositions, implore le deuxième homme en posant son sexe mou sur la paume libre de la jeune fille.

Sous son impulsion, le trio glisse vers un canapé où elle sassied entre les deux hommes. Elle continue à manipuler les verges qui grossissent et raidissent entre ses doigts.

— Aah ! Vous voyez que vous navez rien perdu de votre pouvoir sur nos sens, soupire le premier interlocuteur.

— Ouii ! vous êtes douée pour restaurer le désir Aah ! Il y a longtemps que cela ne métait arrivé aussi rapidement, renchérit le second tout en triturant un téton qui se fripe entre ses doigts. Vous me redonnez ma jeunesse ma chère Line. Grâce vous en soit rendue.

Il ponctue son affirmation dun suçon sur le tétin pendant que ses doigts disputent à ceux de son compagnon lhonneur douvrir le sexe de la jeune fille. Ils restent plusieurs minutes à se caresser, laissant monter le désir dans leurs veines. Bernard qui sapprochait avec un plateau de verres remplis bat en retraite avec un sourire : aucune main nest disponible pour tenir la boisson.

Sous les fesses de Line, les doigts explorent les deux orifices. Son premier interlocuteur se penche pour lui glisser en confidence :

— Line, ma chère, nous aimerions, mon collègue et moi te prouver notre admiration et thonorer comme tu le mérites.

Le deuxième homme approuve en hochant la tête. Elle sourit et mordille loreille à proximité de sa bouche. Une verge séchappe du manchon de sa paume.

— Laisse-nous taimer

Des mains la tournent vers le nouvel invité dont elle ne lâche pas la queue. Les doigts se font plus insidieux. Ils sagitent à plusieurs dans chaque trou, deux ? Trois ? Elle ne saurait dire. Ils vont lui faire lamour ensemble ensemble ? Une double pénétration ? Non ! Pas ça ! Pas aujourdhui. Déjà un gland sinsinue entre ses fesses tandis que des doigts élargissent sa chatte.

— Non, sil vous plait pas ensemble Je vous en prie.

Bernard se précipite à son secours.

— Soyez gentil avec mademoiselle Line, vous ne voudriez pas quelle garde un mauvais souvenir de son retour parmi nous, plaide-t-il en habillant la queue qui sapprêtait à enculer.

— Loin de nous lidée de lui faire du mal. Nous accédons au désir dune aussi gentille personne Lun après lautre, comme à confesse, je vous le promets.

— Je vous fais confiance, ne me décevez pas, poursuit lorganisateur en glissant un préservatif dans la main de Line.

Le premier homme se place derrière la jeune fille. Il fouille entre les jambes qui sécartent au-delà de la rosette de lanus.

— Me permettez-vous de vous baiser séant ?

— Je vous en prie, je fais patienter votre collègue, dit-elle en posant un baiser sur le gland qui sort de ses doigts.

— Aah ! soupire lhomme, je suis prêt à attendre des heures avec une telle caresse.

Il ôte ses doigts vite remplacés par le sexe de son compagnon. Line se penche sur la verge et lengloutit. Elle accorde le rythme de ses lèches et de la masturbation de la tige aux coups de rein dans son dos.

— Mmmh ! gémit lhomme quelle suce. Doucement sil vous plait jaimerais tant vous baiser à mon tour.

— Je Aah ! Je fais atten Aah ! attention.

Elle retire le gland quelle avait avalé et parsème la tige vivante de baisers légers. En remerciement son partenaire du devant triture le clitoris tandis que la queue de lautre senfonce et ressort avec la régularité dun métronome. La jeune fille gémit.

— Aaah ! Mmmh !

— Ouch ! se plaint lhomme quand la jeune fille prise par lémotion serre le sexe dans sa paume.

— pardo Aah ! pardonnez-moi Aah ! Je ne Aah ! lai pas fait Aah ! fait exprès.

— Vous Mmh ! êtes toute Mmh ! excusée Aah !

Lhomme dans son dos accélère. Line devine quil va bientôt terminer.

— Aaah ! Aaah ! Aaaaah !

Malgré les secousses, elle déchire avec les dents lenveloppe du préservatif et arrive tant bien que mal à lenfiler sur la verge qui palpite devant ses yeux.

— Aaarrh ! Arrgghh ! arrgmmh !

Lhomme seffondre sur son dos. Dun coup de cul elle le fait glisser sur le côté. Prenant à pleine main la bite habillée, elle sinstalle à califourchon sur les cuisses de son partenaire, sassied sur le sceptre vivant.

— Aah !

Elle danse sur les genoux de lhomme qui la maintient par les hanches. Il cherche à happer les tétons qui tressautent devant sa bouche. A leur côté, le premier partenaire comblé remercie la jeune fille en caressant son dos. Entraînées, ses mains dérivent sur la poitrine tendre et sur les cuisses de celui qui la remplacé. Un troisième larron sapproche la pine en main. Il promène le bout du gland à la naissance de la raie fessière. Line grogne.

— Non ! sécrie le premier qui ne veut pas quun tiers bénéficie de létreinte simultanée dont il a été privé. Dans quelques minutes notre charmante partenaire sera toute à vous Bernard sil vous plaît Pouvez-vous équiper monsieur qui désire honorer Line ? Merci

Pas question quun autre introduise sa quéquette sans protection puisque lui-même en a été frustré ! grommèle-t-il en aparté. Cet intermède la déconcentré. Il ne peut ralentir la montée de la jouissance et se libère avec des grognements de fauve assouvis. Le nouvel arrivant empoigne Line par les hanches, la déplace sur le canapé et senfonce dans la chatte ouverte. Il la besogne dur, presque avec violence. Il est en forme. Létreinte séternise rendant jaloux les deux premiers qui nont pas su faire durer. Line a tout le temps de penser à la soirée. « Ben mon colon, il en met un coup celui-là ! Si ça continue à ce rythme on va sentir le caoutchouc brûlé ! » Cette pensée la fait ricaner silencieusement. Elle regrette la présence des capotes qui contiennent lécoulement du sperme. Ah ! Sentir une queue sintroduire dans son con plein de foutre comme avec Philippe et Ahmed A force le frottement dans le vagin devient gênant, douloureux même et elle ressent comme une délivrance les grognements qui annoncent la fin de la joute.

Denise libère la jeune fille et lentraîne dans la salle de bain où elle rafraîchit le sexe congestionné.

— Tu en as assez fait pour aujourdhui. Contente-toi de caresser et de te laisser peloter pour le reste de la soirée. Je demanderai à Bernard de te surveiller.

Celui-ci mis au courant, approuve et dirige Line vers deux participants qui à cette heure tardive sont bien incapables de lui faire du mal. La jeune fille termine la soirée entre les deux hommes par des attouchements de collégien. Bernard insiste pour la ramener chez elle. Il la quitte sur le trottoir.

— Ça ira ?

— Oui, pas de problème.

— Tu mas fait grand plaisir, je suis content de toi. Crois-tu que mardi tu seras assez reposée ? Je peux te décaler tu sais.

— Ne change rien aux prévisions, je te promets dêtre dattaque.

A son arrivée dans lappartement, elle est accueillie par sa mère.

— Cest toi Line ?

— Oui maman, excuse-moi de tavoir réveillée.

— Je ne dormais pas. Ça sest bien passé ? Pas trop dur ?

— Non maman.

— Repose-toi bien mon chou.

— Merci maman.

A suivre

A propos de l'auteur

HistoiresDeSexe

Laissez un commentaire